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Le dernier train – Chapitre 1




 

Nous sommes bientôt à la fin du printemps et aujourd’hui ma petite salope, nous nous retrouvons directement à la Gare Montparnasse pour nous diriger vers la banlieue où j’habite .Nous nous roulons un mégapalot en guise de salutations ! J’ai déjà un début d’érection !

Il est très tard, 1h du mat vient de sonner et le dernier train a destination de Versailles va partir.

Nous montons dans le dernier wagon en bout de quai, il est pratiquement désert, nous nous installons sur la 1ere banquette en tête du compartiment l’un à côté de l’autre dans le sens de la marche, seule une personne est présente sur la banquette à l’opposé du wagon.

Je te fais des bisous dans le cou, te lèche l’oreille, te mordille le lobe puis t’embrasse sauvagement la bouche, nos langues et nos salives se mélangent fougueusement.

Sur le quai la sonnerie retentit, les portes se ferment, le TER s’ébranle…

Pendant ce langoureux baiser ma main droite remonte sur ton jean puis sur ton mohair sous ta veste de cuir marron, délicatement je te caresse la poitrine au travers le pull, ma main redescend, tire le textile et vient se glisser dessous, remonte au niveau des seins, joue avec ta mamelons et te pince lentement les têtons…puis je remonte d’un coup le pull, livrant ainsi ta poitrine à la lumière du wagon, tu te retournes pour voir si on nous regarde mais la personne au fond à l’air absorbé par sa lecture ! Je te titille puis te mordille les seins

Ton souffle se ralentit, tandis que mes mains descendent de niveau, cette fois pour s’attaquer à ton jean, j’ouvre le 1er bouton puis le 2e, le 3e, . . . tu me laisses faire, le dernier bouton vient de céder, dévoilant une petite culotte à la dentelle fine très aérée où je devine ton pubis glabre. Je te masse d’abord le sexe au travers puis passe la main sous ta culotte rouge, l’index et le majeur arrivent au sommet de ta vulve, je sens ton clitoris déjà humide et pendant que mon index s’en occupe le majeur s’enfonce un peu plus bas…

Tu rapproches la tête de mon cou et émets quelques petits feulements chauds au sein de mon pavillon auriculaire. J’essaie d’écarter un peu plus la culotte et finalement je tire d’un coup sec et déchire le tissu, le haut de ton sexe est maintenant apparent, j’ai plus de liberté et peut mieux accéder à ta grotte bouillonnante et y introduire 2 doigts puis 3 et bientôt presque toute la main….tu es trempée, tu souffles et soupires de plus en plus tandis que le train commence à ralentir à l’approche d’une gare! Ma main fait des va-et-vient tout en formant des spirales et en accélerant un peu plus à chaque tour un peu plus profondément, je passe mon autre main dans ton dos, la descends par l’arrière de ton jean et en forçant un peu j’atteins ton trou du cul où j’arrive à enfoncer mon majeur….tu mords mon col de chemise et serre d’un coup les cuisses et émet un fort grognement au même moment les portes du wagon s’entrouvrent pour laisser passer un grand black qui s’installe derrière nous mais en nous tournant le dos et l’autre personne présente dans le wagon, elle, disparait sur le quai

Je retire doucement la main de ta chatte baveuse et l’amène à tes lèvres, tu lèches et suce mes doigts avec avidité…pendant que je t’enfile toujours le cul avec maintenant 2 doigts, je les retire et te les propose également, tu ne te dérobes pas et avales mes phalanges avec appétit ! 

Tu rabas ton pull sur le haut de ton jean que tu refermes légèrement…tu t’aperçois très vite que mon pantalon est déformé, que ma braguette est prête à craquer …Tu ne résistes pas et tandis que le train repart, tu déboucles ma ceinture tout en jetant un oeil furtif au nouvel arrivé juste derrière.

Tu dézippes la fermeture tout doucement, une bosse de tissu gris apparait, tu souris, te penches vers mon bas ventre. Des 2 mains tu écartes la braguette caresses le coton gris du caleçon, ta main gauche longe ce tube imposant, tu tires le tissu et dégage enfin mon membre qui se dresse d’un coup et vient toucher ton menton.

