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Séverine – Chapitre 10




La douche est la bienvenue. Réparatrice et revigorante. La sensation de leau sur ma peau épilée est sensationnelle. Je me passe du savon partout et cest sur la queue que cette sensation est la plus forte, excitante. Jai une demi-molle. Bon, il faut que je me concentre. Je sors de la douche et rejoints Kate au bar. Je lui dis quelle peut lâcher le bar. Elle me remercie dun petit smack sur les lèvres. Caro ma vu revenir et vient me rejoindre.

— Alors ? Raconte ! demande Caro.

— Tu as de sacrées cochonnes comme clientes. Ouf, je me suis fait sucer comme jamais.

— Oui, et ce nest pas la pire. Je ten présenterai des plus folles. Au fait, tu as pensé à ce que je tavais dit lautre soir ?

— Lautre soir ?

— Au sujet des piercings pour Séverine !

— Ah, ça, non ; et puis cest à elle qui faut demander ça. Cest son corps.

— Elle nest pas ta soumise ?

— Absolument pas, elle est seulement la petite amie dont jai toujours rêvé. Elle aime le cul et elle veut juste apprendre à connaître ses limites.

— Donc, pas jaloux ?

— Non, non, enfin je ne crois pas. Du moment quelle prend du plaisir avec ses partenaires, je ny vois rien à redire.

— Et elle, pas jalouse ?

— Je ne crois pas, car vu ce que je viens de vivre, non.

— Ok, bon il est 03h30. Il faut tenir jusquà 06h00. Et au fait, Isa ta vu nu, épilé ?

— Oui, évidemment.

Caro fait sa boudeuse et me tourne le dos. Je me plaque contre elle et je lui susurre à loreille.

— Prends-moi dans tes bras et caresse-moi

Elle se retourne et se blottit contre mon torse, remontant ses mains dans mon dos, sous mon tee-shirt. Sa respiration est saccadée. Je prends une de ses mains, la glisse sur mon torse et la descends sur mon sexe mi-dur. La sensation de sa main chaude ne se fait pas attendre. Une érection franche et forte se fait ressentir. Elle me sourit en me branlant lentement. Je bande fort à men faire mal mais la caresse de Caro est si douce que je nose protester. Je lembrasse à pleine bouche et je sens Caro fondre dans mes bras.

— Tu te sens capable de baiser encore ce soir ?

— Jai un doute Jai peur de ne pas tenir la distance.

Caro fouille dans un petit tiroir du bar et me tend une boite de pilules en forme de losange.

— Cest du Cialis. Tu en prends deux et dici une demi-heure Tu banderas comme un étalon. Tinquiètes, cest sans danger. Je verrai à ta tête et à ton jean dès que cela aura fait effet. Ensuite on ira sisoler. Toi, Séverine et moi. Je préviens les filles que lon sabsentera en fin de soirée. A tout à lheure

Elle me lâche et disparait dans la foule des clients. Je prends donc deux pilules et range la boite. Je vaque à mes occupations. Isa est revenue. Toujours aussi provocante. Séverine nous passe commande comme si de rien était. Quant à Kate, elle ne peut sempêcher de sourire à chaque fois quelle vient au comptoir. Doucement une chaleur commence à menvahir. La figure me chauffe. Les commandes affluent. Je continue à servir mais je suis de plus en plus gêné au niveau de lentrejambes. Jai limpression que mon jean rétrécit. Je déboutonne mon jean. Ma bite est gonflée à son maximum. Je nen peux plus. Je préviens Isa que je mabsente. Une fois dans les toilettes, je baisse mon pantalon et là, stupeur, jai une gaule denfer avec un gland dune couleur que je ne lui connaissais pas. Dun rouge violacé et dune sensibilité terrible. Je le touche. Il est dune sensibilité phénoménale. Quand jentends frapper à la porte, jai du mal à remballer le matos. Jouvre la porte et un type dune soixantaine dannée me bouscule et rentre dans les WC. Jai du mal à marcher. Je retourne, tant bien que mal, derrière le bar.

