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Evolutions – Chapitre 57




ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 57 : Un pacte est scellé.

Pendant l’absence d’Alice, je termine de préparer la paëlla pour midi, et c’est alors que je suis en train de regarnir le barbecue de bois après l’avoir nettoyé, qu’elle revient avec les filles. Cette fois, j’ai reconnu le bruit du moteur de son Alpha-Roméo qui ne tarde pas à être suivi par ceux plus caractéristiques de leurs mules à talons en bois, sur le carrelage de la maison.

Elles se sont toutes les trois mises nues dans l’entrée, comme si c’était devenu une règle à laquelle elles n’ont pas le droit de déroger, alors que rien ne leur est imposé. C’est pourquoi leur attitude me plaît énormément, et je souris lorsque Léo et Léa viennent me dire bonjour, dès qu’elles ont traversé la pièce à vivre. Cette fois, la jumelle blonde n’a pas amené de dessert, car il a été convenu que c’est Charlène qui en apportera un.

La jumelle brune s’approche de moi la première, et elle passe ses bras autour de mon cou pour coller son corps juvénile au mien, et m’embrasser à pleine bouche, tandis que j’en profite pour peloter ses petites fesses rebondies. Ensuite, elle reprend son souffle, puis elle me dit de sa voix légèrement éraillée, et sur un ton légèrement ironique :

Bonjour Papounet.

Lorsque s’est séparée de moi, sa sur qui a attendu patiemment son tour s’approche elle aussi, et elle m’enlace de la même manière, avant de mélanger sa salive avec la mienne, tandis que je caresse son joli petit postérieur menu. Ensuite, elle me fait :

Bonjour Pa.

Cette nouvelle façon qu’elle a de m’appeler m’amuse, et je suis assez fier que mon sexe soit resté sagement au repos, même si j’ai mis un tablier pour cuisiner, et que par conséquent elles ne se seraient aperçues de rien si j’avais eu un début d’érection.

₪₪₪

Alice qui nous a observés avec un petit sourire aux lèvres m’annonce ensuite avec une pointe de regrets dans la voix :

C’est vraiment dommage que tu doives cuisiner pour midi, mon Amour. Car les filles ont accepté de venir m’aider à nettoyer ton vieux tacot.

Il est vrai que mon petit bout de femme n’a pas lavé de voiture ce matin, alors que suite au pari qu’elle a perdu, c’est ce qui était convenu. Cependant, je n’y avais pas attaché d’importance, étant donné que les deux que je possède sont relativement propres, vu que l’Alpina sort rarement de son garage, et que la Challenger ne me sert que pour aller travailler, ou plus rarement faire des courses.

Par conséquent, l’idée que mes belles-filles aillent nettoyer la première me provoque des sentiments assez contradictoires, parce que si j’aimerais beaucoup voir ça, j’ai également peur que les voir s’activer complètement nues me provoque une érection. Et ma compagne qui a parfaitement compris et même anticipé mon dilemme veut je pense m’éviter de me sentir mal à l’aise. À moins qu’une fois de plus, elle me provoque, dans le but de faire évoluer ma relation avec les jumelles.

Ce qui est certain, c’est qu’elle est en train de me laisser l’occasion de me dérober, bien qu’elle ait je pense parfaitement compris que j’ai fini de tout préparer, et qu’avant de commencer la cuisson, il me faudra attendre qu’il y ait des braises dans le barbecue, alors que dans ce dernier, je n’ai pas encore fait de feu.

Décidant d’assumer, je lui réponds :

Il est encore un peu tôt pour cuire la paëlla, par conséquent, je vais venir contrôler que vous faites ça correctement.

Tandis qu’elle me fait un sourire que je trouve légèrement ironique, je demande sur le ton le plus innocent que je puisse avoir, bien que je sois émoustillé à l’idée de pouvoir assister au spectacle, qu’elles vont toutes les trois donner :

Est-ce que j’aurai le droit de prendre des photos, pour immortaliser le moment où mes belles-filles vont laver pour la première fois une de mes voitures ?

