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Egarement – Chapitre 1




Ça fait une heure maintenant que nous cherchons les traces qui nous remettrons dans la bonne direction. Impossible de les repérer depuis le fameux embranchement où, dans le doute nous sommes partis à gauche. Il faut bien l’avouer, nous sommes perdus malgré la carte détaillée qu’Eric ausculte depuis tout à l’heure sous toute les coutures et en s’énervant de plus en plus.

La situation me semble plutôt drôle ! Il fait très beau et chaud, nous sommes en été et ce n’est pas une forêt en plein milieu de la France qui risque d’être rempli de bêtes malfaisantes. Je n’ai pas peur des loups, en tous cas pas ici. En plus, nos sacs de randonnée, bien remplis pour 6 jours de ballades, nous permettent d’envisager sans problème une nuit à la belle étoile. Et puis, je trouve ça très romantique cette perspective de passer ce moment seul avec mon mari en pleine forêt.

Je dois l’avouer la nature m’a toujours attirée. Quand je dis nature, je devrais dire plus particulièrement les arbres, les sous bois. Tous ces endroits où l’ambiance redevient sauvage, où progressivement, en s’y plongeant, la civilisation et ses règles s’estompent pour laisse place à quelque chose de plus primaire et instinctif. Et ce soir, l’envie me prend d’être primaire et instinctive…

Il est 20h et il me semble qu’il est temps de renoncer à chercher le chemin pour essayer plutôt de trouver un endroit le plus confortable possible pour nous installer. Après un quart d’heure de palabre, j’arrive à convaincre Eric de renoncer à sacharner sur la carte. Nous partons donc à la recherche de notre nid douillet. Dans notre malheur nous avons de la chance. A peine 5 minutes de recherche pour tomber sur une belle clairière où le soleil dispense encore ses rayons. Elle est magnifique, l’herbe tapissé de mousse est super confortable et en plus il y a un petit ruisseau tout clair qui passe au fond.

Je ne sais pas pourquoi mais cela me rend toute chaude. Cette forêt sans doute et en plus cette belle clairière réveillent mes instincts. Plein didées bien perverses me traversent l’esprit. Dans la nature, je me sens femelle et mon Eric, dans ma tête, se transforme en mâle dominant. Et oui, je trouve ça très agréable de laisser ses pensées dériver vers des zones insoupçonnées. On se surprend soit même comme si on regardait un nouveau film érotique en y découvrant des plaisirs inédits.

J’ai chaud et je suis chaude. N’en pouvant plus, je lance à Eric que j’ai envie de me mettre nue et sans plus attendre je commence à me déshabiller. Il me regarde d’abord surpris puis sans me quitter des yeux son regard se fait plus insistant au fur à mesure que mes habits tombent au sol. Je le fixe dans les yeux en enlevant mon teeshirt qui dévoile tout le haut de mon corps perlant de sueur. Mon désir se nourrit de son regard sur moi. Les yeux de mon homme me déshabille, traverse mes vêtements. Il m’imagine nue. Il voit déjà mes seins et mon ventre. Il goûte déjà mon cul et ma petite toison noire. Ca me chatouille dans la culotte, rien qu’en scrutant ce regard de prédateur.

J’ondule en dégrafant mon soutien-gorge. Mon bassin louvoie et se tend parfois vers lui comme une invitation perverse. Les yeux fermés, tout mon corps vibre d’avant en arrière comme pris par une virilité imaginaire qui s’enfonce en moi pour mon plus grand plaisir. Oui, c’est ça, je suis seins nus devant mon homme et je ne pense plus qu’à un sexe dur, gros et bien raide qui viendrait me remplir et me dilater.

