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Sur ce coup là, j'aurais mieux fait de me taire – Chapitre 3




Salut c’est votre folle de lycra

Voilà quelques temps je m’étais retrouvée en tant que conseillère financier dans une agence bancaire avec comme principaux collègues Muriel, Marie, Coralie et Gilles. J’avais rapidement lié grande amitié avec Muriel à tel point qu’elle venait manger à la maison, Franck mon compagnon l’appréciait. Puis un jour cette collègue m’a pour ainsi dire soumise sur mon lieu de travail, j’en ai fait part à notre supérieure Marie qui nous a convoquées un samedi soir pour que nous nous expliquions. Quelle ne fut pas ma surprise, de me faire littéralement soumettre par ces deux femmes dans la pièce qui nous servait de salle de briefing. Je suis rentrée chez moi ce soir-là complètement retournée, sous le choc de ce que je venais de vivre, j’avais une grosse envie de pleurer et tout le weekend je n’ai pas cessé d’y penser. Tout le weekend, j’ai essayé de me changer les idées de telle sorte à ce que je rentre le mardi au boulot en ayant fait le vide en moi. Je ne sais pas ce que m’a pris le mardi en arrivant, mais quand Muriel est arrivée, je ne lui ai pas trop laissé le choix, c’est moi qui ai pris le dessus sur elle sexuellement et psychologiquement. Marie avait eu l’air un peu étonnée de ce retournement de situation quand elle nous a vues, mais elle était rassurée quant à la bonne entente au sein de l’agence.

Tout s’est tellement bien passé avec Muriel, que rapidement nous sommes redevenues amies et par contre ce coup-ci nous faisions des parties de jambes en l’air ensemble chez moi. J’arrivais à gérer la chose sans que mon compagnon Franck ne s’en rende compte, à tel point que je prenais maintenant plus de plaisir avec Muriel qu’avec mon homme. Marie savait que nous nous apprécions pendant les heures de boulot mais elle ne savait pas que l’on se voyait désormais dans l’intimité. Muriel et moi étions en train de nous dévergonder, elle aimait le sexe intense depuis longtemps, mais j’étais en train de la dépasser car je m’y étais mise moi aussi, mais bien après elle. En ayant pris un dessus psychologique sur ma collègue, j’étais en train de maintenant la soumettre à mes désirs sexuels tranquillement mais surement. Elle était me semble-t-il dévergondée naturellement, moi je me suis pervertie en trainant sur les sites pour essayer de comprendre et assimiler toutes les finesses des plaisirs sexuels. Mon compagnon Franck m’honorait, entre autre, le samedi soir et le dimanche matin et j’avais maintenant pris l’habitude à ce que Muriel vienne me faire ma toilette intime, pleine de semence, pendant que mon homme était parti faire du sport pendant trois heures.

Ma collègue a rapidement compris qu’elle me nettoyait ma fente pleine de la liqueur de mon homme, mais cela n’avait pas l’air de la déranger; le principal était à ses yeux de me donner du plaisir, chose qu’elle réussissait à faire à chaque fois maintenant. J’aimais vraiment me gouiner avec elle, finalement j’avais compris qu’il fallait prendre sur elle un ascendant psychologique pour en faire ce que l’on en voulait ensuite. De soumise et docile, en quelques jours j’étais devenue une dominatrice et j’étais en train de constater que même avec Franck, je commençais à le dominer. Un jour il m’a dit que Muriel était bizarre avec moi et quelle lui plaisait, du coup je me suis dit que je pourrais faire une surprise à mon homme. C’est ainsi qu’un dimanche matin, j’ai invité mon homme à ne pas aller faire de sport, Muriel arrivait tous les dimanche matin à neuf heures, car elle ne voulait pas perdre de temps et profiter le plus possible de moi. J’ai juste envoyé mon homme allé acheter le pain à huit heures cinquante, quand il est revenu nous étions en train de faire des folies et il nous a surpris mais il n’a rien dit. Pendant deux bonnes heures, il nous a regardé en train de nous gouiner, je savais qu’il nous regardait par la porte entrebâillée, et je veillais à ce qu’il voit le plus de choses possible. J’étais encore plus excitée que d’habitude car je savais qu’il y avait un voyeur qui nous observait, j’étais convaincue que Franck allait se palucher derrière la porte.

