Je m?appelle Alexia, Al pour les intimes. J?ai 35 ans, je suis divorcée sans enfants.

J?aime le sexe et, depuis mon divorce, ne manque pas une occasion d?assouvir ce démon qui se cache dans mon bas-ventre.

L?histoire que je vais maintenant vous raconter s?est déroulée à la fin de l’été.

Des amis à mes parents, gens particulièrement fortunés, m?ont appelé un soir pour me demander si cela ne me dérangeait pas de passer le week-end dans leur hôtel particulier parisien car ils devaient partir à l?étranger et ne souhaitaient pas laisser inoccupé leur domicile.

N?ayant rien de particulier à faire, et connaissant le luxe de leur logis, je répondis que ce serait avec plaisir que je leur rendrais ce service.

J?arrivais donc chez eux le vendredi soir vers 19 heures, devant dîner avec eux avant leur départ en avion. Je m?étais habillée d?une veste de tailleur et d?une jupe en cuir, le tout recouvrant des sous-vêtements un peu olé-olé et, bien sur un porte-jarretelles et une paire de bas gris fumé. J?adore me vêtir comme ça, imaginant la tête de mes invités s?ils devinaient la nature des vêtements que je porte.

Quelle ne fut pas ma surprise en arrivant de constater que les deux petits-fils de mes amis étaient présents. Agés respectivement de 18 ans pour Fred et 16 ans et demi pour Alain, je les avais déjà rencontrés quelques années auparavant. C?étaient à l?époque de très jeunes enfants et là je retrouvais des adolescents, grands et bien bâtis. Leur peau était toute bronzée.

Mes amis me dirent que les enfants étaient arrivés le jour même de vacances et que leur mère ne pourrait venir les chercher que le dimanche soir. Cela me dérangeait-il de les garder le week-end car ils étaient encore trop jeunes (dixit les grands-parents) pour rester seuls 48 heures ? Il m’était difficile de refuser et je donnais donc mon accord pour jouer la baby-sitter de ces grands gaillards.

Je n’étais pas au bout de mes surprises puisque je vis apparaître dans le salon un énorme dogue allemand qui, je l’appris, était le compagnon des enfants et qui s?appelait Simba. J’avoue que je fus un peu effrayée par la taille de ce chien mais m’aperçut bien vite qu’il était doux comme un agneau. On ne pouvait toutefois pas ignorer qu?il s?agissait d?un mâle compte tenu de la paire de bourses qui se balançaient entre ses postérieurs.

Nous nous installâmes dans le salon pour boire l’apéritif. J’étai assise dans un profond canapé en cuir, Fred me faisant face de l’autre coté de la table basse, les grands-parents assis sur les cotés, Alain étant quant à lui parti dans sa chambre.

Une conversation mondaine commença, potins, météo, politique, etc…

Au bout de quelques minutes, je m?aperçus que Fred ne parlait pas beaucoup. Levant les yeux, je vis qu?il avait le regard braqué sur mes jambes, essayant certainement de deviner ce qui pouvait se cacher derrière mes genoux serrés. Cette situation un rien perverse me causa un certain émoi. Si ce petit vicieux voulait de rincer l?oeil, après tout pourquoi pas, adorant les regards des hommes sur moi.

J?écartais donc discrètement un peu les cuisses tout en continuant à bavarder avec le couple. Je savais ce que Fred devait voir, mes cuisses gainées de soie, les attaches de mon porte-jarretelles et, plus haut, dissimulé par l?ombre de ma jupe, la dentelle du minuscule string recouvrant ma courte toison rousse.

Jetant un oeil sur son visage, je vis qu?il était tout rouge d?excitation. Baissant les yeux, je remarquais également qu?il avait posé ses mains en conque sur son entrejambes, sans doute pour dissimuler l?érection qui devait tendre le tissu de son slip. Je me pris à imaginer la taille de sa bite bandée, la couleur de son gland, le velouté de sa peau. Ces pensées m?excitèrent au plus haut point et je sentis ma petite chatte s?humidifier. La mouille se mit à suinter sur mes lèvres chaudes et ouvertes. J?avais très envie de me branler mais cela eut été un peu déplacé devant l?assemblée.

