Au lac.

Javais repéré un très joli petit lac au milieu de la forêt, à une demi-heure de marche du village où nous logions. Nous y étions allés en balade avec les amis, et le charme du lieu mavait décidé à y retourner seul pour prendre en toute liberté des photos de la nature.

Le lac nétait pas grand, trois cents mètres de large au plus, à peu près circulaire. Un chemin en épousait le contour, et ça et là quelques espaces plats étaient dégagés, permettant aux promeneurs dy faire halte. Nous connaissions une période de forte chaleur, et je décidai de my rendre seul au petit matin. Clara et les amis étaient prévenus : inutile de me chercher à leur réveil.

Après une ascension lente mais régulière, jarrivais enfin au lieu magique. Grosse déception ! La lumière était magnifique, il faisait déjà chaud, mais une tente venait polluer le paysage. Elle était installée en bordure du plan deau, dans la perspective la plus belle, celle que le soleil du matin rendait réellement enchanteresse. Mon espoir avait été de voir une biche ou un chevreuil se désaltérer dans la brume matinale. A leau, lespoir ! La présence dhommes éloignait les animaux hors de vue. Dhommes ? Jen étais à ces réflexions maussades quand un bruit douverture de la glissière de la tente a attiré mon regard. Jétais à une quinzaine de mètres de là, ayant choisi, pour éviter de voir la tente dans le champ de lobjectif, de men approcher au maximum.

Une femme sortit de labri de toile. La quarantaine. Maillot de bain fleuri deux pièces sous une chemise que le contre jour rendait transparente. Joli corps, beau visage. Un sourire.

« Bonjour ! »

Je rendis sourire et bonjour. Elle sétira longuement, et son profil me fit regretter les réticences que javais ressenties. Pas question de déclencher. Pour au moins deux raisons : je naime pas photographier des gens à leur insu. Et surtout parce quà mon retour au gîte, le compte rendu de ma randonnée serait très facile à faire : on ne manquerait pas de me demander de montrer dès mon arrivée les prises de vue. De leau, des arbres, des reflets, peut-être des animaux mais de femme point !

Plutôt gêné de me trouver là, je me sentis obligé dajouter :

« Superbe endroit !

-Superbe, vraiment », répondit-elle.

Je fus surpris dentendre une autre voix féminine venant de lintérieur de la tente.

« Manon ? tu mas parlé ?

-Non, il y a quelqu’un ! »

Jétais quelqu’un ! Je commençais à prendre quelques vues, pour justifier ma présence sur les lieux. Les roseaux de la berge den face, se détachant sur un fond vert tendre, donnaient des images magnifiques. Jen oubliai presque mes voisines, quand un coup dil sur ma gauche tripla mon rythme cardiaque. Sans que je nentende aucun bruit, la seconde dame était sortie de la canadienne, en slip et soutien-gorge. Elle avait passé les deux bras autour de la taille de son amie et posé la joue contre ses cheveux, le visage tourné vers moi, yeux grands ouverts. Aucun doute sur le fait que ma présence ne gênait pas le moins du monde. La dénommée Manon, elle, fermait les yeux et sétait empoigné les seins à pleines mains. La nouvelle arrivée me demanda :

« Comment vous appelez-vous ? Moi, cest Flo.»

« -Jacques ! » dis-je la voix enrouée. Javalais ma salive, mon cur battant toujours à 150 coups minute. Je sentis mes genoux faiblir. Mes yeux ne pouvaient se détacher du spectacle excitant des deux femmes.

Manon dit quelque chose à loreille de son amie, puis se tournant vers moi :

« Vous venez vous baigner ?

-Leau doit être glacée ! Et je nai pas de maillot !

-Tout faux ! Elle est bonne : il y a une source chaude à cet endroit. Et pour le maillot, aucune importance ! Si cest ça qui vous gêne ! »

Elle retira sa chemise puis se tourna vers sa compagne, lui demandant :

« Tu peux me dégrafer, sil te plait ? »

Flo sexécuta de suite, libérant des seins qui rayonnaient au soleil. Manon retira seule son slip, et savança dans leau lentement, mais sans sarrêter. Je la voyais avancer nue, les fesses joliment dessinées arrivant au niveau de leau.

