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Histoires d'un mâle alpha – Chapitre 8




Elle me sourit. Elle est en bikini, belle comme un cur. Je la déshabille du regard et me rends compte qu’elle en fait de même. Elle réalise la même chose. On rit de ça. Elle parle la première :

— OK, donc ça, c’est fait.

Elle est complètement à l’aise, ça me plaît.

— Tu retournais dehors ?

— Oui, mais je ne suis pas pressé. Tu cherchais Manon ?

— Non, pourquoi, elle était là ?

-… Oui…

— Coquins.

— Il ne s’est rien passé.

— Vous faites bien ce que vous voulez.

— Tu voulais me parler ?

Elle s’avance vers moi, un beau sourire aux lèvres.

— Je veux la voir.

— Ah oui ?

— Oui. Et pas de marché, pas de négociations.

— Ah carrément.

— Oui, carrément. Je ne suis pas amoureuse, je ne cherche pas de petits copains, je pense que Manon prendrait infiniment plus son pied avec toi qu’avec l’autre nul. Donc tout ça, je m’en fiche.

— C’est con, il y a deux minutes j’étais nu.

— Et il ne s’est rien passé ? Ah ah.

— Elle m’a fait me retourner, pour que je ne la voie pas se changer, tu le crois ça.

— Oh oui je le crois. Tu sais ce n’est pas une sainte-nitouche Manon, pas du tout, mais c’est une fille bien.

— Et toi ?

— Moi aussi. Tu en doutes ?

— Pas du tout.

— Bon, j’attends.

— Si tu veux la voir, viens la découvrir par toi-même.

— OK.

Sophie s’avance encore jusqu’à se planter juste devant moi. Elle me regarde dans les yeux, j’aime bien. Sans me quitter des yeux, elle glisse ses deux mains dans l’élastique du maillot de bain et le descend lentement. Une fois qu’elle juge le maillot suffisamment baissé, elle va pour regarder. Le bout de ma queue est encore coincé dedans. Elle sourit.

— Ah oui.

— Oui.

— Mmmmm.

— Alors ? Satisfaite ?

— Pas encore.

Elle a dit ça en me regardant.

— Ah ?

Elle m’a fait un clin d’il et s’est accroupie devant moi très lentement tout en baissant encore un peu mon maillot, ma queue a vraiment jailli, une fois libérée. Elle a poussé un petit cri, s’est agenouillée.

— Attention, te blesse pas.

— Ah ah. Je peux ?

— Comment refuser ?

— Elle l’a prise en main. Délicatement, l’a branlée lentement, ma queue a durci petit à petit et grossit aussi.

— Mmmmmm de mieux en mieux. J’adore avoir un mec au garde à vous devant moi.

— Et moi j’adore avoir une fille à genoux devant moi.

— Tu m’étonnes;-) Elle s’arrête de grossir à un moment, rassure-moi.

— Ça dépend de toi.

— J’adore les blacks.

— J’avais deviné. Tu en as eu beaucoup ?

— Un seul. Une aventure de vacances.

— Et depuis ça te manque.

— Oh oui.

Elle a passé sa langue autour de mon gland, très doucement, une main posée sur mes couilles et l’autre sur ma queue bandée. J’ai passé ma main dans ses cheveux.

— Suce-moi Sophie.

— A vos ordres mon chéri.

Elle a léché ma queue de tout son long, puis aspiré mes couilles, elle a ensuite enfourné mon chibre dans sa bouche toute chaude. Elle suçait très bien, prenait bien sont temps, parfois me faisait des bisous sur la queue, la collait sur son visage. Ensuite elle changeait complètement, crachait dessus et me pompait rapidement et profondément.

— Mmmmmmmmm

— Tu aimes ?

— J’adore.

— Dis-le-moi.

— Tu suces comme une reine. Et…

— Et ?

— Et j’ai envie de toi Sophie.

— Pas là. Pas le temps. Juste une petite pipe.

— A tes ordres ma belle.

— Donne-moi ta semence beau black.

Je lui ai baisé la bouche à fond et ai fini par jouir dedans. Elle a tout avalé en me regardant.

