Je m’appelle Béatrice et je vous raconte ici les histoires vraies et plutôt sexe de ma jeunesse.
J’ai aujourd’hui la cinquantaine et je ne regrette pas ce que j’ai vécu comme expériences
Je vous ai raconté mon entretien d’embauche qui s’est plutôt avéré être un « entretien de débauche ». Je vous ai dit à la fin que l’hôtesse d’accueil était une vraie salope. Mais quand je dis une vraie salope, c’était vraiment une vraie salope.
Son job consistait à faire en sorte que l’intégration des nouveaux dans l’entreprise se passe pour le mieux. Si je me base sur ma propre expérience, l’intégration s’est vraiment très très bien passée.
Voilà comment s’est déroulée ma soirée d’intégration : Hélène (c’est son prénom) est seule en face à face avec moi. Nous sommes assises à une table de restaurant de bonne facture. Cela commence par un apéritif pendant lequel nous avons un peu discuté de nos gouts respectifs en commençant par les fringues, le maquillage, les gouts culinaires., tout ce qu’il y a de plus normale entre deux jeunes femmes. Puis est venu le temps d’évoquer nos gouts concernant les sous-vêtements (les strings ne sont pas encore à la mode mais sont quand même disponibles dans certains magasins spécialisés), les gouts sexuels et toutes ces petites choses très personnelles.
Le courant passe bien, voire très bien. Aussi, les confidences viennent sans trop s’en apercevoir. Et je me rends compte que je lui raconte les expériences sexe que j’ai déjà vécues. Je lui fais part des partouzes et des doubles pénétrations auxquelles j’ai participé de manière plutôt active Elle me pose plein de questions comme ça t’a plu la première sodomie ? Il était bien membré celui qui t’a sodomisée ? Cela t’a donné envie de recommencer ? Et bien d’autres questions encore.
Je lui ai dit que j’avais adoré ma première sodomie (ou plutôt mes premières sodomies), même si cela avait été douloureux car les blacks étaient particulièrement bien membrés et ils m’ont tous enculée les uns à la suite des autres. La première queue qui m’a pénétré le cul devait faire au moins 25 centimètres de long. Elle me semblait être d’un diamètre assez important, mais je crois que ce n’était pas le cas. J’ai cru qu’elle était grosse parce que j’avais un peu peur qu’il me défonce le cul complètement. C’est d’ailleurs ce qui s’est passé : il a élargi ma rondelle au point que les autres n’ont eu aucun mal à rentrer et sortir leur bite de mon cul.
L’envie de recommencer, je n’ai pas eu le temps de me poser la question : un deuxième, puis un troisième, un quatrième, un cinquième et enfin un sixième mec est venu fourrer sa queue dans ma petite rondelle.
Après cela, j’avais tellement joui pendant près de trois heures que j’avais hâte de me faire remettre une queue dans le cul. Hélène m’écoutait avec attention mais je n’avais pas senti son pied qui me caressait le mollet en remontant doucement vers mes genoux. Délicatement, elle écarte mes cuisses pour passer son pied entre mes jambes et venir me toucher la chatte. Comme à mon habitude et comme nous étions encore en été, je n’avais toujours pas de petite culotte. Hélène est donc arrivée directement sur ma chatte. Et comme elle n’avait pas de chaussure (elle s’était déchaussée en arrivant à table), elle a senti que ma chatte était trempée, alors elle a redoublé d’efforts pour me faire mouiller encore plus en caressant mon clitoris avec son gros orteil. Elle s’y connaissait cette salope. J’ai joui, le plus discrètement possible, mais en laissant quand même sortir un petit soupir. Un mec, attablé non loin de nous, observait le manège d’Hélène qui ne le laissait pas indifférent à le voir bouger sur sa chaise et discuter avec la femme qui l’accompagnait.
Ils nous souriaient et je pense qu’ils auraient bien voulu que nous continuions la soirée tous les 4, un mec pour trois femmes.
Hélène semblait plutôt vouloir assumer son rôle du mieux qu’elle pouvait pour que mon intégration soit la plus agréable possible. Je dois dire qu’elle s’y prenait vraiment bien.