Il est des circonstances où il faut savoir se décider rapidement. Jen vivais une. Partir en courant, ne rien faire, ou profiter dune belle matinée dété, nu dans leau tiède, avec deux femmes. Si jattendais trop, mon érection me rendrait plus ridicule.

« Alors ? Vous venez ? »

Ma queue était encore molle, mais déjà un peu gonflée, ce qui lui donnait belle allure. Cétait le moment. En deux secondes, jôtais maillot, chaussures, short et slip, et entrais nu dans leau.

Manon, immergée jusquau cou, me regarda sans rien dire, alors que Flo ne se priva pas de commenter.

« Pas mal du tout ! Jarrive ! »

Slip et soutien-gorge se retrouvèrent vite à terre. Elle était plus grande que Manon, mais les proportions étaient aussi plaisantes. Jeu le temps de constater que sa chatte était comme je laime : bien entretenue, mais avec encore suffisamment de poils pour quon puisse la caresser avec plaisir.

Qui ne sest baigné sans maillot dans un endroit aussi extraordinaire, avec deux femmes nues aussi, na pas connu grand-chose ! Nous avons joué comme des enfants pendant un bon quart dheure, nageant quelques brasses, faisant la planche, laissant ainsi leau gonfler les poils, puis se retournant pour montrer des fesses encore plus superbes quand elles sont mouillées. Javais la sensation étrange dêtre excité, mais je ne bandais pas. Mon sexe frétillait, je pense que le bout de ma queue était humecté de liquide clair, mais le fait dêtre dans leau ne me permettait pas de men assurer. Jétais impatient de voir comment les choses allaient tourner, et je pris linitiative de sortir du lac.

Les filles me suivirent comme si elles nattendaient que ça ! Leau ruisselait de nos corps, et bien quil commençait à faire chaud, je ressentis une légère fraîcheur qui me donna la chair de poule. Je constatais avec intérêt que les tétons de Manon et Flo pointaient magistralement.

« Je vais chercher des serviettes » dit Flo. Elle sorti de la tente deux grands draps de bain et une serviette plus petite quelle garda pour elle. Je reçus une pièce en tissus éponge bleu, et avant que je ne puisse commencer à messuyer, je sentis un linge sec qui me frottait le dos, et compris que le séchage se ferait mutuellement. Ou plutôt en série : Manon soccupait de moi, moi de Flo, et Flo de Manon. Je commençais par les cheveux. Pour le principe, parce que les deux femmes avaient pris soin de ne pas plonger la tête dans leau. Les cheveux de Flo étaient courts et lisses. Ceux de Manon plus longs et frisés. Je passais vite au cou puis au dos. Nous étions synchrones, les creux des reins étaient essuyés en même temps. Puis les fesses. Je sentais les deux mains de Manon sétaler sur mon cul, et éprouvais quelques difficultés à me concentrer sur celui de Flo, qui sacquitta de sa tâche envers son amie très rapidement.

Elle se baissa pour essuyer les jambes, et bien quelle se présentât de profil, moffrit sa croupe en se penchant jambes tendues. Je ne pus mempêcher de glisser la main pour atteindre le fond du sillon, insistant avec le pouce en appuyant sur lanus. Comme elle écartait les jambes, je passai lautre main entre ses cuisses pour frotter son sexe. Les mains de Manon étaient pendant ce temps descendues le long de mes cuisses, et je déplaçai naturellement les pieds pour faciliter le passage. Manon messuya alors les couilles, puis la bite avec délicatesse. Flo regardait la main de son amie tout en lui essuyant la chatte dans le même rythme. Ma queue commençait à prendre du volume, et je demandais à Manon dattendre un peu. Je voulais profiter à fond de ma tâche envers Flo.

