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Mike, sa tante et sa Cousine – Chapitre 2




Chapitre : 2 Marilyn, ma cousine

Je frappe à sa porte, pas de réponse… jouvre quand même et jentre dans la chambre de Marilyn.

— Laisse-moi seule, maman, je ne veux pas te voir ! dit-elle, son visage enfoui dans son oreiller.

— Ce nest pas ta mère, cest moi, Mike…

— Oh mon Dieu, quest ce que tu fais ici !

— Nous avons besoin de parler, lui dis-je.

— Va-t-en ! Tes un beau salaud !

— Oh non, nous devons avoir une petite discussion tous les deux, que tu le veuilles ou non !

— Tu fais chier! Fous le camp! Ou cest moi qui sors !

— Oh non ! Sil le faut je vais masseoir sur toi et je te maintiendrai de force pendant que nous parlons !

Marilyn se retourne sur le lit au moment où je lui dis ça et, sadossant à la tête de lit, elle me regarde, surprise :

— Oh non, tu nes même pas habillé ! Tes un vrai pervers !

Je baisse les yeux et je réalise, en voyant ma serviette sur mes reins, queffectivement je suis presque à poil.

— Merde, je suis désolé, j’ai oublié !

— Ouaiiiis ?, je parie que tu la fais exprès ! Bon…dis-moi ce que tu as sur la conscience et fous-moi le camp.

— Je n’ai rien à me reprocher et il est nécessaire que nous échangions nos points de vue.

Je lui raconte comment sa mère et moi avons accidentellement commencé à être intime et, pour finir, je lui demande si elle ne veut pas que sa mère soit heureuse.

Après dix bonnes minutes de discussion, elle commence à sadoucir un peu et le ton de sa voix est moins dur.

— Mike, assoies-toi. Tu me fatigues à rester debout devant moi et en plus dans cette tenue !

Je prends la chaise de la coiffeuse et je massois près de la tête du lit. Ses yeux dévient vers le bas de ma serviette et, rapidement, elle dit :

— Non, pas là… Euh, euh, mets-toi au pied de mon lit.

Après plusieurs minutes, elle demande :

— Dis donc, cest quand même bizarre que tu fasses ça avec ma mère ? Elle est vraiment plus vielle que toi !

— Dis donc, tu exagères un peu ! Elle nest certainement pas vieille ! La première fois que nous avons bai… heu… fais lamour, jai pensé que cétait avec ma tante que je bai… enfin que je le faisais ! Puis je me suis dis que ce nest pas ma tante par le sang, alors jai continué ! Mais le fait que cétait ma tante cela mexcitait.

Mais pour tout te dire je voulais surtout que ta mère se sente mieux vis-à-vis delle-même. Philippe a eu un effet très négatif sur ta mère et les séquelles étaient profondes. Je ne lai pas vraiment cherché mais maintenant je crois que cela la remise sur la bonne voie. Le seul problème, et tu las sûrement remarqué, elle en veut toujours plus, et je crois quelle est accro à ma … Enfin… tu vois ce que je veux dire.

— Ooohhh, ouii je vois ! Je ne la reconnais plus. Cest une nouvelle femme ! dit-elle en sortant un petit bout de langue qui caresse sa lèvre supérieure.

Puis, après quelques secondes :

— Tu crois que cela vient de la façon dont tu las baisée ! demanda-t-elle timidement. Bon Dieu, je ne peux pas croire à ce que je viens de dire !

Nous continuons à parler de mes relations avec sa mère et, malheureusement, cela se répercute sur ma bite qui commence à se redresser sous ma serviette.

J’essaye de ne pas y penser mais rien ny fait et, comme dhabitude, ma bite se tend au maximum comme un piquet de tente sous la serviette.

— Oh mon Dieu, Mike, jai limpression que notre conversation nest pas faite pour calmer tes idées lubriques ! dit-elle, en regardant la déformation de la serviette qui, commençant à glisser par la tension exercée sur elle, finit par découvrir ma queue fièrement dressée comme une fusée prête à décoller.

Jessaie de me déplacer pour dissimuler mon engin lorsqu’elle me dit :

— Ahh, non, Mike, laisse-moi voir ce qui rend ma mère tellement heureuse.

Je nai pas encore eu de rapports sexuels, ce nest pas lenvie qui ma manqué, mais jai toujours reculé devant lintroduction dune bite dans mon vagin. De temps en temps, j’ai taillé une pipe à un gars du lycée mais çà nallait pas plus loin. Du coup je ne suis pas très populaire et on me traite parfois de pimbêche ou dallumeuse frustrée !

