FIN DU CHAPITRE 3, La suite mais pas la fin . . .
— Il y a une chose que je t’ai promise, c’est de ne pas toucher à ta virginité. Je ne vais pas te dépuceler, il faut que tu en gardes un beau souvenir, donc ce sera ton petit chéri. La seule chose que je vais te demander régulièrement, est de me sucer, et que je joue avec tes gros seins. La prochaine fois, on fait un peu plus de choses.
Je me lève sans lui répondre, prends la porte et pars chez moi à toute vitesse.
La nuit de ce mercredi a été très mouvementée. Des images défilaient les unes après les autres, toutes différentes, mais toujours dans la même catégorie. Toute la nuit je me suis revue à sucer un homme qui est mon oncle !
Le samedi arrive, je vais voir mon copain dans son appartement. Mais cette fois-ci, nous ne sommes pas que tous les deux, des amis à lui sont présents. Je sais que cet après-midi, nous ne serons donc pas tranquilles et que nous ne pourrons pas passer un petit moment tous les deux comme nous le faisons à chaque fois. L’après-midi s’est très bien passé, je suis repartie vers 17h00, en ayant donné le prétexte à mon ami que je ne viendrai pas le voir mercredi, mon père m’a proposé d’aller avec lui à une de ses réunions. Je ne sais pas comment je vais réussir à lui mentir à chaque fois que je dois aller voir mon oncle, mais pour le moment, il ne me fait pas réflexions.
Le dimanche passe, puis le lundi, et le mardi, pour arriver à mercredi ! Toujours cette même peur, cette boule au ventre quand je sais que je vais aller voir mon oncle.
14h30, je suis devant sa maison, il est devant la porte de son garage. Nous entrons. Nous allons encore dans sa salle à manger. Et encore un paquet de cigarettes sur la table pour moi !
— Comme vas-tu Nathalie ?
— Bien
— Veux -tu que je te dise le petit programme d’aujourd’hui ?
— Dis-moi !
— Il est un peu pareil que mercredi dernier, mais un peu plus poussé comme je vois que tu retiens bien, mais que tu te débrouilles aussi très bien.
— C’est-à-dire ?
— Nous allons aller dans la chambre.
— Ah non, pas dans ta chambre !
— Je n’ai pas dit dans ma chambre, car j’ai prévu d’aller dans la chambre d’amis.
— Viens avec moi. Nous y serons mieux.
Je sais que je n’ai pas le choix, alors sans réfléchir, je le suis, nous montons à l’étage, et nous nous retrouvons dans cette fameuse chambre. Les volets sont à moitié fermés, ne laissant passer qu’une petite partie de la lumière extérieure, de sorte que dans la chambre il fasse sombre.
— Nous allons nous déshabiller complètement tous les deux, puis nous nous installons sur le lit.
— Que veux-tu faire ?
— Je te l’ai dit. Comme la dernière fois. Tu vas me sucer, mais plus confortablement que sur le canapé.
Sans répondre, je me déshabille, retire avec pudeur mon soutien-gorge et ma culotte, pendant que ce vieux vicieux fait la même chose. Il s’allonge sur le lit.
— Viens à côté de moi. Je vais te caresser. Tu vas voir, tu vas aimer ce que je vais te faire.
Sans un mot, je m’allonge à côté de lui, sur le dos. Mes yeux se posent sur son intimité pour m’apercevoir qu’il est en forme. Droit, raide, je peux même voir qu’il palpite de temps à autre. Je remarque également qu’il se masturbe lentement.
Il lâche son sexe, et une de ses mains commence à parcourir mon visage.
— Tu as un visage d’ange Tu es très belle.
— . . .
— Tu vas apprécier mes mains sur ton corps.
— . . .