Elle arrêta son geste, et déposa un baiser sur ma fente en glissant un coup de langue qui me fit bel effet. Après les jambes, mes mains sont remontées vers lavant, et je pris les seins de Flo avec douceur mais fermeté, puis séchai le ventre. Alors que jallais à nouveau lui frotter le sexe, elle se retourna en disant :

« Cest déjà fait, là ! »

Et elle se plaqua contre moi, seins contre poitrine. Je sentis sa toison contre mon ventre, et dans le même temps les mamelons de Manon, encore mouillés contre mon dos, et les poils de sa chatte contre mes fesses, comme si elle voulait menculer. Flo me posa un doux baiser sur la bouche. Ses bras mencerclaient, ses mains étaient posées sur le côté du cul de Manon. Et Manon avait glissé une main entre ma bite quelle couvrait de sa paume et la chatte de sa copine. Est-il utile de dire que je bandais dur. Flo me lécha les lèvres, puis le menton, et je compris quelle entamait ainsi une descente bien agréable.

Petite halte pour me sucer le bout des seins, lun après lautre. Et lécher le nombril. Manon continuait de me branler doucement, et cest elle qui introduisit ma pine dans la bouche de Flo. La suceuse commença par entourer mon gland de ses lèvres, et eut un mouvement de va-et-vient comme sil sagissait dune sucette.

Ma queue durcit encore quand je sentis le doigt de Manon senfoncer dans mon cul. Elle me caressait la fente, puis est entrée doucement, et a ensuite elle aussi, joué au va-et-vient sur le même rythme que sa compagne. Comme si cétait calculé, Flo a avalé ma bite jusquau fond de sa gorge au moment même où Manon menculait au plus profond. La bouche et le doigt se sont retirés au même moment. Les femmes se sont écartées de moi, et sont venues se placer en face, se tenant par la taille. Je fus surpris, mais mon excitation était à son comble.

« Masturbe-toi ! » ordonna Manon.

« Notre plaisir, cest de voir un homme à poil se branler, et le sperme qui gicle en lair. » précisa Flo.

  Une aubaine ! mon éducation minterdisait de pénétrer une autre femme que la mienne, et mon plaisir était de jouir en regardant des femmes se caresser, seules ou mutuellement.

« Daccord, mais vous vous branlez en même temps !

-Ben quest-ce que tu crois ! On va se gêner ! »

Je pris donc mon sexe bandé dans la main droite, me caressant les seins de la gauche. Le spectacle que je voyais nétait pas pour me calmer : Flo avait posé ses deux mains de chaque côté de sa chatte, et souvrait la fente au maximum. Ses deux index enserraient le clito qui était bien visible. Manon avait posé une main à plat sur son sexe, se masturbant de façon plus classique. Avec quand même lautre main qui, passée derrière, me laissait croire quelle sétait mis un majeur dans lanus. Les quatre yeux étaient très concentrés sur mes gestes.

Mes vacances étant jusque là sans aucune activité à caractère sexuel, hormis une ou deux caresses de Clara sur ma queue avant de sendormir, je savais que je ne tiendrais pas longtemps. De fait, après une petite variante où jattrapais mon sexe entre mes deux mains à plat, le faisant rouler comme un trappeur qui essayerai de faire du feu avec un bout de bois, je repris la chose à pleine main pour conclure. Je savais quen serrant au maximum les doigts autour du gland au moment de léjaculation, le jet serait plus impressionnant en relâchant la pression.

Effectivement, en deux ou trois saccades, jenvoyais un joli bouquet final qui ma valu les applaudissements des spectatrices.

Sans un mot, je me rinçai la queue au bord du lac, lessuyai, et me rhabillai. Ramassant mon appareil, je quittai les lieux, avec un simple «Merci, bonne journée ! »

« Salut ! » entendis-je en deux échos.

Quand je fus suffisamment éloigné de la tente, je pris une vue générale du lac. La canadienne était dans le champ, mais pas ses occupantes. Histoire denregistrer un souvenir qui me permettrait de fantasmer pour quinze hivers.

De retour au gîte, je transférais les prises de vue sur lordinateur, me dépêchant dexaminer la dernière photo.

Aucune tente ny apparaissait.

I feel good.

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