Natacha bénéficiait de l’usage d’un petit bungalow que les parents avaient fait construire dans le jardin de la maison. Pascal, son petit frère de tout juste 16 ans, savait qu’un jour, quand sa grande soeur aura quitté le foyer familial, ce serait à son tour d’avoir son propre espace.
Ce jour là, Natacha recevait trois de ses copines au bungalow. Pascal s’ennuyait, et prit la décision d’aller s’incruster auprès d’elles.
Il ignorait quelle conversation il interrompait, mais Nathalie, la plus mignonne des amies de sa soeur, lui demanda, de but en blanc:
? Et toi, Pascal, tu es puceau?
? Heu…. Oui.
? Encore? A ton âge? ?
Pascal n’avait encore que 16 ans, mais tous les jeunes garçons de son âge, et visiblement, toutes les copines de sa grande soeur, avaient déjà connus les joies du sexe.
En pouffant de rire, Nathalie échangea un regard avec Angélique, Virginie et Natacha.
? Est ce que ça te dirait si une d’entre nous te dépucellerait? ?
Le jeune homme rougit. Nathalie l’attirait énormément. Elle était brune, assez poilue, et sa peau pâle contrastait avec ses poils très sombres. Aussi s’empressa-t-il de répondre:
? Oh oui! ?
Natacha interrogea ses amies du regard puis demanda:
? Bon, les filles, qui s’en charge?
? On n’a qu’à tirer au sort! ?, répondit Nathalie d’un ton malicieux ?
Puis elle se pencha à l’oreille d’Angélique pour lui murmurer quelque chose, avant que cette dernière ne retransmettre à Natacha. La grande soeur pouffa, fit non de la tête.
? Mais si, encouragea Angélique! Tu en as envie, non? ?
Convaincue par ces mystères, Natacha hocha la tête. Une à une, les trois copines prirent un bout de papier et un crayon, et remplirent l’urne avec un petit bout de papier chacune.
? Tu dois mettre ton nom aussi Natacha! ? suggéra Nathalie.
Pascal et Natacha réagirent tous les deux! Ils étaient frère et soeur tout de même. Mais Pascal avait trop envie de sexe, avec Nathalie, Angélique voire Virginie. Après tout, il n’y avait qu’une chance sur 4 pour tomber sur sa soeur.
C’est avec nervosité qu’il plongea la main dans l’urne improvisée. Il eut un court moment l’impression que le nom serait: ? Nathalie ?. Mais en relisant mieux, il lut ? Natacha ?. Cette dernière haussa les épaules, et dit, simplement, le plus naturellement du monde:
? Bon, ben, je vais devoir m’y coller ?
Pascal était rouge de honte, croyait presque à une blague. Mais l’excitation avait déjà commencé à le troubler. Il eut un moment la pensée que, au moins, ils le feraient devant les copines de sa soeur et que cela dégénérerait en partouze. Qu’après, il aurait Nathalie et les autres.
Il eut un mouvement, commençant à baisser son bermuda. Mais Natacha l’interrompit:
? Ah non, pas maintenant! Pas ici! ?
La déception se lut sur le visage de Pascal.
? T’inquiètes! On le fera. Demain après-midi, pendant la sieste des parents…
? Mais… Vous, les filles, vous serez pas là pour voir ça!?
? T’inquiètes! Ta soeur nous racontera…. ?
Pascal eut l’impression de ne pas débander jusqu’au lendemain après midi. Dès qu’il était en présence de sa soeur, il ne pouvait s’empêcher de s’imaginer ce qui l’attendait, malgré la présence de son petit frère ou de ses parents. Enfin, l’heure vint.
Le petit frère courut vers le bungalow et toqua à la baie vitrée. Sa soeur était déjà prête, une serviette à la main.
? On va pas le faire ici, on va aller dans la forêt. ?
Il y avait en effet une forêt, près de chez eux. Et une partie de cette forêt n’était accessible qu’avec un peu d’acrobatie, et on n’y trouvait donc aucun promeneur. En dehors de leur famille, seuls les administrateurs du domaine forestier y venait, lors de visites occasionnelles de contrôle. Ils y seraient tranquilles, sauf s’il prenait envie au petit frère de venir se promener là.
Une fois arrivés dans la clairière dans laquelle ils avaient chacun construit leurs cabanes, Natacha installa par terre sa serviette. Elle enleva ses chaussures et demanda à son frère d’en faire autant.
? Maintenant, déshabille moi! ?, ordonna-t-elle.
Bandant comme jamais il n’avait bandé, le jeune homme s’exécuta, tout en caressant sa soeur partout où ses mains passaient, et en l’embrassant dans le cou.
? Déshabille toi devant moi… En dansant ?
Son petit frère n’était pas un canon, mais Natacha sentait monter l’envie. Il ne dansait pas comme un chippendale, mais cela n’empêchait pas sa chatte de s’ouvrir, de se mouiller. D’autant que Pascal, son propre petit frère, bandait à fond une fois nu. Doucement, Natacha s’allongea sur la serviette.
? Suce mes orteils ?
Pascal était obéissant, et il y avait quelque chose d’excitant dans le fait de lui donner des ordres. Lentement, elle le guida par ordres successifs la langue jeune de son petit frère jusqu’à ses cuisses, puis enfin jusqu’à sa vulve. Le frère et la soeur étaient aussi excité l’un que l’autre.
? Lèche tous mes poils, à grands coups de langue ?
L’odeur forte de la chatte de sa soeur souleva un moment le coeur de Pascal. Une odeur puissante, mêlée d’urine. Mais quand Natacha ordonna à son frère de lui lécher la vulve, il n’hésita pas un seul instant et jouit presque de ce premier véritable contact avec une chatte. La chatte de sa propre soeur.
Natacha guida en même temps les mains de son frère sur ses seins, et insista pour que son frère la lèche jusqu’à ce qu’elle ait jouit. Au moins une première fois. Elle en profita même pour lui ordonner de lui lèche l’espace entre sa chatte et son cul, ordre auquel Pascal obéit docilement.
Son orgasme fut fulgurant. A tel point qu’ils craignirent un moment avoir attiré l’attention avec ses cris.
? Maintenant, lèche moi le nombril… Bien, les seins maintenant… ?
Quand la langue de son frère arriva contre la sienne, sa bite bandée caressait son clito. Elle s’en saisit, et vit jouer le gland sur son petit bouton, puis finit par se planter la queue de son frère dans la chatte.
Elle ne cessait de faire balader la bouche de son frère d’un sein à l’autre, et dans sa bouche, dans son cou. Elle eut, cinq minutes plus tard, un nouvel orgasme. Pascal, lui, avait jouit, mais sans éjaculer. Trop nerveux sans doute.
? Une prochaine fois. ?, se promit-elle en pensant à l’urne improvisée, qui, bien sûr, ne contenait que quatre fois le même prénom: ? Natacha. ?