₪₪₪

En m’entendant dire cela, Alice sourit cette fois de toutes ses dents, Léo pour sa part ne semble attacher aucune importance au fait que je la prenne en train d’effectuer une corvée sans aucun vêtement, mais Léa devient immédiatement écarlate. C’est pourquoi je m’adresse directement à elle, pour ajouter :

Si vraiment ça te gêne mon Bébé, je n’en ferai pas.

Elle me répond en hésitant légèrement, et toujours aussi rouge :

Non… Pa… Pa. Man nous a parlé de son blog nudiste… et A et moi, on est d’accord pour être dessus. En plus… je crois que c’est mieux pour après… parce qu’être à poil en photos… ça m’aidera à l’être aussi devant des gens que je connais pas.

Je trouve la jumelle blonde assez volontaire malgré son caractère timoré, c’est pourquoi je lui fais un sourire encourageant tout en caressant doucement sa joue, ce qui ne m’empêche pas de remarquer le regard de triomphe qu’est en train de me lancer mon petit bout de femme. Cette dernière sait en effet qu’elle a à présent pratiquement remporté son pari, puisque le plus dur pour elle a été d’en parler à ses filles, et d’avoir leur approbation. Par conséquent, il se pourrait bien que ce soit moi qui doive la prochaine fois laver sa voiture, tandis qu’elle me prendra tranquillement en photos.

Cependant, je ne suis pas amer, et j’ai hâte de voir ce blog sur lequel apparaîtront ma compagne et ses filles. Mais en attendant, je mets le feu au tas de bois qui est dans le barbecue, puis je vais dans la cuisine pour y enlever mon tablier, avant de les accompagner sur le devant de la maison, en emportant avec moi mon Canon.

Je sors ma vieille BMW du garage, alors que Léo ne résiste pas à l’envie de venir poser ses fesses nues, sur le cuir du siège passager. Je lui souris lorsqu’elle monte dans la voiture, et encore plus lorsqu’elle me dit :

Je me sens vraiment cochonne, avec cette vieille peau toute douce qui me caresse le cul.

J’hésite une fraction de seconde, avant de lui répondre :

C’est sûrement ce que doit penser aussi ta maman, lorsqu’elle retrousse ses jupons pour en faire autant.

La jumelle brune éclate aussitôt de rire, et lorsqu’elle ressort du véhicule après que je l’aie avancée pour qu’il se retrouve dehors, étant donné que sa fille est toujours aussi gaie, ma compagne me regarde intriguée, avant de me demander :

Tu lui as dit quoi, pour la mettre dans cet état ?

Je décide de rester mystérieux, en lui répondant :

Puisque vous n’avez plus de secrets l’une pour l’autre, tu n’auras qu’à lui demander.

₪₪₪

Ensuite et contrairement aux fois précédentes, ce sont les filles qui s’occupent de préparer le matériel, comme si elles avaient fait ça toute leur vie. Tandis que la brune déroule le tuyau la blonde va prendre le seau, et j’ai la surprise de voir Alice aller chercher dans l’angle de la maison, deux autres seaux identiques dans lesquels se trouvent deux éponges naturelles, semblables à celle qu’elle a déjà utilisée.

Amusé, je lui dis :

Visiblement, tu avais prémédité ton coup.

Oui et non, mon Amour. J’ai fait cet achat dans la perspective que tu vas devoir toi aussi laver mon Alpha, et j’ai décidé de doubler la mise juste au cas où…

Je suis quand même surpris que ces seaux ne soient pas en bois.

J’y ai pensé figures-toi, mais ce genre d’articles n’est pas facile à trouver dans un supermarché. De plus, même si l’idée symbolique d’en posséder un ne me déplaisait pas, je trouve qu’il serait dommage de l’abîmer en mettant de l’eau dedans, qui plus est si elle est mélangée à de la lessive.

