Les vacances de Marina
1- L’arrivée
Enfin les vacances. Quel soulagement pour Marina !
Le sud approche à vive allure. Elle a eu tout le trajet pour penser à la fin de ses cours, aux profs cons, aux embrouilles de filles, …. Tout ça est de plus en plus loin.
La mer apparaîtra bientôt, l’odeur de l’iode lui arrive déjà aux narines. Depuis des années ses parents ont pris l’habitude de retourner dans cette villégiature. C’est éternellement la même chose: installation dans la même villa, puis indéfiniment piscine, sieste, plage, apéro, barbecue, jusqu’au départ. Mais ce n’est pas un enfer; la maison est de très bon standing, les loisirs variés, la nourriture excellente (sa mère est un petit cordon bleu), le repos optimal et le soleil invariablement au rendez-vous.
Seul véritable bémol c’est des vacances avec papa et maman !
Dans sa chambre habituelle, une surprise : le propriétaire a refait la déco et celle-ci lui plait; les meubles ont changés; un grand miroir enfin ! Traditionnellement après le déballage des affaires on plonge tous dans la piscine. Mais là dans sa chambre, elle constate son erreur : elle aurait dû essayer son maillot de plage (une pièce) avant le départ. Il était très bien l’année dernière. Maintenant ce n’est plus ça; malgré ce qu’elle croyait elle a continué à grandir (un peu) mais surtout sa poitrine a encore pris du volume. Elle se regarde dans le miroir : une couverture de manga cochon dans son monokini trop petit d’où les seins débordent, et fesses "explosent" !
"Mince, je vais pas sortir comme ça !"
Elle réfléchit. C’est décidé demain (car là il est tard et elle est fatigué) elle ira au centre ville (1/4h à pied) s’acheter une nouvelle tenue. Elle réalise qu’elle va étrenner sa première "vraie" Visa.
"Cette année va être géniale; je suis plus une gamine; je n’ai plus à me justifier à mes vieux ! yesss" Elle commence à réaliser les changements possibles. La chambre est un premier élément, le maillot le 2ème, … "On verra la suite" se dit-elle en tournant devant la glace et en soupesant ses attributs.
Sous sa fenêtre elle entend une voix qu’elle connait bien : "Coucou vous êtes là ?!" C’est Pépita. Elle regarde entre les persiennes; Jean Jacques alias JJ l’accompagne bien évidemment. Couple d’amis de ses parents, un peu loufoques mais sympas. Sa mère passe la tête par la fenêtre pour raconter le voyage, le blah blah habituel…
Elle reprend son rangement, mais après le voyage sans clim (because of maman écolo bobo), la piscine se fait trop tentante. "Allez je m’en fous du style allumeuse que j’ai là dedans, y a que mes vieux dans la piscine ! Ce maillot, va faire son dernier usage !"
Quand elle débarde pensant la piscine déserte elle découvre le Pepita & JJ. Ils sont vautrés sur des bouées géante dans l’eau. "Salut Marina" lancent-ils en cur. "Bonjour" répond-elle. Dans sa voix la surprise et déception s’entendent clairement. Elle ne peut pas faire demi-tour maintenant !
Elle retire la serviette et la pose sur un transat. Elle voit le regard de JJ qui lui découvre sa tenue : bouche bée ! Pépita lui envoit un direct dans le bicep pour le décoincer. Marina rougit et comme seule fuite possible plonge directement dans l’eau.
Elle a sauté sans calculer. Le choc thermique la pétrifie. Mais sans mal elle remonte à la surface, la piscine faisant à peine 2m10 de profondeur.
Deuxième surprise : en entrant dans leau son maillot sétait complètement faufilé entre ses fesses. « Ouch ! ce maillot est grave trop étroit » pense-t-elle. JJ tente de ne pas la fixer à travers l’eau mais son regard un peu niais le trahi; il se reprend un coup de la nerveuse espagnole. Elle essaye donc de remettre le tissu discrètement ; mais en tirant derrière elle se rend compte quil se glisse aussi devant, entre ses lèvres. Là elle na pas pied et galère un maximum. « Quelle merde !!! » rage-t-elle en silence. "Ils ne voient rien, ils ne voient rien …" prie-t-elle.
« ça va, ma puce ? » demande Pépita. Elle improvise, elle ment : « elle est froide ! » Elle nage comme elle peut (sans faire remonter son postérieur à la surface) vers une zone moins profonde. Mais cest vers JJ ! Elle se demande sil peut voir ses manuvres pour décoincer son maillot. Du coup elle nose pas faire clairement lopération.
