A l’occasion de mes quarante ans, mon mari me fit le plus beau des cadeaux d’anniversaire.

Comme beaucoup de femmes de mon âge mariés depuis un certain temps, les relations sexuelles ne sont plus aussi intenses malgré les efforts de Pierre. Je lui avais parlé d’un de mes fantasmes : avoir deux hommes dans mon lit si possible antillais. L’année dernière, nous avions découvert l’échangisme et l’amour au féminin avec un couple d’amis originaires de Martinique lui François grand mince jeune 35 ans discret sympathique et beau garçon. Et dans nos ébats je lui avais fait part de mon envie d’un trio avec lui en fantasmant sur son endurance, la taille de son sexe capable de satisfaire la femme la plus exigeante.

Pierre me téléphona pour m’annoncer une surprise que je devais prendre une douche et enfiler une robe sexy nous étions l’été et les enfants absents. La porte sonne et quelle ne fut pas ma surprise de découvrir mon mari accompagne de François tenant une bouteille de champagne : il est la habillé d’un short et d’une chemisette laissant deviner son corps musclé. Je suis là au pied du mur ce qui n’est qu’un fantasme allait devenir réalité. Je suis à la fois sur la défensive et excitée par cette situation. Les deux hommes rient d’une manière complice. Ils me servent la première coupe je porte une robe bleu s enlevant avec facilité sans soutien gorge mais avec une culotte légère.

Tandis que Pierre s’active dans la cuisine, François pose sa main sur mon genou puis la glisse sur ma cuisse pour atteindre l’élastique de ma petite culotte, l’autre main se pose sur mon ventre. Je sens la chaleur envahir mon entrejambe complètement tétanisée, je ferme les yeux sans rien faire tant ses mains sont douces. François retire ses mains quand les pas de Pierre retentissent dans le couloir. Celui ci invite François découvrir un logiciel sur le pc. Il descend pour m’embrasser glisse sa main sur ma robe pour découvrir mon sexe détrempé.

— ’François te fait de l’effet, bon anniversaire.’

Pierre invite notre ami à se mettre à table. Je suis là à leur portée. Pendant le repas, je sens leurs mains douces. Leurs caresses et trois coupes de champagne gomment mes dernières réticences. Me sentant à point, Pierre ferme les volets puis mes deux hommes me portent sur la banquette. Mon mari enlève les boutons de ma robe un à un, laissant apparaître mes seins généreux à la pointe déjà durcie. François fait glisser ma culotte le long de mes jambes ils commencent a mes caresser la poitrine, je sens leurs quatre mains sur moi ainsi que la langue de François qui titille la pointe de mes seins. Une bosse plus que prometteuse commence à déformer son short et je sens le sexe de Pierre durcir à travers son pantalon François interrompt un instant ses caresses pour enlever la plupart de ses habits à l’exception de son slip. Ils vont rejoindre mon string dans un coin de la pièce. Je sens maintenant l’odeur de son corps sa peau contre la mienne.

Ma main commence à redécouvrir son sexe à travers l’étoffe, il m’attire contre lui pour m’embrasser fougueusement. Pierre en profite pour l’enlever lui aussi, pour se mettre à l’aise. Ma robe légère rejoint les autres vêtements. Je suis là, nue, calée contre Pierre qui m’embrasse me caresse face à mon bel étalon. Il commence lui aussi à me caresser. Ses mains s’attardent sur mes seins puis descendent et se glissent dans mon intimité quel spectacle les mains de mon mari, mon clitoris dressé, les doigts de François tout englués de ma liqueur intime, son sexe long et dur à travers son string. Sa langue caresse mes seins soutenus par les mains de Pierre. Sa bouche abandonne ma poitrine pour venir goûter mon sexe. Sa langue agile titille mon clitoris puis s’insinue dans mon vagin. Je pose mes mains sur son crâne pendant qu il s’active. Je me cambre sous un premier orgasme solidement maintenue par mes deux partenaires. François se redresse.

N’y tenant plus je descends son string pour saisir le fruit défendu, mon cadeau d’anniversaire. Il est dressé devant moi long raide. Je commence à caresser ce long pieu de chair, bien plus long que celui de Pierre et de mes amants précédents. Mon mari me murmure.