J?avais aussi envie que Fred me voit encore mieux puisque cela semblait beaucoup lui plaire.

Je me levais et, m?adressant à lui, je lui demandais : ?Peux-tu me montrer où se trouvent les toilettes, s?il te plait ??

Il se dressa d?un coup, ce qui me permit de discerner que son pantalon était bosselé au niveau de la braguette ainsi que je l?avais deviné.

Me précédant, il me guida à travers un dédale de couloirs et nous arrivâmes devant la porte des chiottes.

Je lui dis : ?Attends-moi car sinon je vais me perdre au retour?.

Entrant dans les toilettes, je soulevais ma jupe et enlevait mon string trempé de mon désir. Puis, je posais mes doigts sur mon clito gonflé que je caressais légèrement. Je ne voulais pas me faire jouir mais juste me donner un peu de plaisir.

Je mis mon slip dans la poche de ma veste et, tirant la chasse, sortit de la pièce.

Je dis à Fred ?Laisse moi un peu d?avance car je voudrais voir si je saurais revenir toute seule jusqu?au salon? et, le plantant là, je m?avançais dans un couloir qui me semblait être le bon. Je savais que Fred me suivait à quelques pas derrière. J?avais ma petite idée derrière la tête. Aussi, profitant d?un angle qui me cachait à ses yeux, je sortis mon slip de ma poche et le laissait tomber à terre. Puis je continuais ma progression et, au bout de quelques minutes, me retrouvait dans le salon où mes hôtes m?attendaient.

Je me réinstallais à ma précédente place, sentant le cuir du canapé sur mes cuisses et sur mes fesses, ayant pris soin, dans un geste discret, de relever ma jupe.

J?attendais avec impatience le retour de Fred. Il arriva au bout de quelques minutes, le visage cramoisi. Sa main droite était dans sa poche. Il s?assit en face de moi et me regarda. Je lui fis un sourire puis baissait les yeux vers mes jambes, l?incitant à fixer son regard sur cet endroit.

Profitant que les grands-parents, accaparés par leur discussion sur leurs projets de week-end, ne fassent pas attention à nous, j?écartais largement les cuisses en avançant le cul au bord du canapé.

Fred avait maintenant une vue imprenable sur mon intimité. Je crus qu?il allait exploser quand il découvrit le spectacle de ma chatte béante et luisante de mouille et de mes lèvres intimes d?autant plus exposées que j?avais pris soin de couper mes poils.

Le grand-père annonça alors que le repas allait être servi et nous nous levâmes, ma jupe retombant en cachant ce que Fred dévorait des yeux.

Une fois à table, Fred en face de moi et Alain installé à ses côtés, le repas se déroula à priori sereinement. Toutefois, j?avais le ventre en feu et ne pensait qu?à me faire enfiler par ce jeune puceau. Lui plongeait régulièrement la main dans sa poche puis faisait glisser ses doigts sous ses narines. Je devinais qu?il devait tripoter mon slip dans sa poche afin de recueillir ma bonne odeur de cyprine. J?étais complètement ouverte et je coulais avec abondance. Protégée par la longue nappe, j?avais relevé ma jupe le plus haut possible et me touchait régulièrement.

Au milieu du repas, Fred, dans un geste parfaitement conscient, fit tomber quelques petits pois par terre. S?excusant auprès de sa grand-mère pour sa maladresse, il dit ? Je vais les ramasser, ils ont du rouler sous la table ? et, joignant le geste et la parole, il se mit à quatre pattes et se glissa sous la table.

L?esprit d?initiative de ce jeune était vraiment surprenant.

Sachant très bien ce qu?il voulait faire, j?écartais mes cuisses au maximum et attendis la suite des évènements.

