L’histoire que je vais vous conter s’est déroulée quand j’étais étudiante. Je venais d’aménager dans mon appartement et je commençais à me faire quelques amis. Parmi eux, il y avait un certain Serge. Lorsque je l’ai rencontré, j’ai tout de suite remarqué son regard pénétrant, son air mystérieux, son attitude… Je pense que je suis tombée amoureuse de lui mais je n’osais pas me l’avouer. Il m’a d’ailleurs laissé penser à plusieurs reprises que je ne lui était pas indifférente.
Aussi, à la fin d’une soirée, je lui ai fait comprendre qu’il pouvait tenter sa chance s’il le souhaitait. Quelques minutes plus tard, nous voilà tous les deux chez moi à nous embrasser goulument. Subitement, il me repoussa, ouvrit sa braguette et me tendit un préservatif.
« Suce-moi.
— Pardon ?
— Suce-moi et ne m’oblige pas à me répéter… »
Son regard était devenu noir, glaçant. Comme un pantin, je me suis mise à genoux et ai attrapé le préservatif. Je l’ai installé sur son sexe. Je suis friande de sexe mais de cette façon, un peu trop directe, c’était une première. J’ai pris en bouche son sexe et ai commencé à lui donner du plaisir. Doucement, je faisais aller et venir son membre entre mes lèvres et faisant tourner ma langue autour de son gland. Je faisais en sorte de maintenir son plaisir mais sans le faire jouir. Mais visiblement, ce traitement n’était pas celui qu’il attendait.
« Tu attends quoi pour me faire juter ?
— On est pas pressés, mon amour
— Moi oui. Tu crois que j’ai envie de passer ma nuit dans ta bouche ? »
Sur ces paroles, il me releva d’un coup et me plaça contre la table. D’une main experte, il releva ma jupe et m’enleva la culotte. De l’autre, il me maintenait fermement le torse collé à la table. Sa deuxième main commença à glisser entre mes fesses et un doigt humide se fraya un chemin dans mon petit trou.
« Non, pas par là ! Je n’ai jamais fait par là !
— Tu es vierge du cul ? Dit-il en ricanant
— Arrête ! Tu me fais peur là… »
Puis je senti le sexe de Serge contre ma rondelle. Il pressa doucement et mes chairs s’écartèrent. La douleur était assez intense mais son gland finit par passer. Lorsqu’il fut en moi, il m’attrapa par les épaules et s’enfonça en moi d’un coup sec. J’eus l’impression d’être transpercée par un pieu brulant. J’eus tellement mal que des larmes commencèrent à rouler sur mes joues. Il entama des allers et retours entre mes fesses. Je ressentais un peu de plaisir mais largement trop peu pour me faire oublier la douleur. J’eus l’impression que cette sodomie durait des heures. Il finit tout de même par jouir. J’ai senti les spasmes de son sexe dans mon anus. Il se vida dans la capote et se retira, laissant le préservatif en moi. Il se rhabilla prestement.
« Je reviens te voir demain. A toi de voir si tu veux me laisser entrer ou pas… »
Il me laissa seule, l’anus douloureux et le préservatif pendant à celui-ci. Je le retirais, allais me nettoyer et me mis au lit, bouleversée.
Le lendemain, en fin de journée, on frappa à ma porte. Mon cur fit un saut périlleux arrière dans ma poitrine. J’allais ouvrir la porte, il était là… souriant, toujours aussi beau…
« Bonsoir… Bien dormi ?
