Chapitre 2
Le lendemain, la situation prit une tournure totalement imprévue pour moi.
Maman et papa, très catholiques, allaient à la messe tous les dimanches depuis que je me souviens.
Cependant et ignorant la raison, maman décida de rester à la maison pendant que papa irait seul à l’église.
Papa maugréa un brin, puis se faisant une raison, quitta sans son épouse.
La porte refermée, maman vint à ma chambre.
Je n’avais encore jamais vu ce regard dans ses yeux quand elle me surprit en me demandant :
« Tu veux que je danse pour toi ? Nous sommes seuls pour une heure ! »
J’étais estomaqué !
Maman avait volontairement manqué la messe pour danser en s’exhibant devant moi.
D’autant plus, que ce n’est pas moi, mais elle qui me le demandait !
Mon petit jeu, prenait une tournure et une direction que je n’avais pas prévue…
À ces mots, mon corps commença à trembler, réalisant avec surprise et un brin d’effroi que maman prenait plaisir à s’exhiber devant son fils.
Maman avait toujours, dans mon petit jeu, le contrôle moral d’imposer, naturellement, une réserve à mes pulsions d’adolescent, mais là, je sentais toute l’implication de sa volonté à vouloir, volontairement, par elle même, s’accorder du plaisir en s’exhibant devant moi.
Ma mère avait menti à mon père pour être avec moi, mis de coté l’Église pour des plaisirs charnels avec son enfant. Ce n’était plus un petit jeu !
Debout dans l’entrée, habillée d’une robe de velours vert émeraude lui arrivant à mi-cuisse, elle portait de séduisants bas de nylon noirs, mettant en beauté les formes désirables de ses jambes.
Sans souliers, elle avança vers mon lit dans lequel j’étais encore assis, dos appuyé au mur, vêtu uniquement de mon boxer.
Puis, voyant tout le questionnement dans mes yeux, elle me dit :
« Maman a très envie de danser devant toi ! » Dit-elle, en mettant son genou sur le matelas pour y embarquer.
Se levant, debout sur mon matelas, elle passa son pied au dessus de mes jambes et commença à danser sans même attendre ma réponse.
Le regard, dans ses yeux, me faisant presque peur par son intensité, j’étais cependant très excité de la voir dans cet état.
Dansant à hauteur de mes genoux, sans la moindre musique, dans le silence de ma chambre, seuls les bruits émanant de ses mouvements du tissu et de sa voix le brisaient avec délicatesse.
Vêtue de ses bas de nylon noir, je pouvais très bien admirer la beauté de ses jambes sur lesquelles j’avais fantasmé tant de fois.
Sa danse ressemblait beaucoup plus à celle des bars de danseuses érotiques.
Maman s’avança alors vers moi, remontant ses pieds le long de mes cuisses.
« Ton père est à l’église ! Dit-elle, visiblement excitée de situation.
.. Papa ne les regarde plus !
.. Tu aimes mes jambes ? » Dit-elle, en s’approchant un peu plus de moi.
Je sentais mon gosier se serrer.
Dansant doucement, elle prit appui en posant ses mains à la base de mon cou :
« Ça te plairait de les caresser ? »
Sans répondre, je posai délicatement mes mains sur ses chevilles, en les caressant timidement.
Puis, dans un geste lent, je remontai mes mains sur ses mollets en redescendant sur ses fines chevilles.
J’étais très excité !
La douceur des bas de nylon, le bruit singulier de mes mains sur le tissu léger et soyeux.
Sentant mes mains sur son corps, maman laissa échapper un long gémissement de plaisir et d’ivresse.
Ses mains caressaient doucement ma nuque, me laissant faire, maman ne dansait plus !
Debout, ses cuisses près de mon visage, elle me laissait explorer ses jambes en se laissant emparer par le plaisir.
Remontant derrière ses genoux, je commençai une lente caresse sur l’arrière de ses cuisses en serrant mes mains pour les palper.
De légers gémissements émanaient de sa bouche, me témoignant du plaisir qu’elle ressentait.
Remontant encore un peu plus, mes mains glissèrent sous sa jupe, en caressant le haut de ses cuisses et le début de ses fesses.
Écoutant le plaisir de maman à cette caresse, voyant mes mains sous sa jupe, j’éjaculai dans mon boxer sans pouvoir me retenir.