Je trouve sa remarque pleine de bon sens, c’est pourquoi je me contente d’y répondre par un sourire, et j’allume mon appareil photo en même temps que Léa ouvre l’arrivée d’eau, alors que sa sur est en train de tenir le tuyau d’arrosage.

Les deux filles, en constatant que leur maman a gardé ses mules à talons en bois aux pieds, font comme elle ; et je commence à prendre des clichés de la jumelle brune, tandis qu’elle remplit les seaux dans lesquels mon amante ajoute ensuite de la lessive. Puis Léo mouille ma voiture en l’aspergeant, et elle fait ça le plus consciencieusement du monde, en tournant autour du véhicule pour ne négliger aucun de ses côtés. Si au début, j’ai un peu peur qu’elle me prenne pour cible, elle ne semble pas y songer un seul instant, ou alors c’est tout simplement parce qu’elle n’ose pas.

₪₪₪

Voir le magnifique corps juvénile de Léo éclaboussé par l’eau froide qui rebondit sur la carrosserie, et lui donne la chair de poule, commence à me faire de l’effet. Cependant, je décide d’assumer et de ne pas me dérober, même si je vois du coin de l’il que Léa qui attend en restant immobile rougit en constatant que mon sexe a commencé à prendre du volume. Alice qui pour sa part se tient en retrait, mais bouge à chaque fois que je me déplace pour ne pas être dans le champ de l’appareil, affiche son petit air satisfait comme si tout se passait on ne peut plus normalement, ou en tout cas comme elle l’avait prévu.

La jumelle blonde coupe l’arrivée d’eau lorsqu’elle estime que la voiture est suffisamment mouillée, et sa sur qui semble d’accord avec elle se penche en avant pour poser le tuyau au sol. Ensuite la maman prend l’un des seaux, bientôt imitée par ses deux filles, et elles se mettent toutes les trois avec les éponges, à frotter doucement ma voiture de collection, avec un sérieux qui ne manque pas de me plaire. Mais ce qui me contente le plus, c’est de voir leur corps bouger et leurs seins se balancer en rythme. Bien évidemment cela se produit en respectant les proportions des volumes de ces derniers, puisque si ceux de mon petit bout de femme s’agitent, ceux de Léa semblent gonflés à l’hélium tant ils ont l’air de vouloir résister aux effets de l’apesanteur, alors que ceux de Léo se balancent, avec autant de légèreté que sa grâce juvénile.

Cela ajouté au fait qu’elles ne tardent pas à se mettre accroupies en écartant les cuisses, qui pour frotter un bas de caisse qui pour astiquer une jante, et je ne tarde pas à avoir une érection qui bien entendu n’échappe à aucune des trois, mais leur provoque des réactions différentes.

₪₪₪

En effet, la maman continue à laver ma voiture comme si de rien n’était, en affichant toujours son petit sourire qui m’indique que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Sa fille brune quant à elle devient plus joyeuse, comme si elle était heureuse et même fière de m’avoir inspiré ce genre de réaction. Quant à sa sur, elle devient de la même teinte qu’une pivoine, ce qui ne l’empêche pas de fixer mon sexe de temps à autre, sans oser lever la tête pour regarder plus haut.

Moi je ne me dégonfle pas, ni dans un sens ni dans l’autre, puisque je me contente de décalotter mon gland dans un geste qui se veut naturel, tout en continuant à prendre mes trois laveuses de voitures en photos. Le comportement de Léa me montre qu’elle n’est pas choquée, mais juste intimidée, et sa curiosité qui attire ses yeux comme un aimant vers mon membre à présent bien raide, a le mérite de l’habituer peu à peu à sa vision, ce qui permet à son magnifique visage, de retrouver lentement une teinte normale.