— Euh… pas trop en fait… Euh… Bonsoir, balbutiais-je
— Je peux entrer ? »
Je m’écartais du pas de la porte lui laissant la place de pénétrer chez moi. Il entra et me prit dans ses bras. Il m’embrassa tendrement, amoureusement puis reprit son chemin vers l’intérieur. Il me fit m’asseoir sur le bord du lit. Il vint se mettre à genoux face à moi et m’enlaça. Ses mains me caressèrent jusqu’à arriver à la braguette de mon jean. Il me la déboutonna puis me fit me lever baissant d’un coup mon jean et ma culotte. Il se leva et il m’embrassa le cou en caressant mes seins et la naissance de mon pubis. Puis une de ses main passa de l’autre côté et empoigna mes fesses. Avec la deuxième, il me tendit un préservatif. Je lui ouvrit et lui installa sur le sexe. Il me fit alors me tourner et une main ferme me contraint à me pencher en avant. Un de ses doigts, bien humidifié entra dans mon anus. Il était plus doux que la première fois et je me décidais, ou peut-être n’avais-je pas le choix, à le laisser faire. Il m’écarta encore plus en insérant un deuxième doigt entre mes fesses. Puis il pointa son sexe et entra en moi, centimètre par centimètre. Lorsqu’il m’eut investi entièrement, il se mit à aller et venir brutalement en me tenant fermement par les hanches. Aux bout de longues minutes de coups de butoir brutaux, il se figea en moi et déversa son foutre au fond de la capote. Il se retira. Je me tournais alors vers lui et lui dit :
« A mon tour, maintenant… »
Il ricana et finit de s’habiller. Il m’expliqua qu’il avait ressenti en moi mon besoin d’être utilisée par un homme et qu’il serait ravi d’être cet homme-là. Il me proposa alors de réfléchir et de lui donner une réponse en lui offrant le double des clés de mon appartement. Si je lui donnais, en les déposant dans sa boîte aux lettres, cela voulait dire que j’acceptais de lui appartenir.
Lorsque je suis allée lui déposer mes clés, il y avait un petit mot sur la boîte : « Tu as fait le bon choix. ». Les semaines suivantes, Serge vint me voir à de plusieurs reprises. Il pouvait venir à toute heure du jour et de la nuit. Il prenait d’ailleurs plaisir à pénétrer chez moi en pleine nuit et à me réveiller pour obtenir ce qu’il voulait de moi. Le plus souvent, il se contentait de me faire l’amour, tendrement, amoureusement, comme un amant attentionné. Quelques fois, il me forçait à lui faire des fellations jouissant sur mes seins ou au sol et m’obligeant à tout nettoyer, même lui. Il pouvait aussi pénétrer chez moi et, sans aucun mot, me sodomiser jusqu’à ce qu’il jouisse, laissant sa capote remplie dans mon anus. Mais il lui arrivait aussi de venir simplement pour passer du temps avec moi. J’étais dominée, soumise, souillée, utilisée… mais heureuse comme jamais.
Une nuit, alors qu’il venait de jouir dans mes fesses, il m’ordonna de ne pas bouger. J’étais nue, à quatre pattes, au sol, avec le préservatif dans mon anus. Il me dit d’écouter sans dire le moindre mot.
« Tu es une très bonne baiseuse. Et tu aimes ça. Tu es une bonne petite salope. Et tu le sais. Tu es un trésor, un chef d’uvre du sexe. Et je ne veux pas que ce chef d’uvre reste enfermé. J’ai donc décidé de l’ouvrir au public. Mais j’en serais le gardien. Je prêterais ta clé à qui bon me semblera et celui qui l’aura pourra profiter de toi à sa guise pendant une nuit. Je ne te préviendrais pas à l’avance… Bien sûr, en tant que gardien, je veillerais à ta sécurité et à ta conservation. Es-tu d’accord? »
Des larmes silencieuses coulaient de mes yeux et s’écrasaient devant moi sur le sol. J’imaginais déjà la file de garçons devant ma porte attendant leur tour. Soudain une claque violente sur mes fesses fit trembler tout mon corps.
« REPONDS-MOI ! »
Je levais alors les yeux vers lui et y percevais une lueur inconnue, comme une peur glaçante mais enrobée d’une tendresse. Un signe de la tête lui donna mon accord. Il vint alors vers moi, me serra fort contre lui et me dit :
« Je t’aime. Je suis heureux de tout ce que tu fais pour moi. Tu fais de moi un homme comblé. Je t’aime. »
Et il me fit l’amour une nouvelle fois… passionnément…
Puis un jour, ce qui devait arriver, arriva. J’étais sur mon lit, en pyjama et peignoir en train de regarder la télé quand la porte de mon appartement s’ouvrit. Je me suis levée d’un bon pour accueillir Serge. La personne que j’ai vu dans l’entrée n’était pas lui. Il s’agissait d’un jeune homme avec des lunettes et les cheveux en vrac. Il portait une petite chemise blanche et un pantalon en velours marron sous une veste d’un autre temps. Il la posa sur une chaise, s’avança vers moi et balbutia :
« Bonsoir. Un certain Serge m’a donné cette clé. Je dois lui rendre demain matin. Il m’a dit que celle qui y est fera tout ce que je voudrais. C’est une blague, non ?