Elle rit en disant cela et cest son premier sourire franc depuis le début de notre conversation.

— Je me demande vraiment comment ma mère peut recevoir ça dans sa chatte !

— Eh bien, ma chère cousine, je peux tassurer quelle aime lavoir bien encastrée dans son vagin ou même dans sa bouche et quelle en redemande très souvent !

— Foutaise ! Cest beaucoup trop gros et trop long pour quelle avale ce monstre !

— Eh bien non, ma petite cousine, elle aime… je dirais même plus, elle adore sucer ma grosse bite, ça lexcite beaucoup, surtout quand mes couilles viennent frapper son menton !

Marilyn commence à respirer un peu plus rapidement et dit :

— Putain ce nest pas possible, on ne peut pas prendre toute cette chose dans la bouche !

Me sentant beaucoup plus audacieux après notre conversation, je lui dis :

— Je te dis quelle le fait et quelle en redemande. Si tu veux, tu nas quà essayer pour voir si cest possible ?

— Tu ne manques pas de culot ! Ma mère ne te suffit plus ! Tu veux aussi que ta cousine te suce la queue après la tante !

Marilyn me regarde dans les yeux puis fixe pendant plusieurs secondes ma bite en complète érection, avant de dire :

— Eh bien, mon beau cousin, tu vas voir, je vais te la sucer, ta salle bite !

— Bonté divine, je ny crois pas, Marilyn ! Je croyais que cétait trop gros pour toi !

— Tais-toi, petit salaud arrogant, tu vas voir !

— Hey, une belle jeune fille me dit qu’elle veut me sucer et, quand je dis que je suis septique, elle me traite darrogant !

— Jnai pas dis que je ne pourrais pas mais… attends, tu viens de dire que j’étais belle ?

— Très certainement, je dirais même plus, très belle…

Marilyn rougit et me dit :

Tu ne mas jamais dis de telles choses avant, mon beau cousin, et je maperçois maintenant que cest dommage !

— Je ne pensais pas que tu aimerais que je te dises cela, jolie cousine, et en plus, désirable cousine !

— Oui, probablement pas mais il aurait fallu essayer pour le savoir. Aujourdhui, jaime ça ! Et je crois que jaimerais aussi un gros câlin, cousin !

Cela dit, elle rampe vers le bas de son lit et enroule ses bras autour de moi pour se serrer en pressant ses seins contre ma poitrine. Elle me regarde dans les yeux, tranquillement, pendant un certain temps avant que sa main ne glisse de mon épaule et atterrisse directement sur ma bite.

— Oh mon Dieu, tu es tellement énorme ! Ce nest pas possible ! Tas une vraie bite dâne ! Je nai jamais tenu une queue aussi grosse dans la main.

— Oooh, Marilyn, moi par contre je sens bien tes jolis doigts qui serrent ma bite ! lui dis-je dans un gémissement.

Elle embrasse ma joue avant de glisser vers le bas de mon corps.

— Alors, il faut quelle se sente encore mieux !

Ses lèvres enrobent doucement mon gland et elle suce légèrement le bout en donnant par moment des chiquenaudes sur son extrémité. Je gémis bruyamment et elle sort sa bouche du gland avec un sourire :

— Huummm… ouiiiiii… je vais certainement me la faire ta grosse queue !

Tout ça avec un clin dil ; et elle replonge pour, ce coup-ci, avaler le corps de ma bite en enroulant sa langue chaude autour.

— Waow, Marilyn, tu ne mas pas lair si novice que ça !

— Ahh bon… tu aimes ? Cest assez bon pour un salopard comme toi qui se laisse sucer par sa petite cousine !

— Je ne me plains pas, Marilyn, mais tu nes pas au bout, ma chère ! Il reste encore au moins dix centimètres qui attendent la caresse de ta bouche.

— Mais il narrête pas de grossir autour de mes lèvres et jai même limpression quil pousse tout seul dans ma bouche. Je ne suis pas sûre que je puisse avaler tout !

— Il ny a qu’une seule façon de savoir…

Elle me regarde pendant plusieurs instants, sa langue continue de tourner autour du gland, ses lèvres se resserrent et elle laspire en mordillant légèrement.

Elle prend une grande respiration et descend davantage ses belles lèvres sur ma bite.

— Oh Dieu oui, Marilyn. Ça cest beaucoup mieux !

Et, en même temps, javance ma bite pour mettre deux à trois centimètres de plus dans sa bouche.

