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Souvenir d'une enfance heureuse tome2 – Chapitre 1




Souvenir dune enfance heureuse partie 2

Quelques temps ont passé mais enfin je vais retourner sur mon île bretonne où tout à commencé.

Chapitre1

Ce jour là, dans la voiture de ma mère, je sentais mon cur battre la chamade. Enfin, jallais retourner sur lîle où ma vie à basculé dans le voyeurisme.

Nous voilà deux ans plus tard, à laube de mes seize ans. Lété précédent, nous navions point pris de vacances à cause du décès précipité de mon père des suites dun problème vasculaire.

Mais, cette année là pour me faire plaisir et ce malgré le deuil, ma mère a bien voulu que nous retournions sur ce lieu cher à mon cur. Cependant pour ne pas être trop triste, elle avait proposé à son amie Murielle de nous accompagner.

Jétais devenu un jeune homme. Comme je faisais beaucoup de sport, mon corps avait évolué. Jétais plus grand et plus musclé. Mon sexe aussi avait pris en taille et le duvet avait laissé place à de vrais poils bien noirs. Jétais fière de mes 18cm de long et 6 de diamètre.

Mon attirance pour les femmes navait pas changé. Jaimais toujours autant les regarder, les observer. Jétais passé expert dans lespionnage des moments intimes. Les week-ends, je traînais dans les galeries marchandes pour mâter les cabines dessayages. Les vestiaires et les toilettes des filles de la piscine municipale faisaient aussi partie des mes terrains de chasse privilégié. Enfin, habitant dans une résidence pavillonnaire, javais pris lhabitude de me promener le soir et de regarder discrètement par les fenêtres des maisons voisines, les familles dans leurs chambres, jardins, salles de bains.

Comme tout adolescent, je me masturbais très souvent et jaimais ça. Je métais constitué une belle collection de revues et de films pornographiques. Mais jaimais aussi me caresser lorsque jespionnais chez les gens.

Malheureusement, ma passion me rendait quelque peu introverti. Je navais pas beaucoup de copain et encore moins de copine. Je suis quand même sorti quatre mois avec une camarade de classe, mais lorsque je lui avait demandé daller un peu plus loin que des bisous, elle mavait traité de pervers et mavait quitté. Aussi, je me réfugiais dans mes souvenirs de ma tante et dans mes ouvrages spécialisés.

Mais revenons à nos moutons.

Nous voilà arrivé à destinations. Les premiers jours, comme à mon habitudes je lorgnais sur les criques et plages à la recherche de femmes en maillot de bains voir plus. Munis de mes jumelles, jai vite retrouvé mes lieux dobservations, et je dois avouer que ce que je voyais me comblait parfaitement.

Beaucoup de femmes pratiquaient le monokini. Jaimais ces dames de lâge de ma mère fières de leurs corps et qui nhésitaient pas à le montrer. Ils y en avait pour tout les goûts : des grosses, des grandes, des fines, des blondes, des brunes, des avec des petits seins, dautres avec dopulentes poitrines, des gros cul et des petits fessiers bien rebondis. Jétais aux anges, je bandais et me masturbais plusieurs fois par jour.

Cet été là, malgré ma timidité, je passais pas mal de temps avec Gwenaëlle. Tout comme moi, elle venait ici depuis sa plus tendre enfance. Cétait une bretonne pure souche. Plus jeune que moi de quelques mois, elle était plutôt petite et bien en chaire. Rousse, les cheveux frisés mi-long et avec des tâches de rousseurs sur tout le corps, elle avait du charme. Le beurre salé et les crêpes lui avaient fourni des hanches généreuses et un petit ventre. Mais, ce que jappréciais chez elle cétait sa grosse poitrine et sa gentillesse.

Dans son regard dun bleu azur, je remarquais régulièrement quelle avait le béguin pour moi. Il marrivais souvent den profiter. Et lair de rien entre nous sétait installé un petit jeu érotique et sensuel.

Elle me montrait souvent sa poitrine lorsquon était à la plage. Je navais quà demander et elle retirait son haut sans gène. A ce moment là, elle me dévoilait des seins dune symétrie parfaite et bien tenus. Ils étaient gros et bien rond avec des tétons dun rose clair qui se confondaient parfaitement avec son teint de peau laiteux. Elle samusait aussi à se changer devant moi, me laissant découvrir ses fesses bien charnues et surtout sa toison rousse bien fournie en poils. D ailleurs Je lui avais proposer une fois de lentretenir et de couper un peu. Elle avait souri et mavais dit que pour moi elle était même prête à la raser. Mais ce jour nétait pas encore arrivée.

