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ma femme, mon beau-père et moi – Chapitre 2




"et Anne ? elle ne vous satisfait pas ?"

"Hmm. Par rapport à Marie, elle est très sage"

"trop sage ?" demandais-je

"hmmm, on peut dire ça."

Et c’est à ce moment là que j’entends Marie crier "la salle de bains est libre".

Je quitte François, son père, et je m’engouffre dans la salle de bains.

Le Weekend se termine sans autre suite.

2 mois plus tard, nous nous rendons en Weekend chez la belle famille, en plein mois d’août, dans leur résidence secondaire. Nous sommes partis tôt ce matin afin d’éviter les embouteillages (départ : 5h00 du mat). nous arrivons sans encombre vers 9h30.

Chouette baraque. Isolée, sans voisin, entourée de grandes haies avec une belle piscine.

Il fait une chaleur étouffante.

Après le repas, mes beaux-parents disent : nous partons cette après-midi, j’emmène Anne chez le coiffeur et je dois porter la voiture en révision. Nous reviendrons dans 2 heures.

"chouette" me dis-je. on sera tous seuls.

Une fois ses parents partis, je propose à Marie "on va se baigner ?"

"oh oui, il fait trop chaud"

"OK, mais sans maillot ma chérie"

Elle me regarde et voit mon regard coquin. Son visage se fait mutin.

"Bon, si tu veux, mais sage, hein ?"

"tu me connais" lui répondis-je en me déshabillant. "le dernier à l’eau est une coquine".

Et hop, ni une, ni 2, me voilà à poil, courant me jeter à l’eau, la queue entre les jambes.

"eh, ce n’est pas juste. J’ai plus de trucs à enlever que toi. TRICHEUR"

Elle se déshabille et vient près de la piscine afin de tremper ses pieds

"ouh, elle est encore un peu froide" dit Marie

"viens dans l’eau, je vais te montrer 2 ou 3 moyens de se réchauffer" dis-je en l’arrosant

"salop, tu vas me payer ça" dit t-elle en rentrant dans l’eau et en se jetant sur moi pour me couler.

Sur ce, je me laisse couler volontiers et j’en profite pour lui prendre les jambes, tirer dessus afin de la faire tomber en arrière. J’écarte ses jambes et je colle ma bouche contre ses lèvres.

Même sous l’eau, j’arrive à gouter son merveilleux parfum de femme. J’ai l’impression d’inhaler un nectar au parfum d’hormones, de sensualité, d’excitation. ma femme quoi.

Ma langue sors de ma bouche et comme une anguille se tortille le long de ses lèvres à la recherche de son petit bouton d’anémone.

Les mains de Marie, après avoir essayé de maintenir sa tête hors de l’eau en faisant des moulinets, essaient maintenant de repousser ma tête.

Puis, vaincue, ses mains au contraire, caressent mes cheveux et plaquent ma tête afin que je la fouille plus profondément.

Malheureusement, je n’ai pas de branchie et je suis obligé de ressortir ma tête de l’eau à la recherche d’air.

Marie se jette alors sur moi et plaque ses lèvres (ses lèvres du haut cette fois-ci) contre les miennes et nos langues s’enroulent en un combat comme 2 limaces s’accouplant.

Sa main plonge sous l’eau à la recherche de mon sexe tendu et elle s’agrippe à lui, le branle afin de s’assurer de sa bonne raideur et vient s’asseoir dessus.

Elle coulisse le long de mon membre, provoquant des vagues de force 3 dans la piscine.

"Prends-moi fort. Je veux te sentir en moi. Fais-moi jouir" dit t-elle entre 2 halètements.

J’ondule du bassin afin de la pénétrer le plus profondément possible.

Les vagues sont de plus en plus fortes.

J’ai l’impression que les oiseaux se sont arrêtés de chanter et sont en train de nous mater.

Marie laisse échapper un petit cri, signe de son orgasme et je lâche ma semence au fond de sa petite chatte mouillée.

Nous restons enlacés un moment puis, Marie m’embrasse en disant "merci mon amour. Je vais bronzer"

Elle va s’allonger sur un transat pendant que je fais quelques longueurs afin de me détendre un peu.

Je sors de l’eau et je me sèche.

Ma femme me demande : "tu veux bien aller me chercher mon masque de nuit (vous savez, le masque qu’on distribue dans les avions pour se cacher les yeux), il y a trop de soleil.

Je vais lui chercher et lui donne. elle le met sur ses yeux et me dit "je pense que je vais faire une sieste, mon chéri".

Je m’allonge dans le transat à côté d’elle et je lis un peu.

Au bout d’1/4 d’heure, je regarde ma femme. Elle est vraiment belle. Sa respiration est calme. Elle s’est assoupie.

Moi, je meurs de soif. Je rentre dans la maison me chercher une bière.

Je sors une canette de bière quand j’entends le verrou de la porte d’entrée cliqueter.

Je passe la tête par la porte de la cuisine et je vois le père de Marie entrer.

"Coucou, vous êtes déjà de retour ?"

"Ben oui, ils m’ont prêté une voiture pendant qu’ils réparent la mienne. Plutôt qu’attendre bêtement sous cette chaleur, j’ai préféré rentrer. Et vous, ça va ?"