— Jen connais deux qui vont avoir mal au cul e soir. Elles tattendent dans le bureau, allez files !

Cest sans attendre que je repasse devant les trois alcôves, les Glory holes et la chambre des tortures. Je frappe à la porte du bureau. Caro ouvre.

— Viens, entre. Alors ça fait effet ?

— Putain, je nai jamais eu une gaule aussi dure et gonflée

Caro sourit. Séverine arrive et entre également. Elle baisse les yeux et se mord les lèvres denvie en devinant ce qui se cache dans mon pantalon. Caro commence à me caresser à travers la fine toile de cuir. Je ferme les yeux. Que du bonheur.

— Mes chéris, on va sortir prendre ma voiture et aller dans un coin sympa. On pourra rester et gueuler tant que lon veut.

— Tu es folle. Je peux à peine marcher avec ce truc coincé dans mon pantalon

— Attends, je vais taider

Elle me dé-zippe et me sort le sexe. Elle nen revient pas. Mais pas le temps de tergiverser, Caro nous pousse hors du bureau, vers la sortie des employés. Elle prend le volant, Sév à côté delle et moi seul derrière.

— Dessape-toi. Tu ne crains rien, les vitres sont teintées.

Je mempresse dôter ce carcan de cuir qui memprisonne et libère une bite énorme et vaillante. Séverine est impressionnée. La douleur sestompe du fait quelle soit enfin à lair libre. Sév essaie de tendre une main mais je suis trop loin. Je me positionne donc à genoux entre la banquette arrière et les deux fauteuils avant. Doucement, elle me caresse le gland, joue avec mon frein. Ma bite tressaute.

— Sensible on diraitHihihi, ricane Sév.

Elle continue, frotte son doigt entre mon frein et mon urètre. Du liquide pré-séminal commence à sortir. Elle en récupère grâce à son ongle et le porte à sa bouche. Elle ferme les yeux en le dégustant. Caro roule lentement sur un petit chemin forestier qui débouche bientôt sur une petite clairière. On descend.

— Hervé tu te mets à poil et tu vas monter à quatre pattes là-bas, sur la petite table.

Effectivement, une petite table en pierre, style table dorientation, semblait attendre nos ébats amoureux. Je me mets donc nu et en position sur la table. Le vent me caressant les couilles me procure des sensations jusqualors inconnus. Les deux filles tournent autour de moi et admirent le tableau. Leur visage transpire. Caro déshabille Sév, qui limite. Elles sont nues. Elles me caressent de toutes parts, évitant ma verge, mes testicules et mon anus.

— Vois-tu Sév, on a là un beau spécimen détalon. Une bite digne dun acteur porno. Jaime voir lhomme convoité attendre dans cette position. Il faut que je tapprenne à attendre. Griffe-lui le dos, les fesses. Tu vois comment il réagit, il se cambre.

Il est vrai que les caresses des deux femmes me font réagir. Je me cambre et jécarte les genoux. Sév sapplique.

— Tu vois il se positionne pour que tu ailles plus loin dans tes caresses. Masse-lui légèrement lanus. Voilà, concentre-toi sur ses réactions.

Je nai quune envie, cest quelle vienne lécher mon petit trou. Cest ce quelle fait, sous les directives de Caro. Elle me lèche depuis le haut de fesses, puis descend entre mes fesses sur mon anus, puis sattaque au scrotum, sarrêtant avant les couilles. Jen frisonne. Après ce traitement, elles glissent lentement sur mes flancs pour atteindre ma queue.

— Il y a une zone très sensible entre la cuisse et le sexe. Passe ta langue, tu vas voir sa réaction.