Comme dans tout jeu, il fallait de la réciprocité et moi aussi, je me montrais à elle. Dès quelle en faisait la demande, je sortait mon sexe. Elle aimait bien regarder ma queue. Elle la trouvait très belle et bien grosse. Son regard suffisait alors à me faire bander et là elle appréciait encore plus le spectacle.

Parfois, nous nous caressions lun pour lautre; lun en face de lautre. Ça arrivait généralement quand je revenais de mes moments despionnage et où lexcitation était à son paroxysme. Nous jouissions ensemble. Elle mouillait beaucoup, jéjaculais de grandes doses de sperme. A la fin, je léchais ses doigts et elle récoltait un peu de ma semence pour lavaler. On était ami et jusquà lors aucun de nous deux navait osé toucher ou embrasser lautre.

Mais ce dernier point aller vite changer.

Cela faisait maintenant une semaine que nous étions arrivée. Mon côté voyeur était largement assouvi et notamment cette après-midi là.

Javais trouvé une place discrète derrière un gros rocher de granit au dessus dune crique. Ainsi, je pouvais espionner deux belles femmes entrain de profiter du soleil dans leur plus simple appareil.

Avec mes jumelles, je les regardais allongées sur leur serviette sans aucun maillot de bain. On mavait souvent raconté quil y avait quelques naturistes sur lîle. Mais, je nen avais encore jamais vu.

Elles devaient avoir entre 30 et 35 ans. Toutes les deux brunes; aux cheveux long qui descendent en dessous des épaules, elles avaient le teint bien bronzé. Dorigine méditerranéenne et dune morphologie proportionnelle, elles nétaient ni trop grosses, ni trop maigres. Leurs rondeurs idéalement placées en faisaient de très belles créatures. Leurs seins fermes et bien développés sharmonisaient parfaitement avec leurs hanches pulpeuses. Leurs chutes de reins bien cambrées ajoutaient du charme à leur beautés. Leurs fesses bien charnues mais relativement musclées terminaient des jambes élancées symptomatique des joggeuses. Enfin, labsence total de poil pubien sonnait comme le douzième coup de midi. En effet, avec mes jumelles je me délectais en admirant en gros plans les lèvres si douces et fermes qui agrémentaient à merveille leur vagin.

Oh oui, ces demoiselles étaient vraiment des déesses qui mexcitaient au plus haut point. Je les regardais aller à leau, puis revenir. jaimais le moment où le contact de la serviette sur leur peau sapparentait à des caresses. La vision de la crème solaire me donna chaud au plus haut point. Durant ces instants, elle se touchaient; enduisant toute les parties de leur corps et sattardant parfois sur les endroits intimes. Elles avaient aussi chacune étalées de

la crème dans le dos de lautre. Je me sentais tout serré dans mon caleçon mais je ne regrettais pas mon lieu dobservation. Mon après-midi se déroulait de la meilleure façon possible.

Au bout dune heure environ, Mes deux cibles étaient allongées sur le ventre. Je caressais délicatement mon sexe par dessus mon bermuda en matant leur deux jolis postérieurs. Soudain, je sentis une présence derrière moi. Je me retournais et vis Gwenaëlle à quelques centimètre de moi.

" Que fais tu ici? Me demanda-t-elle.

_ Rien jobserve la nature Gwen.

_ La nature tu es sur. Fais moi voir."

Elle me prit les jumelle et regarda vers la plage.

"Ah oui…En effet tu observes deux belles plantes. Tu es un sacré cachottier.

_Je…Enfin… Ce nest pas ce que tu crois. Balbutiais-je.

_ Ne tinquiètes pas, elles ont lair jolies. Tu aurais tort de ten priver. Mais, je vais être obligé de le dire à ta mère.

_Pourquoi ferais-tu ça?

_ Premièrement parce que ce nest pas bien despionner, deuxièmement pour lalerter que son fils est un obsédé sexuel et troisièmement aussi par jalousie.

_ Jalousie, comment ça?

_ Bah oui, je pensais que tu ne profitais que de mon corps et que tu naimais que mes gros seins. Mais là quand je vois dans quel état tu es quand tu regardes dautres femmes qui sont si belles, je minquiète. Je ne ferai jamais le poids."

Cest vrai que je navais pas débandé depuis son arrivé et je ne lui cachais en rien mon état.

"Sil te plaît Gwen, ne le dit à personne. Oui, je te trouve vraiment sympa et mignonne. Je te le dis tout le temps que jadore voir tes seins, tes fesses, ta petite chatte rousse. Sil te plaît, ne le dit à personne. Je ferai ce que tu veux.

Tout en me mettant à genou je la suppliai.

