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Mes premiers congés payés – Chapitre 42




Nous arrivions devant la porcherie, lodeur était de plus en plus forte, Michèle se retourna et son regard alla directement à mon entrejambe où elle vit immédiatement que son récit ne me laissait pas indifférent, elle caressa la bosse doucement en me disant « hum, je vois que tu aimes mon histoire, et bien moi jaime leffet quelle produit » puis elle franchit la porte que je refermais derrière elle, nous nous accoudâmes à une barre métallique pour regarder les porcs et elle continua son récit.

Michèle : « jeus du mal à mendormir, jétais toute chose, je sentais mes tétons qui étaient durs sous mon tee-shirt, jen effleurais un par-dessus le tissus et je ressentis comme une décharge électrique, je décidais denlever mon tee-shirt, une fois jeté par terre, je me caressais un sein, mon téton était dur comme du bois, avec mon autre main, je caressais lautre, je sentais une douce chaleur envahir mon bas ventre et une humidité que je ne connaissais pas mouilla ma culotte, je crus que je perdais du sang et lôtais, mais non ce nétait pas du sang.

Je mendormis en me caressant les seins et cest nue que je me réveillais le lendemain matin, je voyais à travers les volets le soleil qui brillait, et me remémorais la journée de la veille, immédiatement mes tétons se mirent à durcir et à nouveau, je sentis mon bas ventre shumidifier.

Jentendis du bruit montant de la cuisine qui était juste en dessous de ma chambre, je me levais enfilais ma culotte, mon tee-shirt et je descendis, mon oncle était devant la cuisinière à faire surveiller une grande casserole de café, il se retourna quand il mentendit, je lui sautais au cou « bonjour mon tonton adoré », il avait lair un peu maussade, il me rendit mon bisous matinal et me regardant il me dit

Jacques : « Bonjour ma chérie, bien dormi ? Tu sais pour hier », je ne le laissais pas finir et lui coupais la parole en lui sautant au cou, « oh non, sil te plaît, tu ne vas pas revenir sur ta promesse de ne rien dire, je ten supplie, je ferais tout ce que tu voudras, promis et pis tu sais mes règles ne durent que 3 jours, après cest promis, je ne mets plus de culotte, regarde, ce matin je nai que mon tee-shirt et ma culotte, comme tu mas demandé, et je vais rester comme ça toute la journée, je serais une nièce bien sage et obéissante, je te ljure, mais ne dit rien aux parents ».

Mon oncle mavoua plusieurs années après que ce matin là, il voulait sexcuser et me dire que ce quil avait fait nétait pas bien et quil ne fallait pas recommencer, mais que devant mon visage apeuré et les promesses que jvais faites il nen eu pas le courage, il se dit simplement quil allait essayer de ne pas dépasser certaines limites.

Donc après ma petite diatribe, je me reculais et relevais mon tee-shirt, il vit mes tétons turgescents et ne pu sempêcher de les effleurer de la main, puis il me dit « bon daccord, mais tu as intérêt à être très sage, pour commencer, comme je nai pas tout vu hier, nous allons retourner dans la porcherie et voir si un porc vient te renifler, si cela se produit, je veux que tu fasses comme hier » comme il venait de finir son café, il me dit « je pars devant, rejoins moi quand tu as déjeuné » et il sortit sans que je nai eu le temps de répondre, jétais à la fois honteuse de ce quil me demandait de refaire et à la fois excité de le refaire devant lui, je me dépêchais de déjeuner et chaussant des sabots, je le rejoignis dans la porcherie, il mattendait appuyé sur une barre, comme nous le sommes aujourdhui, mais en bois, car depuis il a fait moderniser le bâtiment.