— ’Bon anniversaire’

Quel délicieux supplice car François glisse son sexe sur mon clitoris et sur mes lèvres détrempées sans me pénétrer l’excitation monte à son comble. Je saisis le sexe de François. Ma main ne parvient pas à l’entourer complètement. N’y tenant plus je pousse son gland à l’entrée de ma grotte. Il commence à me posséder. Je suis assise entre les jambes de mon mari son sexe dressé contre mes fesses. je sens le va et vient de François.

A chaque poussée il va plus loin dans mon intimité puis vient le moment où son gland se fraye maintenant son chemin là où seul lui peut aller. Il me remplit complètement. Pierre commence à me mordiller une oreille cela me rend folle et il le sait. il invite François à me mordiller l’autre .ils sont diaboliques.

— ’Vous allez me rendre folle’

— ’On est là pour ça’

Leurs quatre mains continuent de me caresser. François a achevé de me pénétrer. Comme l’année dernière, je n’ai été aussi bien remplie par un homme. Son mouvement d’abord lent s’accélère. Je sens l’orgasme arriver.

— ’Va plus fort ! Elle va jouir !’

En effet un orgasme violent me submerge. Mon vagin se contracte sporadiquement mais les coups de rein de François continue de plus belle, de plus en plus vite et seconde vague me submerge à nouveau.

— ’Ca te plait avec François ?’

— ’Oui il est si gros et si long !’

— ’Tu en veux encore ?’

— ’Oui mais encore plus vite et plus fort !’

François est vraiment infatigable. Moi la sage mère de famille je suis transformée en femelle en chaleur. Je pose mes mains sur ses jolis fesses musclée pour mieux sentir son mouvement. J’oublie Pierre et entoure mes jambes autour de son corps. Son sexe luisant de cyprine sort presque complètement de moi pour rentrer à nouveau jusqu’au fond de mes entrailles. François a relevé mes jambes sur ses épaules. La pénétration est encore plus profonde et son gland vient heurter ma matrice

— ’Oh c’est bon ! Continue ! Oui ! Oui ! Plus fort !’

L’orgasme violent arrive. Je crie mon plaisir François s’assoie sur la banquette. je viens m’empaler dos à lui ses mains d’ébène contrastent avec ma peau claire. Je peux admirer son sexe luisant de mouille. Son gland qui sort presque puis mon corps qui à nouveau glisse sur son pieu jusqu’à toucher ses testicules. Mon clitoris dressé. Mes mains s’attardent sur ses bourses engluées de liqueur puis sur sa verge qui coulisse entres mes lèvres intimes. Il me rempli tout mon vagin. Sa main vient me caresser le bouton .je ferme les yeux pour mieux savourer cet instant

— ’J’ai envie d’être sur toi’

Je me dégage. François s’allonge sur le tapis devant le canapé je l’enjambe et m’empale sur son sexe qu’il tient dressé entre ses mains. Maintenant c’est moi qui donne le rythme, je lui fais l’amour le chevauchant avec délice. Mon bassin monte puis descend sur son mandrin. quel délice d’aller et venir sur cet longue tige de chair je le sens remplir complément mon vagin. Je me soulève, une main sur nos sexes puis je m’empale à nouveau complètement jusqu’à la garde, son gland cogne contre mon utérus. Pierre est assis devant nous l’autre main saisit son sexe. je lui souris d’un air canaille tout en le masturbant doucement le sentant sur le point de craquer j’abandonne mes caresses. Il m’embrasse tendrement puis j’embrasse François frottant mes seins avec délice sur son poitrail musclé.

Ses mains posées sur mes fesses accompagnent le mouvement de mon corps allant et venant sur son sexe. Tout en restant empalée je pivote lui tournant le dos je vois mon corps onduler sur son pieu d’ébène ses mains posées sur ma peau claire. Son gland excite mon point G et je jouis à nouveau en me cambrant en arrière

— ’Et une levrette ça te dit ?’