Maman ne bougea pas, réalisant ce qui arrivait.
Plutôt que de se retirer de mes jambes, elle m’étonna en pliant ses genoux pour venir s’asseoir sur moi en blottissant sa tête au creux de mon cou :
« Serre-moi fort ! » Me dit-elle.
Déposant mes mains dans son dos, je réalisai que cette robe était très ouverte, si bien que mes doigts se posèrent sur sa peau douce.
Parlant doucement, tout en conservant sa tête sur mon épaule, sa bouche tout près de mon oreille :
« C’est gênant d’avoir un orgasme devant maman ? »
Je répondis en hochant la tête.
« Alors, imagine pour moi qui suis ta mère ! »
Je bougeai doucement la tête en signe de compréhension. Maman serra fortement son corps contre le mien, puis portant ses mains dans son dos, saisit mes poignets en repositionnant mes mains sur le haut de ses cuisses. Saisissant mes coudes, dans un second mouvement, en tirant légèrement, je compris ce qu’elle voulait et glissai ma main vers ses fesses, sous sa robe, découvrant qu’elle portait des collants Dim de nylon.
Je pus sentir, sous le fin tissu, que maman ne portait pas de petite culotte.
Mes mains palpèrent ses fesses.
« Serre-moi fort ! » Dit-elle, en écartant ses cuisses pour mieux coller son sexe sur moi.
Je sentis alors sous mes doigts, les muscles de son derrière se contracter en se frottant sur moi, puis reculant ses fesses, elle reprit le même mouvement.
Aidé de mes mains qui la tiraient sur moi en un mouvement de vague, j’en profitai pour palper à chaque assaut, sa magnifique croupe, avançant mes doigts toujours plus profondément entre ses fesses.
La tête toujours blottie sur mon épaule, maman commença à gémir doucement, en me parlant tout doucement à l’oreille.
« Oui…, c’est…, bon…, han !!! Oui…, ouihh… ! »
Son bassin commença à osciller avec plus d’amplitude.
Ma mère se frottait littéralement sur moi.
À moitié excité par ses agissements, je ressentais, néanmoins, de la honte et peut-être même, pour être honnête, beaucoup de gêne de voir ma mère en train de faire ça.
Je ne retirerais, cependant, pour rien au monde, mes mains bien plaquées sur ses fesses, la tripotant, j’avais tellement rêvé de cet instant.
« C’est tellement…, bon…, Sébastien… ! »
Soudain, j’entendis l’auto de papa revenant de sa messe.
« Maman… ! Papa arrive… ! » Lui dis-je, avec empressement.
Elle accentua encore le mouvement de son bassin et ouvra encore plus ses cuisses en insérant ses pieds sous mes cuisses.
« Han…, han…, han… ! Me gémissait-elle à l’oreille.
Maman… ! Papa arrive… ! Lui répétai-je.
AHhHhh…, Sébastien, c’est…, trop…, bon, continue… !
.. Serre-moi…, fort…, serre-moi…, fort…, han… ! »
Je pouvais clairement entendre un clapotis entre ses cuisses et du liquide chaud couler sur mes cuisses.
« Maman… ! Papa va entrer, il faut arrêter ! La peur commençant à s’emparer de moi.
C’est trop…, bon…, on…, continue…, on…, continue… ! »
Maman était beaucoup trop excitée pour stopper nos ébats.
Délaissant une fesse de ma main, je la mis derrière sa nuque pour étouffer ses gémissements dans mon cou, pendant que j’entendais papa entrer dans la maison.
« Pas de bruit ! Lui commandai-je, pendant que mon autre main sur ses fesses l’accompagnait activement dans sa masturbation.
Han…, han…, hannn…, hannnn… ! »
Elle gémit fortement, en plantant ses ongles profondément dans la chair de mon épaule, son corps se crispant, son bassin s’arc-boutant en simulant une profonde pénétration.
J’avais la bizarre sensation que maman était en train d’uriner sur moi.
Maman glissa alors ses mains dans mon dos en me serrant très fortement, nos corps presque fusionnés épousant les formes de l’autre.
Maintenant silencieuse, je pouvais sentir sa respiration intense autant de sa poitrine que de son souffle dans mon cou.
Les pas de papa montant l’escalier, il était trop tard pour une fuite……