Je lui ai laissé une minute pour reprendre ses esprits, elle a repris ma queue en bouche et je l’ai aidé à se relever. Je la tenais contre moi, je l’ai embrassée.

— Dur de résister je suis trempée. Mais j’ai comme qui dirait l’impression qu’avec toi on va pas pouvoir faire ça rapidement.

— Pareil.

— On se rattrapera, t’inquiète.

— Je ne m’inquiète pas du tout.

— Ça t’a plu ?

— Beaucoup.

— Moi aussi. On y va ?

— Oui, maintenant je peux sortir.

— De rien beau black.

J’ai suivi Sophie, pas pu m’empêcher de mater son cul de compétition. Elle est sortie, je suis passé aux toilettes du rez-de-chaussée. Me nettoyer la queue. Je suis sorti à mon tour. Je me suis pris une bière, me suis assis au bord de l’eau et bu ma bière tranquille. J’avais besoin de calme pour réfléchir et repenser tout ça. Pas le temps, Élise et Manon arrivent vers moi, et m’attirent dans l’eau.

— Allez, on est en train de faire les équipes et il nous manque un cheval.

Je vois une fille qui est déjà sur les épaules d’un mec, une autre qui grimpe sur les épaules d’un autre, Manon qui grimpe sur celle de Greg. J’aperçois Sophie qui discute avec deux autres personnes et qui me regarde. Je lui souris. Elle me rend le sourire. Élise grimpe sur mes épaules, se penche à mon oreille :

— En tant que Maîtresse de maison j’ai pu choisir mon étalon.

— Et on gagne quoi à ce jeu ?

— L’équipe gagnante se fait servir pour tout le reste de la soirée par l’équipe qui perdra en premier.

— OK. Bon on va couler Manon alors.

— Tu m’ôtes les mots de la bouche l’étalon.

On n’a pas traîné ; bon en même temps aucune équipe ne faisait le poids, Élise le savait pertinemment. On a coulé Manon et Greg direct. Hop, ça c’était fait ; et les deux autres équipes dans la foulée. On avait gagné, et on avait Manon et son petit petit copain à notre service pour la soirée. Les deux autres équipes ont commencé à dire qu’il fallait que les gagnants s’embrassent, que c’était la tradition. Greg faisait la gueule, comme d’hab, et Manon, elle n’osait pas trop. Elle nous encourageait, portée par les autres, mais pas de bon cur. Je me suis enfoncé dans l’eau pour qu’Élise descende de mes épaules. Elle est venue devant moi, s’est collée à moi, elle est petite, je décide que le mieux est de faire comme plus tôt à mon arrivée. Je la soulève d’un bras, elle laisse échapper un petit cri de surprise mais fait la même chose : jambes autour de ma taille, bras autour de mon cou. Elle est à deux centimètres de ma bouche et me dit juste :

— On a Manon et Greg à notre service pour toute la soirée et jusqu’à demain matin.

— Oui. En effet.

— De rien.

— C’était bien vu, j’avoue.

— Bon, tu m’embrasses ou pas.

— Oh oui.

On se sourit, et je lui roule une grosse pelle, qu’elle me rend bien volontiers, on s’embrasse peut-être une minute entière, avant que nos bouches se séparent.

— Mmmmmmm, délicieux. On a bien fait d’attendre tout à l’heure.

— Pas faux.

— Tu me reposes cow-boy.

— Oui ma p’tite dame.

Je repose Élise dans l’eau. Manon est sortie de la piscine, Greg lui parle, elle ne répond pas, il l’envoie chier. Elle râle. Sophie me sourit, je lui souris. Élise me tient toujours la main. On finit par se lâcher, on sort de l’eau. Je l’aide en bon gentleman. Et elle prend l’initiative.

— Manon, Greg, moi je prendrai bien du champagne. Isaiah ?

— Champagne, parfait ; une telle victoire ça se fête.

— Vous pouvez toujours courir.

— T’es vraiment nul Greg.

— Ouais Grégoire écoute ta copine, c’est le jeu, faut pas être mauvais perdant.