Ses mains se promènent sur mes joues, mon front, puis descendent lentement vers ma poitrine. Il prend possession d’un de mes seins, qu’il malaxe très agréablement. Je le vois se redresser, me chevaucher au niveau de mon buste, et me retrouve face à son sexe. Il s’approche un peu plus de mon visage, son sexe est maintenant à quelques petits centimètres de mes lèvres.
— N’ouvre pas la bouche, je vais promener ma queue sur ton visage.
Je ne bouge pas. Sa verge glisse sur mes joues, puis sur mes lèvres, passe sur le front, puis revient sur mes joues. Son gland s’attarde sur mes lèvres fermées.
— Tire la langue que je mouille mon gland avec ta salive.
Obéissante, je tire la langue, et son gland se frotte dessus. Mais ma salive me manque, ça ne lubrifie pas assez.
— Mets de la salive sur ta langue ! Oui, bien ! Maintenant, je vais poursuivre mes caresses avec ma queue, mais je vais étaler en même temps ta propre salive partout sur ton visage. Tu vas sentir la bite.
Une fois que monsieur s’est bien amusé sur mon visage, tout en restant sur moi, il descend pour arriver sur mes cuisses. Tout en restant assis sur mes cuisses, il me caresse les seins, le ventre, puis ensuite, il se met à côté de moi, allongé, pour parcourir la totalité de mon corps.
Je suis prise d’un bien-être que je ne peux pas expliquer, mais mon corps se détend, se relâche. Il le voit !
— Tu aimes ce que je te fais ?
Je me surprends à lui dire. Oui, c’est agréable.
— Je continue alors ?
— Oui
Voyant qu’il me donne des sensations que je commence à apprécier, il s’aventure vers mon entre-cuisses.
— Non, pas ici !
— Chuttt, laisse-toi faire. Je vais juste te caresser.
Sa main passe et repasse doucement sur mes lèvres intimes. Je sens un doigt tourner autour de mon clitoris. Je me surprends encore une fois à écarter les cuisses pour lui faciliter ce qu’il est en train de me faire. Mélange de plaisir et de honte !
— Tu aimes ? On ne te l’a jamais fait ?
— Oui, j’aime (En soupirant), non, on ne me l’a jamais fait
Entre deux de ses doigts, il fait rouler, tourner mon bouton d’amour. Une vague d’émotion envahit mon bas-ventre, je lâche un râlement.
— Hum . . . Tu prends ton pied là ! Hein ?
— Ouiiiiiiii, ah ! ! ! ! Oh ! ! ! ! J’adore ! ! ! ! (En haletant)
Il continue, encore et encore, il accélère le mouvement, sans s’arrêter.
— Haaaaaaaaa ! ! ! ! ! Stop ! ! ! Oh ouiiiiii ! ! !
— Tu es entrain de jouir petite coquine !
— Ouiiiiii, je crois que c’est ça ! ! !
Il s’arrête, je sers les jambes. Je ne sens plus mon corps. Je suis toute molle. Je le regarde dans les yeux. Il me sourit. Il m’embrasse sur les lèvres tout en continuant à caresser mes seins.
Sans rien me dire, il se positionne à genoux entre mes cuisses.
— Laisse-toi faire. Je vais te faire quelque chose que tu ne connais pas, et qui va te donner encore plus de plaisir.
— Non, je n’en peux plus. Je suis fatiguée.
— Attends, tais-toi et goûte à ce que je vais te faire.
Je me laisse faire, de toute façon, je n’ai plus de force. Il écarte mes jambes, les pose sur ses épaules, et sa langue lèche à l’intérieur de mes cuisses. Des frissons m’envahissent. Sa langue glisse sur mes lèvres vaginales, ses doigts les écartent, puis je sens sa langue me lécher doucement comme si c’était une glace.
Il me prodigue un cunnilingus que je ne suis pas en mesure de refuser tellement je suis sus l’emprise du plaisir et de nouvelles sensations.