L’alcool aidant, je me détendais de plus en plus ou plutôt, je me laissais aller de plus en plus. A un moment, sa fourchette tombe par terre. Elle se baisse et regarde sous la table. J’en profite pour écarter largement les cuisses pour qu’elle puisse bien voir ma chatte. Hélène ne se dégonfle pas : elle s’agenouille et passe sous la table. Le voisin n’en croit pas ses yeux. Il est tellement excité que je pense un moment qu’il va faire tomber sa table. Il mime le mouvement qu’il voudrait bien faire avec moi : il va d’arrière en avant comme s’il était en train de me baiser comme une chienne. Sa femme a glissé sa main droite sous la table et semble se caresser la chatte.
Je sens Hélène qui s’approche de ma chatte. J’écarte encore plus les cuisses pour lui permettre un accès total à ma chatte pour faire ce que bon lui semble.
A ma grande surprise, deux doigts viennent me fouiller le vagin alors que son pouce me titille le clito. Mon bassin va, comme mon voisin de table, d’avant en arrière comme si une queue était au bout et que je cherchais à me faire tringler comme une pute. Je regarde le mec à la table d’à côté et passant ma langue sur mes lèvres, puis en me mordant la lèvre inférieure puis en mimant une pipe avec ma langue. Le mec était comme un fou. Je l’ai vu se contracter puis se relâcher. Je n’avais pas vu que sa femme était aussi passée sous la table. Elle est ressortie quelques instants plus tard avec un peu de sperme au bord des lèvres. Son mec lui avait balancé la purée et elle l’avait avalée semble-t-il.
Rien que d’y penser, cela m’a encore plus excitée et quand Hélène a posé ses lèvres sur ma chatte, j’ai déchargé à mon tour. Hélène est remontée de dessous la table et elle avait de la cyprine plein la figure. Je crois qu’elle voulait que je voie cela pour m’exciter encore plus. Et ça n’a pas manqué.
Elle s’est essuyé le visage en regardant droit dans les yeux la femme de la table d’à côté, mais Hélène n’avait pas vu ce que moi, j’avais vu : remonter de sous la table avec du sperme au coin des lèvres. Quand je lui ai dit ça, elle l’a regardée en haussant les sourcils. La femme d’à côté semblait être vraiment au bord de la jouissance. Elle ne tenait plus en place sur sa chaise. Je crois que ses doigts allaient de plus en plus vite dans sa chatte. J’ai vu au bout d’un petit moment un sourire béat sur son visage, mais je n’ai pas entendu de cri de jouissance. Je crois que cette personne était adepte de « l’exhibitionnisme discret », une sorte d’exhibitionnisme réservé à quelques privilégiés.
Nos voisins de table viennent de payer et de partir il y a quelques minutes en nous faisant de grands sourires auxquels nous avons bien sûr répondu.
Vient le moment du dessert et du café. Hélène me demande si je veux continuer la soirée. Je lui réponds que oui.
Nous finissons nos desserts et elle règle l’addition avec une carte bancaire de la boite, la soirée étant « tous frais payés ».
Nous nous levons et sortons pour partir en boite de nuit. En arrivant dehors, nos voisins de table semblaient nous attendre. Dès que nous passons devant eux, ils nous interpellent et nous demandent si le repas s’était bien passé avec un large sourire qui ne laissait aucun doute sur ce qu’il avait compris du passage d’Hélène sous la table.
Nous lui répondons que c’était un excellent repas, Hélène demande à la femme si le dessert était bon, faisant allusion à ce qu’elle avait fait sous la table à son mec. La femme sourit et dit qu’il était délicieux, et qu’il coulait au fond de la gorge sans aucune difficulté
Elle nous demande si nous ne voudrions pas finir la soirée avec eux. Avant que je ne puisse répondre, Hélène lui dit que cela dépend.
La femme, étonnée, répond : « cela dépend de quoi ? » Et Hélène, sans se démonter lui réplique : « de la queue de monsieur ! ».
Sans se dégonfler, l’homme regarde autour de lui et comme il était aux environs de 23 heures 30, et qu’il n’y avait quasiment personne dans la rue, descend la fermeture éclair de sa braguette puis sort sa queue. Il nous demande : « est-ce que cela vous convient mesdames ? ».
Je dois dire que j’ai été quelque peu surprise, mais il avait une belle bite, bien droite, bien tendue et même s’il faisait sombre, on pouvait voir que l’engin en question semblait être à notre goût.
Hélène, sans se démonter, s’approche du mec, lui tâte la queue et les couilles, le branle énergiquement ce qui a pour effet de la faire grossir encore.