Sur ces mots je me mets à quatre pattes et tend ma croupe. – Viens ! Prends-moi bien à fond comme l’année dernière ! François s’approche et fourre son pieu d’ébène au plus profond de moi et continue à me faire l’amour devant Pierre se caresse

— ’Oh oui continue ! C’est bon !’

Je sens ses mains sur moi ; ses testicules qui me heurtent, son mandrin qui me remplit complètement et cogne contre mon utérus ; mes seins à la pointe durcie ballottent rapidement. J’entends le bruit cadencé, ma respiration haletante, Pierre qui encourage François.

— ’Vas-y François prends la bien !’

— ’Et toi tu es heureuse et comblée ?’

— ’Oh oui ! Merci ! Merci ! Il va bien jusqu’au fond !’

Je vais au devant du sexe de François puis il me saisit et me besogne avec violence avec une vigueur inouie, le plaisir en est presque douloureux. je joui spour la cinquième fois. François se vide avec un cri rauque. un torrent de semence m’inonde le vagin en jets puissants. il se dégage Pierre très excité me pénètre et se répand en quelques coups de rein. Je jouis à nouveau lorsque leurs deux jus se mélangent au fond de moi

— ’Ca t’a plu ?’

— ’A votre avis ?’

— ’Heureusement que les voisins étaient absents car tu n’étais pas discrète !’

— ’Avec un tel régime peu de femmes résisteraient’

— ’Moi je suis prête à recommencer – Laisse-nous récupérer !’

Je prends un sexe dans chaque main. François commence déjà à durcir. Sous mes caresses son pieu grandit et s’allonge. Pierre retrouve aussi sa vigueur je les attire contre moi ; ils commencent à me caresser habilement. je sens leurs sexes se frotter contre moi. Très complice, ils usent de leurs mains et de leurs langues. Pierre effectue un délicieux cunnilingus pendant que François caresse le haut de mon corps s’attardant sur mes seins, mes oreilles. Une main se glisse vers mon sexe, l’autre caresse mon dos. Pierre continue à me fouiller tandis que ses mains remontent vers mes seins.

Ma main saisit le sexe de François dont je caresse le prépuce puis ils échangent leur place. François après m’avoir fait jouir avec sa langue s’attarde sur mes mollets et mes pieds puis ils me pénètrent tour à tour, laissant la place à l’autre quand ils sentent la sève monter. L’un me pénètre tandis que l’autre me caresse. Je ferme les yeux et m’abandonne complètement tellement c’est bon. Parfois n’y tenant plus ils se vident en moi .

La banquette mise à plat favorise toutes les combinaisons possibles. Complices imaginatifs ,devenus infatigables, ils se surpassent. Caressée, léchée, embrassée , fouillée ,pénétrée, besognée, remplie par leurs quatre mains leurs deux langues leurs deux sexes, leurs deux semences je vis une nuit inoubliable jalonnée de plusieurs orgasmes Une envie folle me traverse l’esprit :

— ’Je vous veux tous les deux dans ma chatte’

— ’Tu es sure de ne pas avoir mal ?’

— ’Non j’en ai envie. Regardez ! Je suis complètement ouverte’

— ’Tes désirs sont des ordres’

Pierre s’assoit sur le bord de la banquette je m’empale sur son sexe en lui tournant le dos il m’embrasse le dos caresse mon clitoris puis introduit un puis eux puis trois doigts dans mon vagin. François s’agenouille face à moi, Pierre enlève ses doigts. Le sexe d’ébène s’approche. Excitée et trempée, je saisis cette tige de chair caresse mon clitoris avec le gland et puis glisse ce second sexe en moi. Je pose mes mains sur les fesses musclées. Ils m’embrassent me caressent. Quelle découverte ! C’est divin de sentir deux sexes en soi !. Nous les femmes nous avons ce privilège : faire l’amour avec deux hommes.

Ils commencent leurs va et vient d’abord lentement puis le mouvement s’accélère ils me mordillent chacun une oreille l’orgasme arrive violent irradiant dans tout mon corps. mes mains descendent vers mon entrejambe. Mes doigts entourent l’un et l’autre des sexes me pistonnant englués de ma liqueur intime, jouent avec leurs testicules à travers les bourses, s’attarde sur mes lèvres clapotantes et mon bouton dressé.