"Ben oui, on s’est baigné et Marie bronze. Je suis venu chercher une bière. vous en voulez une ?"

"Volontiers"

Je lui sers la bière et il remarque que je suis tout nu

Nous trinquons et il dit "vous n’avez pas de maillot ?"

"si, mais ça nous disait de nous baigner nus"

"Hmm, je vois" dit t-il en jetant un il dehors pour essayer de voir Marie.

"Vous voulez venir la boire dehors cette bière ?"

"OK je te suis"

"Mais, chtt, car je crois que Marie s’est endormie".

J’emmène aussi un verre et une canette de coca pour ma femme.

Nous approchons de la terrasse sans bruit et il peut ainsi admirer sa fille à sa guise, endormie sur le dos, les jambes légèrement écartées, le sexe peu poilue ne laissant aucun doute sur le détail de ses parties génitales : lèvres rosies et clitoris encore légèrement gonflé par l’orgasme précédent, les tétons un peu érigés.

"Vas-y, François, approche si tu veux voir de plus près" lui dis-je au creux de l’oreille

Il approche son visage au dessus de son corps et observe chaque détail de son anatomie de haut en bas en s’arrêtant longuement sur son entrejambe.

Puis il se relève

Je murmure : "Elle est belle, hein ?"

"quelle belle fille en effet"

Mon sexe est de nouveau dressé. Cette situation m’excite et j’ai encore envie d’elle.

Je mets mon doigt devant la bouche en faisant "cht" en direction de son père qui me regarde étonné.

Je m’approche de Marie.

Je l’embrasse. Elle se réveille et essaie de porter ses mains vers son masque

"non, chérie. Laisses ton masque. Tu m’excites encore plus comme cela. J’ai encore envie de toi"

"encore, mais t’es un gros pervers, ma parole"

"quand je vois ton corps nu offert sans défense comme ça, j’en peux plus, je bande encore"

"hmm. Vas-y alors." dis Marie "fais-moi ce que tu veux. Je suis ton esclave sans défense. tu peux abuser de moi"

Je passe mes mains entre ses jambes et je l’invite à les écarter.

Elle écarte ses jambes, pose ses pieds au sol de chaque côté du transat, écartant du même coup ses lèvres.

Je l’embrasse sur la bouche passionnément et avec ma main, je lui masse son clitoris.

Puis je lui dis "suces-moi, esclave"

"oui maître" me répond t-elle en souriant.

Je lui présente ma queue en bouche, qu’elle prend avec avidité.

Je me penche vers sa chatte et je vois son père qui n’en perd pas une miette. Je remarque d’ailleurs une grosse boule dans son short.

Je fais signe à son père d’approcher.

Puis, de mes mains, j’écarte ses lèvres afin qu’il puisse bien mater la moule ouverte et luisante de sa fille.

J’enfile ensuite un doigt, puis 2 dans sa petite chatte

Elle se cambre et gémit.

"tu veux que je t’encule esclave ?"

"oui maître. encule-moi"

Je la fais se lever. Je me couche sur le transat et elle vient se positionner au dessus de moi.

Elle prend ma queue dans sa main et la guide tout en se baissant vers son anus.

Une fois le contact établi entre ma queue et son petit trou, elle continue sa lente descente (ou son lent et long empalement) jusqu’à ce que le beau braquemart disparaisse entièrement en elle.

Puis, elle monte et descend sur l’engin en poussant de petits gémissements.

Son père, lui, a sorti sa queue de son short et se branle doucement en face de sa fille.

Je reprends la main sur la sodomie de sa fille et j’impose le rythme du pilonnage.

De temps en temps, je sors entièrement ma bite afin de montrer à son père comment j’ai bien dilaté le petit trou du cul de sa petite fille chérie.

En même temps, Marie se branle la chatte en se masturbant vigoureusement et en entrant de temps en temps 2 doigts. Elle gémit doucement, avec retenue.

"alors, esclave, tu aimes ?"

"oui, maître"

"je ne t’entends pas exprimer clairement le plaisir que tu ressens. Alors, je veux t’entendre jouir"

"oui maitre" dit ma tendre et chère femme.

Sur ce, ses gémissements, râles et petits cris se font plus forts.

Son père, se branle vigoureusement et son visage et bien rouge

Puis son père change de place, prend le verre que j’avais apporté et vide sa semence dedans par giclées.

Marie se cabre et vie son orgasme, avec des petits soubresauts avant de retomber mollement, toujours empalée.

Je sors ma queue de ses fesse, je me lève et me place face à elle. Je me branle face à elle et je dis :"ouvre la bouche, esclave et avale"

Marie ouvre la bouche et je largue mon foutre dans sa bouche qui se remplit de mon liquide blanc.

Marie avale tout devant son père qui n’a rien raté à la fin du spectacle.

Son père se rhabille pendant que j’embrasse ma femme.

"Tu es une bonne esclave".

"merci maître"

"tu as gagné le droit de boire un coca frais" dis-je en versant un peu de coca dans son verre.

Le sperme paternel flotte à la surface comme la crème sur un café.

Marie porte le verre à ses lèvres et bois le coca à grandes gorgées et le finis cul sec. Elle repose le verre et je souris à la vue de ma femme qui a une moustache de foutre sur le haut de ses lèvres.

François souris aussi et va se réfugier dans la maison.

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