Il a eu la correction ou peut-être le manque d’assurance, de ne pas venir nous perturber, pour la première fois de ma vie je m’envoyais en l’air avec ma maitresse sous les yeux de mon mec. J’étais très heureuse de ce que j’avais réussi à faire ce matin-là, d’autant que Muriel n’y a vu que du feu, Franck m’a avoué ensuite s’être branlé deux fois en deux heures et avoir balancé énormément de liqueur. Muriel est repartie sans que je ne lui dise rien, je ne sais pas comment elle aurait pris le fait que nous ayons fait l’amour comme des folles sous le regard de mon mec.

— Si tu veux mon chéri, tu pourras venir nous voir le dimanche matin car nous faisons ça tous les dimanches, pendant que tu pars faire du sport.

— Plutôt que de changer les draps à chaque fois qu’elle s’en va, maintenant je les laisserai pour que tu profites de son odeur corporelle et intime.

— La condition est que tu ne te fasses pas voir.

Ce jour-là, bien qu’ayant fait l’amour comme une folle avec Muriel, et que Franck ait tiré sur l’élastique à deux reprises pendant que nous on s’éclatait; mon homme était tellement excité, que peu de temps après que mon amante soit partie, il m’a sauté dessus et nous avons fait des folies. Nous ayant vues nous frotter nos minous l’un contre l’autre, Franck n’a pas pu se retenir de me manger ma friandise avec gourmandise pendant de longues minutes, j’avais l’impression qu’il voulait découvrir un nouveau goût de cyprine.

Bien évidemment je pense que le mélange de nos deux minous, devait donner un goût savoureux qu’il ne voulait pas louper. C’est vrai qu’en général mon homme adorait descendre à la cave, que ce soit sous les draps ou à l’air libre; tout cela pour mon plus grand bonheur. Je pense que ce qui l’excitait le plus, c’était d’avoir un goût nouveau, une saveur mélangée à la mienne, d’autant que la mouille de Muriel sentait très fort. Le plus beau c’est que Franck n’a pas voulu partir dans mon minou il n’a même pas voulu me pénétrer, je me suis retrouvée contrainte de lui faire une fellation et de tout avaler. Il m’a expliqué qu’il voulait garder le goût de mon minou mélangé à celui de Muriel le plus longtemps possible. Quand nous sommes passés à la douche il n’a pas voulu que je me lave l’entrejambe car il ne voulait pas que les saveurs soient dissipées. Nous sommes partis au marché, alors que ce dernier était en train de plier bagages, l’intérêt c’est qu’à ce moment-là ils bradent pas mal de choses. Dans la rue, Franck ne manquait pas une occasion de me montrer combien il était chaud, combien il avait envie de s’occuper à nouveau de moi. C’est à ce moment-là que je pouvais assoir mon côté dominatrice naissant, car ce n’était qu’avec mon accord qu’il pouvait venir me manger la moule. Ce jour-là, dans la voiture, j’ai reculé le siège passager et il est venu s’engouffrer sous ma douce robe, ils étaient limite vorace tellement il voulait me faire un nettoyage total de mon entrejambe.

En même temps Muriel avait laissé son odeur intime vraiment partout sur mon corps, car elle prenait plaisir à me badigeonner ce dernier de sa mouille. Produisant beaucoup plus de cyprine que moi, elle s’était même offert le luxe de tenter d’en mettre dans l’intérieur de mon vagin, vu l’état d’excitation de Franck, je pense qu’elle avait réussi. Mon homme me faisait penser à un chien des douanes, excité comme pas deux par l’odeur de la drogue qu’il vient de découvrir. J’en étais en train de conclure que Franck était omnibulé par l’odeur intime de ma maitresse, du coup j’ai trouvé un petit subterfuge pour essayer de le satisfaire comme je pouvais. Je me suis mis à régulièrement demander la petite culotte à Muriel le soir avant de quitter le boulot, je lui ai expliqué que je voulais qu’elle rentre foufoune à l’air. Le plus beau c’est que l’idée l’a beaucoup excitée, c’est ainsi que deux ou trois fois par semaine, je récupèrerai personnellement sur elle, sa petite culotte très souvent poisseuse et surtout odorante. La bougresse pensait que j’étais devenue fétichiste de ses culottes, mais je me suis bien gardée de lui dire à quoi elles servaient. De mon côté les culottes me servaient un peu de nonos pour mon homme quand il me faisait vraiment du bien avec sa langue ou avec son sexe il avait le droit à une petite culotte souillée de ma collègue.