Sév se contorsionne pour atteindre la zone. Instinctivement je soulève la jambe pour faciliter le passage à cette douce caresse. Caro doit avoir de lexpérience, car sous ses directives, Sév parvient à me faire vibrer. Je ne suis plus quun sextoy vivant. Je me laisse porter par une douce jouissance. Caro mène, Sév suit. Puis Caro se glisse sous moi, écarte les jambes, les resserre sur mes fesses et se suspend à mon corps. Ses bras menserrent les épaules. Elle demande à Séverine de venir me lécher, me gober les couilles. Puis dun coup de reins, elle senfiche sur mon chibre. Alors commence un mouvement de balancier, lent mais profond. Elle coulisse sur toute la longueur de ma bite. Elle varie la cadence. Langoureuse, féline, elle me plante les ongles dans les omoplates.

— Ah, oh, oui, hum, je te prends mon salaud, je te baise.

Elle part dans une transe jouissive. Je me cambre au maximum pour que la pénétration soit maximale. Je sens que Sév nest pas en reste. Elle me gobe les testicules lune après lautre. A ce rythme-là, je ne tiens pas longtemps et cest dans des spasmes violents que je me déverse dans le ventre de Caro.

— Oui, OUI, remplis-moi, fourre-moi ton foutre dans mon ventre, han, hum, putain vas-y vide-toi !

— Han, han, han, OUI, OUI, OUI

Les contractions de son vagin sur ma colonne de chair a pour effet de me vider. Je mécroule sur Isa. Sév vient nous embrasser. Cest un bal de langue qui se met en route. On se mange la bouche à tour de rôle. Lextase totale. Puis reprenant nos esprits, je me lève et le bruit de succion que fait ma queue en sortant du fourreau de ma partenaire est des plus obscènes. Séverine plonge vers mon entrejambe afin de nettoyer et de sabreuver du mélange de nos sécrétions.

— Tu te sens dattaque ?

— Honnêtement je suis vidé, mais je nai pas honoré Sév ?

— Ce nest pas grave mon ange, il faut que tu recharges tes deux jumelles. Je comprends mon cur, je taime !

— Je taime

Caro, fourbue, se rhabille. Elle est trempée de la tête aux cuisses. Nous devons rentrer au club. A notre arrivée, il ne reste plus que Kate et Isa. Elles rentrent ensemble, main dans la main et en rigolant comme des ados. Quant à nous, Caro nous invite à passer la nuit chez elle. Nous acceptons volontiers.

10h00, le lendemain. Cest fourbu que je fais mon apparition sur la terrasse. Je suis seul. Sév dort encore et Caro, certainement aussi. Jai toujours la gaule mais elle ne me fait plus mal. Je teste la température de leau de la piscine du bout du pied, je pique une tête. Je sors et me douche. Je vais à la cuisine et fais le kawa. Caro arrive par la terrasse en sueur. Elle est allée faire son footing.

— Alors beau gosse, toujours en forme à ce que je vois. Il y a une boîte de pilules sur le bar de la piscine. Tu en reprends une maintenant et une autre dans deux heures. Le programme est chargé. La puce dort encore ? Je vais prendre ma douche et ensuite je file cinq minutes en ville. A plus

Quelle santé. Bon restons calme, je me sers un café, ensuite bronzage intégral. Je minstalle au comptoir et aperçois la boîte de gélules. Sans me poser de questions, jen reprends une. Il est vrai que lérection obtenue hier était des plus impressionnantes. Puis je mallonge à lombre et je mendors.

Il est 11h00 quand Caro me réveille. Elle est accompagnée de Séverine. Elle a pris sa douche.

— Bon il faut que je parle en tête à tête avec Sév, on te laisse préparer le barbecue. Allez, viens ma chérie

Je repique une tête pour me réveiller et je vais allumer le feu. 11h30, elles reviennent en papotant de choses et dautres. Le repas se passe au comptoir, festif, comme toujours chez Caro, les apéros et le rosé coulent à flot. Baignade coquine mais sans plus. Caro sort se sécher, me montre la boite de pilules. Je lui fais signe de la main que tout est OK.

— Bon, Hervé, on te laisse, on va chez lesthéticienne se faire une beauté. Fais comme chez toi, on en a pour deux heures, voire trois. Allez, allons-nous faire belles. On est attendues.