Je ne fus pas déçue car quelques secondes plus tard, des doigts tremblants se posèrent sur ma jambe et se mirent à progresser rapidement vers ma chatte bouillante. Malhabile, Fred posa sa main sur ma motte, caressant ma toison, tirant mes lèvres et tripotant ma mouille. Il ne faisait pas ça très bien mais j?en tirais quand même un vif plaisir.

Ne pouvant quand même resté sous la table pendant des heures, il mit fin à ses caresses, ramassa ses légumes et ressortit de sous la nappe, le visage rouge comme une pivoine. Se rasseyant, il me regarda et me fit un charmant sourire que je lui rendis d?un clin d?oeil.

J?avais toujours les jambes écartées lorsque je sentis un souffle chaud sur ma peau. Surprise, je resserrais les jambes quand je sentis la tête du chien entre mes genoux. Il me passa un coup de langue à l?intérieur des cuisses puis, avançant la tête avec puissance, sa truffe vint se poser au beau milieu de ma chatte.

N?ayant jamais pratiqué ce genre de rapport, bien qu?ayant déjà visionné une cassette du genre qui m?avait d?ailleurs particulièrement émoustillée, je n?étais pas trop en confiance mais le caractère insolite de la situation ainsi que mon désir de jouir furent les plus forts. J?écartais donc à nouveau les jambes et m?avançait au bord de la chaise le plus possible, les fesses presque dans le vide.

Un frisson me parcourut toute entière lorsque je sentis la large langue râpeuse se posait sur mes muqueuses intimes et commençait à aller et venir. Simba me léchait de l?anus au clito, passant au milieu de mes lèvres écartelées, lapant ma mouille. Le plaisir qu?il me procurait était délicieux. Je m?imaginais à quatre pattes couverte par cet animal. Tachant de rester la plus discrète possible, je me laissais aller à la jouissance en serrant les dents pour ne pas gémir de bonheur.

Je vécus la fin du repas comme dans un rêve, répondant par onomatopées aux différentes réparties des convives.

Enfin, le dîner arriva à son terme, nous débarrassâmes la table et les grands parents appelèrent un taxi afin de se faire conduire à l?aéroport.

Je n?attendais qu?une chose, leur départ, afin de retrouver Fred et de lui apprendre l?amour. J?avais envie qu?il me prenne, de sentir ses mains sur ma peau, qu?il me triture les seins, bref qu?il me procure l?orgasme dont j?avais tant besoin après celui procurait par le chien.

Fred et Alain embrassèrent leurs grands-parents et partirent vers leurs chambres.

Dix longues minutes s?écoulèrent avant que nous entendions le taxi arriver et que mes hôtes s?en aillent.

Immédiatement, je me précipitais vers la chambre de Fred. Arrivée devant la porte entrouverte, je l?entendis parler.

Je restais près de la porte et tendis l?oreille. ? Je te dis que je lui ai touché la chatte, c?était tout gluant, c?est pas des conneries ? La voix d?Alain répondit ? T?es vraiment sur de ce que tu racontes parce que si c?est vrai on pourrait peut-être lui demander qu?elle se mette à poil devant nous ? ? ? Je sais pas si elle voudra mais en tous les cas j?ai tout vu sa chatte et c?était vraiment super. Ca change des revues. ?

Un gros problème se posait à moi car je m?étais mis dans la tête de dépuceler Fred mais pas de jouer la monitrice de colonie de vacances. En plus, Alain était vraiment jeune et je ne voulais pas de problèmes.

Si cela n?était pas possible, il me restait la solution de me branler.

Toutefois, mes seuls doigts me semblaient insuffisants à me remplir la chatte comme je le souhaitais. Cédant à une impulsion, je me dirigeais vers la cuisine et trouvait ce qu?il me fallait dans le frigo, à savoir un superbe concombre dont le diamètre et la longueur me semblaient correspondre tout à fait au but fixé, c?est à dire me remplir le vagin au maximum.