Autant moi je n’étais pas vraiment attachée à ses pièces du tissu, par contre mon homme était dans tous ses états quand il pouvait les humer. Je l’ai même souvent surpris à les lécher et même les sucer tellement Muriel laissait de dépôts goûteux dessus. De mon côté, l’avantage c’est que je n’avais plus besoin de brouter le minou de ma collègue pour en avoir l’odeur, j’avais juste besoin d’embrasser mon homme. L’odeur intime de Muriel avait un effet aphrodisiaque sur la libido de mon homme, à tel point que dès que je lui ai ramenais une culotte toute fraiche pleine de mouille; je passais à la casserole le soir même. De mon côté, j’étais quand même assez excitée de voir Muriel se soumettre à tous mes caprices sexuels. Systématiquement, pendant l’heure du repas, Muriel et moi nous retrouvions dans le petit local archives, mon petit doigt me dit que Marie était au courant. Tous les midis, Muriel me faisait jouir avec sa langue ou avec les caresses que j’exigeais d’elle; de mon côté j’arrivais quand même à lui faire du bien mais ne pas la faire jouir à chaque fois pour ne pas qu’elle en prenne l’habitude. Je pense aussi, que Coralie devait se douter quelque chose, mais elle n’osait imaginer que des femmes puissent faire ça. Pourtant elle aussi était bien désirable bien appétissante et je n’aurais pas été contre de lui donner du plaisir mais en même temps rien n’était joué.

Avec le temps j’avais pris tellement d’assurance, que maintenant j’arrivais avec une carotte de belle taille ou une courgette, j’emballais ça dans un préservatif et je pénétrais ma collègue qui ne faisait que subir. Je peux vous garantir que Muriel, tous les midis je la comblais de plaisir, elle était vraiment méconnaissable depuis la fois où elle avait osé abuser de moi. Aujourd’hui j’en étais arrivée à me demander, comment je pourrais prendre l’ascendant psychologique sur Marie, notre responsable, car elle aussi était fort à mon goût. C’est vrai qu’il m’arrivait de temps à autre à me retrouver collée derrière elle, je ne sais pas ce qui me retenait de la plaquer contre moi en lui posant une main sur son bas ventre et l’autre main sur sa poitrine. Contrairement à Franck, moi, c’était le fumet intime de Marie qui me perturbait, elle était une grande rousse et son odeur ne me laissait pas du tout indifférente. Pour l’instant, j’étais en train de me demander quelle étape supplémentaire j’allais pouvoir trouver pour dominer Muriel. Puis me vint l’idée d’acquérir un gode à ceinture ou plutôt une culotte en latex avec gode externe incorporé, j’avais une grosse envie de plaquer ma collègue contre une armoire ou une étagère et la pénétrer sauvagement ; toujours avec son consentement maintenant.

Ce n’était pas un comportement bien féminin, mais je me sentais devenir de plus en plus dominatrice et c’est Muriel qui en faisait les frais. J’en étais arrivée à un stade où je fantasmais plus sur ma collègue que sur mon homme, et si au fond de moi je n’étais pas une gougnotte pure et dure… Un soir j’ai constaté que Franck enfilait une petite culotte de ma collègue pour aller bosser, quand je l’ai surpris il était gêné et a essayé de se justifier. De mon côté, il m’avait laissé sans voix, je ne savais plus quoi dire, il n’y a pas à dire mon mec était obnubilé par Muriel. Je ne le savais pas à ce point sensible aux odeurs, je ne pensais pas que les odeurs mettaient dans un tel état et poussaient à faire de telles conneries. En même temps avec le recul, à chaque fois que je croisais notre responsable d’agence, son odeur de rouquine me faisait des nuds dans le ventre d’excitation, bref elle me faisait mouiller ma culotte à chaque fois. Un jour alors que j’étais en train de m’acheter des dessous dans un magasin dont l’anagramme est team, je tombe sur Marie en train de s’en choisir pour elle. De loin je la surveille, de loin je l’espionne, de loin je la scrute; j’ai la sensation de m’immiscer dans sa vie privée, cela me plaisait. Elle part essayer des vêtements dans une cabine d’essayage et là je la suis, je lui ai laissé un peu de temps pour se déshabiller et enfiler une nouvelle parure, puis je rentre dans la cabine d’essayage.

