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Au camp scout – Chapitre 2




Après notre petite escapade, nous sommes rentrés au camp sans reparler de ce qu’il s’était passé, nous étions à mon avis tous les deux un peu honteux de s’être ainsi montrés en spectacle l’un à l’autre.

Cependant, je ressentais encore beaucoup de désir pour lui, si je n’étais pas aussi timide, je sauterais sur lui immédiatement !

Lorsque nous sommes rentrés, personne ne s’est douté de rien et nous sommes retournés chacun dans notre patrouille respective. Pendant deux jours, nous n’avons plus eu de rapprochements, ne fut-ce que par manque de temps.

Mais pendant ces deux jours, le désire n’a cessé de monter et j’avais parfois du mal à dissimuler un début d’érection lorsque je me retrouvais près de Romain lors des jeux ou des repas. Ceci dit, nous évitions de nous rapprocher afin de ne pas attirer l’attention des autres.

Nous avons terminé cette journée avec une traditionnelle veillée, moments de chants et de petites scénettes. Après quoi nous sommes tous allés dormir dans nos tentes respectives (séparées filles/garçons, je ne sais plus si je l’ai déjà dit).

Comme tous les anciens scouts le savent, pour avoir plus chaud dans son sac de couchage il est préférable de porter le moins de vêtements possibles, c’est pourquoi chacun se déshabillait afin de ne garder qu’un simple slip. En me dévêtant lentement, j’observais mes camarades en faire de même. Tous mes camarades scouts sont relativement bien bâtis et beaux garçons, allure sportive et bonne santé. Mais étrangement, je ne ressens rien de particulier en les regardant. Il n’y a que Romain qui me fait de l’effet. Son lit est en face du mien. Nous sommes tous les deux sur le bord de la tente et nous n’avons donc chacun qu’un seul voisin séparé de notre lit par les sacs à dos et autres affaires. Ce qui signifie qu’une fois couchés, nous ne voyons plus les autres.

Nous sommes donc tous rentrés dans notre sac de couchage et tout le monde s’est rapidement endormi, fatigués de la journée.

Tout à coup, j’ai été réveillé par une main qui me frappait (doucement) la joue. C’était Romain

— Tu dors ?

— Euh oui.. je dormais pourquoi ?

— Je peux venir près de toi ?

Romain, sans sortir de son sac, se retourna et vint se loger contre moi et passa ses bras autour de moi. Le sentir ainsi contre moi m’excita. Il était torse nu le sac abaissé jusqu’à la taille. Il faisait très chaud dehors, j’avais d’ailleurs très chaud moi aussi à l’intérieur de mon sac, celui-ci collait à ma peau.

Après quelques minutes ainsi, Romain me demanda s’il pouvait venir dans mon sac, ce que j’accepta. La manoeuvre fut périlleuse car elle devait se faire dans le plus grand silence possible et un sac de couchage étant déjà très étroit, y entrer à deux n’était pas gagné.

Il sortit d’abord du sien et passa à 4 pattes au dessus de moi et commença par passer ses jambes, je sentais ses jambes passer près de mon visage, elles étaient très douces, puis au fur et à mesure qu’il s’introduisait dans le sac, son corps entrait de plus en plus en contact avec moi, c’est ainsi que son ventre frotta lentement mon visage, pour remonter doucement sur son torse. Nous étions alors torse sur torse. Nous sommes restés dans cette position de longues secondes, sans réellement se voir du fait de l’obscurité, puis Romain de logea derrière moi et m’entoura de ses bras.

Je sentais la chaleur de son corps m’envahir, il enfonça sa tête dans mon cou, sa respiration me chatouillait la nuque.

Lentement, sa main droite caressait mon ventre et mes tétons, presque inconsciemment…

J’avais énormément envie de Romain et je pense que lui aussi, mais personne n’osait se lancer d’autant plus que la situation était très dangereuse du fait de la proximité des autres.

Romain me faisait des baisers dans le cou. La chaleur et l’étroitesse du sac faisait que nos peaux se collaient. Petit à petit il descendit sa main droite vers mon slip. Il joua un petit peu avec l’élastique avant de descendre vers ma cuisse qu’il serra plus fort pour la malaxer. Nos peaux étaient très humides et glissaient sans problèmes. Sa main droite continua son chemin vers mes fesses qu’il empoigna et caressa avant de finalement, passer sous l’élastique de mon slip.

Malgré que j’étais déjà extrêmement excité, sentir sa main en contact direct de mes fesses me fit un électro choc. J’avais envie qu’il me prenne ici et maintenant.

Malgré le peu de place que j’avais pour bouger, j’essayais de me recroqueviller au maximum afin de faire ressortir mes fesses et ainsi lui lancer un appel qu’il comprit.

Je sentis sa main caresser l’intérieur de mes fesses et passer sur mon anus que je sentais très humide, comme s’il attendait d’être envahi.

Romain frottait maintenant son slip sur moi, je sentais son sexe dur emprisonné à l’intérieur. Je dégageais ma main droite pour essayer de le caresser également. Romain fut très réceptif à mes caresses et tout en abaissant son propre slip, continuait à m’embrasser dans le cou. Je sentis son sexe jaillir de son slip et venir frapper mes fesses tellement il était dur.

Tout en me serrant de ses deux bras, il glissait son sexe dur entre mes deux fesses, je sentais son gland remonter jusqu’au bas de mon dos. Je désirais qu’il me pénètre mais peut-être avait-il peur de le faire.. ?

Il me serrait de plus en plus fort dans ses bras musclés, sa respiration dans mon cou se faisait également de plus en plus forte et il continuait ses lents mouvements de frottements entre mes deux fesses.

Je le sentais derrière moi au bord de l’explosion, cela ne faisait pas longtemps qu’il était à l’affaire mais il devait être très excité. Sa respiration devint soudainement plus saccadée, sa main droite se plaqua sur mon sexe dur et le serra. Au même moment, ses vas-et-viens se firent plus courts et plus rapprochés, et je sentis un liquide chaud couler entre mes deux fesses et le bas de mon dos: il venait de jouir sur moi.

Sa main droite resta sur mon sexe, j’y plaça également la mienne et après quelques secondes, je fini par jouir également dans la main de Romain.

Pleine de sperme, il passa sa main sur mon torse nu et humide pour l’essuyer tout en continuant de m’embrasser.

Je mis également ma main sur mes fesses, je pu sentir le sexe de Romain encore dur baignant dans une quantité de sperme encore chaud.

L’excitation retomba peu à peu mais aucun de nous deux ne voulait bouger, la chaleur moite nous immobilisait et nous endormait.

Finalement je pris l’initiative de demander à Romain de regagner son sac et sa place, ce qu’il fit.

Une fois seul, j’essayais de m’endormir, en me laissant emporter par mon imagination. Je plongeais la tête dans mon sac, je pouvais encore sentir l’odeur âcre de nos spermes.

Je remis mon slip sur mes fesses qui commençaient à coller. Il serait temps de m’en tracasser demain, pour le moment,, j’ai juste envie de dormir…

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