_ Tu sera bien gentil? Me demanda-t-elle.

_Oui, je te le jure.

_ OK, alors fais moi plaisir, déshabilles toi."

Un peu surpris, je maffairais à répondre à sa demande. Jôtais mon tee shirt et mon bermuda. Je me retrouvais en boxer devant mon amie qui regardait à la fois la crique et mon sexe bien dressé dans mon caleçon noir.

"jai dit tout nu! Montre moi ta belle et grosse pine!"

Je fis descendre létoffe et libéra mon sexe. La situation faisait que jétais vraiment très excité.

"Branle toi maintenant!"

Jobéissais bien consciemment. Elle me regardait faire et ressentait un certain émoi.

"Humm jadore quand tu es bien raide. Tu me donnes chaud je vais me mettre à laise. Regarde moi, au lieu de mater ces salopes.

Gwenaëlle posa son dos contre le rocher, et tout doucement elle déboutonna sa robe légère dété Rose à fleur. Les boutons étant devant, elle se retrouva vite en sous-vêtement roses assortis. Elle laissa tomber sa tenue à terre et dégrafa son soutien-gorge. Elle avait vraiment une grosse poitrine pour son âge. Certes ils étaient moins beaux que ceux de la plage mais je ne pouvais dégager mon regard de ses deux globes aux auréoles bien grosses et roses. Elle caressa ses pointes et à tour de rôle amenait ses tétons à sa bouche pour les lécher, les sucer, les faire durcir. Elle me regardait toujours me caresser.

Je commençais à être vraiment très excité. Mes veines ressortaient et mon gland était rouge tellement jétais dur. Jaccélérais doucement le rythme. Javais du mal à tenir sur mes jambes.

Elle laissa glisser le long de ses cuisses bien charnues sa petite culotte bouffante. Elle me montrait maintenant sa belle chatte recouverte de poils roux. Elle écartait un peux ses lèvres et commença à se titiller le clitoris délicatement. Puis, elle se rentra un doigt bien profondément. Sa vulve fut inondée de mouille instantanément. Moi, en la regardant faire je sentais mon désir et ma jouissance monter. Je nallais pas tarder à tout éjaculer. Elle le vit.

" Vas-y jouis pour moi ! Jouis devant moi ! Montre moi comment ta belle lance à incendie déverse son liquide. Vas-y régales toi de ma mes formes. Profite du spectacle !"

Sur ses mots, je ne pus me résoudre à attendre plus longtemps. Et, au moment où elle se pénétrait un deuxième doigt , jéjaculai de tout mon être. Mon sperme partit si fort quil alla se nicher sur le bas du ventre de Gwenaëlle en 5 jets consécutifs.

"Putain ! Tu fais chier tu mas tout salie. Pesta-t-elle. Il va falloir que tu nettoies maintenant. Tu va tout me laver avec ta bouche. Jaime quand mes amies me lèchent. Tu vas en faire autant."

jobéissais bien sagement. Je ne voulais pas quelle dise à ma mère ce que je faisais de mes journées. Aussi, je mabaissai et rapprochai ma bouche de sa chatte humide. Lodeur était forte mais pas désagréable.

Elle mit ses deux mains sur mon crâne et poussa ma bouche sur ses poils. Le goût de mon sperme me dégouttait quelque peu. Mais, je navais jamais été aussi près dun vagin et jen avais encore moins léché. Je commençais à bien la laver. Puis, elle me demanda dintroduire ma langue dans sa vulve. Cétait tout chaud. Jaimais ça. Je lécoutais et faisait tout ce quelle me disait. Jaspirais son clitoris, je pénétrais ma langue au plus profond delle même. jy ajoutais deux doigts. Je la doigtais et la léchais. Cétait trop bon pour moi et surtout pour elle. Elle aimait beaucoup, elle poussait des cris de plus en plus forts. Après quelques léchouilles maladroites mais bien placées elle eu un orgasme si intense que javais peur quon nous entende. Enfin elle sécroula par terre et me remercia dans un dernier soupir.

Au bout de quelques minutes nous reprîmes nos esprits. Elle se rhabilla. Je fis de même. Elle membrassa fougueusement. Nos langues sentremêlèrent. Nos salives se mélangèrent. Puis, nous repartîmes ensemble vers notre camping main dans la main.

Avant de partir je voulus une dernière fois regarder du côté de la plage pour admirer les deux belles femmes. Mais elles étaient parties. javais perdu mes deux cibles mais javais gagné une sacrée coquine.

Voila, ce nouvel été commençait de la meilleure façon possible. Mais la suite allait à jamais me combler et faire de moi un vrai homme.

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