— Non. C’est vrai mais tu veux quoi ?
— Je ne sais pas… Tu peux faire quoi ?
— Serge ne t’a rien dit ?
— Si, il m’a dit de rien faire de méchant. De profiter mais de ne pas abuser…
— Alors ?
— Tu peux te déshabiller ? »
Surprise de cette demande simple, j’ai enlevé un à un mes vêtements pour me retrouver nue face à cet inconnu. Il semblait troublé. Il rajusta ses lunettes et approcha de moi. Il commença à me caresser doucement puis me demanda si je voulais bien lui donner du plaisir. Je lui répondis que je ferais tout ce qu’il voudrait. Il me dit de me mettre à genoux puis il ouvrit sa braguette libérant un sexe de taille modeste mais déjà bien bandé. Il me demanda de lui mettre une capote puis de le prendre en bouche. Quelques allers et retours suffirent à le faire venir. Il s’excusa puis finit de se déshabiller. Il se coucha dans mon lit nu et m’invita à la rejoindre. Il m’installa contre lui et me caressa.
Un peu plus tard, il me dit simplement à l’oreille : « Recommence ». Son sexe était de nouveau en érection. Je l’ai de nouveau équipé et l’ai repris en bouche. Il fut bien plus long mais j’ai fini par le faire jouir. Dans la nuit, il réclama mon attention à de nombreuses reprises, il me pénétra dans des positions très variées. A un moment, il me mit en levrette et j’ai senti un de ses doigts se présenter devant mon petit trou. Il me demanda l’autorisation et je lui répétais pour la énième fois qu’il avait tous les droits. Il m’encula donc avec férocité. Cette sodomie me fit jouir pour la première et unique fois de la nuit.
Au petit matin, il me quitta en me remerciant pour la nuit et en promettant de revenir me voir. Il n’en fut rien. C’était une des règles de Serge. Une seule et unique fois mais pour une nuit… Quand je suis allé voir Serge, il refusa de me donner le moindre indice sur ce garçon. Il reste, comme les autres un parfait inconnu.
C’est après cette aventure que Serge comprit ma totale soumission à ses envies. Il décida qu’il était grand temps de s’occuper de ma garde-robe. Mes pantalons furent remplacés par des jupes et des robes courtes. Mes sous-vêtements de « petites filles » disparurent au profit de sous-vêtements plus féminins. Mes collants durent laisser place à des bas qu’il m’ordonna d’accompagner de porte-jarretelles ou de guêpières. Mes chaussures, jusque là plates, prirent de la hauteur. Pour la nuit, mes pyjamas furent changés par des nuisettes. Les finances de ses parents n’eurent aucun mal à me fournir cette nouvelle garde-robe qui fit de moi une nouvelle femme, plus désirable, plus sexy…
Aussi quand la porte s’ouvrit pour la première fois après ces changements, le garçon qui rentra découvrit une jeune femme en porte-jarretelles et bas sous une robe courte et perchée sur des chaussures à talons. Il fut ravi de cette découverte et profita de moi ma contraignant à des fellations, des pénétrations multiples, des sodomies… Bref, il usa et abusa de moi autant que possible…
Mais Serge voulait que je repousse toutes mes limites. Aussi, un jour, nous devions aller au restaurant. Avant de partir, Serge choisit mes vêtements : une guêpière noire, des bas voile noirs, une jupe beige si courte que l’orée de mes bas apparaissait lorsque je m’asseyais, un chemisier noir assez transparente pour permettre d’entrevoir mes dessous, un paire de sandales à talons hauts et c’est tout. Me sentir sans culotte me perturbait mais c’est ce que voulait mon Maître. Toute la soirée, j’ai eu l’impression qu’on m’observait et qu’on me jugeait. Serge ne m’aidait pas à me détendre en appuyant sur ces regards et traduisant en mots crus et vulgaires ce que je sentais dans les regards. En rentrant, Serge m’obligea à le sucer, pour la première fois sans préservatif, et jouit dans ma bouche. C’était ma première gorgée de sperme. Ensuite, il m’ordonna de me masturber devant lui et il partit avant que je finisse me disant que c’était ennuyeux… J’ai pleuré de tristesse et de bonheur.
