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Les démons de Noémie – Chapitre 2




II

 

Le dîner

Cinq semaines s’étaient écoulées. Elle n’avait parlé de tout ça à personne et surtout pas à Olivier. Ce dernier, commercial dans une entreprise de BTP, était souvent absent ou rentrait tard. Ils ne se croisaient que rarement. Noémie pouvait, fort heureusement, moduler ses jours de repos pour pouvoir profiter de son compagnon. Elle pouvait également être présente, lorsque nécessaire, à la maison. L’avantage d’être sa propre patronne.

Au siège de NODE, alors qu’elle triait les questionnaires de satisfaction, elle tomba soudain sur celui de Monsieur Verdier. Un frisson parcourut tout son corps et elle ne put s’empêcher de le regarder. "Très satisfait", lut-elle, dans la partie commentaire. "Je recommande NODE Informatique et sa technicienne motivée et très douée, j’ai d’ailleurs beaucoup parlé d’elle autour de moi et beaucoup de mes amis seraient ravis de faire appel à elle.", était-il écrit encore. La belle philippine grimaça de dégoût et frissonna. Puis, la sonnerie de son portable retentit. C’était Olivier.

« Allô, chérie ? »

« Bonjour, mon cur, ça va ? »

« Oui. Dis-moi, on a quelque chose de prévu ce samedi ? »

Elle réfléchit un instant, consulta rapidement son agenda et lui répondit qu’il n’y avait rien.

« Ok, je vais inviter mon directeur et un collègue à dîner. Ca ne te dérange pas ? »

Noémie n’y vit aucune objection et accepta. Mais une idée atroce lui traversa soudain l’esprit : et si ce qu’il s’était passé chez Verdier recommençait ? Devant son compagnon ? Était-ce seulement possible ? Elle essaya de chasser cette folle pensée quand son portable sonna de nouveau.

« Mademoiselle Caseira ? C’est Brandier et fils pour l’entretien de la chaudière. C’est pour confirmer l’intervention mardi 12 entre 14 et 17h. » »

« Oui, bonjour, tout-à-fait, c’était bien noté, je serai présente. »

« Parfait, mademoiselle. Deux techniciens interviendront, ne vous inquiétez pas, l’un des deux est en formation. »

« D’accord, fit-elle en souriant, un jeune apprenti… »

« Non, un ancien SDF à qui on offre une seconde chance. »

« D’accord, bon, je vous confirme bien le rendez-vous du 12. »

« Merci mademoiselle, à bientôt et bonne journée »

« Merci, vous aussi. »

Cet entretien lui était un peu sorti de la tête. Elle était un peu perdue depuis l’épisode Verdier, elle qui était d’habitude très bien organisée. Mais son obsession était de ne pas recommencer à perdre pieds, surtout pendant le dîner de samedi. Ce serait une tragédie.

Le jour arriva rapidement. Noémie ne connaissait ni le directeur, ni le collègue qu’Olivier avait invités. Elle prépara un petit apéro dinatoire : des verrines, du vin et des alcools forts, deux pizzas et quelques légumes ainsi que des sauces. Ce genre de repas ne s’éternisait en général pas, ce qui arrangeait la jeune femme.Olivier, encore au bureau, n’avait pu venir l’aider. Il devait arriver avec les deux hommes en sortant du travail.

Noémie avait opté pour une robe à motifs floraux kaki et jaune pâle. Une robe assez longue qui masquait ses jambes jusqu’à mi-mollet. Les fines bretelles dissimulaient mal celles de son soutien-gorge vert, mais elle se refusa de l’enlever. Rien ne devait troubler les invités et créer une situation ingérable. Cintrée à la taille, la petite robe faisait tout de même ressortir ses hanches et ses fesses rebondies.

Olivier arriva, accompagné par les deux hommes qui se présentèrent, tour à tour.

« Bonjour, mademoiselle, Jean-Jacques, le directeur d’Olivier et d’Eric », dit-il en désignant l’homme à sa gauche.

« Bonjour, ben Eric donc », fit l’autre en souriant.

« Enchantée, Noémie, la compagne d’Olivier. »

Ils se dirigèrent vers le salon, au milieu duquel se trouvait une table basse entourée de deux canapés noirs. En face, sur la droite, un large couloir menait à la cuisine à gauche et sur la chambre du couple à droite. Les murs blancs étaient agrémentés de meubles noirs assez design. Au sol, sous la table, un large tapis gris protégeait un parquet de bois clair.