Cette situation a tout de même quelque chose de surréaliste, puisque je suis en train de tourner autour de ma voiture tout en faisant des clichés de mes modèles, avec le bout de mon sexe qui me précède. Cependant, elles ont l’air d’apprécier ce moment tout autant que moi, puisque logiquement la partie lessivage de l’Alpina, aurait dû durer trois fois moins de temps que lorsque Alice est seule. Elles semblent au contraire vouloir la prolonger, alors que mon vieux tacot comme l’appelle mon petit bout de femme est parfaitement propre, puisque je ne m’en suis pas servi depuis la dernière fois qu’elle l’a lavé. Cela m’indique clairement qu’elles apprécient toutes les trois de me faire cette petite exhibition privée, puisqu’elles n’ont apparemment aucune hâte de la terminer.

₪₪₪

C’est finalement Léo qui se décide, puisqu’après s’être relevée, elle va poser son seau au coin du garage, et elle se dirige vers le robinet qui est scellé dans un des murs de ce dernier. Léa qui a compris ce que sa sur a l’intention de faire pose son seau à côté du sien, et elle attrape le tuyau pour le diriger vers la voiture. Alice qui ne s’est rendu compte de rien parce qu’elle est de l’autre côté continue à frotter, et elle pousse un cri aigu lorsqu’elle se retrouve aspergée d’eau froide.

Les deux filles éclatent alors de rire, et étant donné que je les entends pour la première fois manifester ensemble leur joie de cette manière, je constate que les sons qui sortent de leurs bouches sont tout autant différents que leurs physiques. Celui de la blonde est en effet pur et cristallin, alors que celui de la brune est aussi éraillé que sa voix, cependant il a son charme, et n’a rien à envier à celui de sa sur. Bien entendu, je me joins à elles de bon cur, et lorsque leur maman se remet debout, elle me lance un regard outré comme si j’étais responsable de ce qui vient de se produire, ce qui redouble notre hilarité à ses filles et moi.

Ensuite, la jumelle blonde se met à rincer la voiture avec beaucoup plus de sérieux, tandis que je la prends à nouveau en photos, ce qui n’a pas l’air de la déranger puisqu’elle me regarde de temps en temps en souriant, et même mon membre toujours dressé ne la fait plus rougir.

Lorsqu’elle a terminé, elles rangent toutes les trois le matériel, après avoir vidé les seaux dans le caniveau, ce qui me donne l’occasion de faire une nouvelle série de clichés.

₪₪₪

Ensuite, Alice me dit :

Pour te punir de t’être moqué de moi, je devrais te laisser te débrouiller tout seul avec ton infirmité, mon Nounours.

Bien entendu, elle parle de mon érection, et je me défends :

Mais moi je n’y suis pour rien, si tu as été mouillée.

Puis j’ajoute sur un ton espiègle :

En plus, je pensais que tu avais un plan pour me soulager de mon infirmité, comme tu l’appelles.

Lequel ?

Comme par exemple, me sucer à l’ombre de la terrasse.

Bien évidemment, les jumelles nous écoutent, et si Léo paraît enchanté par cette idée, Léa redevient aussitôt écarlate, ce qui ne l’empêche pas de fixer mon sexe toujours raide, sans que je puisse deviner ce qu’elle est en train de penser.

Mon petit bout de femme qui a elle aussi rougi, mais plus légèrement, décide pourtant d’assumer ce qu’elle a sans aucun doute prémédité, puisqu’elle me répond :

Tu poseras ton appareil-photo en passant par la pièce à vivre, pendant que nous, on va faire le tour pour ne pas salir la maison.

Puis elle se dirige vers le côté de la villa, aussitôt suivie par ses filles. Je les regarde disparaître, enfin surtout leurs magnifiques derrières qui se déhanchent au rythme de leurs pas, puis j’entre dans la villa pour aller les retrouver sur la terrasse.

Une fois que j’y suis, je m’assieds dans une des chaises longues, et j’attends patiemment après avoir écarté les jambes, le sexe toujours au garde-à-vous. Ma compagne maintenant qu’il est temps de passer à l’acte semble nettement plus hésitante, cependant je ne fais rien pour la brusquer, me contentant de placer mes mains sur ma nuque, en attendant qu’elle se décide. Elle pourrait à ce moment-là reculer et ne rien faire, ce qui n’aurait rien de dramatique, même si ses filles seraient probablement déçues.

