Le lendemain matin, à l’aube, je me lève en vrac, avec un souvenir amer et étrange de la veille.

Kate est là dans la kitchenette, toujours le même t-shirt mais elle a changé le bas, un tanga rouge vif à dentelles dévoilant le bas des fesses.

Ce n’est pas possible. Elle doit faire cela intentionnellement pour m’exciter !!

Je suis suffisamment réveillé pour admirer et fantasmer sur cette petite brune aux cheveux ondulés, à la petite poitrine parfaite, et au petit fessier bien bombé et musclé.

Elle se retourne, et enchaîne :

— Bonjour, ça va ? Tu fais quoi là ?

— Salut, je te matais le cul (oui j’ai moins de filtres au réveil)

— Et il te plaît ? demande-t-elle en me tendant un café fraîchement préparé

— Oui assez…

Je la fesse avant de m’asseoir sur le canapé avec elle. L’ambiance est froide, le malaise de la veille est palpable. Je me lance :

— Tu sais, pour hier soir…

— Non, ne t’inquiète pas : c’est oublié, ce n’est pas grave.

— Oui, mais j’ai changé d’avis.

— Comment ça ?

— Hier soir, tu as proposé de me branler, et aujourd’hui j’accepte…

— Haha, arrête tes conneries, dit-elle avec un ton enjoué.

— Je ne rigole pas (avec un air très sérieux).

— J’ai dit ça parce que tu semblais blessé.

— Oui j’étais chaud et tu m’as coupé. Alors, aujourd’hui, tu devras être gentille et faire ce que je dis pour te faire pardonner.

— Vraiment (elle réfléchit longuement) ?

— Oui.

— Hmmm… Je n’aime pas trop ça, je te le dis… Mais OK… Une petite masturbation rapide…

Je ne bouge plus et ne dis plus rien. Elle me baisse le caleçon en tirant vers le bas.

Alors, assise à ma gauche, sur ce grand canapé rouge, les jambes pliées sur le côté avec les genoux vers moi, café à sa main gauche, elle m’empoigne le chibre de la main droite.

Elle commence à l’étirer de la base au gland, le décalottant par la même occasion. Peu à peu, il gonfle dans sa main, laissant apparaître mon large bulbe tout gonflé.

— Oh !! Elle est effectivement aussi grosse que je l’ai sentie hier soir, dit-elle avec léger sourire sur son visage.

Elle semble ne pas savoir si elle doit stopper ce moment où l’apprécier. Elle espère que j’aperçoive sa gêne et lui dise d’arrêter.

Mais je préfère lui laisser cet espoir en la regardant silencieusement par-dessus mon café. J’apprécie intérieurement de voir sa tête quelque peu renfrognée.

Sa petite main monte et descend sur ma bite, sans totalement la cercler. Puis elle s’arrête et me regarde en souriant, comme pour dire « Bon, allez, la blague a assez duré » et me faire comprendre qu’elle ne me branlera pas jusqu’au bout.

Quelque chose en moi change à cet instant. À peine nous lâchons les cafés, je l’attrape sèchement par le bras pour la faire descendre du canapé. De l’autre main, je jette un coussin à mes pieds.

— Viens te mettre là, lui dis-je brusquement en pointant l’emplacement.

Alors qu’elle est contrainte physiquement de se mettre sur le coussin à mes pieds, elle me dit :

— Mais Aïe !!! Arrête !! Tu me fais mal, qu’est-ce que tu fais ?

— Tu vas me sucer maintenant !!

— C’est hors de question !!

— Allez, ça suffit. Arrête tes manières. Tu vas me sucer, un point c’est tout, et vite !!

— Mais je t’ai dit, j’ai un copain.

— Oublie cette excuse. Evidemment, il n’en saura rien. Accélère si tu ne veux pas que je m’énerve.

Elle sursaute quand j’élève la voix.

Je lui attrape la nuque et pose ma bite sur ses lèvres. Elle m’attrape le manche pour me faire comprendre qu’elle va le faire, mais à son allure. Elle ferme les yeux, commence par quelques coups de langue puis suce légèrement mon gland, faisant des tours autour avec sa langue.

— Ce n’est pas bien ce que tu fais, me dit-elle au bord des larmes

— Tu me chauffes depuis trop longtemps, qui s’y frotte s’y pique (pourquoi je dis cette phrase ?)et, si au fond de toi, tu ne voulais pas, tu m’aurais arrêté et, pour ça, tu sais comment faire…

— Ça ne me dérange pas de te sucer, mais je ne veux ni gâcher notre amitié ni que mon copain le sache.

— C’est bon, arrête de parler et suce-moi bien.