« Prenez place, je vous prie. »

Noémie observa les collègues d’Olivier. Jean-Jacques était un grand quinquagénaire aux cheveux blonds courts. Très enrobé, ses mains étaient immenses avec de gros doigts. Son visage était bouffi et deux petits yeux bleus surmontaient un énorme nez. Ses lèvres étaient très épaisses et avaient un rictus très hautain et méprisant. Quant à Eric, il était très mince, petit et très dégarni. Son regard fuyait vers ses pieds. Il avait une énorme moustache qui masquait son visage très fin et pâle. Deux lèvres très fines surplombaient un menton mal rasé. Il devait avoir la quarantaine. Elle regarda son homme, grand blond aux yeux bleus, au corps sculpté, rasé de près. Elle eut un petit sourire en comparant les tros hommes.

« Eric est mon "formateur" au sein de la boîte », lança Olivier.

« D’accord, fit Noémie. Et Jean-Jacques votre patron à tous les deux. »

« Voilà. »

« Et vous, demanda Jean-Jacques, que faîtes-vous dans la vie ? »

« Je suis technicienne informatique. »

« Ah très bien ! «

Elle le regarda à nouveau. L’homme avait une chemise blanche à fines rayures bleues, qui recouvrait avec difficulté son énorme ventre débordant sur un pantalon de costume gris. Eric avait lui aussi une chemise, mais bleue et visiblement trop grande pour lui ainsi qu’un pantalon noir. Les yeux de la philippine brillaient un peu.

Les convives, tout en parlant, vidaient rapidement leurs verres et mangeaient peu. La soirée se déroulait sereinement, même si Noémie remarqua les nombreux regards appuyés de Jean-Jacques. Olivier, depuis quelques minutes, parlait moins. Eric, un peu sous l’effet de l’alcool, s’était détendu. Il dit soudain :

« Ben Olivier, ça va ? T’as pas l’air bien… »

« Ouais, ouais, ça va… »

Il était blanc comme un linge.

« T’es malade, mon cur ? »

« Je sais pas… »

« Tu devrais aller t’allonger, » dit Jean-Jacques avec un sourire faussement compatissant.

Noémie sursauta à cette phrase. L’idée de se retrouver seule avec ces deux hommes l’effrayait au plus haut point. Elle se sentit très étrange de nouveau et elle devait absolument éviter une situation dans laquelle elle serait vulnérable.

« Chérie, repose-toi un peu, mets ta tête sur mes genoux, si tu veux. »

« Je… euh… ok. »

Olivier s’allongea sur le canapé en calant sa tête sur les jambes de la jeune philippine. Elle était rassurée, car personne ne tenterait quoi que ce soit avec son homme présent dans le salon. Les deux hommes se resservirent en alcool. Jean-Jacques avait un regard très méprisant et vicieux à la fois.

« Vous êtes de quelle origine ? »

« Philippine et espagnole », répondit Noémie, en caressant la tête d’Olivier.

« Ah ouais », murmura-t-il.  « Les yeux, c’est qui ? Vous êtes née aux Philippines ? »

« Je suis née en France, mes parents sont arrivés il y a plus de trente ans. Je ne connais pas vraiment ce pays », ajouta la jeune femme. « Et pour les yeux, c’est mon père. »

« Vous êtes belle », marmonna Eric.

« Vas-y doucement toi », lui lança Jean-Jacques, en riant.

« Merci », répondit Noémie en rougissant.

Olivier s’était endormi et laissait entendre de petits ronflements. Noémie continuait de lui caresser la tête, doucement. Jean-Jaques se leva et vint à la gauche de la jeune asiatique. Il la fixait avec ce même sourire hautain et vicieux et s’accroupit à la hauteur du couple.

« C’est vrai que t’es belle, toi », lâcha-t-il d’un ton légèrement agressif.

Il passa un doigt sur la joue de la jeune femme qui ne broncha pas. Il répéta le geste en effleurant les lèvres cette fois. Il réitéra en appuyant plus afin de faire s’entrouvrir légèrement la bouche de Noémie. Celle-ci avait une respiration plus rapide et regardait en coin Jean-Jacques tout en continuant de caresser les cheveux d’Olivier.

« Suce-le », intima-t-il fermement.

Noémie fixa les yeux bleus de Jean-Jacques et, soumise à nouveau, lécha et finit par avaler l’index énorme. De l’autre main, Jean-Jacques tira les cheveux de la jeune femme derrière son oreille afin de bien dégager son visage. Elle continuait de caresser la tête de son compagnon en suçant lentement le doigt. Seuls les ronflements d’Olivier déchirait le silence lourd qui s’était installé.

