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Un bon Dimanche – Chapitre 1




Bon Dimanche ?

Profitant du soleil de la fin Juin, avant le début de la cohue dété, Douce et moi sommes allés passer cette fin de semaine en bord de mer.

Boulot oblige nous sommes rentrés tard ce Dimanche soir. Petite halte sur une aire dautoroute, aire assez important avec resto, station service, mais vu lheure, peu de monde.

Direction les toilettes pour nous deux, nous tenant par la main. ; Couloir avec au bout le choix, gauche les hommes, droite les femmes. Inspiration spontanée, serrant plus fort la main de Douce, je tourne à gauche, lentrainant avec moi, elle qui nopposa quune faible résistance.

Personne.

Sitôt la porte poussée, je la plaque contre le mur, lui tenant toujours la main. Je lembrasse dans le cou, me serrant contre elle dont la bouche transmet son souffle chaud au creux de mon oreille.

Ma main gauche quitte son cou, descend vers ses épaules, se posent sur son sein, le téton est tout dur, ses tétons sont dressés.

Mon souffle saccélère, le sien aussi à mon oreille. Ma main descend, je la sais nue, entièrement nue, sa robe est courte, sa cuisse soffre à ma caresse, sa hanche, son ventre. Quand elle redescend, ses cuisses sécartent, offrant son sexe à la paume de ma main.

Elle est trempe, mes doits glissent au-dedans delle, facilement, un puis deux la pénètrent. Les ressortant de sa chatte, de mon index, jentreprends une caresse tout en douceur de son clitoris. Elle gémit, ouvrant encore plus ses cuisses à ma caresse.

« Lève ta robe, je veux te voir toute nue ». Ses seins, bien que petits sont magnifiquement dressés, soffrant à mon regard.

La porte grince derrière nous, un homme rentre, se dirigeant vers les urinoirs tout proches.

Ma main droite tient les mains de ma Douce, comme pour les empêcher de rabattre sa robe. Lindex de ma main gauche continue sa caresse ; après un petit mouvement, comme si elle voulait resserrer ses cuisses, elle ferme les yeux, se laisse aller ; mes doigts vont de sa fente quils pénètrent en douceur, à son clitoris que je sais si sensible.

Lhomme a fini, il se lave les mains, vient vers nous, nous regarde.

« Je peux ? »

Douce ouvre les yeux, me regarde, le regarde, ne bouge pas, ses mains sur ses épaules tenant sa robe levée. Je retire ma main de son sexe, loffrant ainsi entièrement au regard de cet homme inconnu. Elle ne dit toujours rien mais ses cuisses .est-ce une impression, une vision ? me semblent sécarter un peu plus.

Plus un souffle quun mot ; un hochement de tête, un soupir « oui » murmuré plus que prononcé.

Lhomme sapproche encore, se met face au corps dénudé de ma femme, ses deux mains se posent sur ses seins.

Dans des mouvements lents, tout empreints de douceur, nous surprenant tant sa carrure est forte, ses mains vont et viennent, des seins, jusquaux cuisses quelles écartent, pénétrant son sexe, revenant, parcourant tout son corps exposé sans pudeur.

Douce ne dit rien, elle a les yeux ouverts, seul son souffle prouve quelle aime cette situation, un peu aussi la rougeur de ses joues.

Lhomme sécarte, jette comme un regard approbateur et se dirige vers le distributeur de préservatifs, heureusement présent dans ce genre dendroits.

Douce me regarde, je souris, hoche la tête de haut en bas, approuvant ainsi la situation.

Il dégrafe son pantalon, le baisse ainsi que son slip, enfile le préservatif acheté, sapproche et dun seul mouvement, doux mais rapide, pénètre ma femme consentante.

Plus de douceur maintenant, pas de violence non plus, mais par des va et vient rapides, profonds, réguliers, il laisse sexprimer son désir.

