*** Partie 10 ***

Papa

Le week-end passa trop rapidement. Je fus dans un tel état que je ne fis rien du tout, de toute façon. Je me sentais nulle et je ne contrôlais plus rien dans ma vie, c’était un fait. Tyran m’avait prise tellement fort que j’eus beaucoup de mal à marcher durant le week-end. À un tel point que je réussis à éviter toutes ces manuvres le restant des deux jours. J’avais entrepris d’effacer toute trace qui aurait pu mettre mes parents sur la voie de notre relation. J’avais eu de la chance que mes parents soient partis le vendredi soir pour ne revenir que le samedi en journée.

Fort heureusement, ils ne me posèrent aucune question, ayant réussi une fois de plus à cacher ce lourd secret zoophile. Je profitai de mon week-end pour me reposer et faire quelques devoirs dans l’urgence.

Le samedi matin, le facteur apporta un colis à l’appartement. Mes parents n’étant pas là, je le réceptionnais. Il était au nom de mon père. Je trouvais cela étrange: que pouvait-il commander et recevoir par la poste? Je le posais dans sa chambre et songerai à le prévenir quand il reviendrait.

Quand il revint le soir avec ma mère, il était plutôt fatigué, et elle aussi. Nous commandâmes des pizzas et nous regardâmes un film à la télé. Mes parents filèrent rapidement au lit, mais songeant au colis, je prévins mon père:

— Papa, y a un colis pour toi.

— Oh. Eh bien, je regarderais cela demain.

Le lendemain, la journée fut presque normale. Tyran comprit qu’avec mes parents, me monter était plus difficile. Il ne tenta donc rien de la journée, ce qui me fit très plaisir: pour une fois que je ne passerai pas le reste de la journée à boiter méchamment.

Je disais "presque" normalement, parce que ce fut mon père qui m’intrigua. En début de journée, il était parti dans son bureau (il avait un petit bureau dans notre appartement où il pouvait parfois travailler, pépère, sans que ma mère ou moi ne venions le déranger) avec le colis et en étais ressortis livide, le visage blafard. Ma mère lui demanda ce qu’il avait, mais il répondit qu’il avait du manger quelque chose la veille qui n’avait pas du passer. Cependant, il me jeta un regard étrange, mi-furieux, mi-glacial. Etait-il de mauvais poil?

Au repas du soir, mon père était toujours aussi silencieux et introverti. Ma mère lui demanda ce qu’il avait reçu comme colis, et il répondit sur un ton froid que c’était pour son boulot. Elle n’insista pas. Toute la soirée, mon père ne cessa de me jeter des coups d’il et des regards très bizarres. Il allait d’un regard glacial, à un regard furieux et colérique, en passant par un regard d’envie? Je ne savais ce qu’avais mon père aujourd’hui, mais j’avais bien d’autres soucis en tête: un nouveau trimestre s’apprêtait à commencer et je devrais à nouveau jouer sur les deux tableaux "Tyran" et "Profs".

Le dimanche soir, mon père prétexta travailler et partit s’isoler dans son bureau. Ma mère et moi nous regardâmes en hochant les épaules, signe que nous ne comprenions pas sa réaction et son comportement du jour. Nous regardâmes un film, plus passionnant que celui de la veille. Nous allâmes nous coucher ensuite, mon père toujours dans son bureau.

Le lendemain, jour de travail pour tout le monde, nous nous préparâmes à partir. Ma mère, toujours la première à quitter l’appartement, partit alors même que je venais de me réveiller. Une fois que je fus propre et habillée, j’attrapais mon sac et fus prête à aller au collège. J’étais vêtue comme à mon habitude: une courte mini-jupe et un débardeur moulant faisant ressortir ma grosse poitrine: le tout sans le moindre sous-vêtement, prête à me faire baiser par mes profs.

— Eva!

Mon père, dans le salon, venait de m’appeler. Je me dirigeais vers la pièce et lui demandais :

— Qu’y a-t-il? J’ai cours, papa!

— Attends

Je le voyais en train d’insérer un dvd dans le lecteur associé. Il prit la télécommande du lecteur puis l’alluma. Un vague menu noir apparut à l’écran et il appuya sur le seul bouton disponible du menu.

Ce que je vis alors me glaça le sang.