Je fais la cliente surprise en constatant que je me suis trompée de cabines, mais cela me donne l’occasion d’admirer cette belle rouquine qui me fait rêver depuis pas mal de temps. Dans sa petite culotte tout en lycra et son soutien-gorge assorti, Marie se sentait fragile face à moi qui l’a regardais avec envie et au fond de moi peut-être de la gourmandise. À la grande honte de Marie, et surtout à ma grande surprise, j’ai constaté que Marie enlevait les antivols des dessous pour les voler. Elle avait plusieurs gros aimants de formes diverses dans son sac à main, au fur et à mesure chaque antivol se retirait sans abimer le textile. Moi qui avais envie d’abuser un peu d’elle dans sa position de faiblesse, je la prenais la main dans le sac et la voilà qu’elle était encore plus faible que je ne pensais. Marie était tétanisée, elle ne savait pas quoi dire.

— Alors comme ça on vole dans les magasins.

— Je pensais qu’avec le salaire que tu as, tu avais les moyens de tacheter de quoi te vêtir.

Marie était maintenant comme apeurée, elle ne savait pas derrière quoi se retrancher.

— Je souffre de cleptomanie.

— Vu mon statut au sein de la banque, je n’ose pas aller voir le psy.

— Je ferai tout ce que tu veux, mais s’il te plaît n’en parle pas au travail.

J’avais décidément un avantage psychologique sur notre chef, désormais je savais qu’elle me mangerait dans la main et que je pourrais faire ce que je voulais d’elle. Pour marquer mon avantage, je lui ai caressé la joue et je l’ai embrassée sans trop lui demander son avis. Elle qui avait toujours eu le dessus sur moi, que ce soit dans ma vie privée ou au travail, les rôles venaient de s’inverser et j’avais vraiment projet de ne pas m’en priver. J’ai bien vu sur le coup, quand je l’ai embrassée, que Marie n’était pas consentante; ce n’est qu’au bout de plusieurs minutes qu’elle a fini par accepter mon baiser et me le rendre.

— quand je vois le matos que tu as pour voler des vêtements, ne serais pas étonnée que chez toi il y en ait plein que tu n’as pas payé.

Marie ne savait pas quoi dire, du coup avec ma main, je me suis mise à lui caresser sa moule toute poisseuse à travers sa culotte. Je ne sais pas si elle se soumettait à mes caresses par peur que je divulgue tout au boulot, ou si elle prenait du plaisir, toujours est-il que la façon dont elle tortillait des fesses, j’avais vraiment l’impression de lui faire du bien.

Sa culotte était tellement douce que ma main ne voulait pas s’en défaire et je lui caressais son abricot à travers la douceur du lycra tout trempé. Maintenant elle soupirait, mais elle faisait attention à ne pas le faire trop fort, pour ne pas attirer l’attention des autres clientes. Je l’avais maintenant plaquée sur la paroi en bois et de mon autre main je lui pétrissais un sein, le plus beau c’est qu’elle avait l’air d’aimer le traitement que je lui infligeais. Au fond de moi j’étais quand même très heureuse que les rôles s’inversent, je gardais en souvenir le coup pendable qu’elle m’avait dispensé avec Muriel un samedi soir il y a quelques temps. Je ne prenais pas ça comme une vengeance mais plutôt un juste retour des choses, j’allais maintenant pouvoir me coller à elle quand j’en aurai envie, quand je la croiserai dans l’intimité au boulot. Je pense qu’au fond d’elle, elle savait que désormais elle m’appartenait, elle serait définitivement à ma merci quand que je désirerai. Je ne voulais pas en faire mon jouet sexuel mais juste pouvoir en disposer quand j’en éprouverai le besoin. Par-dessus ça, j’étais en train de me dire que, vue son odeur de rouquine, je ne serais pas étonnée que Franck fasse une fixette sur elle aussi. Quand j’ai réalisé qu’elle était sur le point de prendre son pied avec mes caresses vaginales à travers sa culotte, je constatais que la situation l’avait sacrément excitée.

