C’était la fin de l’été. Les journées étaient encore chaudes et, comme j’en avais l’habitude, je m’étais allongée au soleil dans notre jardin. Celui-ci était entouré de petits immeubles à courte distance mais j’avoue que çà ne m’a jamais gênée que l’on puisse me regarder pendant que je me faisais dorer au soleil.

Ce jour-là, je portais un tailleur rouge composé d’une veste et d’une jupe très courte et, des-sous, un simple ensemble composé d’un soutien-gorge et d’un slip façon brésilien très découpé sur les hanches. J’enlevai la veste et la jupe et m’installai sur une chaise longue. J’avais pris un livre érotique et très vite je me suis sentie excitée. Insensiblement, j’ai d’abord commencé à me caresser les seins dont les bouts étaient durcis et pointaient sous le soutien-gorge. Puis j’ai en-levé celui-ci pour mieux les caresser. Mais çà ne m’a pas suffi et mes mains ont glissé vers mon slip et j’ai commencé à me caresser la chatte, d’abord par-dessus le slip puis en glissant mes doigts en-dessous du fin tissu. Je mouillais et j’ai baissé mon slip sur mes cuisses pour pouvoir mieux me caresser. J’étais bien et de savoir que, peut-être, quelqu’un derrière sa fenêtre me regardait, m’excitait encore plus. J’ai senti l’orgasme monter et je me suis alors mise à jouir sans retenue. Puis, enfin rassasiée, j’ai continué ma sieste, nue.

Deux jours plus tard, en rentrant de quelques courses en ville, je trouvai une grosse enveloppe dans la boîte aux lettres. Je l’ouvris et, avec stupéfaction, me découvris nue sur une dizaine de photos. Toutes étaient très suggestives et certaines montraient clairement à quel jeu je me li-vrais. Un mot était joint me menaçant d’afficher ces photos dans le quartier si je n’acceptais pas d’en payer le prix. Il m’était donné rendez-vous pour l’après-midi même au dernier étage d’un parking souterrain. Le papier du maître-chanteur précisait que je devais venir seule et habillée du même tailleur rouge qu’il y avait deux jours.

Après beaucoup d’hésitations, je me décidai à me rendre à ce rendez-vous afin de payer le maître-chanteur et de ne plus entendre parler de ces photos. Je ne tenais évidemment pas à me voir placardée dans tout le quartier.

A l’heure prévue, je me présentai au parking souterrain. Je rejoignis le dernier étage. Il n’y avait que quelques voitures stationnées là et je ne voyais aucun mouvement. Je m’arrêtai dans une place de parking et attendis, installée au volant, la vitre ouverte en raison de la chaleur.

Après quelques instants, je sentis une présence à côté de moi. Un homme était debout à côté de ma portière. Je sursautai.

— Allons, n’ayez pas peur. Vous venez pour les photos, c’est çà ?

— Oui, quel est votre prix ? Finissons-en vite, voulez-vous ?

— Ce n’est pas de l’argent que je veux. C’est vous.

— Quoi ? Mais çà ne va pas. Je suis mariée et je ne trompe pas mon mari.

— Depuis le temps que je vous vois nue au soleil, j’ai envie de vous. Tous les soirs je me branle en pensant à vous. Maintenant je vous veux en vrai.

— Non, pas çà. Je vous paierai votre prix mais laissez-moi tranquille.

— Non. C’est çà mon prix et c’est à prendre ou à laisser. Alors, quelle est votre réponse ? Dé-pêchez-vous ou je diffuse ces photos.

Et il sortit un nouveau paquet de photos de moi. Alors, je craquai et fis oui de la tête.

— D’accord, je serai à vous mais juste une fois. Ensuite vous promettez de me rendre toutes mes photos ?

— Promis. Alors, ouvrez votre portière et sortez de la voiture en ouvrant bien les cuisses.

— Quoi ? Ici ?

— Oui.

Alors, j’ouvris la porte de la voiture et glissai une jambe au-dehors. Ce mouvement dévoila largement le slip noir que je portais en-dessous.

— Arrêtez-vous et ouvrez votre veste.

Je restai dans la position où j’étais, jambes écartées, jupe remontée sur mes cuisses et défis un à un les boutons de ma veste puis je l’ouvris dévoilant un soutien-gorge, noir également.

— Baisse ton soutien-gorge sous tes seins que je voie bien si tu es excitée.