« si tu as froid nage ; bouge pour te réchauffer. Mais je tassure quelle est bonne ».
Elle décide de donner le change et de nageoter et par la même de séloigner d’eux. Elle se raccroche finalement du bord opposé. Elle réalise que ces mouvements avec le maillot coincé entre ses fesses et sa vulve ont un peu trop frotté sur son clitoris. Elle rougit. « Bordel ! cest pas le moment de sexciter !!! » « Faut agir plus vite espèce de blonde (ce quelle nest pas) !» Elle tire fermement. Il lui semble que leau a réduit encore plus le tissu. Dun coup sec elle remet ses fesses en place dans le tissu. Mais la manuvre a tiré le maillot vers le bas et cest ses seins qui sont sortis du maillot. Heureusement elle sétait enfoncée au maximum dans leau, jusquà son cou. « Mais il va pas arrêter de me regarder ce con ». Avec la naissance de lexcitation et leffet de leau, ses tétons ont commencé à se raidir. « Noonnn !!! Faut pas ! pas là, pas devant eux »
Pourtant ils ne voient rien ; mais elle ne la pas compris ; elle nest pas sûre. Dans un éclair dinconscience elle en vient à se demander si cest pas le risque (dêtre captée) qui lexcite ! Ses pensées sont troubles laidant en rien pour se dépatouiller avec son maillot.
« Alors ?! Elle est comment ? » sa mère arrive au moment critique, comme toujours ! Cest peut-être son flair de mère ; mais Marina est trop plongée dans son stress pour penser à ça.
« Bonnnnne » répond JJ qui semble aussi sauvé que Marina ! Puis les trois "vieux" entament une conversation classique sur le rangement, les nouveautés de la maison, le programme à venir
Accalmie pour Marina ; le cerveau redémarre ! Avec un peu plus de calme elle se réajuste tandis que sa mère sest lancé dans ses longs préparatifs de la baignade (serviette bien déroulée, claquettes et lunettes rangées, eau sur la nuque, pieds et chevilles dans leau ).
« Yes ! Success ! plus jamais de ma vie je remets cette .. » pense-t-elle, puis sort tranquillement pour éviter tout faux mouvement.
« Tu nous abandonnes déjà ma ptite chérie ?! » s’étonne sa mère.
« Oui. Je vais mettre le couvert davance » dit-elle en rentrant dans la maison.
La soirée se déroule sans souci avec la traditionnel incruste des amis voisins. Mais la nuit est plus agitée. Marina a du mal à s’endormir et se réveille plusieurs fois. L’incident revient en boucle ; particulièrement l’ambiguïté de sa réaction.
Le réveil est difficile ; ses parents ont l’habitude d’aller au marché assez tôt, et leurs bruits la sortent de sa torpeur.
Quand elle voit son état dans le reflet de la salle de bain : "ma pauvre ! Tu aurais mieux fait de te branler pour bien dormir." Le mal étant fait, elle adopte la solution banale de la douche + café noir sans petit déjeuner.
Elle décide rapidement de partir acheter son nouveau maillot avant le retour de sa mère (et éviter ainsi qu’elle s’incruste !).
Toute guillerette avec sa carte bleu chargée de presque tout son argent de poche de l’année ("Marina l’écureuil" comme l’appelle son père), elle parcoure les rues et les boutiques de la petite ville. Elle l’a trouvé son maillot : bikini soft et très joli. Mais ce n’est pas tout : un chapeau "de femme" (et plus de casquettes d’ados), des lunettes de soleil de stars, et … un string ! Son premier !! Elle n’avait pas encore osé. Mais comment aurait-elle pu ? avec sa mère qui validait tout ces achats de fringues et supervisait les lessives. La vendeuse avait vu son regard quand elle était passé devant le modèle; et elle avait bien joué son rôle, la convaincant de prendre un ensemble. Bien sûr elle cache ce dernier achat au fond de son sac à main.
Plage et sieste dans l’après-midi avec ses nouveaux accessoires. Elle remarque quelques regards accrocheurs de mecs. Elle sourit mentalement.
Le soir après le repas, seule dans sa chambre elle essaie son dernier achat devant le grand miroir de l’armoire. Elle découvre ce qu’elle appelle "vraie femme". Elle décide de se maquiller, coiffer. Puis se retourne devant la glace. "Wahouu! Alors là ! On dirait les femmes des vidéos …" Elle se regarde, tourne, prend des poses de plus en plus sexy comme elle l’a déjà vu sur des sites internet. Elle se retourne pose ses mains sur le lit (qui est en face de l’armoire) et tend sa croupe au miroir. Elle rougit de l’image qu’elle renvoi, mais écarte inconsciemment un peu plus ses jambes. Maintenant Marina a les 2 pieds bien écartés au sol, tout le buste couché sur le bas du lit, et la tête tournée vers son image. Elle peut tout voir de ce qu’un amant verrait : son postérieur entrouvert, la ficelle du string, et son pubis a peine masqué par le mignon petit morceau de tissu. (Elle avait prévu le rasage "maillot" juste avant le départ en vacances). Elle sent la chaleur qui la gagne.