— ’Arrête tu vas nous faire craquer maintenant et nous voulons encore te faire jouir encore plus fort’

— ’Oh non ne craquez pas maintenant c’est trop bon’

Pierre s’allonge je me renverse en arrière les seins dressées. les deux hommes s’activent en accordant leurs mouvements je sens leur testicules me heurter tour a tour, le mouvement alternatif de leurs deux queues dans mon fourreau dilaté, les mains de mon mari fermement appliquées sur mes reins.

Prise en sandwich, remplie comme jamais le plaisir est encore plus violent je jouis à nouveau en hurlant mon plaisir, mon vagin se contracte sporadiquement mes ongles s’plantent dans le dos de François qui s’active vigoureusement. Je perds un peu la notion du temps. Je voudrais que cela ne cesse jamais. Perdant toute mesure, je supplie presque :

— ’Continuez c’est bon oh oui ! encore ! encore ! plus vite ! oh oui ! comme ça ! continuez je vous sens bien tous les deux !vous me rendez folle ! Je n ai jamais joui comme ça ! Oh oui François cogne bien au fond !’

— ’Tu n’en as jamais assez ! Ca te plait ?’

— ’Oh oui j’aime bien sentir vos deux bittes surtout toi François quand elle cogne au fond !’

— ’Alors tiens ! tiens ! tu la sens bien ?’

— ’Oh oui ! plus vite ! encore ! encore !continuez ! continuez ! que c est bon deux queues je vais encore jouir !’

Ils accélèrent puis changent. Je m’empale sur François pendant que Pierre me besogne lui aussi avec force. N’en pouvant plus de m’entendre gémir de plaisir Ils me préviennent

— ’On va craquer !’

— 3Non continuez ! encore ! encore !’

— ’Non on en peut plus !’

ça y est ! Nous jouissons tous les trois en même temps. Mon vagin se contracte et enserre leurs deux sexes. Ils m’inondent de leurs jets puissant, l’éjaculation de François sur ma matrice déclenche un orgasme inouï, mon corps se cambre le plaisir irradie dans tout mon être en vagues successives. Je ne peux plus rien faire et je hurle ma jouissance en labourant inconsciemment le dos de mon mari avec mes ongles.

Epuisés, ils s’écroulent. Leurs deux corps serrés contre moi, leurs c?urs battent la chamade, ils reprennent leur souffle Pierre se dégage. Allongée sur François, couverte de sueur, je sens son sexe se rétracter en moi ; le gland glissant lentement vers l’entrée de mon vagin. Puis je me dégage à mon tour un peu étonnée de sentir mon vagin vide et si ouvert de ne plus sentir leur queues. Je pose une jambe sur chacun d’eux, avant de m’endormir les doigts dans mon sexe un peu douloureux béant d’où s’écoulent sperme, liqueurs intimes mélangés. Je suis moi aussi épuisée par tous ces orgasmes mais je ne me suis jamais sentie aussi femme, aussi heureuse, aussi comblée…

A midi le soleil me réveille à travers les volets. Doucement je me dégage de l’étreinte de mes partenaires. Le téléphone sonne c’est Christine la femme de François enceinte de 8 mois

— ’Bon anniversaire ! C’était comment ?’

— ’Extraordinaire nous avons peu dormi ils se sont surpassés je n’ai jamais joui autant A cette pensée mes doigts libres se glissent vers mon sexe déjà humide…’

— ’Mon médecin nous a déconseillé les relations sexuelles. François est au régime depuis un mois’

— ’A je comprends sa vigueur et la façon dont il m’a remplie et fait l’amour’

— ’Moi aussi je voudrait bien découvrir le triolisme avec deux hommes’

— ’Repose toi bien ton tour viendra et tu verras.’

Toute femme devrai vivre cela une fois dans sa vie A ce moment ils approchent et je sens leurs mains se poser sur moi

— ’Je te laisse au revoir’

L’avion de François décolle a 22 heures et il n’est que midi……nous avons un peu de temps devant nous….

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