— Hummmmm . Oh oui ! Encore ! C’est bon ce que tu me fais ! Ah ! Je jouis encore ! ! Ouiiiiii
Il se redresse, s’allonge contre moi, m’embrasse de nouveau. Je suis honteuse !
— Tu as pris du plaisir ?
— Je ne peux pas te dire que je n’ai pas pris de plaisir. Et tu le sais très bien ! Mais ce n’est pas bien ce que tu me demandes de faire.
— Tu as raison, ce n’est pas bien ce que nous faisons. Mais si on ne le dit à personne, personne ne le saura.
— Je sais bien, mais c’est mal.
— Oui, pas très moral, mais tu vas apprendre ce que c’est que le plaisir avec moi. Tu verras.
— . . .
— Si tu as envie de fumer une cigarette, il y a un cendrier sur la table de nuit, tu peux fumer ici. Je vais ouvrir la fenêtre simplement.
— Oui, je veux bien.
Tout en fumant ma cigarette, nue sur le lit à ses côtés, ses mains se promènent sur mon corps. J’ai une sensation de grosse fatigue, mais pas la même fatigue que je peux avoir quand je suis fatiguée pour aller me coucher. Une fatigue que je ne sais pas expliquer.
— Maintenant que tu as terminé ta cigarette, il va falloir que tu t’occupes de moi.
Il s’allonge sur le dos, son sexe est toujours aussi droit, raide, avec un gland décalotté tellement il est rempli de sang. Il écarte les jambes.
— Mets-toi entre mes jambes, prends-la dans ta main et avec ta langue, tu vas lécher mon gland doucement.
Je me positionne à genoux entre ses jambes, me baisse, prends sa queue raide dans ma main, le masturbe, et me penche pour donner de petits coups de langue sur son gland comme il me le demande.
Je n’apprécie pas la situation dans laquelle je suis, mais je dois avouer que je ne déteste pas ce que je suis en train de lui faire.
— Vas-y, passe ta langue dessus ! Fais là tourner autour de mon gland. Oui, tu le fais bien. Prends-la dans ta bouche, pompe là. J’ai trop envie d’exploser.
Je m’applique, ma langue lèche, j’embouche sa queue, fais des va-et-vient, la ressort, lèche. Ainsi de suite.
— Oui, vas-y, excite-toi à me sucer, tu es belle quand tu me suces. Continue comme ça et je vais jouir sur tes lèvres petite salope !
— Non, pas sur mes lèvres ! Sur mes seins alors.
Il se redresse, me demande de m’allonger sur le dos, il me chevauche et se met à se masturber devant mon visage.
— Non, pas sur le visage, je ne le veux pas !
— Tu vas prendre mon sperme sur tes lèvres de suceuse ! Un point et c’est tout ! Ton visage, ce sera pour plus tard.
— Nonnnn ! ! !
— Ferme la bouche ! Fais bien sortir tes lèvres ! Aller !
Un râle sort de sa bouche, sans pouvoir réagir à cause de sa main gauche qui me tient la tête avec les cheveux, je ne peux pas tourner mon visage. Il colle son gland sur mes lèvres, un premier jet vient s’écraser dessus, puis un second, et un troisième ! Mes lèvres sont totalement recouvertes de son sperme ! Il coule sur mes joues.
— J’aime te voir avec du sperme sur ta bouche. Ça te va bien.
Je n’ose pas ouvrir la bouche de crainte d’en avaler un peu. Je tente de m’essuyer avec le dessus de ma main, mais je ne fais que l’étaler. Il me tend un mouchoir en tissu qu’il avait mis au préalable sur une des deux tables de nuit.
Quand ses esprits sont revenus, et surtout que je me suis bien essayée, je suis allée dans sa salle de bain pour me laver. Je me sens sale. Entre son sexe qui a parcouru la totalité de la surface de mon visage avec ma salive, et ensuite son sperme sur mes lèvres, et un peu sur mes joues, je me sens vraiment très sale.