Ses mains ne restent pas immobiles, parcourant en tous sens ma Douce ; de son corps dénudé elles noublient aucune parcelle. Comme elle est appuyée contre le mur, seules ses fesses échappent à ses caresses. Quimporte, ce nest plus son souffle que jentends mais des gémissements de plus en plus forts, des râles et enfin un cri long qui résonne, prouvant sa jouissance. Lhomme reste acculé au fond de son sexe, sans bouger.

Il se retire enfin, enlève sa capote quil jette à la poubelle.

« vous faites ça souvent ? »

« ça nous arrive »

« tu aimes montrer ta femme, elle aime se montrer ? »

« oui »

« je peux avoir un souvenir ? » dit-il, mais avant que nous ne comprenions, il sort de sa poche son téléphone portable.

« tu aimes te faire prendre en photos ? »

Comment a-t-il pu deviner ? Les photos que je prends de ma Douce nue sont un de nos passe-temps favoris.

De ses deux mains Douce saisit le bas de sa robe, la remonte au niveau de ses épaules.

Elle a décidé de nouveau doffrir son corps au regard de cet homme toujours inconnu pour nous et, pour le 1° fois depuis que nous sommes ensemble, dêtre photographiée par un autre que moi.

Lhomme, devant cet acquiescement muet ne perdit pas de temps. Son appareil parcourait le corps nu de ma Douce ; quand il le glissa entre ses cuisses ouvertes, je sus quil lavait mis en mode vidéo.

« tu veux bien te tourner ? »

Douce sexécuta et je pensais en même temps quelle nattendait que cette demande ; en effet appuyée au mur pendant quil la baisait, elle navait pu montrer son cul.

Sa robe toujours remontée aux épaules, Douce offrait son dos, son cul aux photos. Une main de lhomme se posa en haut de son dos, sembla appuyer doucement, faisant ainsi courber Douce en avant. Son cul ainsi mis en valeur et offert en silence, moi-même muet à ses côtés, jen venais à craindre que les piles du téléphone ne soient pas assez chargées : offrir ainsi ma femme !

« tu veux bien écarter ses fesses, que le la filme ainsi ? »

Nul mouvement de recul quand je posais mes mains sur son cul, les rapprochais dentre ses fesses pour les ouvrir, offrant ainsi son trou du cul et sa fente à ce nouvel amant.

« ouvre sa chatte aussi », ce que je fis, ce que Douce me laissa faire.

Combien dura cette séance ? je ne sais ; heureusement lheure tardive avait empêché tout autre visiteur aux toilettes. Heureusement ? en étais-je si sûr, tant mon regret était fort davoir laissé mon propre appareil photo dans lauto.

La séance pris fin, dun geste doux lhomme fit redescendre la robe de Douce, la tourna vers lui et toujours aussi tendrement lembrassa sur la bouche ;

« merci »

« tu vas en faire quoi ? »

« je ne sais pas, tu es daccord si je les montre ? »

Petit signe de tête de haut en bas.

« vous les voulez aussi ces photos ? »

« oui »

« je vous les enverrai ; je vous donne mon téléphone ? ».

Nous avons regagné notre auto, lhomme remonta aussi au volant de son camion. Nous nétions plus très loin de chez nous. Sitôt arrivés, nous jetâmes nos vêtements, nous laissant aller sur le tapis de la chambre.

La séance de baise qui suivit fut torride et épuisante.

Le lendemain nous ne pûmes nous réveiller pour aller travailler.

Quelle honte !

Nous navons pas encore reçues ces photos. Je me plais à en imaginer accrochées dans la cabine de son camion, qui sait, offertes aussi à ses amis routiers.

Peut-être aussi, à peine rentré chez lui, en a-t-il diffusé sur internet, sur quelques sites pornos. Mais je nen ai pas vues, dommage.

Et vous ?

Jai toujours sur ma commode le bout de papier où est griffonné le n° de téléphone.

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