Éric, toujours assis dans l’autre canapé, scrutait intensément la scène. Il ne décrochait plus ses yeux marrons vitreux de ces lèvres qui allaient et venaient sur l’index de son chef. Il lissait machinalement son épaisse moustache avec sa main gauche.

Jean-Jacques plaça alors sa main libre sur le genou gauche de la belle asiatique et fit lentement remonter le tissu au-dessus de ce dernier. La tête d’Olivier bloquant la remontée sur l’autre jambe, seule la gauche fut découverte. Il continua de remonter le  tissu jusqu’à la taille et découvrit un peu la culotte. Le sous-vêtement était déjà détrempé. Noémie souleva la tête d’Olivier, ce qui permit à Jean-Jacques de relever entièrement la robe.Tout en suçant, Noémie dirigea son regard vers Éric afin de scruter ses mouvements. Il se leva lentement et vint se placer à genoux face aux jambes de la belle.

« Écarte. »

Noémie obéit docilement, veillant à faire suivre la tête de son compagnon sans le réveiller. Éric trouvant l’écartement suffisant, inséra ses deux mains. Avec l’une, il écarta un peu la culotte et avec l’autre se mit à caresser la fente humide.

« Il te faut plus gros », ricana Jean-Jacques

Il se redressa et déboutonna aussitôt son pantalon. Noémie qui regardait Éric s’activer entre ses jambes, se retourna et vit le sexe de Jean-Jacques se présenter à sa bouche. Elle était en plein chaos intérieur alors que son corps réclamait plus de sexe encore. Elle avala la queue courte et fine d’un trait. Jean-Jacques mit sa main sur sa chevelure noire, avec un sourire conquérant et extrêmement méprisant. La tête de Noémie, légèrement penchée de côté pour contourner le ventre énorme et gras de Jean-Jacques et bien sucer la queue offerte, avançait et reculait lentement.

Entre ses jambes, Éric avait introduit deux doigts et la branlait fermement. On n’entendait plus, dans le salon, que les bruits de succion et les clapotis que faisaient les doigts d’Éric dans la chatte de Noémie, accompagnés par les ronflements d’Olivier.

Soudain, celui-ci se réveilla et bondit hors du canapé, une main devant la bouche et courut vers le couloir. La stupeur cloua les autres sur place mais très vite Noémie se releva en baissant sa robe et suivit son compagnon. Elle l’entendit vomir dans les toilettes.

« Ça va, mon amour ? »

« Bof, je vais aller me coucher. Je suis désolé », cria-t-il en direction des invités.

« Je vais les raccompagner à la porte », dit Noémie, ravie de la tournure des événements.

« Non, reste un peu avec eux, ce serait mal poli. »

Olivier se redressa et ils se dirigèrent tous deux vers la chambre. Olivier, tout habillé et avec des tâches de vomi sur sa chemise blanche, s’allongea. Noémie, dans l’entrebâillement de la porte, le regarda avec tristesse. Seule la jolie tête de la jeune femme dépassait dans la chambre, éclairée par la lumière du couloir. Elle comptait bien mettre un terme à tout ça rapidement. Mais dans son dos, les deux compères en avaient décidé autrement. Une main sur son épaule et l’autre au creux de son dos lui intimèrent de se cambrer. Mortifiée .mais surexcitée, elle s’exécuta, en regardant son compagnon somnoler. Sa robe fut relevée au-dessus de ses fesses et sa culotte baissée jusqu’aux chevilles sans qu’elle ne sut qui s’occupait de cette besogne. Une bite s’enfonça dans sa chatte lentement, ce qui la surprit et lui fit ouvrir sa jolie bouche.

« Tu veux me dire quelque chose, chérie ? »

Derrière la porte, on lui souffla de continuer à répondre à son ami. C’était Jean-Jacques qui maintenait la porte entre-ouverte. Il la calait avec son pied, et observait, amusé, Eric baiser la belle Noémie. Celle-ci, en regardant derrière son épaule, vit le gringalet, pantalon aux chevilles aller et venir dans sa chatte. Il mit son index devant sa bouche, comme pour dire à la jeune femme de ne pas faire de bruit. La tragédie tant redoutée se déroulait comme dans ses pires cauchemars. Elle se faisait baiser par des inconnus devant son compagnon.

« Tu crois qu’ils m’en veulent ? », demanda Olivier.