Quand je reviens dans la chambre, il est déjà habillé. Nous retournons dans la salle à manger.
— Tu as aimé aujourd’hui ?
— Je te l’ai dit, je n’aime pas la situation. Mais après, je ne peux pas te cacher que j’ai eu du plaisir.
— Tu en prendras de plus en plus.
— ça va durer longtemps cette histoire entre nous ?
— Je ne sais pas, on verra l’évolution.
— Bon, Nathalie. Je vais te dire un peu mes intentions pour la suite.
— Tes intentions ?
— Oui, ce que je vais exiger de toi.
— Ah oui ?
— Tu feras ce que je te demanderai, tu me suceras autant de fois que je te le demanderai, et à chaque fois je t’apprendrai de nouvelles choses pour me sucer.
— Qu’est-ce que tu entends par faire ce que tu me demanderas ?
— Je te dirais et tu feras. Un peu comme ma soumise.
— Ta soumise ?
— Oui, ma soumise sexuelle.
— On verra . . .
— Autre chose. Comment s’appelle ton petit ami ?
— David.
— Alors quand je te dirais de faire des choses à David, tu lui feras, et tu m’expliqueras ensuite comment tu lui as fait.
— Je ne comprends pas ce que tu veux dire.
— Je t’apprendrai des choses qui peuvent faire plaisir à un homme, et quand tu le feras bien je te demanderai de lui faire. Après tu m’expliqueras.
— Ça t’excite ça ?
— Oui, le fait de savoir que tu lui as fait m’excitera
— On verra.
— Et saches que ça te permettra de le garder si tu l’aimes vraiment.
Notre conversation s’achève dessus, je quitte sa main pour aller vite rejoindre chez mes parents pour aller rapidement prendre une douche avant l’arrivée de ma mère qui arrive toujours avant mon père.
Le soir de cet après-midi, dans mon lit, avant de m’endormir, je me remémore ce que j’ai fait avec mon vicieux d’oncle. Je suis honteuse d’avoir pris du plaisir sous ses doigts mais aussi sous sa langue. Je repense à cette jouissance à deux reprises. J’avoue, c’était bon. Mais je repense aussi à cette éjaculation que j’ai eue sur mes lèvres sans mon accord. Je trouve ça sale, et pas respectueux. Je n’ai pas du tout aimé.
Le reste de la semaine se passe normalement, je suis allée voir mon chéri mardi soir, qui, d’ailleurs, a eu le droit à sa masturbation devenue presque habituelle. Je ne sais pas pourquoi, mais je suis tentée à dire à Marc (Mon oncle), que la seule chose que je fais à David (Mon ami), c’est de le masturber. Peut-être parce que je suis prise dans le jeu ?
Le mercredi suivant, je ne vais pas voir mon oncle, ma tante ne travaillant pas, ils restent à la maison ensemble. C’est très bien comme ça ! Je profite pour passer l’après-midi avec David. Nous allons faire un tour en ville, on rencontre des amis et allons boire un verre en terrasse d’un bar, puis, David et moi retournons dans son appartement. Je ne dois pas trop tarder à rentrer chez moi, mais avant, j’ai envie de lui faire plaisir. De ma propre initiative, je l’embrasse, déboucle sa ceinture, baisse son pantalon et son caleçon. Il me laisse faire, d’un air étonné, car à chaque fois, c’est lui qui me le demande.
— Qu’est-ce qu’il t’arrive ? C’est le jour J aujourd’hui ?
— Non, pas le jour J, mais il approche si tu veux savoir. J’ai juste envie de te donner du plaisir avec ma main. Tu ne veux pas ?
— Oh si ! J’adore quand tu me le fais.
Je retire mon haut et mon soutien-gorge, me positionne à genoux devant lui qui est debout, et le masturbe.
— Je voudrai te faire jouir sur mes seins.