Tu ouvres la bouche et embrasses ma bite fièrement érigée, tu englobes juste le gland et de la langue en fait le tour, te retires, lèches le méat offert, la bite opine du chef en réponse…ta main gauche avec mon aide s’enfonce un peu plus sous ma pine pour atteindre mieux les couilles, ta main droite saisit le manche et tu te laisses aller au délice du pompage tout en finesse et douceur pour commencer mais n’y tenant plus avec fougue et allégresse enfin!…

Quel bonheur, je ferme les yeux, caresse tes cheveux, tu augmentes le rythme . . .je t’attrape la cuisse et me tiens maintenant fermement au siège en râlant légèrement la tête en arrière, tu m’infliges la même punition en enfonçant ton majeur dans l’anus, ma jouissance atteint son paroxysme et vient s’écraser au fond de ta gorge, je décharge et sens de longs jets de sperme qui giclent au fond de ta bouche, cela ne t’arrête pas et tu continues d’aspirer ma queue, tu te délectes du breuvage, mais

quelque chose vient …de bouger autour de nous, nous avions oublié où nous étions et comme toi je rouvre les yeux et sur la banquette face à nous est assis le grand black!!!! . . . et oh surprise il est en train de se masturber gaillardement en nous matant!!!! 

Il a une grosse et grande queue qui fait une bonne vingtaine de centimètres !

Je reste un peu coi et bouche bée mais toi ma bonne petite salope , du sperme coulant encore sur ton menton, tu regardes ce noir bien membré et se paluchant, et d’ailleurs celui-ci s’astique le manche de plus en plus, alors tu glisses à genoux sur le sol du wagon et n’écoutant que ton courage ou plutôt ton désir tu te déplaces vers l’inconnu qui ralentit son mouvement mais sans l’arrêter…ta main s’approche de la sienne et petit à petit vient la remplacer et c’est au tour du black de fermer les yeux…

Je contemple ce spectacle et ne dis rien… tu branles avec ardeur cette belle barre d’ébène et sent l’excitation t’envahir un peu plus, tu as encore dans et autour de la bouche le goût de mon foutre et tu as une furieuse envie de mélanger les saveurs, de te remplir le gosier de ces goûts différents, tu te décides et enfournes le braquemard turgescent, le large gland te touche le fond de la gorge, sa bite est vraiment dure comme du marbre mais beaucoup plus chaud, tu le pompes vraiment de plus en plus fort et de ta main gauche tu viens farfouiller dans l’humidité de ta chatte noyée par l’extrême excitation….Je viens t’aider et t’enfile aussi 2 doigts dans le cul, je t’entends grogner de plaisir. 

Notre nouveau compagnon’ te tient bien la tête sur sa queue, tu la suces, la lèches, tu lui écartes plus les jambes et lui malaxes ces 2 grosses couilles brunâtres « ah qu’est-ce que tu es bonne toi dis-donc ! » exprime notre ami

J’avoue que la situation m’as redonné du cur à l’ouvrage et comme il y a encore quelques minutes avant le prochaine arrêt :

« Lève donc ton cul salope ! » te dis-je ce que tu fais de bonne grâce tout en continuant ton ouvrage, je baisse un peu plus ton jean et libère ainsi l’entrée de ton cul que je viens te lécher goulument, je te re-doigte à fond avec 3 doigts puis t’enfile mon pieu qui a retrouvé sa bonne tailleje t’encule à fond tandis que tu pompes gaillardement notre associé qui lui te pince un sein d’une main et en se penchant te tripote la chatte et le clito. Tu t’arrêtes d’un coup pour respirer et crier ton bonheur puis tu dis :

« ça peux être encore mieux les gars ! » et se faisant, tout en me gardant dans ton cul , tu retires vite ton jean, le black a compris ce que tu voulais faire, il se laisse un peu glisser en avant, toi trainée tu t’approches au dessus de lui,je te file un préservatif sorti rapidement de ma poche de veste, tu diriges bien son gros bambou et très vite lui enfile le condom avec la bouche telle une experte et nous nous rapprochons embrochés ensemble et il s’enfourne en toi direct et moi-même je sens au travers la cloison anale cet énorme membre qui te pénètre la fente dégoulinantenous essayons d’alterner nos mouvements et je sens bientôt les saccades de son pylône qui décharge des rasades de foutre au fond de ta chatte ainsi éclatée, tu hurles un strident « OOOOOUUUUUUUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!! »

et je décharge à mon tour « bon sang, le pied !!!! ».

Le train commence à ralentir, je me retire une coulée blanche et beige accompagne mon mouvement, tu te relèves doucement et l’énorme pine noire et molle à présent glisse de ta fente, tu attrapes le preservatif rempli et débordant, dégoulinant pour le vider dans ta main, le humer et le laper tandis que dans un gargouillis le sexe d’ébène retombe entre les cuisses de son heureux’ propriétaire, du foutre épais coule un peu le long de tes jambes, tu remets ton jean et notre partenaire d’un soir est déjà refroqué et prêt à sortir, il nous salue d’un geste de la main et sans demander son reste disparaît dans la nuit

Tu rééquilibres’ tes vêtements, m’embrasses de la pointe des lèvres, me fais lécher les restes du sperme odorant sur ta main et nous partons bras dessus, bras dessous sur le quai.et ce n’est que le début du week-end, ça promet ma charmante garce !!!!! 

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