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Lucas chez sa cousine – Chapitre 3




Lucas fut horrifié quand il comprit de quoi il retournait : Amélie envisageait de lui enfoncer cet uf dans le fondement ! Il hésita un peu puis protesta d’une voix oppressée :

  

  Amélie, non, je n’ai pas envie de faire ça, je n’ai jamais

  Bien sûr que tu n’as jamais ! le coupa-t-elle. Mais ce n’est pas une raison. Et puis tu n’as pas ton mot à dire, c’est comme ça. Tu auras droit à dix coups de plus toute à l’heure, pour ton attitude négative. Monsieur, montrez-nous ce que vous avez.

  Suivez-moi, dans ce cas. Voyez, notre rayon est vaste, mais nous avons aussi des articles sur catalogue. Mais pour un début, je pense que ceci irait bien

  

 Le vendeur montra un plug en métal plus gros que les premiers.

  

  Il est en acier inoxydable, d’un diamètre de trois centimètres, bien effilé et facile à placer, même pour un néophyte. Nous avons un lubrifiant adapté particulièrement efficace.

  Lucie, c’est à toi de choisir. Un plug de trois centimètres sans lubrifiant, ou un de quatre avec.

  Mais, je ne…

  Lucie, dix coups de ceinture en plus : ça doit faire trente maintenant. Si tu ne choisis pas d’ici tout de suite, c’est le quatre sans lubrifiant.

  Non, s’il te plaît. Avec lubrifiant, avec lubrifiant ! Le quatre alors.

  

 Il était coincé, il le savait. Sa folle de cousine ne le lâcherait pas. Vaincu, il laissa le vendeur sélectionner une nouvelle boite et leur montrer son contenu, un uf effilé en acier chromé qui lui parut bien menaçant. Instinctivement il serra les fesses, imaginant déjà ce truc lui forer les reins. S’il s’imaginait pouvoir partir de la boutique, il se trompait lourdement. Amélie lui sourit cruellement en prenant le tube de lubrifiant proposé par le commerçant.

  

  Vous devez avoir des toilettes ici, nous allons placer ce jouet dans son écrin naturel.

  Suivez-moi. Je peux assister ?

  Noon ! Pas ça.

  Tu n’as pas compris que ce n’est pas toi qui commandes ? Dix coups de plus !

  Mademoiselle, vous devriez prendre une cravache, ou un paddle. La ceinture, c’est bien mais pas très efficace, à moins d’y aller fort.

  Nous verrons une prochaine fois, merci. Je pense que c’est une bonne idée. Qu’en penses-tu, Lucie ?

  Tu as raison, répondit-il d’une voix étranglée, au bord des larmes.

  Si je puis me permettre, Lucie, vous devriez entrer seule dans les toilettes et vous soulager. Ensuite vous nous appelez et je vous guiderai pour insérer le plug.

  

 Ainsi fut fait, et Lucas fit ensuite entrer sa cousine et le vendeur dans les toilettes, assez grandes car prévues pour handicapé. Résigné, il se tourna et baissa son string de mailles, exposant ses fesses.

  

  Seigneur, il a un cul superbe, admira l’homme. Écartez vos fesses, s’il vous plaît. Bien ; attention, c’est un peu froid

  

 Il versa adroitement du gel dans la raie offerte et l’étala d’un doigt, le faisant pénétrer dans l’orifice étroit, arrachant un petit cri à Lucas. Mais le doigt lubrifié s’enfonça sans coup férir jusqu’à la jointure. Ce que voyant, encouragé, l’homme inséra habilement un deuxième doigt joint au premier. Le jeune étudiant poussa un couinement étranglé, son corps frémit, mais il ne tenta pas de se soustraire aux attouchements.

  

  Il est certes serré, mais assez souple pour recevoir le plug. Je me retire, présentez la pointe et pesez. Vous, poussez comme pour aller à la selle. Bien, encore, forcez, augmentez la pression Parfait ! Il est en place.

  

 Lucas sortit du magasin tête baissée et les oreilles brûlantes, douloureusement conscient de l’uf en métal, lourd et épais, qui emplissait son anus. Marchant vers la voiture de sa cousine en serrant les fesses, tenaillé par la peur de perdre le plug au vu et su de tout le monde, il en oubliait l’inconfort des talons hauts.