— Oh ! Tu es un amour. J’aime trop ça. Tu me disais que le jour J arrive ?
— Oui, tu vas bientôt me faire l’amour. C’est avec toi que je veux ma première fois. (Tout en continuant ma branlette).
En peu de temps, je sens sa queue se durcir plus qu’elle ne l’est, et, plusieurs jets de sa semence viennent souiller ma poitrine.
— C’était formidable ma chérie.
Quelques jours passent. Je vois mon oncle arriver un soir chez mes parents. A la première occasion, il vient me voir pour me dire que je peux venir mercredi après-midi chez lui.
Je retourne donc chez lui ce mercredi. Bizarrement, ma boule au ventre se fait moins ressentir.
— Alors Nathalie, tu t’es remise de tes émotions de la dernière fois.
— Oui. Mais il faut que je te parle.
— Ah oui ? Dis-moi. Un problème ?
— Non, pas de problème. Tu m’as dit que tu aimerais savoir quand je fais quelque chose avec David ?
Oui, c’est vrai. Mais des choses que je te fais faire avant, et que tu reproduises sur lui. Tu lui as fait quelque chose ?
— Oui
— Dis-moi.
— Je l’ai masturbé . . . Mais je l’avais fait avec toi. Donc . . .
— Oui, c’est vrai. Mais j’aurai préféré que ce soit moi qui te demande de lui faire.
— ça s’est fait comme ça (Mentis-je).
— Explique-moi.
— Et bien, on s’embrassait, et il a sorti son sexe et m’a demandé de le prendre dans sa main, puis je lui ai fait la même qu’avec toi.
— Où il a giclé ?
— Dans ma main. (Je lui explique juste la première fois. Je ne tiens pas à les expliquer les autres fois) ?
— Tu sais que l’avoir branlé sans attendre que je te le dise, ça mérite une fessée ? ?
— Ah bon ? Une fessée ? Pas quand même !
— Je te dis que je vais te donner une fessée, et après tu me suces ! Lève-toi et viens avec moi sur le canapé, sur mes genoux !
En baissant les yeux, comme hypnotisée, je me lève et me dirige vers le canapé dans lequel il est déjà assis.
— Baisse ton short et ta culotte ! Puis tu vas te mettre sur mes genoux pour me présenter ton cul que je le fesse.
Je m’exécute, m’allonge sur ses genoux en me posant sur le ventre, en prenant appuis au sol en étendant mes bras. J’attends. Ses mains caressent mes fesses. Une première petite claque. Je sursaute. Puis une deuxième un peu plus forte !
— Tu ne crois pas que tu l’as mérité cette fessée ? !
— Si !
— Tu as un cul à être fessé ! Tiens !
— Aie ! Ça fait mal !
— Non, ce n’est pas vrai. Ça ne fait pas mal ! Je ne te frappe pas fort !
Les claques tombent sans pause. Je ressens un échauffement sans être douloureux.
— Tu as le cul qui commence à être rouge. La fessée est terminée. Reste encore un peu sur mes genoux que je les caresse maintenant pour adoucir le feu que tu dois avoir.
— Oui, d’accord.
Sa main malaxe plus ou moins fort mes fesses. Quand, tout d’un coup, il écarte mes fesses et j’ai l’impression qu’un de ses doigts tourne autour de mon petit trou !
— Non ! Qu’est-ce que tu veux faire là ?
— Laisse-toi faire ! Ne bouge pas ! J’ai mis de la salive au bout de mon index, et je vais simplement te caresser ton trou du cul !
— Non, c’est cochon ça !
— Ce n’est pas cochon, c’est naturel ! Et tu vas aimer !
— Je ne veux pas !
— Tu préfères recevoir une autre fessée ? !
— Non !
Toujours dans la même position sur ses genoux, les fesses offertes, je sens son index titiller mon anus. Mais caresser mon petit trou n’a pas l’air de le contenter, je sens qu’il essaie d’introduire le bout de son doigt dedans. Je me débats.