M’ayant complètement à sa botte, Serge se permit quelques libertés avec les règles qu’il avait lui-même fixées. Il brisa la première le jour où la porte de mon appartement s’ouvrit alors que j’étais sous la douche. Il me glissa à travers la porte de la salle de bain :
« Sèche-toi mais pas la peine de te couvrir, ma chère petite chienne…
— Oui, Maître. Je me dépêche. »
Lorsque je suis sortie de la salle de bain, forcément nue comme un ver, Serge m’attendait avec deux garçons. Il avait pourtant fixé que seule une personne pourrait me rendre visite à la fois. Il me fit signe de la main d’approcher. En me voyant faire, les deux garçons se sont levés, ont sorti leur sexe et les ont recouvert d’un préservatif. Serge m’intima l’ordre de me mettre à genoux devant eux et ils investirent ma bouche. Après les avoir longuement sucés l’un après l’autre, l’un d’un décida qu’une bonne levrette s’imposait. Il m’installa à quatre pattes sur mon lit et vint se mettre derrière moi. Il me pénétra avec vigueur pendant que son copain reprenait possession de ma bouche. Ils me baisèrent ainsi un petit moment avant d’intervertir leur place. Quand ils furent satisfaits, ils réclamèrent de nouveau ma bouche pour leur orgasme qu’ils déversèrent dans leur capote. Serge nous quitta alors sous le regard complice des deux hommes.
Sous leur commandement, j’ai enfilé une nuisette puis nous nous sommes mis sur le canapé. Quelques caresses plus tard, l’un d’entre eux était prêt à remettre le couvert. Il eut droit à une fellation et de multiples positions de pénétration. Quand il eut fini de prendre son plaisir, le second prit le relai. Il m’utilisa comme son copain. A son orgasme, j’espérais un peu de calme mais le premier sollicita de nouveau mon attention, puis ce fut encore au tour du second. Nous étions ensuite tous épuisés et un peu de repos s’imposa.
Après un trop court moment de repos, j’ai commencé à sentir des mains coquines qui me caressaient ouvertement. L’un des deux garçons fit glisser sa main entre mes fesses. Très vite, je sentis un doigt dans mon petit trou. Le second qui commençait à bander dur réclama que je lui grimpe dessus. Une fois bien placée sur lui, j’ai de nouveau senti le premier qui triturait mon petit trou. Ce qui devait arriver arriva et en quelques minutes, mon anus était étiré permettant la sodomie. J’étais donc prise par devant par un des garçon et enculée par le second. Cette double-pénétration me fit jouir à de nombreuses reprises. Cependant les deux garçons réussirent à se retenir et purent échanger leur place afin de me faire subir une nouvelle double-pénétration. Un dernier orgasme pour moi et un pour chacun des garçons clôturèrent notre soirée.
Au petit matin, j’ai pris ma douche sous leur regard. Puis il m’ordonnèrent de me masturber à trois reprises devant eux. J’en avais mal mais je devais le faire… pour Serge.
Mais il ne semblait pas m’en avoir fait subir assez. Alors, il me demanda l’autorisation de rompre une deuxième règle en introduisant les plaisirs saphiques dans notre jeu. Je refusais tout net et il ne sembla pas gêné. Le lendemain, il m’ordonna de venir le voir, nue sous une robe.
A mon arrivée, il me présenta une jeune femme blonde. Devant moi, il se mit à la caresser. Il lui lécha le sexe puis elle le suça. Ensuite, ils firent l’amour très tendrement. La blonde ne me quittait pas de yeux. Lorsqu’ils eurent fini, Serge me proposa de faire l’amour avec la jeune femme, ce que je refusais. Le même manège se reproduit avec la même jeune femme à plusieurs reprises. Devant mes refus réguliers, il m’expliqua qu’il ne me ferait plus l’amour tant que je n’accepterai pas. Après de longues semaines sans sexe, je finis par céder… pas vraiment à contre-cur car cette jeune femme commençait à me plaire.
Aussi, le jour suivant, quand ma porte s’ouvrit, je m’attendais à voir entrer cette belle blonde. J’avais pour l’occasion enfiler une parure soutien-gorge-string que j’avais juste couverte d’une robe bleue. Mais ce n’est pas la blonde qui m’apparut mais une grande perche rousse un peu trop épaisse à mon goût et avec une attitude vulgaire qui me déplut au plus haut point.