  

 Assis dans la petite Fiat, Lucas avait l’impression que l’intrus le dilatait toujours plus ; il ne se décrispa qu’après plusieurs minutes. Amélie conduisait bien, attentive à la circulation dense de sortie de bureau. Il la regarda en coin, se racla la gorge avant de se décider.

  

  Pourquoi tu agis comme ça, Amélie. Je ne t’ai jamais fait de mal.

  Parce que j’aime ça. Et pas toi ? (elle jeta un regard sur son entrejambe) Tu bandes ?

  Non, biens sûr que non !

  Soulève ta robe, montre-moi Allez, obéis, sinon…

  

 À contrecur il obtempéra, les yeux brillant de larmes de honte. Sa cousine ricana en constatant que sa bite était raide, clairement visible sous les mailles larges. Lucas se recouvrit rapidement, deux larmes coulant sur ses joues. Ils regagnèrent l’appartement en silence ; dans l’entrée, sa cousine lui fit ôter sa robe et le soutien-gorge. Lucas se retrouva donc juste vêtu de son string qui ne masquait rien de sa virilité dressée et de ses bas résille. Pieds nus, il mit la table, prépara une grande salade fromage. Maussade, il s’assit en face d’Amélie et mangea en silence. Puis il lava la vaisselle pendant que sa cousine regardait la télé ; quand il eut fini, il s’approcha d’elle, les bras ballants.

  

  Alors, que penses-tu de ta journée ?

  Tu m’as humiliée comme jamais je ne l’avais été, j’ai cru mourir de honte.

  Tu sais ce que je vais faire avant de t’envoyer au lit ?

  Oh non, j’ai cru

  Que j’avais oublié ? Aucune chance, j’ai une mémoire d’éléphant. Combien de coups ? Ne triche pas.

  Quarante, je crois. Mais tu ne vas pas faire ça, non ?

  Qu’en penses-tu ? Enlève ta jolie culotte, regarde, j’ai déjà la ceinture. Petit salaud, tu bandes encore ! Tu n’as pas honte ?

  

 Oh si, Lucas avait honte, ses pommettes avaient délicieusement rosi. Malgré lui, son corps se soumettait et acceptait le joug de sa perverse cousine. Il se positionna le ventre sur les genoux serrés de la jeune fille qui brandit sa ceinture pliée en deux.

  

  Attention, tu comptes les coups, je ne veux pas t’entendre dire autre chose sinon je recommence à zéro. Compris ?

  Oui Aïe ! Un Deux Trois…

  

 Lucas égrenait le compte d’une voix de plus en plus aiguë, ses yeux se brouillant de larmes avant qu’il arrive à vingt. Les coups tombaient sur un rythme rapide, se croisant sur ses globes jumeaux et les marquant de boursouflures prenant une teinte violacée. À trente-cinq le pauvre garçon pleurait à chaudes larmes, mais il endura sans protester jusqu’à la fin, où Amélie le poussa à terre.

  

  Allez, debout, vite ! Les mains sur la tête ! Putain, ton cul est bien marqué, tu as eu ton compte. Tourne-toi Et tu bandes encore, petit salaud. Va te mettre à genoux contre le mur, les mains croisées sur la nuque. Et cambre-toi, je veux voir le plug dans ton petit cul.

  

 La jolie rousse se leva pour fouiller dans un carton plein de médicaments ; elle revint près de Lucas avec un gros tube blanc.

  

  Tu as de la chance que mes parents soient pharmaciens ! Bouge pas, je vais jouer au docteur. Là, je masse tout doucement pour faire pénétrer Cambre-toi plus, écarte les cuisses que je puisse toucher tes petites couilles.

  

 Lucas obéit, le front appuyé contre le mur pour masquer sa honte ; mais il bandait comme un malade, sa verge toute raide non loin de l’éjaculation. Il trembla quand une main fureteuse l’empoigna et la tira vers le bas.

  

  Tu ne vas pas jouir et salir le mur, non ? Je te le ferai lécher si tu fais ça, petit cochon ! Heureusement qu’il y a ta cousine chérie pour s’occuper de toi, non ? Pour caresser ta petite bite toute dure qui va cracher son jus

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