Je mapprochais de lui et mappuyais à mon tour à la barre, mon oncle me confirma après que cétait le fait que javais mes règles qui attirait les mâles, et lun deux fut le plus rapide et aussi entreprenant que celui de la veille, il passa sa tête à travers les barres et en avançant sa tête, il passa son groin sous mon tee-shirt et vint le coller à ma culotte, aussitôt mon oncle et moi vîmes son sexe qui commençait à se développer, je maccroupis comme la veille et commençait à faire courir ma main sur ce sexe qui grossissait et sallongeait à vue dil, je le saisis entre deux doigts et le caressait sur toute sa longueur, le porc ne bougeait plus, il se laissait faire, tonton sétait décalé un peu pour mieux voir, et il me dit en haletant un peu « prends le à pleine main et fais comme avec moi hier », je fis ce quil me demandait en sentant ma culotte se mouiller encore plus, et quelques minutes plus tard, le porc, tout comme tonton la veille, éjacula. Je me relevais et me tournant vers tonton je lui demandais si javais bien fait. Il me sourit et dit « et si tu recommençais, mais avec mon sexe cette fois ci », je ne disais rien, cest ce que jespérais depuis le matin, avoir à nouveau son sexe dans ma main, je maccroupis face à lui, déboutonnais sa salopette et tout comme la veille je trouvais son sexe déjà bien dur, je le pris en main et ouvrant un peu plus son pantalon avec mon autre main, je sortis lobjet de ma convoitise, puis je levais la tête pour le regarder et lui demandais « tu veux que je fasse comme hier ? », il sourit, hésita puis me dit « ce serait peut-être mieux que tu enlèves ton tee-shirt pour ne pas le salir » sans hésitation, je le relâchais, attrapais le bas de mon tee-shirt et le fis passer par-dessus ma tête, et très rapidement je repris cette chose dure et toute douce dans ma main et je commençais à faire les mouvements qu’il mavait appris la veille, tonton avait posé ses mains sur mes seins et les malaxait avec un peu de rudesse ce qui ne me laissa pas sans réaction au niveau de mon bas ventre, il respirait de plus en plus vite et fort, il me dit « tu sais il y a une solution pour éviter que tu en ais plein la figure et les cheveux comme hier », je levais la tête et lui demandait laquelle, il mit quelques secondes à répondre, puis poussant un soupir et en murmurant « au point où on en est » il me dit « ben fais un bisous sur le bout », je me penchais et fis ce quil me demandait, il repris

Jacques : « elle ne ta pas mordu ? »,

Michèle : « ben, non test bête, elle peut pas mordre » et je déposais un nouveau bisou sur la bout du gland et appuyant un peu plus mes lèvres dessus »,

Jacques : « ouvres la bouche », sur le coup, ne comprenant pas pourquoi il me demandait ça, je le fis, son gland nétait quà quelques centimètres de ma bouche, il donna un petit coup de rein et le rentra dans ma bouche grande ouvert, sur le coup, je fut surprise, mais je maperçus que ce qui me remplissait la bouche était doux, chaud et surtout bien dur, je refermais mes lèvres dessus et dans un état second jentendis mon oncle me dire « voilà, cest bien, fait coulisser tes lèvres dessus, avales la toute et fais bouger ta langue dessus » et pendant un bon ¼ dheure il mexpliqua ce quil fallait que je fasse, japprenais ce jour là à faire ma première pipe.

Au bout de quelques minutes, il ne pouvait plus se retenir, je sentis des soubresauts secouer le sexe qui envahissait ma bouche et il éjacula, dans un premier temps jouvris la bouche pour respirer, puis reculais la tête pour sortir son sexe de ma bouche, mais il mavait attrapé par les cheveux et mempêcha de le faire sortir et senfonçant même un peu plus, je régurgitais et pour pouvoir respirer, je dû avaler ce quil venait de me balancer dans la bouche, en me voyant déglutir, sans me lâcher il dit « oui ma ptite truie, ma ptite salope, avales le foutre de tonton, tu vas voir, ça va te faire du bien, et tu vas vite aimer son goût », quand jeus tout avaler, il me dit « nettoies ma bite maintenant ma ptite salope, fais la briller avec tes lèvres et ta langue » et il commença à faire coulisser son sexe dans ma bouche pour que jobéisse. Je fis ce quil me demandait et quand jeus finis, il sortit de ma bouche et dit « ranges là maintenant », puis alors que je me relevais « tu as aimé ? », je baissais les yeux et murmurais un petit « oui, tonton », il me caressa la joue et me dit « allez va faire un ptit peu de ménage et ensuite tu fais ce que tu veux.

Le soir je me caressais à nouveau les seins avant de mendormir en imaginant que cétait mon oncle qui le faisait, le lendemain, la journée commença de la même manière que la veille, pour mon plus grand plaisir et celui de tonton bien sur, à une chose près, quand nous arrivâmes aux barrières dans la porcherie, ce sont deux porcs qui se sont précipités vers moi, je reculais en disant « eh, doucement, un seul à la fois » et jentendis mon oncle derrière moi qui me disait « pourquoi, tu as deux mains », je maccroupis comme la veille et voulant lui faire plaisir je saisis dans chacune de mes mains le sexe dun porc et commençait à les branler, tonton, comme la veille sétait décalé, pour saisir les deux sexes et me stabiliser, javais écarté mes cuisses, il saccroupit à côté de moi et caressa une de mes cuisses et comme je ne disais rien, sa main se retrouva très vite sur ma culotte,

Jacques : « mais ta culotte est trempée ma chérie »

Moi : « ben oui, hier aussi, je suis toute chose avec ce que tu me fais faire, et ça me fait tout chaud dans le ventre »

Jacques : « ah bon, je peux vérifier ? », et sans attendre la réponse il glissa sa main dans ma culotte et commença à jouer avec les poils quil y trouva.

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