J’ai continué de lui masser son intimité jusqu’à ce qu’elle prenne son pied, je l’ai embrassée pour empêcher que l’on ne l’entende crier; elle m’était maintenant complètement offerte. Après cela j’ai estimé que je pouvais cesser de lui masser l’entrejambe, je venais de la faire jouir tout en douceur et elle venait de me souiller les mains de sa cyprine bien collante et compacte mais surtout odorante. En guise de trophée avant de partir, je me suis permis de lui prendre personnellement la culotte qu’elle portait, je me suis dit que cela ferait un petit cadeau pour mon homme. J’ai préféré mettre cette dernière dans un petit sachet, pour ne pas mouiller tout ce que j’avais dans mon sac à main. J’avais pris l’habitude d’avoir toujours plusieurs sachets à portée de main, ils me servaient à stocker les culottes que je réquisitionnais auprès de Muriel. C’est mon homme qui allait être heureux, il allait pouvoir se shooter les narines avec une forte odeur féminine différente. J’ai laissé Marie dans sa cabine d’essayage débarrassée de sa culotte poisseuse, je me suis rentrée à la maison très heureuse de ce que je venais de vivre dans ce magasin.

À mon tour je suis rentrée à la maison toute excitée et j’ai offert le petit cadeau à Franck, en obsédé qu’il était en train de devenir avec ses petites culottes, il s’est empressé de la sentir. Il a constaté une nette différence d’odeur mais n’est pas allé plus loin dans ses constatations. Au bout d’une heure à se chauffer avec la petite culotte de Marie, mon mec m’a sauté dessus et m’a pris sauvagement dans la cuisine. Il m’a plaquée contre lui, d’une main et m’a débarrassée de ma culotte de l’autre. Il m’a assise sur le plan de travail, les jambes bien écartées, il avait déjà défouraillé son matériel qu’il est venu me planter sans beaucoup de préliminaires dans mon intimité bien lubrifiée. Quand il s’est mis à m’embrasser, j’ai retrouvé l’odeur que j’avais sur les doigts en sortant de la cabine d’essayage, il n’y a pas à dire cette odeur m’excitait cette femme m’excitait. Je ne crois pas que le sexe de Franck avait déjà été aussi gros, bien que mon vagin soit bien humide, mon homme a été obligé de forcer un peu pour me pénétrer pour mon plus grand bien. Il a plaqué ses mains dans le dos, pour bien me coller contre lui et surtout que son sexe entre bien loin en moi. Il m’embrassait maintenant avec passion et gourmandise, il n’y a pas à dire Franck était vraiment excité, de mon côté je lui rendais le baiser mais je m’imaginais en train d’embrasser Marie.

Pendant que mon homme était en train de m’honorer dans les règles de l’art, moi j’étais en train de réaliser que j’étais en train de virer ma cuti, car il n’y a pas à dire je prenais plus de plaisir à faire l’amour avec une femme maintenant qu’avec un homme. Étant aussi en train de carrément changer de caractère, la petite femme soumise offerte que j’étais, devenait une femme avec de l’assurance et surtout dominatrice. Malgré les changements dans ma tête, j’appréciais quand même le souffle chaud de mon homme dans mon cou, j’appréciais aussi l’énergie des coups de reins qu’il me mettait pour me pénétrer le plus profond possible mais j’appréciais surtout en lui son mélange de puissance de douceur et de fragilité. Je sentais ses poils pubiens qui s’accrochaient aux miens, bien que constatant un changement en moi, je ne pouvais pas me passer des assauts virils de Franck. Il était en train de s’accrocher à mes fesses, je savais que dans cette position cela voulait dire qu’il allait me balancer sa liqueur dans quelques instants. Moi aussi maintenant, je le serrais fort contre moi, j’avais envie qu’il me dépose sa semence au fond de mes entrailles. Il s’est mis à pousser un râle animal et j’ai su que je venais de me faire féconder, la petite gougnotte que j’étais en train de devenir, prenait grand plaisir à se faire inonder la salle de jeux par son mâle.

En espérant ne pas avoir été trop long

Gros bisous à vous

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