« Non… n-non… Ils s’occupent très bien là. »

Effectivement, les deux hommes avaient échangé leur place et Jean-Jacques baisait la belle de plus en plus fort. Elle s’agrippait fermement à la porte et se mordait les lèvres pour ne pas gémir. Olivier, les yeux mi-clos et à le visage à moitié enfoui dans son coussin, ne voyait et n’enendait rien.

« Ne les fais pas trop attendre, chérie, ça va aller, tu sais, je vais dormir un peu. »

« Ok, mon cur, je t’aime. »

« Je t’aime. »

Les deux hommes lâchèrent leur emprise et Noémie referma très lentement la porte, sachant très bien ce qui l’attendait en retournant au salon. Elle attendit quelques minutes et d’un pas lourd, elle les rejoignit. Ils étaient assis sur le canapé, l’un à côté de l’autre, le sexe en érection et se caressaient lentement.

« A poil. »

La phrase claqua. Anéantie intérieurement, elle enleva sa robe et dégrafa lentement son soutien-gorge  Elle fit glisser sa culotte le long de ses jambes dorées et la dégagea sur le côté. Puis, lentement, elle alla vers le canapé occupé par les deux hommes. Elle se tenait là, droite et nue, la chatte en feu et le regard brillant, ses longs cheveux noirs venant effleurer ses tétons durs

« Enfourche, salope. »

« Le chef d’abord » dit Eric, en riant.

Le timide quadragénaire avait bien changé sous l’effet de l’alcool. Jean-Jacques, lui, avait le sourire encore plus méprisant et vicieux. Noémie approcha, l’enjamba et guida la queue vers sa fente ouverte et humide. Elle laissa retomber son bassin et s’embrocha sur le membre dressé en poussant un long soupir.

« T’attendais que ça, hein, salope ? »

Noémie ne répondit pas et continua de gémir en ondulant son bassin sur sa bite luisante. Elle s’accrochait à son cou, les yeux fermés et la bouche largement ouverte.

Jean-Jacques en profita pour introduire sa langue et lui rouler une pelle humide. Les fesses  de la jeune asiatique tapaient sur les jambes du quinquagénaire qui bougeait son bassin en rythme et violemment.. Il accentuait le mouvement et s’agrippait aux fesses de l’asiatique en s’enfonçant toujours plus profondément. Noémie accéléra son mouvement en respirant très rapidement. Il avait retiré sa chemise avant qu’elle n’arrive et son pantalon gisait à ses pieds. Eric était dans le même état vestimentaire et s’astiquait en regardant la scène. Il attendait patiemment son tour. La belle se crispa soudain, retenant sa respiration et poussa un long gémissement de plaisir. Elle avait joui, à sa grande honte.

« A moi maintenant ! »

Noémie changea de partenaire dans la même position. Le gringalet la lima très vite et très fort, si bien que la jeune femme, pas encore remise de son orgasme, ne sentit pas grand chose au début. Le bruit des fesses dorées de la jeune femme sur sa peau l’excitait à mort. Il continua à ce rythme pendant de longues minute en léchant les seins qui s’agitaient devant lui. Sa bite rentrait et sortait à une vitesse folle de la chatte de la jeune philippine qui recommença à gémir et haleter. Elle retenait ses cris, de peur de réveiller Olivier. Eux ne s’en préoccupaient nullement et Eric poussait des « han » et des « ouf », entrecoupés de « salope » à très fort volume. Se sentant venir, il repoussa sèchement la jeune femme, qui tomba au sol.

« Tu vas ouvrir la bouche bien en grand. »

«

Elle se mit à genoux et les deux hommes se levèrent, puis, avec un regard dédaigneux, se masturbèrent juste au dessus de son visage. Noémie les regardait avec un regard brillant et très intense. Ils grognèrent soudain et leurs jus, en parfaite synchronisation, giclèrent et maculèrent le visage et la bouche de la jeune femme. Elle  en avala une partie mais une coulée dévala de son menton et tomba sur sa poitrine. Elle regarda fixement les deux hommes.

« Une bonne petite soirée », lança Jean-Jacques, le souffle court

« Oui », renchérit Eric. Tu remercieras Olivier !

« T’inquiètes, on dira rien. Qui nous croirait de toute manière ? »

« Même nous on a du mal à y croire ! », s’esclaffa Eric.

Ils se rhabillèrent en ignorant la jeune femme nue et recouverte de leurs semences. Elle ne bougeait plus, attendant qu’ils partent. Un fois les deux hommes sortis, elle se releva enfin et partit dans la salle de bain.

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