Je me retrouvai ce lendemain les fesses encore endolories de la fessée et de la sodomie bestiale que j’avais subies avec plaisir la veille. Je m’approchai du garage et dès que je vis la porte d’entrée du local, les souvenirs de la veille revinrent en moi. Comment il avait su dénicher ce côté chienne en moi et comment un simple entretien s’était transformé en volonté de me soumettre à sa tige de chair ?
Je rentrai et ne trouvai personne, j’avançai en demandant à haute voix s’il y avait quelqu’un quand j’entendis la porte se claquer derrière moi, ce qui me fit sursauter, j’allai me retourner quand deux mains se posèrent sur mes épaules et appuyèrent. Je tombai sur mes genoux sous la pression. Je reconnaissais ces mains, ces mêmes mains qui avaient fouillé mon fondement la veille, m’amenant aux portes de l’orgasme, ces dernières pensées finirent de faire grimper mon érection à son maximum, le souvenir de ses corps étrangers s’insinuant en moi sans ménagement et prenant possession de ma grotte intime me remit dans un état de transe et je ressentis de nouveau cette chaleur dans le ventre.
Puis un bruit de fermeture Éclair, un tissu qui se froisse. Je ne me retournais pas, je n’en aurai sûrement pas eu la permission, mais je n’en avais surtout pas l’envie, préférant me garder la surprise de ce que mon maître me réservait. Et l’instant d’après, je sentis quelque chose de chaud contre ma joue, je savais ce que c’était ce sexe dur qui m’avait fait connaître l’orgasme 2 fois, celui-là même qui avait fait que je n’avais qu’une envie le soir venu, c’était que le lendemain revienne, ce même mat de chair que je me revoyais sucer longuement avant d’avaler les flots de son jus d’homme si délicieux. Mon étalon ne le voyait pas, mais à cet instant, je souriais. Il n’avait pas dit un mot, soit pour tester ma soumission à ses désirs ou alors si sûr de cette soumission, il ne voyait pas l’utilité de me dire quoi que ce soit, sachant que j’accepterai toutes ses demandes, aussi perverses soient-elles.
Il posa sa main sur ma tête, la tourna légèrement vers son sexe et poussa sa tige contre ma bouche, « enfin » pensai-je avant d’ouvrir les lèvres pour accueillir celui qui hantait mes nuits depuis la veille et qui faisait que même la masturbation ne m’enlevait pas cette envie dévorante de me ressentir femme dans les bras de ce mâle viril. Sa bite commença par frotter l’intérieur de mes joues, je fermais les yeux et nouais mes lèvres comme une écharpe rouge autour de ce membre au goût délicieux. Je recommençais à tourner ma langue sur ce gland, voulant toucher chaque partie de ce bout rougi et avoir le plaisir de prendre une bonne coulée de sperme en guise de petit-déjeuner.
Bonjour petite salope ! me dit-il « Comme tu le vois, j’avais hâte que tu reviennes, ta bouche et ton cul m’ont manqué hier quand je suis rentré chez moi ». J’avais envie de répondre que moi aussi, je me serai bien amusé encore, mais je sais qu’on ne parle pas la bouche pleine et à ce moment, ma bouche était vraiment bien remplie. Là, je sens une main courir le long de mon dos et descendre vers mes fesses, il tâte sous mon pantalon et constate que je porte bien le string en dentelle noire, un des sous-vêtements fournis la veille. « Je vois que tu respectes bien mes ordres, ça t’excite d’obéir à ton mâle, hein ? » Je valide par un gémissement étouffé dû au fait que mes aller et retour sur son sexe m’empêchaient d’exprimer plus mon approbation. Je continuai de lustrer ce gland du mieux que je pouvais, ayant bien vidé l’air de ma bouche pour que l’intérieur de mes joues frotte bien sur son sexe pendant que ma langue s’occupait de titiller son urètre et le bout de sa bite, et faisant venir de plus en plus de salive pour que la lubrification se fasse naturellement.
Sa main continua sa descente pour arriver à l’arrondi de mes fesses, il glissa un doigt le long de ma raie et plongea directement ce même doigt dans mon trou gourmand. Je gémissais de plus belle et il appuya davantage sur l’arrière de ma tête avec son autre main tout en commençant un mouvement d’aller-retour avec son bassin pour me prendre la bouche, petit entraînement avant de me prendre tout court. Son doigt rentrait et sortait, « quel délice » pensais-je et appuyait sur les côtés de ma rondelle pour m’ouvrir un peu plus quand un deuxième vint le rejoindre. Je me sentais ouvert et naturellement, je cambrai pour mieux apprécier la sensation de cette préparation au bouquet final qui allait suivre. Je commençais à me relever, prêt à la visite en profondeur de mon docteur orgasme, mais sa main derrière ma tête vint appuyer sur mon épaule pour me ramener à ma place avant de se replacer sur ma nuque.
Où crois-tu aller comme ça ? Je n’ai pas fini de jouer moi.
Et pendant que je me demandais ce que cela signifiait, je sentis un troisième doigt pousser l’entrée de mon petit trou pour se frayer un chemin. Me disant que ça n’allait jamais passer, j’allais pour protester en sortant son sexe de ma bouche quand il augmenta son maintien sur ma nuque et appuya davantage son annulaire qui, petit à petit, avançait pour m’agrandir. La douleur commençait à se faire sentir, et là, le plaisir d’être soumises s’agrandit aussi. À genoux devant cet homme que je ne connaissais pas 48 h avant et qui était en train de me forcer la bouche de sa grosse virilité tout en m’obligeant à souffrir pour accepter le passage de 3 de ses doigts dans mon intimité, je me sentis plus chienne que jamais, et mon sens des réalités bascula, me faisant ressentir du plaisir dans cette douleur, car ce n’était pas une douleur choisie comme lors de la première sodomie que j’avais pratiquée il y a des années, m’étant dit, ça fait toujours ça la première fois.
Non là, c’était une douleur que je devais subir, je savais même sans avoir essayé que toute rébellion n’aboutirait qu’à la fin de cette relation, et il m’avait rendu accro à ses coups de reins en me faisant jouir si fort la veille. Il avait placé ses pions et sans que je ne voie rien venir, avait eu ce qu’il voulait : transformer un éventuel stagiaire en cochonne accro à son sexe. J’étais échec et mat, forcé d’abdiquer dans cette bataille où il avait parfaitement planifié sa stratégie et m’avait vaincu et en bon perdant je lui offrais ce qu’il voulait : mon corps sans retenue. Et c’est ainsi que je repris mes allers-retours avec ma bouche, laissant son 3e doigt rentrer où il voulait, il était chez lui après tout, et me détendant au maximum pour que tout se passe le mieux possible.
Petit à petit, il fit sa place et me sentant complètement ouvert, je sentis le plaisir de l’agrandissement anal mêlé à la douleur qui diminuait rapidement et mon mâle commença à rentrer et sortir ses 3 doigts de mes fesses, ouvertes comme jamais auparavant.
Je gémissais de plaisir de plus en plus fort et la bave commençait à couler de ma bouche due au long moment que j’avais passé à lustrer ce sexe. Quand je me fus bien habitué à la présence de ses doigts, je le sentis s’arrêter, il se redressa et se faisant, il sortit sa tige de ma bouche et glissant sa main sous mon menton. Il leva ma tête, je le vis debout tout sourire. Il commençait à faire couler de la salive de sa bouche, le long de sa langue sortie et naturellement, j’ouvris la bouche pour recueillir ce crachat et je l’avalais… (à suivre)