Je remarque sa prise d’assurance. Elle semble soulagée, elle m’aspire de plus en plus profondément le sexe. Je m’adosse pour profiter de la gâterie. Lorsqu’elle me lèche les couilles, je m’amuse intérieurement de voir ma grosse bite cacher une bonne partie de son visage.

Elle entreprend d’activer les choses, craignant une suite non voulue à cette scène. Pour cela, elle relève son t-shirt pour me laisser voir sa belle poitrine toute dure et tendue. Elle me branle avec vigueur, me suce en me regardant, elle met le paquet quoi…

Je lui tiens fermement la tête sur une aspiration, ses yeux s’écarquillent

« hmmm » ma respiration s’accélère, quelle suceuse !!

Néanmoins, elle ne semble pas comprendre pourquoi je ne viens pas.

Je me redresse, l’enlève de ma queue, sous son regard ébahi.

Puis, lui ordonne en lui montrant le sol avec le doigt :

— Mets-toi à quatre pattes, là, les fesses vers moi.

— Je ne veux pas que tu fasses ça, Mathias !!

— Faire quoi ? Empêche-moi…

Elle se retourne dans la position souhaitée, je lui attrape les hanches pour l’approcher du canapé.

Sa peau est lisse à souhait, je remarque immédiatement une large auréole mouillée sur son tanga.

Mes mains glissent délicatement sous l’élastique du sous-vêtement, pour finalement le descendre jusqu’à la pliure des genoux en le tenant de chaque côté.

Les quelques secondes durant lesquelles je ne la touche pas doivent lui paraître longues, mais elle n’en est pas moins excitée à la vue de ces gouttes de mouilles qui ruissellent le long de ses jambes. Toutes sortes de choses doivent lui passer par la tête…

Je caresse ses lèvres intimes humides et gonflées avant de jouer avec mes doigts à étaler sa mouille et frétiller son clito.

Les « mmphhff » qu’elle fait en se mordant les lèvres se transforment peu à peu en « ahhh » « hmmm » et me laissent sous-entendre que sa bouche et son corps sont de plus en plus déliés.

Je fais pénétrer un doigt, puis deux, pour aller frotter quelques zones érogènes et dilater convenablement le tout.

Je me place sur le bord du canapé, comme si elle ne vaut même pas la peine que je me lève ou me déplace. Ma bite encore dure comme un mat touche sa fesse gauche. J’empoigne la base de ma queue pour la guider. Une fois aligné, mon prépuce à peine introduit, mes mains agrippent fermement ses hanches. J’ai à peine le temps d’entendre un « non, ne fais pas ça », avant de la tirer d’un grand coup sec et la pénétrer violemment d’un trois quarts de bite.

— Aaahhh putain !!! Mathias…

Voilà les modalités faites, je l’ai quelque peu écartée. Bien que suffisamment mouillé, je suis à l’étroit.

J’essaye d’introduire le restant délicatement, je vois sa fente s’écarter, et je peine à avancer.

Elle a le souffle haletant, elle prend de grandes aspirations.

La sonde une fois introduite, je démarre les va-et-vient jusqu’à bonne vitesse. Elle apprécie, j’entends ses gémissements de plaisir.

Quant à moi, je sens parfaitement que les parois de son antre me procurent beaucoup de plaisir.

Sa tête et ses seins sont tombants, j’en profite pour palper ces derniers en avançant.

Puis, une main sur l’épaule, je la redresse afin d’obtenir l’angle souhaité, ses yeux sont à moitié ouverts, sa bouche aussi.

— Alors tu vois que tu voulais… Et tu as l’air d’apprécier quand je te mets, lui dis-je à l’oreille.

— Oh oui !! Je veux, vas-y, prends-moi !!! »

J’observe ses hanches et ses fesses onduler frénétiquement devant mon bas ventre.

Mon bras vient cercler ses seins, de l’autre côté ma main tire légèrement ses cheveux et sa tête en arrière.

La voilà très courbée, et moi je la pénètre le plus fort et profond possible. J’augmente considérablement le rythme.

Je la sens se serrer, mon excitation monte à son comble, ma bite se retrouve très vite coincée, elle fait un grand « AahhhhAaah ».

Et, en une fraction de seconde, au moment où j’allais éjaculer, je la vois se décrocher, ses coudes tombent au sol, et elle laisse exploser un orgasme devant moi… Les fesses vibrant en l’air.

Je suis tellement médusé que j’éjacule de gros jets de sperme sur elle, ses cuisses et son cul, sans même m’en rendre compte. Ses fesses ondulent de plus en plus doucement devant moi.

Ensuite, elle s’effondre devant moi sur le carrelage… Le coussin n’est plus vraiment utile dans cette situation…

Moi, je reste figé, le fusil déchargé à la main qui égoutte, la bouche béante.

Ainsi, notre relation a quelque peu changé…

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