Je sens qu’il a envie de s’énerver, de s’énerver contre moi, de venir me provoquer, mais il sait tellement fort qu’il se ferait massacrer, qu’il baisse les yeux en baragouinant sa frustration.

Manon reprend un peu le dessus :

— Donc juste du champagne pour les vainqueurs ?

— Pour l’instant oui.

Élise et Manon se font un sourire complice. Manon nous apporte ça et en a pris une pour elle. Les deux filles se font une bise et un câlin, pour se signifier que tout va bien. Greg a disparu.

— Ah, apparemment Manon, tu es seule pour nous deux.

— Pff, j’en ai marre. On sera pas plus mal sans lui.

Je ne relève pas. Manon est belle, j’ai envie de lui faire l’amour, j’ai envie de la voir jouir.

Je discute un peu en mangeant avec des mecs sympas, on déconne, on parle sport, il y a des gens sympas dans la classe, j’apprends à les connaître. On se baigne de temps en temps. La soirée est top. On rit bien. Il y a un salon d’extérieur, je vois Sophie et Manon, assises dans un canapé. Je les rejoins avec deux coupes pour elle et un whisky pour moi. Je m’assieds à côté de Sophie, là où il y avait de la place. On discute de tout et de rien. Manon est morose, Sophie est guillerette ce qui remonte le moral de sa copine.

— Manon ?

— Oui.

— J’ai très faim encore, tu n’iras pas me chercher un burger.

Elle me sourit comme pour m’envoyer chier mais se lève finalement et va me chercher un burger.

J’ai appris que la règle était que la fille perdant s’occupait de la bouffe, le mec perdant des boissons, et pour toute autre demande c’était une fois l’un une fois l’autre. Greg avait finalement à peu près joué le jeu. Il avait râlé évidemment quand une minute avant je lui avais demandé de nous apporter à boire. Mais il avait finalement obéi quand Élise, qui passait par là, l’avait carrément engueulé en lui disant qu’il saoulait tout le monde avec sa sale humeur, et qu’il ferait mieux de se barrer. Il était resté, dommage, mais il m’amenait à boire au moment où je finissais d’engloutir le burger. Durant l’engueulade, Sophie et moi on se marre, Manon est gênée. Il nous apporte les verres et s’assied à côté de Manon, il ne s’excuse pas mais veut l’embrasser, elle le repousse. On parle tous les trois avec Manon et Sophie, lui ne décroche pas un mot. Élise arrive tout sourire.

— Greg, il faudrait que tu ailles à la station-service dans le centre, ramener des glaçons.

— C’est une blague ?

— Ah non non. Et comme là j’en ai franchement marre, et désolée Manon, mais là ton gars il me gonfle, Greg c’est soit tu te barres de chez moi soit tu fais ce qu’on te dit.

— Putain, mais dis quelque chose toi, tu laisses ta copine me parler comme ça.

— T’es lourd Greg, elle a raison.

— Ouais OK, super, bon je vais les chercher vos glaçons. Putain c’est où ?

Je sens qu’Élise n’en peut plus, et Manon est au bord des larmes. Sophie le sent aussi. Elle se lève aussi et dit :

— Bon, je vais venir avec toi, on prend la voiture de mes parents, faut que je remette de l’essence de toute façon.

Manon prend la main de Sophie comme pour lui dire merci, et Élise lui dit carrément merci. Greg se lève et suit Sophie. Élise me fait un clin d’il et de ses lèvres mime un nouveau « de rien ». Elle nous laisse.

Je me glisse vers Manon. Je passe mon bras autour d’elle.

— Hey, oh, ma belle. La soirée est top, on rigole, on picole, on mange des super bons burgers super bien préparés d’ailleurs, interdiction d’être triste.

Elle sourit timidement.

— Tu as raison, désolée.

— Et interdiction d’être désolée. OK ?

— OK.

Je lui tends ma main en disant :

— Promis ?

— Promis Isaiah.

En disant cela, elle prend ma main et la serre. Elle sourit, je garde sa main. J’ai donc un bras autour d’elle et sa main dans la mienne, elle est blottie dans le creux de mon épaule.

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