Je reste un moment dans la piscine. Me vient lidée daller visiter la villa. Je rentre par la salle à manger, sur ma droite un salon et sa méga TV, à ma gauche la cuisine américaine de style provençal, Devant moi un long couloir. La pénombre et lodeur my attirent. A gauche la salle de bain avec baignoire à remous et douche à litalienne, un peu plus loin une chambre damis (où Sév et moi avons dormi cette nuit), un bureau, une seconde chambre damis et la chambre de la maîtresse de maison. Je pousse la porte. Tout est impeccablement rangé. Les volets entrebâillés et la fenêtre ouverte laissent passer une lumière dété. Je ninsiste pas et je vais dans la deuxième chambre. Elle dans le noir le plus complet. Je cherche à tâtons linterrupteur. Une fois éclairée, la chambre respire le sexe. Un vrai lupanar. Un immense matelas à eau au centre, des lumières dappoint de toutes les couleurs, miroir au plafond et sur deux des murs, des tableaux érotiques sur les deux autres. Une moquette rouge et épaisse pour parfaire la déco. Une grande armoire dont les portes sont cadenassées.

— Et bien, on ne doit pas sennuyer chez la Caro. Piu.

Je referme la salle est me redirige vers la terrasse. Je me fais un rhum arrangé et mallonge au soleil. Je repense sans cesse à cette pièce. Caro a encore bien des secrets à nous révéler.

17h00, Caro et Sév sont de retour. Elles sont radieuses, enjouées. Elles ont les bras chargés de sac.

— Tu nous sers un verre, on arrive.

Je mexécute. Deux ti-punchs bien tassés. A leur retour elles sont resplendissantes. Habillée dune robe rouge très légère, pour Caro, avec un décolleté des plus osés et un dos nu laissant apparaître le début de son sillon. Le tout serré par une ceinture au niveau de la taille. Quant à Sév, elle porte une robe jaune, bien plus courte que celle de son aînée. Le décolleté tout aussi ravageur mais le dos nu un peu plus sage, puisquil lui tombe dix centimètres plus haut. Sév sassoie à mes côtés, Caro passe derrière le bar.

— Jai une surprise pour toi, lance Sév ; jespère que cela va te plaire.

— Il vaut mieux car cest un peu trop tard pour faire machine arrière.

— Ah, et cest quoi ma surprise ?

Sév remonte sa robe délicatement en évitant de la froissr. Elle découvre ses cuisses, puis arrive à son sexe. Elle la fait, elle sest fait percer. Trois anneaux dorés. Deux sur les petites lèvres et un sur le fourreau de son clitoris. Ravissant.

— Elle les a bien choisis, ces anneaux lui vont à ravir. Normalement il y a une petite chaîne qui les relie mais cest un peu trop tôt pour la porter. Il y a un autre inconvénient.

— Oui, chéri Je suis navrée mais tu ne pourras pas passer par là pendant au moins trois semaines.

— Pas grave, il y a lentrée de derrièreHihihi !

Je ne peux détacher mes yeux du sexe de ma Sév. Pourquoi, pour qui a-t-elle fait ça ? Sûrement pour nous deux. Quimporte. Je la fais lever de son tabouret et regarde ses anneaux. Jen reste sans voix. Cela lui va à la perfection. Je la tire vers moi, lenlace et lembrasse.

— Merci Sév, Tu es magnifique !!!

Elle se retourne et vient sasseoir sur moi. Ma queue est placée entre ses fesses. La robe me gêne, elle lôte. Elle prend son verre et nous trinquons.

— A nous deux mon chéri.

— A toi mon amour.

— Ressers-nous, on a une longue soirée et tu vas être mis à contribution. Je ne voulais pas que Sév vienne au club ce soir mais elle a insisté. Elle sera derrière le bar avec toi. Allez les enfants, nous on est habillés, reste à trouver une tenue adaptée à létat de monsieur.

Il est vrai que le jean dhier soir ne serait pas le bienvenu. Caro memmène dans la salle damour de sa villa.

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