Marilyn semble figée mais, après quelques secondes, elle retire sa bouche de mon sexe plein de salive et dit :

— Ahh la vache ! Putain que tes gros ! Je nai jamais avalé une bite si grosse. Cette chose est énorme ! Je narrive pas à le croire, mais jarrive à la prendre en bouche et, en plus, jaime la sentir à lintérieur. Javais peur dêtre blessée ou vraiment mal à laise, mais non, pas du tout !

Et, avec un grand sourire, elle se replonge sur ma bite et je ne laurais pas cru, mais elle va jusquau bout et je sens son nez sur mes poils pubiens.

Marilyn est bien la fille de sa mère, elles sont douées dans cette famille. Elle suce vraiment bien en se servant de ses lèvres, de sa langue, de ses doigts et même de sa gorge quand elle fait mine davaler mon gland qui senfonce dedans. Je la regarde, émerveillé par ses talents de pipeuse ! Ma cousine sort complètement ma bite de sa bouche, samuse avec mon gland et se renfile le tout sans la moindre hésitation !

Lâchant quelques secondes ma queue, elle sécrie presque :

— Oh mon Dieu, ta bite de cheval entre à chaque fois dans ma gorge et jarrive à ne pas étouffer !

Et elle se remet frénétiquement à louvrage.

Moi, je noublie pas de caresser ses seins, la faisant gémir un peu plus sur ma bite. Ses mamelons sont durcis et ressemblent à des grosses boules de gomme que je pince entre mes doigts. Marilyn me suce près de quinze minutes en cherchant frénétiquement à me faire jouir. Je tords ses tétons et elle sarrache de ma bite en criant de plaisir :

— Oh mon Dieu, Mike, cest moi qui vais jouir si tu continue ! Oh ouiiiii… cest bonnnn! AAAAhhhh….arrête ! Je veux que tu craches ton foutre dans ma bouche ! Je veux te goûter et sentir ta bite éjaculer dans ma bouche !

Elle reprend ma bite avec une main et se met à la branler avec sa bouche qui enferme mon gland. Elle va de plus en plus vite.

Incapable de me maîtriser si elle continue comme ça, je lui enserre la nuque et cest moi qui la guide dans ses mouvements pour ma propre satisfaction.

Je vais et je viens à mon rythme, tandis que ses lèvres, sa bouche, et sa langue, acceptent mes coups de boutoir.

Une vague agitation prend naissance dans mon ventre. Je sais ce que signifient les remous qui bouillonnent en moi. Marilyn le sent également et cest elle qui senfonce ma bite profondément dans sa bouche.

Elle me happe la totalité de mon pieu tendu à lextrême, le retient, le suce tout en frottant ses seins contre mes cuisses, me suppliant tacitement de me donner. Ma respiration est plus saccadée et elle devine que les vibrations de ma queue vont se transformer en un volcan en éruption.

Je ressens ma première décharge dans un espace de temps qui me semble incroyablement long. Presque inconsciemment, des spasmes me secouent, une fois, deux fois, et il faut la troisième giclée pour que je sente cette lave brûlante séjecter de ma bite en fusion.

Marilyn pousse un cri étouffé dans sa gorge et s’active plus intensément, ne me relâchant pas. Je flageole. Ma jouissance est continue, jai limpression que ça ne va jamais sarrêter !

Mes derniers spasmes d’un pur plaisir mamène au bord de l’évanouissement.

Marilyn lève ses yeux vers moi et, lentement, très lentement, elle retire sa bouche de mon sexe.

— Waouhhh…cest incroyable, Mike ! Oh mon Dieu, j’aime le goût de ton sperme !

Et elle redonne des coups de langue sur ma bite encore tendue.

— Je crois que ta bite se sentait mieux dans ma bouche et moi je peux te dire que cest la première fois que je prends un tel plaisir. Ta bite est la plus grosse que jaie sucée.

— Sacrebleu, Marilyn, ta technique de fellation est fantastique ! Mon Dieu, tu es vraiment douée, jai failli mévanouir !

Avec une infinie tendresse, Marilyn se glisse sur moi et membrasse sur la bouche.

— Mike… je taime…

Je pince ses mamelons, ce qui la fait gémir, et maintenant cest moi qui l’embrasse passionnément.

Tout à coup, Marilyn sécarte de moi et dit :

— Oh merde ! J’ai besoin de voir ma mère tout de suite ! Après ce que je viens de faire, je me sens mal d’avoir dit ce que j’ai dit !

Et elle est partie dun seul coup, me laissant la bite en lair.

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