— Plus tu bougeras, et plus tu prends des risques à ce que je te fasse mal ! Ne bouge pas, et ce sera bien plus agréable pur toi.
Je ne bouge pas, mais je sens que son doigt pénètre lentement mes fesses. Je ne peux pas dire que ça fait mal, mais je suis dans une position qui me rend mal à l’aise. Cela dure quelques petites minutes et il s’arrête.
— Très bien, tu t’es bien laissée faire. C’est très bien. Tu peux te relever à présent.
Je me lève, me dégourdis les bras. Il se débraguette afin de placer son pantalon et son caleçon au niveau de ses chevilles.
— Tu sais ce qu’il te reste à faire ?
— Oui, d’accord.
Je me positionne entre ses jambes, prends son sexe dans ma main et commence à lui lécher le gland.
— Vas-y, fais-toi plaisir. Lèche le bien, et promène tes jolies lèvres dessus. Voilà ! Prends ma queue dans ta bouche maintenant. Aspire ! Humm, je vois que tu prends de plus en temps de l’assurance à faire les pipes. Tu vas devenir la meilleure des pipeuses. Je vais faire de toi la meilleure suceuse.
Je m’applique. En fait, je crois que je commence à prendre du plaisir à lui faire.
— Oui, continue comme ça et tu vas me faire venir. Accélère un peu tes mouvements, et branle moi en même temps. Ouiiiiii, très bien. Continus comme ça. Tu as vraiment une bouche de suceuse !
— . . .
— Je vais tout te mettre sur ta gueule de suceuse !
— Non !
Il me tient la tête, mon visage juste en face de son sexe, et, ses éjaculations viennent souiller mes joues, mon visage, mes lèvres. Tu es belle. Tu es faite pour recevoir des éjaculations faciales toi !
Sans lui répondre, je me lève vite pour me nettoyer le visage. Le liquide est collant, il me gêne.
Je reviens dans la salle à manger.
— As-tu apprécié ta première éjaculation faciale ?
— Pas trop non.
— Pourquoi ?
— Ca fait drôle. Je me sens sale.
— C’est normal, ce sont les premières sensations. Mais tu verras ensuite comme tu vas aimer.
— On verra.
— Tu le revois quand ton copain ? Heu . . . Comment il s’appelle déjà ?
— David. Si tout va bien, je le revois samedi après-midi. Pourquoi ?
— Tu es ma soumise. Nous sommes bien d’accord ?
— Ben . . . Heu . . . Oui . . . Si tu le dis.
— Je veux que tu lui fasses une pipe samedi quand tu seras avec lui. Tu le suces comme tu as fait tout à l’heure. D’accord ?
— Je ne lui ai jamais fait ça.
— Justement, tu vas le rendre heureux. Et tu vas le surprendre.
— Je ne sais pas si je vais avoir l’occasion de le faire ;
— Tu trouveras bien l’occasion. Une femme trouve toujours l’occasion de faire plaisir à son homme.
— Tu me promets de lui faire ?
— Je ne sais pas. Et s’il n’a pas envie ? Je fais quoi ?
— Je te rassure tout de suite, je ne connais pas d’homme qui refuse à une femme de se faire sucer. Avec la bouche que tu as, et tu commences à bien te débrouiller, il va tout de suite se laisser faire. Fais-moi confiance.
— Bon, d’accord. Je vais voir ça.
Je repars de chez lui. Le soir, comme je le fais à chaque fois, je repense à ce que j’ai fait avec mon oncle, et aussi à ce qu’il m’a fait. Je ne sais pour quelle raison, mais j’ai de moins en moins peur quand je dois aller le voir, mais le pire, c’est que je commence à avoir du plaisir.