Empoignant le légume, je retournais vers ma chambre quand même un peu déçue par ce revirement de situation. Repassant devant la chambre de Fred et n?entendant plus de bruit, je poussais tout doucement la porte et là je n?en crus pas mes yeux. Allongés à poil sur le lit, les deux frères étaient en position de 69 et ils se suçaient le sexe avec une application digne d?éloges. Fred, qui était au dessus, avait la verge de son frère presque entière dans la bouche ce qui était un exploit. En effet, lorsqu?il se retira, je pus voir que, malgré son jeune âge, Alain avait été vraiment gâté par la nature. Il était monté comme un âne. Sa queue était véritablement énorme tant en longueur qu?en grosseur.

Celle de Fred, que j?entrevoyais en fonction des mouvements de la tête d?Alain semblait, par comparaison, beaucoup plus petite. Toutefois, elle était quand même d?une bonne longueur quoique beaucoup plus fine.

La vue de ce spectacle m?excita au plus haut point.

J?oubliais instantanément l?âge d?Alain pour ne penser qu?à ce magnifique membre. Il fallait absolument que je me fasse baiser par cet étalon, Fred pouvant quant à lui remplir mon second orifice.

Mais il ne fallait quand même pas que cela semble trop facile pour eux. Une petite peur et un peu d?attente leur ferait le plus grand bien et calmerait un peu leur ardeur car sinon j?avais peur qu?ils partent immédiatement.

Je poussais résolument la porte d?un coup et leur dit d?un ton sévère : ? Bande de petits dégueulasses, qu?est-ce que vous faites comme cochonneries? Je vais être obligée d?en parler à vos grands-parents ?

A mon apparition, ils s?étaient relevés d?un bond et se tenaient maintenant debout devant le lit les bras ballants. Leurs bites s?étaient recroquevillées et avaient perdu de leur superbe.

? Qu?est-ce qui vous prend de faire ça ? ? demandais-je d?un ton sévère.

? Ben, tu sais, c?est le fait de t?avoir touché tout à l?heure, ça m?a excité et comme j?en ai parlé à Alain, ça l?a excité aussi, alors voilà ? me dit Fred d?un ton penaud.

? Qu?est-ce que c?est que cette histoire de m?avoir touché? Et quoi d?abord? ?

? Ben, ta fente sous la table. C?était tout chaud et il y avait un liquide comme de la jute ?

Certes et il y en avait de plus en plus. Ma chatte était béante et coulait comme une fontaine.

En parlant de ce qu?il m?avait fait, Fred c?était à nouveau excité et sa queue reprenait de l?ampleur.

? Dis, tu voudrais pas nous montrer comment c?est fait une fille vraiment? ?

? Vous n?en n?avez jamais vu? ?

? Ben si mais dans des revues, c?est pas pareil ?

? Et tu crois que je vais dire oui? ?

? Oh s?il te plait, on dira rien à personne. C?est juste pour voir. ?

Alain ne perdait pas une miette de notre conversation et devait s?imaginer la suite des opérations. En effet, sa bite recommençait à gonfler et je voyais cette énorme queue reprendre doucement mais sûrement les dimensions impressionnantes que j?avais vues tout à l?heure.

?Vous me promettez de ne rien dire, même à vos copains??

?Promis?

?Bon, alors je vous montre juste mes seins. Asseyez-vous.?

Ils posèrent leurs ravissants derrières sur le lit et me fixèrent. Leurs regards étaient troubles et totalement chargés de désir.

Mes doigts s?approchèrent de ma veste et commencèrent à défaire les boutons un par un. Je la retirais et la laissais tomber par terre. Mon torse apparut, ma poitrine encore voilée par la dentelle diaphane de mon soutien-gorge.

Alain serra sa verge de sa main droite et commença à se branler. Chaque mouvement décalottait le gland turgescent. J?étais tellement ouverte qu?un cheval aurait pu me baiser sans que je sente rien.

Lançant mes mains derrière mon dos, je défis les attaches du soutien-gorge et le retirait. Je n?ai pas une très forte poitrine mais, par contre, la taille de mes tétons est toujours assez importante. A cet instant et compte tenu de l?excitation que je ressentais, ils avaient atteint la taille de mon petit doigt et me faisaient presque mal de bander autant.