« Salut ! Alors c’est toi qui va me lécher ce soir ? Ça me va, tu as l’air de savoir te servir de ta bouche. »
A cette phrase, elle retira son jean et sa culotte et s’approcha de mon lit. Elle s’allongea et m’indiqua du doigt son sexe couvert de poils roux. Je me suis approchée d’elle et me suis agenouillée. J’ai commencé à écarter les poils doucement et ai dardé ma langue vers son clitoris. Visiblement agacée par ma lenteur, elle m’attrapa par la nuque et m’appuya sur son sexe ouvert.
« Arrête tes politesses de p’tite vierge. Bouffe-moi la chatte ! »
J’ai donc bougé ma langue dans son antre, commençant à lui arracher quelques soupirs de plaisir. Je voulais la faire jouir au plus vite de façon à ne pas rester ainsi trop longtemps. Mais régulièrement, elle me tirait par les cheveux pour me retirer d’entre ses cuisses.
« T’es une vraie vorace, salope! »
Enfin, je l’ai sentie céder et elle se déversa contre ma bouche couverte de son jus. Elle m’envoya me nettoyer pour que je me débarrasse de son jus et des quelques poils que j’avais gardé contre et dans ma bouche.
Quand je revins, elle était entièrement nue. Elle avait libéré ses gros seins lourds. Elle m’invita à me coller à elle et elle commença à me câliner. Elle m’invita à lui tripoter ses « grosses mamelles », comme elle les appelait. Quand elle fut de nouveau excitée, elle me fit replonger entre ses cuisses et m’obligea une nouvelle fois à lui lécher le sexe. Cette fois-ci, elle me dit qu’elle voulait que je fasse durer son plaisir. Comme j’y allais trop fort à son goût, elle me tira par les cheveux et me colla une paire de gifles avant de me remettre entre ses cuisses. Quand elle décida qu’il était temps qu’elle jouisse, elle m’appuya fort contre son sexe. Elle jouit de façon assez bruyante.
Reprenant ses esprits, elle s’installa dans mon lit et m’envoya me nettoyer de nouveau. A mon retour, elle me dit de me « foutre à poil ». Je retirai ma robe et elle fut surprise par mes dessous, qu’elle qualifia de « sous-vêtements de petite cochonne ». Elle m’invita à la rejoindre dans le lit et m’embrassa à pleine bouche.
« Ta bouche pue la chatte. Mais où as-tu foutu ta langue? »
Elle me colla le visage entre ses seins et s’endormit très vite. Je la suivis rapidement malgré ma position inconfortable.
Au réveil, nous sommes allées prendre une douche ensemble. Je dus la savonner et la rincer à mains nues. Puis, nous nous sommes retrouvées sur mon lit. Elle se mit à quatre pattes et m’invita à venir lui donner du plaisir. Je commençais à lui lécher le sexe malgré ma position peu pratique. Elle attrapa alors mes cheveux et me fit remonter légèrement. Je me trouvais alors face à son petit trou, nettoyé par mes soins quelques minutes plus tôt. Comprenant son souhait, j’ai commencé à faire aller et venir ma langue le long de la raie de ses fesses, m’attardant sur son petit trou. Du bout de la langue, je forçais son anus qui ne tarda pas à s’ouvrir. Malgré l’odeur et le goût, je faisais de mon mieux pour contenter cette vicieuse démoniaque. Visiblement, j’y réussis car son anus se contracta par spasmes autour de ma langue, indiquant un orgasme. Satisfaite, elle s’habilla et me quitta sans un mot.
Fort de cette dernière expérience, Serge compléta ma garde-robe de soumise avec des baillons, des godemichés, des liens en tout genre, des fouets, des badines et des tapettes. Il m’entraîna dans des soirées ou hommes ou femmes étaient suppliciés pour leur plus grand plaisir et pour le plus grand plaisir de leurs dominateurs ou dominatrices. J’ai perdu le compte du nombre d’hommes et de femmes que j’ai du satisfaire dans le but de rendre mon Maître Serge fier lors de ces soirées. Je ne me souviens plus du nombre d’orgasmes que la douleur subie par choix me donna.
Je suis sa salope, sa sale chienne, sa pute, sa poupée, son jouet sexuel. Je ne suis plus à moi mais à lui… Et j’en suis heureuse et fière…