Ce fameux samedi est arrivé. Je retrouve David comme je le fais de coutume. Il est toujours heureux de me voir. Nous sommes bien ensemble. Cela fait quelques heures que nous sommes ensemble, il sait que je ne dois pas partir trop tard de chez lui. Je sens qu’il a envie de sa branlette devenue habituelle.
Il pose une de mes mains entre ses jambes. Je comprends très vite. Et je repense à mon oncle.
— J’ai mieux à t’offrir aujourd’hui.
— Ah oui ? Quoi ?
— Tu ne voudrais pas goûter à ma bouche ?
— Oh ma chérie ! Oh que oui que j’en ai envie de ta bouche. Tu ferais ça ?
— Oui si tu le veux.
— Mais bien entendu que je le veux. J’en ai très envie depuis longtemps, mais je n’ai jamais osé de le demander.
— Viens, on va dans ta chambre.
Je le précède, il me suit.
— Retire tes vêtements, allonge-toi sur ton lit et laisse-moi faire. Je te demande juste de goûter à ce que je vais te faire.
Je le regarde sur son lit, le sexe droit qui regarde le plafond. Je sens qu’il est très excité à l’idée de se faire sucer. De ma main, je saisie sa queue, la branle un peu, et, comme je fais avec mon oncle, je passe ma langue sur son gland. Je ne peux pas m’empêcher de faire un comparatif avec mon oncle, et, je remarque que le gland de David est légèrement moins gros que celui de mon oncle. En revanche, sa verge est peut-être un peu plus longue et plus fine.
Il sursaute plusieurs fois en sentant ma langue tourner autour de son gland. Je descends le long de sa hampe en léchouillant de haut en bas, et fini au niveau de ses testicules que je prends bien soin de lécher.
— Oh ! Nathalie ! Ce n’est pas possible, ce n’est pas la première fois que tu fais ça.
— Si, c’est la première fois. (Je n’allais pas lui dire que je suce mon oncle !)
— Tu es trop douce.
— Attends, tu n’as pas encore tout vu.
— Ce n’est pas la première fois que tu fais ça. Dis-moi la vérité.
— Si, je te promets que c’est bien ma première fois. Mais je crois que j’aime faire ça. Puis tu prends beaucoup plus de plaisir qu’avec ma main.
— ça ! C’est sûr !
Je quitte ses testicules pour remonter le long de son sexe en laissant glisser ma langue dessus. Une fois arrivée au niveau du gland, j’ouvre la bouche, mes lèvres prennent la forme de son gland, et peu à peu, sa queue disparait dans ma bouche. Je fais de lents va-et-vient, je pense même à saliver.
— Nathalie ! Attention ! Je vais jouir là ! Arrête !
Je ne compte pas m’arrêter, car j’ai envie de le faire jouir. Je sors sa verge de ma bouche, la prends en main et la masturbe juste devant mes lèvres. Des giclées s’écrasent sur mes lèvres, je ne recule pas, je connais cette sensation, puisque je l’ai fait à mon oncle.
Je lève la tête, le regarde, avec son sperme sur la bouche.
— Nathalie, je ne sais pas quoi dire ! Tu es merveilleuse. Je pense que ce n’est pas la première fois pour toi mais que tu ne veux pas me le dire.
— Non, c’est la première fois. Mais j’aime le faire je crois. Je te le referai si tu le veux.
Nous nous quittons peu de temps après. Le soir, je suis en train de me poser une question. Comment je deviens ? Qu’est-ce que je suis en train de faire, entre mon oncle et David ? Une chose que je sais maintenant, c’est que je prends plaisir à obéir à mon oncle. Il m’a dit de faire une fellation à David, je l’ai faite. Je crois même que ça m’amuse.
Quand vais-je offrir mon corps à David ? Dois-je en parler à mon oncle ? Marc commence à s’intéresser à mon anus. Qu’a-t-il en tête ?
Je vais vite le savoir la prochaine fois que je vais le voir . . ..
La suite dans le chapitre 5 ?