₪₪₪

C’est probablement le même cheminement de pensée qui incite Alice à endosser la responsabilité qu’elle a décidé de prendre, puisqu’elle vient de mettre à genoux face à moi, tandis que Léo installe une chaise perpendiculairement à la mienne, pour ne rien manquer de l’exhibition. Léa en regardant faire sa sur l’imite en allant se placer face à elle, et en s’empourprant à nouveau. Je rabats alors les accoudoirs de mon propre siège, de manière qu’ils ne leur gâchent pas la vue, tandis que leur maman se penche sur moi, pour commencer à lécher mon gland.

Mon petit bout de femme s’applique ensuite à passer sa langue sur toute la surface de mon sexe, tandis que je me délecte de la situation. Une fois son premier moment de gêne passé, elle a retrouvé toute son assurance, puisqu’elle tourne la tête vers chacune de ses filles après s’être redressée, et elle leur demande en tenant fermement mon sexe dans sa main, de manière qu’il reste bien droit :

Vous voulez essayer, mes Chéries ?

À ce moment-là, un délicieux frisson me parcourt l’échine, car si je m’attendais à une simple exhibition de sa part, pas une seule seconde je n’ai pensé qu’elle avait l’intention de faire participer les jumelles. C’est la brune qui réagit la première, puisqu’elle vient aussitôt se mettre à genoux perpendiculairement à sa maman, mais elle aussi en face de mon sexe, tandis que la blonde me regarde toujours aussi rouge, comme si elle attendait d’avoir ma permission.

C’est je pourquoi lui dis, en essayant d’être aussi doux que possible :

C’est comme tu veux mon Bébé. Tu peux te contenter de regarder ou alors participer, et que tu me donnes du plaisir avec ta bouche ou pas ne changera rien à l’amour que j’ai pour toi dans mon cur.

Cette affirmation de ma part a l’air de lui faire plaisir, malgré la gêne qu’elle est en train de ressentir, puisqu’elle me donne droit à un sourire timide de sa part, et lentement elle se lève pour venir s’agenouiller, en face de sa sur.

₪₪₪

Alice lâche alors mon sexe qui reprend en angle plus naturel par rapport au reste de mon corps, mais pas bien longtemps puisque Léo l’attrape à son tour, ce qui me provoque un nouveau frisson de pur plaisir. Elle donne ensuite sans hésiter un grand coup de langue sur mon gland, tandis que sa maman la regarde opérer amusée, et que sa sur en fait autant avec envie. La jumelle brune s’exclame, dès qu’elle a terminé :

C’est super bon !!

Avant de se mettre à lécher mon sexe sur toute sa surface, comme elle a vu sa préceptrice incestueuse le faire un peu plus tôt. Elle semble se régaler, ce qui ne l’empêche pas de relever la tête vers sa jumelle, et de lui demander :

Tu veux goûter, A ?

Léa me regarde encore une fois, et alors que je l’encourage d’un sourire, elle s’enhardit à faire comme sa sur, sous le regard attendri de celle qui les a mises au monde le même jour.

Ensuite, le même processus se reproduit, puisque ma compagne donne l’exemple en prenant mon gland dans sa bouche, tout en le cajolant avec sa langue pendant plusieurs minutes. Une fois qu’elle l’a ressorti, elle explique à ses filles ce qu’elles n’ont pas pu voir, et elles s’appliquent à faire comme leur maman, la brune en premier et la blonde juste après.

Bien entendu, cette première fellation ne va pas sans quelques dérapages, car toutes à leur excitation, les filles font frotter leurs petites dents blanches sur ma peau hyper-sensible, à cet endroit de mon anatomie, bien que leur professeure leur ait expliqué qu’elles doivent faire très attention, de ne pas me blesser. Mais ces petites douleurs loin de me gêner, augmentent mon excitation de me faire sucer par des pucelles encore novices.