Un éclair de conscience : "Quand je pense que je les appelais ’salopes’ les filles de ces vidéos ! Je suis quoi moi alors ?!"
Marina a vraiment très chaud. Elle se souvient de ces femmes en chaleur qui se caressaient jusquà jouir sans laide du moindre mec.
Pour sa propre sauvegarde son cerveau fait sauter un verrou. Plus de doute sur son intention finale : elle veut jouir.
Toujours dans la même position, dune main elle écarte son string. Là dans le miroir elle ne se reconnait pas. Devant ses yeux, cest une petite chienne – comme les mecs appellent ces femmes qui le cul en lair demandent quà être prises !
En écartant le bout de tissu, elle a pu voir létat de son sexe, trempée dexcitation.
Elle passe la main sous son ventre et rejoint le pubis pour la glisser dans le string.
« aaahh »lache-t-elle.
Sa main entre dans une chorégraphie qu’elle seule maitrise. Va et vient, rotations, pressions.
Elle respire de plus en plus fort. Son regard est trouble; mais elle voit encore un peu son string agité par les mouvements de sa main.
Ses genoux endoloris (par le vieux bois du plancher) lui rappellent sa position. Elle se redresse pour s’asseoir sur le lit; là où était posée sa poitrine; la place est brulante. Elle prend à peine 5 secondes pour frotter ses articulations en souffrance.
Elle retire son soutien-gorge et se regarde les seins gonflés pointes tendues. Elle assume maintenant totalement sa situation de femelle excitée. Elle fait glisser son string le long de ses jambes. Il est trempé de son jus intime; elle ne s’en était pas encore rendu compte.
Marina entrouvre la bouche et se lèche les lèvres en écartant les cuisses face au miroir. Elle voit celles du bas (ses lèvres intimes )s’entrouvrir humides de leurs désirs. Elle se plait ainsi, sexy, érotisée à l’extrême.
Ses mains passent à l’assaut de la poitrine pour des caresses initialement douces puis rapidement plus poussées. Après les avoir bien "massés", elle attrape chacun de ses tétons entre le pouce et l’index pour tirer dessus; ils s’allongent. Dans son reflet, elle ne manque aucun détail de la scène. Elle recommence le mouvement plusieurs fois, jusqu’à la limite de la douleur. Quand finalement elle les relâche, ils restent tendus à mort.
Son regard plongé dans ses propres yeux, Marina redescend sa main vers son pubis. Elle reprend sa caresse. Maintenant le mouvement est seulement vertical, une partie des doigts sur la lèvre gauche et les reste sur la droite. Ils sont devenus tout trempés et produisent une bruit obscène.
Marina se mord la lèvre inférieure. Elle regarde maintenant son sexe qui coule vers la raie de ces fesses. Avec l’index et le majeur elle masse et lisse ses lèvres, petites et grandes. Puis elle les écarte. Sa chair rose et luisante est exhibée comme dans un porno.
"ooohhhh" : Marina vient de glisser le majeur au fond de sa petite chatte toute chaude et humide. Elle se caresse comme cela, le doigt faisant des vas et vient à l’intérieur et sa paume sur son clitoris.
Le plaisir monte. Elle ne tient plus assise. Elle s’allonge totalement sur le lit et se regarde une dernière fois avant l’accélération finale : son image est excitante comme une vidéo X; encore plus : c’est elle transformé en "salope". Dans sa tête elle assume le terme.
Sa tête bascule en arrière, sa main accélère; l’autre prend possession de sa poitrine. Sa mouille coule jusqu’à son cul. Elle sort son doigt et suit le trajet jusqu’au bas du sillon. Le contact de son petit anneau l’électrise et la surprend. Elle replonge deux doigts en son sexe et s’achève sur un râle étouffé dans l’oreille. Son corps est agité de spasmes mais son cerveau n’enregistre plus.
Elle reprend conscience au bout de combien de temps ? Elle ne sait. Sa main est encore gluante mais son souffle un peu calmé.
Elle relève la tête et se voit dans le miroir complètement échevelée mais un grand sourire aux lèvres . "Wahouhh !!!"