Je voyais une jeune fille, apparemment très jeune, entourée d’une demi-douzaine d’hommes, tous beaucoup plus âgés qu’elle. Ils la tripotaient de façon perverse. Le film avait des flashs, et ils s’enchaînaient rapidement. Je voyais cette fille se mettre à sucer chacun des hommes de la vidéo, puis se mettre à quatre pattes et se faire baiser comme une salope. Je voyais cette fille se faire sodomiser au sol, puis se prendre de multiples giffles. La vidéo continuait à tourner et la jeune fille était en train de se faire pénétrer par plusieurs mecs en même temps, tous ses trous y passant. La vidéo s’acheva sur une éjaculation faciale assez impressionnante où le visage de la jeune fille était totalement inondé de liquide masculin.

La jeune fille que l’on voyait sur cette vidéo, c’était moi. Participer à cette baise et y assister n’avaient rien à voir: c’était encore plus impressionnant en images! Plus effrayant aussi: la fille sur la vidéo avait l’air totalement soumise à ses amants, et surtout fière de se faire troncher comme une pute! Surtout le visage final, recouvert du sperme de ces hommes, c’était terrible.

J’étais paniquée. Comment mon père avait-il obtenu cette vidéo? Comment allait-il réagir? Que devait-il ressentir?

Mon père m’observa, son regard neutre. Je le fixais et lui dis en bégayant:

— Papa, je peux tout expliquer!

— Oui, je crois que tu vas m’expliquer

Il me montra le boîtier du dvd.

— J’ai reçu ce film dans le colis de la poste. Il n’y avait aucun nom de l’expéditeur, mais je suppose que c’est le type qui filmait qui a du me l’envoyer. Tu connais donc ces hommes. Qui sont-ils?

Des larmes coulaient sur mes joues. J’étais foutue.

— Le type qui filme, c’est un de mes profs.

— Tu te fais sauter par tes propres profs?

— J’avais des notes pitoyables, et c’est venu comme ça

— Je comprends comment tu as eu tes trimestres, alors.

Je ne notai pas la vanne, trop occupée à essayer de me sortir de ce merdier.

— Papa, je suis désolée, je

— Je pensais que ma fille était une jeune fille sage, et il s’avère que c’est en fait une grosse salope prête à vendre son corps pour quelques notes! Tu crois que je le prends comment?

Son regard descendit vers ma tenue archi provocatrice.

— Je suppose que t’avais prévu de baiser, aujourd’hui?

Je ne répondis pas, honteuse.

Mon père s’approcha de moi. J’eus peur qu’il me frappe, alors je reculai. Il s’arrêta et dit:

— Je ne vais pas te faire du mal, Eva

Il se plaça devant moi. Mon père était un colosse de 120 kilos de muscle, et c’était toujours impressionnant de se retrouver en face de lui, comme ça.

— Du moins, pas comme tu le penses

Il posa une de ses mains sur mes cuisses, puis remonta vers mes fesses.

— Pas de sous-vêtement, en plus

Choquée, je répondis:

— Papa, qu’est-ce que tu fais?

— Je constate que ma fille est une pute qui vend son corps. Pourquoi n’en profiterai-je pas?

— Tu es fou, t’es mon père!

— Un père qui va punir sa fille de son comportement de salope!

Et là, tout bascula. Il me plaqua violemment contre le mur, me faisant mal. Avec son bras gauche, il me bloquait contre le mur, m’empêchant de m’échapper et de gesticuler. Sa main droite se baladait sur mes seins et mon ventre nu.

— Oh, putain, t’as des gros seins de pute!

— Papa, lâches-moi!

Il n’entendit rien, trop occupé à me malaxer mes nichons. Sa main descendit ensuite vers mes fesses. Il la fit passer derrière la mini-jupe, et introduisit deux doigts dans mon anus. Je poussais un gémissement.

— T’aimes ça, ma fille?

Il me giffla, me faisant crier de douleur.

— Papa, tu es fou!

— Ta gueule!

Il me donna une seconde baffe, me faisant tomber à genoux au sol, contre le mur. À moitié assommée, mon père en profita pour enlever sa ceinture et défaire son jean. Un caleçon apparut et une énorme bosse en dépassait.

— Fais un bisou à mon sexe, Eva!

Il attrapa mes cheveux et me força à coller ma bouche contre le tissu du caleçon. Puis il me lâcha et sortit son engin.

J’eus un hoquet de surprise et le souffle coupé. Mon père était membré comme un black. Un énorme gourdin, plus grand que tout ce que j’avais pu voir ou croisé auparavant, apparut devant mes yeux et mon visage. Mon père remarqua le regard que je fixais sur sa bite, et éclata de rire en s’exclamant:

— Elle te plaît ma bite, ma fille? 30 cm en érection! Regarde à quel point tu me fais bander, salope!