Pour l’exciter encore plus je me caresse avec des branches basses, m’attardant sur les seins et frottant ces fines dentelures sur mes tétons. C’est à la fois divin pour moi et absolument excitant pour Eric qui ne voulant pas être en reste a glissé sa main dans son short et commence à se caresser. Ce salop ne sort pas son sexe, il sait que je rêve de le voir j’en suis sure. Il fait exprès de m’affoler en ne le gardant dans son short. Je devine ses doigts autour de son gland, le pouce surtout juste à l’arrière là où j’aime mettre ma langue. J’imagine qu’il enserre sa bite comme un sexe, qu’il y enfonce son gland en imaginant pénétrer ma chatte. Il doit sentir son sexe se raidir ce vicieux.

Vas-y mon amour continu à te masturber à distance. Toi aussi tu vas pouvoir imaginer où vont mes doigts car, comme lui, je glisse ma main dans mon short tout en continuant à frotter mes tétons dressés contre les branches basses. Ma chatte est ruisselante. Mon sexe accueille immédiatement les deux doigts que j’y enfonce tout en frottant mon clito au passage. C’est bon, fort même si je rêve d’une chose plus grosse, plus adapté pour écartelé mes chairs et les exciter. Je regarde sa main dans son short tout en imaginant sa queue. Il a les yeux rivés sur mon bas ventre essayant de distinguer où se promènent mes doigts. J’imagine que nous allons tous les deux jouir comme ça par défi et par jeu. Un nouveau jeu terriblement mouillant pour moi et bandant pour lui.

Jai vraiment trop envie de la sentir cette grosse bite. Ce serait dommage de la laisser se décharger dans son short avant de ramollir et dêtre inutilisable. Je la veux dure et grosse en moi. Mes mains déboutonne mon short et lentement je fais glisser celui-ci et ma culotte pour me retrouver complètement nue. Je ne quitte pas la main dEric des yeux, fascinée par cette masturbation puissante à laquelle il se livre. Mon sexe coule sur mes cuisses maintenant que je suis à poil. Lentement je me retourne tout en me mettant à quatre pattes et je commence à reculer en lui offrant ma croupe. Je lui tends mes fesses. La plus belle invitation à me monter par derrière, à menfoncer sa queue au plus profond. Vite Eric, viens, prends moi, remplis moi, défonce moi !

Ca y est, je lai mis en rut. Il se met à poil en un tour de main et dun bond il me couvre par derrière. Son gland glisse à lentrée de ma grotte. Dun coup puissant il me prend jusquau fond.

— Hum, oui, vas y prend moi comme une bête. Je la sens bien !

— Oui, tu es ma chienne, je vais te monter et te baiser.

Eric se déchaîne sur moi. Il me baise comme un chien en rut. Jadore. Je cambre encore plus les reins pour mieux laccueillir au fond. Le bruit que fais son sexe quand il ressort mexcite. Jai la tête sur le sol et mon cul est à lui.

— Vas-y, plus fort, encore plus fort

— Tu la sens bien tout au fond ?

— Hum, oui, jadore

Il me couvre complètement, tout son poids sur mon cul. Sa bite commence à palpiter. Il va jouir. Oui, vient mon beau mâle. Vas-y éjacule ta semence dans ta femelle. Ca y est, il lâche tout. Je sens son sperme me remplir sous les saccades de sa bite.

— Oh oui, tu es bonne ! jadore me vider en toi

Lui tendant encore plus ma croupe, je me laisse remplir avant quil ne se retire le sexe débandant. Je ne bouge pas. Le cul en lair, la tête dans la mousse, jaime sentir la légère brise caresser mon sexe béant dégoulinant de sa semence. Je sais son regard sur moi et ça mexcite de me savoir nue dans une position perverse. Jen ai encore envie ! Cet accouplement sauvage ne ma pas complètement calmée.

Je m’allonge sur lui, jambes ouvertes. Je sens sa queue contre mon ventre. C’est drôle une bite qui se rapetisse après l’amour. Comme j’aurais envie qu’elle redurcisse. Hummm, sentir son sexe grossir tout contre ma peau, ça m’excite déjà. Ce n’est plus seulement son sperme qui mouille mes lèvres mais également toutes ces pensées cochonnes obsédantes. Je suis vraiment en chaleur !

A suivre .

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