Le mec est aux anges, mais Hélène ne semble pas vouloir s’arrêter là. Elle se met à genoux, ouvre la bouche et enfourne la queue du mec qui, un peu pris au dépourvu, ne rechigne pas à se faire sucer. Sa femme semble excitée et vient me caresser les seins. Moi, je regarde cette salope d’Hélène en train, en pleine rue, de pomper un mec qu’elle ne connait pas.
Hélène se retourne, lève sa jupe et en bonne salope qui se respecte, tend son cul vers le mec. Ni une, ni deux, il l’enfile sans avertissement, d’un coup sec. Hélène couine un peu car Monsieur semble avoir été gâté par Dame Nature. Il lime Hélène qui ne se dérobe pas et pousse même un peu plus pour que la bite de cet homme aille encore plus loin au fond de son cul.
Comme elle se dandine avec la queue de Monsieur bien enfoncée dans le cul, Henri (c’était le prénom de l’homme en question) accélère encore le mouvement et décharge son foutre dans le cul d’Hélène qui semble apprécier la petite gâterie.
Comme elle reste cambrée (elle semble attendre qu’autre chose prenne la place de la bite d’Henri), je mets ma bouche à la hauteur de son cul et je suce le foutre qui en sort. C’est un vrai régal : il me parait sucré, mais avec tout ce que nous avons mangé et bu avant, je n’en suis pas sûr.
Pendant que je bouffe le cul de cette salope d’Hélène, je sens un doigt qui entre dans ma chatte. Je ne sais pas si c’est Madame ou Monsieur qui me doigte, mais, franchement, je m’en fous complètement. Un deuxième doigt vient tenir compagnie au premier, puis un troisième bientôt suivi d’un quatrième.
J’ai l’impression que mon bienfaiteur ou ma bienfaitrice cherche à me « fister ». Ce serait une première pour moi.
Les mouvements se font de plus en plus amples dans ma chatte : les 4 doigts cherchent à rentrer encore et encore plus loin dans ma foufoune. Et moi, je mouille comme ce n’est pas permis. L’avantage, c’est que la pénétration est facilitée : ça glisse mieux.
Je sens le pouce qui vient se coller aux 4 doigts pour essayer de rentrer la main entière. J’avoue que cela m’affole un peu car je n’ai jamais pratiqué. Pourtant, ce n’est pas l’inconnu qui me fait peur au contraire.
Je pense que c’est la main de Madame qui cherche à rentrer dans ma chatte car elle semble assez fine. Et ce qui devait arriver arriva : je sentais que la dernière phalange du pouce gênait quelque peu la pénétration de la main, mais d’un seul coup, j’ai senti venir du fond de mes entrailles quelque chose que je ne pouvais plus contrôler. Ma chatte s’est mise à couler encore plus et c’est à ce moment-là que Catherine (la dame qui me fouillait la chatte) en a profité pour pousser plus fort que précédemment et sa main est rentrée complètement dans ma chatte. J’ai arrêté de bouffer le cul d’Hélène qui n’attendait qu’une chose, c’est que la bite d’Henri reprenne un peu de vigueur pour se la prendre une nouvelle fois.
J’ai eu le souffle coupé pendant quelques secondes et pendant ces quelques secondes, Catherine s’est arrêtée d’aller et venir pour que mon sexe s’habitue à cette intrusion. J’ai senti qu’un de ses doigts bougeait dans ma chatte comme s’il voulait gratter mon vagin. J’avoue que cela n’était pas désagréable. Puis Catherine a repris de plus belle. Et moi, je me faisais fister en pleine rue pour la première fois.
Catherine n’était pas en reste car discrètement, son mari s’est posté derrière son cul (il faut dire qu’il était prêt), il a soulevé la jupe, puis l’a enfilé d’un coup sec. Catherine devait être habituée car elle n’a pas bronché. Elle s’est faite limée le cul pendant qu’elle me fistait. Je ne sais pas laquelle de nous deux était la plus « aux anges ». En tout cas, pour moi, c’était le pied.
Hélène nous regardait en se caressant le minou, attendant d’y passer à son tour.
Comme nous étions en pleine rue et que des gens arrivaient au loin, nous avons décidé de continuer la soirée chez eux car ils habitaient à quelques pâtés de maisons d’où nous étions