Il attrapa sa bite d’une main, puis approcha mon visage d’elle en tirant violemment sur mes cheveux, me faisant gémir de douleur. Il me giffla avec une telle force que je criais.

— Ne fais pas ta mijaurée, on te voit te faire giffler par plein de mecs sur cette vidéo!

Il me tapota son énorme gourdin plusieurs fois sur mon visage, me faisant fermer les yeux. Puis mon père m’ordonna:

— Suce ma bite, chienne de fille!

— Papa le suppliai-je.

Il me mit une nouvelle giffle.

— Tu t’es mal comportée! Tu t’es laissée baiser par des mecs plus vieux que moi, même! Et aujourd’hui, tu es punie de la même façon!

Il tira sur mes cheveux, et me cracha à la figure.

— Ouvre ta bouche de salope, ou te je fais mal!

J’obéis. Et il engouffra son sexe hors norme dans ma gorge.

Il était impressionnant en bouche: son mandrin était très épais et très long, mais il ne pouvait entièrement passer dans ma gorge, de toute façon.

Mon père me maintenait durement le crâne et forçait ses mouvements dans ma bouche. Je n’en croyais pas que c’était mon père qui me forçait à sucer son énorme sexe! J’étais en train de pomper le dard de mon propre père, mon propre géniteur! C’était immoral et immonde! J’avais terriblement honte.

Mais d’un autre côté, l’énorme engin de mon père m’attirait inéluctablement. Cette montagne de chair de 30cm était hallucinante! Et en bouche, c’était incroyable!

Fort heureusement, il comprit que ça allait être difficile de me faire avaler une telle teub. Il sortit de ma bouche. Sa grosse bite était recouverte de bave, ma bave. Il me tapota de nouveau le visage avec, me foutant un peu de bave sur le visage.

Il tira sur mes cheveux, me forçant à le regarder dans les yeux. Il dit:

— On va passer aux choses sérieuses, ma fille! Mets-toi à quatre pattes sur le sol!

Il me jeta violemment au sol. J’obéis à ses ordres et me positionnais comme il le souhaitait.

— Cambre-toi, Eva!

Je relevais doucement mes fesses et cambrais mon dos. Je sentis mon père prendre position derrière moi. Il remonta ma mini-jupe, mettant mes fesses à nues. Ses énormes mains m’attrapèrent par les hanches. Son sexe se positionna sur mon anus. Effrayée, je m’exclamais

— Arrêtes, pas par là, tu es bien trop gros!

Je reçus une tape derrière la tête. Il répondit de façon agressive:

— Ta gueule, ma fille! Je te prends par où je veux!

Et comme pour affirmer ses paroles, il donna un coup de boutoir.

Je relevais la tête et hurlais ma douleur. L’épaisseur et la longueur de l’énorme sexe de mon père étaient affreuses. J’avais l’impression que Tyran me violait mon cul de nouveau! Sauf que c’était un humain qui venait de m’enculer, et mon propre papa, qui plus est!

La pénétration se fit au ralenti: mon père prit tout son temps pour engouffrer son énorme mandrin jusqu’au fond de mon anus. Et lorsque ses couilles battirent contre mon clitoris, je sus que mon père était allé aussi loin qu’il le pouvait.

Je pris conscience que j’avais 30cm de chair épaisse bien ancrée dans mon cul. J’avais affreusement mal, autant, si ce n’est pire, qu’avec Tyran, mon chien. Ces 30cm de bite appartenait à mon père, et cela me choquait terriblement: j’étais en train d’être embrochée dans la rondelle par mon propre papa!

Mais je n’eus guère le temps de tergiverser sur mon sort: mon père fit le sens inverse dans mon colon. Il ressortit doucement son sexe de mon anus, me faisant couiner de douleur. La souffrance de mon anus se calma à la sortie de l’énorme mandrin de mon père.

— T’es dilatée du cul, ma fille! Faut dire qu’avec le nombre de mecs qui te sont passés dessus, ça aide!

Il replongea son engin démesuré dans mon cul, m’arrachant de nouveaux hurlements.

— Aaah, tu me fais mal! criai-je.

— Ta gueule, poufiasse!

Il ajouta, en me criant dessus:

— Et maintenant, je vais te sodomiser, ma jolie!