Je le fis alors glisser sous ma poitrine. J’étais, c’est vrai, excitée par la situation et malgré moi, les bouts de mes seins étaient déjà durcis.

Le jeune homme se plaça alors entre la portière ouverte et ma cuisse gauche.

— Sors ma queue et suce-là.

J’agrippai la fermeture-éclair de son jean et la fit glisser. Puis je dégrafai sa ceinture et ouvrit son pantalon. Sa queue tendait son slip et lorsque je baissai celui-ci, sa bite jaillit à l’horizontale. Elle se trouvait en face de ma bouche et vint heurter mes lèvres. J’ouvris la bou-che et commençai à faire courir ma langue sur son gland. Mais il m’agrippa la tête et m’obligea à la prendre en entier dans la bouche. Elle était grosse et vint buter au fond de mon palais. Alors je me mis à le sucer du mieux possible, pensant que s’il jouissait là dans ma bouche, il s’en irait sans doute après. Mais, alors que je le sentais près d’exploser, il me maintint la tête et son foutre jaillit au fond de ma gorge. Il me tenait fermement et je déglutis pour tout avaler. Puis il sortit sa queue de ma bouche et m’ordonna de la nettoyer avec ma langue, ce que je fis.

— Est-ce que je peux avoir mes photos maintenant ?, lui demandais-je, en réajustant mon sou-tien-gorge.

— Oui, tiens les voilà, répondit-il en me tendant une enveloppe. Mais j’en ai d’autres chez moi. Si tu veux, on va les chercher maintenant.

— D’accord.

— Attends. D’abord, tu vas enlever ton slip.

— Comment ? Vous ne croyez pas que çà suffit ?

— Non, je t’offre de pouvoir jouer les exhibitionnistes. C’est bien ce que tu aimes, non ?

Je ne répondis rien et descendis mon slip. Il s’en empara et l’enfouit dans une poche.

— Maintenant, enlève ton soutien-gorge et arrange-toi pour qu’on voie bien tes seins dans l’échancrure de ta veste.

Je m’exécutai aussi, puis il me fit m’installer derrière le volant en remontant ma jupe de telle sorte qu’elle dévoile ma chatte.

Il s’installa près de moi et nous quittâmes le parking. A la sortie, au moment de payer, je m’aperçus que le gardien, de sa place, ne devait perdre aucune miette du spectacle que je lui offrais. Je me mis à rougir et démarrai en trombe dès que la barrière fut levée.

Il m’indiqua la route et je dus traverser, ainsi offerte, tout le centre-ville. Je suis certaine que nombre de piétons durent avoir des vues imprenables sur mes seins, mes cuisses ou même ma chatte.

A un moment, sur les boulevards, arrêtés à un feu, un motard s’arrêta à notre hauteur. De suite, son regard se porta vers moi. Je ne pouvais pas voir derrière sa visière fumée, mais ma-nifestement, il trouvait le spectacle à son goût. Lorsque le feu passa vert, il s’arrangea pour rester à ma hauteur. Au feu suivant, le motard était toujours là à côté de moi. Mon maître-chanteur me mit une main sur les cuisses, la remonta jusqu’à ma chatte et se mit à me caresser. Le motard regardait toujours. Je commençai à mouiller de plus belle. Puis nous repartîmes et au feu suivant il n’était plus là.

Nous arrivâmes bientôt à destination. Il habitait bien dans un des petits immeubles qui entou-rent notre maison. Il me fit monter dans l’ascenseur et se colla derrière moi, ses mains me pe-lotant les fesses et les seins. Je sentais sa bite durcie contre mes fesses.

A peine arrivés chez lui, il me courba contre la table de la salle à manger. Il ouvrit grand ma veste et je sentis le froid du verre contre mes seins. Il releva ma jupe et, sans attendre, me pé-nétra. Il avait retrouvé toute sa vigueur et ses assauts puissants eurent vite fait de me faire jouir. Il me traitait de salope et ce langage m’excitait. Bientôt, alors que j’avais un deuxième orgasme, il se mit à jouir et m’inonda à nouveau de son foutre.

Après quelques instants, je repris mes esprits et réclamai mes photos. Il me montra un paquet sur la commode. Je m’en emparai, réajustai ma tenue et quittai l’appartement. Il ne fit rien pour me retenir.

J’espère que peu de mes relations ont pu me voir cette après-midi là. Mais je repense encore au motard qui m’a vu jouir sans que je sache qui il était.

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