Les deux enfants poussèrent un soupir à la vue de ce spectacle, Fred se branlant lui aussi.

Je m?approchais du lit et me penchait vers eux, mes seins à quelques centimètres de leurs visages.

?Allez, avant que je remballe la marchandise, je vous autorise à téter un petit peu?

Immédiatement et du même mouvement, leurs bouches vinrent se poser sur moi. Ils se mirent à sucer mes pointes, les excitant encore plus du bout de leurs langues. C?était vraiment délicieux et je crus atteindre l?orgasme rien qu?avec cette caresse.

Je me relevais, les seins mouillés de leur salive.

?Bon, voilà, vous avez eu ce que vous vouliez. Le spectacle est fini.?

?Oh non, s?il te plait, pas encore. Montre nous ton ventre.?

Je m?apprêtais à céder et à leur dévoiler ma chatte lorsque le chien entra dans la pièce. Peut-être était-ce l?odeur de la cyprine qui dégoulinait de ma vulve en feu, toujours est-il qu?il bandait et je pus constater avec ravissement que sa pine était aussi grosse que celle du gosse. Certes j?avais envie des deux puceaux mais l?expérience que je pourrais retirer d?un accouplement bestial était aussi très tentant. Et puis après tout j?avais tout le week-end pour tout faire.

Je dis donc à Fred ?Pas ce soir mais peut-être demain si vous êtes sages. Par contre, à voir vos bistouquettes toutes dures, je ne suis pas vache et je ne vais pas partir comme ça. Levez-vous?

Ils se dressèrent immédiatement, exhibant leurs queues gonflées.

La poitrine toujours à l?air, je m?assis sur le lit.

?Venez en face de moi. Plus près?

Ils s?avancèrent et je me retrouvais avec leurs glands à hauteur de mon visage.

Levant les mains, je vins empoigner leurs couilles à peine poilues. Quand mes doigts se posèrent sur leur peau, un profond soupir partit de leur poitrine. Mes doigts remontèrent et vinrent s?enrouler autour de leurs sexes durs comme des bouts de bois. Jetant un coup d?oeil sur le côté, je vis le chien qui s?était assis sur le derrière. Entre ses pattes arrières, sa bite tressautait, rouge et gonflée. Je devais m?occuper rapidement des deux jeunes afin de profiter pleinement de cet état d?excitation animale.

Je commençais à branler mes deux chérubins puis, les rapprochant encore de mon visage, mis leurs deux glands sur mes lèvres. Ma langue léchait leur peau satinée tandis que mes doigts serraient leurs verges.

Je me doutais que cela ne durerait pas très longtemps. En effet, au bout de quelques instants, je sentis leurs bites se tendre encore plus, annonçant l?arrivée imminente de leur plaisir.

Me reculant un peu, je dirigeais leurs glands vers ma poitrine et accélérait encore ma masturbation. Poussant un cri, ils jouirent quasiment en même temps, arrosant à foison mes seins de leur sperme tout chaud.

Je continuais à les branler encore un petit peu jusqu?à ce que je sente leurs sexes commencer à ramollir.

Je me levais alors, les seins dégoulinants de leur foutre et leur dit ? Maintenant que vous êtes calmés, vous allez dormir bien gentiment et on verra demain ce que l?on fait si vous êtes sages. Bonne nuit ?

Sur ces mots, je ramassais mon soutien-gorge et ma veste et, sortant de leur chambre, me baissait pour ramasser le concombre et me dirigeait vers la chambre que je devais occuper ce week-end. Je ne souhaitais qu?une chose, c?est que Simba me suive et ne veuille pas rester avec ses maîtres. Mais je pensais que l?état d?excitation dans lequel il était l?inciterait à venir vers moi.

Je ne m?étais pas trompée car j?entendis distinctement le bruit de ses pattes sur la moquette quelques pas derrière moi.

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