₪₪₪

Lorsque les deux jumelles ont chacune leur tour sucé mon gland en le caressant avec leurs langues, leur maman le reprend en bouche pour le pomper pendant encore plusieurs minutes. Puis elle le ressort en expliquant à ses apprenties ce qu’elle vient de faire, et ces dernières s’appliquent ensuite à l’imiter. C’est tellement délicieux, qu’alors que Léa qui vient toujours la dernière est en train de m’aspirer depuis environ trente secondes, je préviens Alice :

Je ne vais pas pouvoir me retenir encore bien longtemps, ma petite Poupée.

Mon amante écarte alors doucement la tête de sa fille, qui semble visiblement déçue d’être interrompue dans son action, puis elle plie ma queue de manière à en diriger la fente dans sa direction, et elle se met à me branler énergiquement. Mon sperme ne tarde pas à jaillir, sous les regards très intéressés des jumelles, pour venir s’écraser par saccades sur la lourde poitrine de leur maman.

Une fois que je me suis vidé, cette dernière se penche sur moi pour venir récolter la dernière goutte de liquide, qui est restée accrochée à mon méat, puis elle se redresse et elle demande à ses petites :

Vous avez envie de goûter le foutre de votre joli papa, mes petites cochonnes Chéries ?

Cette fois encore, c’est Léo qui réagit la première, et elle va donner un coup de langue pour laper ma semence directement au sein maternel, ce qu’elle n’a pas dû faire depuis bien longtemps. Cependant, elle n’a pas l’air d’en apprécier vraiment le goût puisqu’elle fait aussitôt une grimace, et son enseignante lui dit :

Ne te force pas, ma Puce. Comme moi, tu t’y habitueras peu à peu, et si ce n’est pas le cas, ce ne sera pas un drame, car il y a d’autres options que les sucer, pour faire gicler le jus des hommes.

₪₪₪

La jumelle brune lèche encore deux fois mon sperme avant d’arrêter, et la surprise vient de sa sur, puisquau premier coup de langue, elle prend un air gourmand, et elle se met à laper tout le liquide gluant sans en laisser perdre la moindre goutte. Je remarque au passage que l’acte incestueux qu’elle est en train de commettre n’a pas l’air de la perturber le moins du monde, puisqu’elle va jusqu’à prendre goulûment les tétons de sa maman dans sa bouche pour les sucer, tandis que cette dernière lui caresse affectueusement la tête.

Léo pendant ce temps regarde faire sa jumelle légèrement perplexe, mais sans sembler éprouver la moindre jalousie, ce qui me rassure sur la tournure que risque de prendre notre relation par la suite.

Lorsque Léa a terminé, je constate qu’Alice semble regretter que ça n’ait pas duré plus longtemps, et ses tétons sont à présent dressés et doivent être bien durs, ce qui m’amuse énormément. Cependant, je ne tarde pas à reporter mon attention sur sa fille blonde, qui cette fois encore me regarde en semblant demander mon approbation. C’est pourquoi je me redresse pour venir lui caresser tendrement la joue, et je lui parle avec douceur :

C’est très bien mon Bébé. Tu te souviens de ce que je t’ai dit, au sujet de la différence entre le plaisir sexuel et l’amour que tu portes aux gens que tu aimes ?

Oui Pa.

Eh bien, dis-toi qu’ils ne sont pas incompatibles, et que tu peux parfaitement aimer quelqu’un d’un amour très pur, tout en lui donnant de la jouissance comme tu viens de le faire avec moi. Bien évidemment, c’est une morale qui nous est propre parce que la majorité des gens ne pensent pas comme nous. Mais à partir du moment où nous restons discrets, nous ne dérangeons personne. Tu comprends ?

Oui Pa.

Alors bienvenue dans notre clan, mon Bébé d’amour.

Pour sceller ce pacte je me penche vers elle, et nous mélangeons nos salives en faisant tourner nos langues l’une autour de l’autre, alors que la sienne est encore chargée du goût de mon sperme.

À suivre…

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