C’était une sombre journée d’hiver, le temps était accompagné de froid et d’humidité.
Comme à l’habitude, dans ma petite maison de campagne isolée, vers 19h30, je me préparais un repas à la cuisine.
Ce soir là fut légèrement différent des précédents, car 10 minutes plus tard, j’entendis toquer à la porte.
Lorsque j’ouvris, une jeune femme à la voix tremblante, qui n’était autre que ma voisine me dit bonjour et s’excusa platement pour le dérangement, mais, me demandait si elle pouvait utiliser une partie de ma cour extérieure pour stocker quelques affaires, car elle avait eu une canalisation qui avait lâchée et l’eau avait envahi et dégradé une bonne partie de sa maison, pour ne pas dire la totalité. Ses meubles étaient dévastés. La compagnie des eaux devant intervenir "en urgence", d’après leur dire, le lendemain matin seulement.
Étant abasourdi par toute cette histoire, Je lui prêtais naturellement immédiatement mon aide afin de dégager les affaires qui pouvaient l’être.
Après deux bonnes heures à rassembler le plus possible ses affaires, nous avons pu les mettre à labri dans la cour, ainsi que dans la maison.
Elle était désemparée par ce qui lui était arrivée.
Nous étions trempés tous les deux et surtout frigorifiés à force de traîner dans le froid et dans l’eau.
Elle avait eu son père au téléphone qui avait la possibilité de passer d’ici 2 à 3 heures pour venir la récupérer pour la nuit. En attendant, je lui proposais de prendre une douche bien chaude si elle le souhaitait, ce qu’elle acceptait avec grand plaisir. J’en fis de même dans l’autre salle de bain. La situation était un peu surréaliste et malgré le froid, mon petit esprit d’homme n’avait pu s’empêcher de voir ses formes clairement apparaître sous ses vêtements mouillés. Je chassais immédiatement ces pensées de ma tête, honte sur moi avec ce qui lui était arrivée.
Pendant qu’elle terminait sa douche, je préparais un bon repas chaud afin de faire passer un peu cette épreuve, temps pour elle que pour moi. Quand elle descendit, elle avait mis un vieux pantalon qu’elle avait pu récupérer et n’ayant plus de haut, je lui avais prêté un de mes t-shirt.
Elle était réconfortée de l’aide que j’avais pu lui apporter mais complètement chamboulée par ce qu’il venait de lui arriver. A tel point qu’elle n’avait pas vu que ses seins, qui forcement frottaient le t shirt à vide, avaient durcis et laissaient voir clairement ses tétons apparaître. Je me refusais à regarder même si mes yeux y aller régulièrement pendant le repas. Elle était sublime et j’avais du mal à rester concentré, malgré la situation. Elle me voyait légèrement "changé" depuis le début du repas et lorsque j’allais chercher le dessert, elle compris en voyant ses seins qui transparaissaient à travers son t shirt. Sur le moment elle eut une pensée de rejet car obnubilée par son incident, mais, des pensées obscurs vinrent vite la rattraper, d’autant plus qu’elle avait déjà repéré ce beau voisin ! Je revins donc avec les desserts, et, pendant qu’elle me parlait, trouvait prétexte à récupérer la bouteille d’eau, puis une serviette etc… sur la table de telle sorte que ses seins s’écrasaient à chaque fois sur cette dernière. Elle rigolait intérieurement de savoir que cela me rendait fou et cela lui faisait penser à autre chose par la même occasion, tel un divertissement. Mais ceci l’excitait également il faut le reconnaitre. Je me levais pour ramasser les assiettes, à ce moment là, elle vit clairement apparaitre mon sexe qui déformait complétement mon pantalon, tant son jeu avait fonctionné. Naturellement âne que je suis, je ne m’en rendais même pas compte. Alors qu’elle ramassait les serviettes et miettes sur la table, je fis mine de l’aider, j’étais donc très proche d’elle et mon pantalon frottait légèrement ses fesses durant les différents mouvements. Lors de gestes maladroits durant ces différents mouvements, son pantalon qui n’était autre qu’un jogging trop grand commençait à descendre un peu et moi a force de faire le malin, je n’avais pas vu que ma braguette, mal fermée, accompagnée par la force et la pression de mon sexe, avait fait légèrement sortir celui-ci.
Je le vis et, confus ainsi que désorienté par mes palpitations, au lieu de le ranger, je décidais avec une excitation irrationnelle, de doucement descendre son jogging qui était déjà bien descendu. Elle continuait à ramasser tout doucement les miettes sur la table et faisait comme si elle ne sentait rien, telle une confusion, un désir. Je continuait à l’aider en faisant style de rien également. Ma verge était très proche de son sexe qui me renvoyait une chaleur intense. Alors qu’elle reculait doucement sous prétexte de miettes au bort de la table, j’avançais pour aller chercher les serviettes au loin. Je sentais glisser ma verge dans son sexe. Elle faisait toujours l’air de rien, pendant que je lâchais les serviettes, la saisissais au niveau des hanches, pour la pénétrer au plus profond. Sa bouche s’ouvrait délicatement, alors que mes mains venaient s’emparer de ses seins. Elle reculait ses fesses afin de sentir mon sexe, devenu énorme, rentrer en elle.
Alors que j’allongeais ses bras le long de la table, que j’attrapais ses cheveux, afin d’aller toujours plus loin, je sentis jaillir une jouissance qui lui fit ouvrir grand sa belle bouche et la faisais jouir dans un cri étouffé.
Nous nous regardâmes sans un mot et attendîmes son père qui l’a récupéra 20 minutes plus tard.