En me serrant davantage les hanches, ses grosses mains viriles m’entourant presque entièrement mon petit ventre, il commença alors un lent et puissant mouvement de va-et-vient au fond de mon boyau anal.

Voilà, c’était fait. Mon père m’avait matée et me sodomisait sur le sol de son salon. À quatre pattes, le cul pris d’assaut par un sexe hors-norme, je hurlais ma douleur. Le sexe de mon père était tel que j’avais du mal à concevoir que la nature pouvait fournir un tel mandrin à un être humain. Et que ce gourdin de chair pouvait entrer en entier dans mon anus. Heureusement que mes profs, puis Tyran, avaient réussi à dilater ma rondelle pour permettre à une telle bite de pouvoir la pénétrer. Sinon, mon père m’aurait probablement tuée!

Mon père me sodomisait proprement, sa bite coulissant difficilement mais finalement à travers les parois de mon cul. Il n’était pas vraiment doux, et je sentais bien qu’il n’était là que pour son plaisir personnel. Ce fut à ce moment là que je me rendis compte de mes actes.

Mon père était en train de me violer le cul. Comment cette situation avait-elle pu être générée? Comment avais-je pus en arriver là? Comment mon père avait-il pu avoir cette pensée-là? J’étais terriblement honteuse de me laisser tringler sauvagement par mon père sur le sol, moi à quatre pattes comme la dernière des salopes!

Seulement voilà, un facteur, auquel je ne m’attendais pas, apparut avec le temps et la baise: j’entendis mes premiers soufflements de plaisir à travers mes gémissements et hurlements de douleur. Mon père commençait à me faire du bien! C’était de la folie!

J’arrivais à prendre plaisir de sentir une énorme bite dans mon cul, j’étais vraiment une salope! Pire, c’était mon père qui me mettait une grosse cartouche!

Il m’encula durant de longues minutes, ne me ménageant pas vraiment. Le plaisir était là, mais assez faible: c’était la souffrance que je ressentais le plus.

Au bout d’un certain temps, mon père se retira de mon anus, et je crus respirer. C’était incroyable la montagne de chair qu’il pouvait me mettre!

Il m’attrapa par les cheveux et me força à m’agenouiller. Là, je fis face à son énorme engin dont la vue me faisait taire de fierté. Mon père était incroyablement bien membré, ma mère devait prendre cher également

Mon père s’astiqua le sexe, en face de moi. Comprenant ses intentions, je lui criai:

— Non, papa, je déteste ça!

— Pourtant, ça n’avait pas l’air de te déranger dans cette vidéo!

Et au même moment que ces dernières paroles, mon père envoya la sauce. De puissants jets de sperme atterrirent sur mon visage innocent, m’humiliant sévèrement. Il n’y avait pas que la bite de mon père qui était hors-norme, mais aussi son foutre! Il me cracha littéralement une cascade de liquide chaud et blanc sur le visage, équivalent à la moitié des hommes qui m’avaient prise dans ce container, sur la vidéo. Et pourtant, eux-mêmes étaient déjà plutôt doués!

Son foutre chaud m’aveugla, et il en répandit sur mes lèvres, mes joues et mon nez. Quand il sembla avoir fini, il me dit:

— Voilà, tu as été punie, sale chienne! Ca t’apprendra à tourner des vidéos pareilles!

J’ouvris les yeux et je vis trouble, à cause du foutre. Mon père riait aux éclats devant ma soumission. La soumission de sa propre fille.

Il m’attrapa ensuite par le cou, et me déclara:

— Tu es punie pour la journée! Tu vas retourner dans ta chambre, et méditer sur ce que tu as fait! Tu n’iras pas en cours aujourd’hui!

Il me projeta sur le sol, puis partit dans la salle de bain. Je filais dans ma chambre, le sperme collant sur mon visage. J’attendis patiemment qu’il sorte de la douche pour que je puisse enlever toute cette souillure. Plus les minutes passaient, et plus je me sentais honteuse et humiliée avec une telle quantité de foutre sur ma figure.

En sortant de la salle de bain, mon père me lança:

— Je vais garder la vidéo, je ne me lasse pas de la visionner!

Quelques heures plus tard, une fois propre, je passais le restant de la journée consignée dans ma chambre, à réfléchir sur mon sort: mon papa venait de me violer méchamment, mais j’y avais pris une parcelle de plaisir, ce qui m’empêchait de trouver cela totalement dégoûtant.

Qu’est-ce que l’avenir allait me réserver?

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