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Mme Girardin et la jeune fille – Chapitre 3




3- Le Jardinier

Anne-Sophie Girardin ne se faisait maintenant plus dillusion. Elle était sous lemprise de la jeune Amandine, esclave du sexe en général et elle ne pouvait sempêcher daimer ça. Son attitude en public, son apparence était toujours la même : distinguée, froide et hautaine. Mais les étincelles dans ses yeux étaient le témoin de sa transformation. Pour se convaincre elle-même, tout autant que son entourage, de son puritanisme sauvegardé, de sa bonne tenue morale, elle continuait ses activités comme avant : elle allait à la messe tout les dimanches, participait une fois par mois aux réunions de lassociation des femmes françaises au Sénégal, faisaient de la broderie avec dautres épouses dexpatriés Mais Amandine lui avait fait découvrir une face cachée qui la rongeait. La masturbation était devenue un plaisir quotidien inexorable : une drogue pour se calmer. Et ces images dans sa tête de pénis, de lesbiennes en actions, saffichaient même pendant la messe du dimanche. Et puis cette attente, réclamée par tout son corps, dun signe de la jeune fille la rendait folle de frustration. Amandine lui avait demandé son numéro de téléphone et à chaque fois quil sonnait, elle tressaillait et commençait immédiatement à mouiller.

Après quelques jours sans nouvelles, un beau matin, le téléphone sonna.

« Bonjour, ma chère poupée ! »

Anne-Sophie reconnut immédiatement la voix. Tout son corps tremblait.

« Bonjour Amandine. »

« Tu te portes bien ? »

« Tu me manques, quand est ce que je pourrais te revoir ? »

« Oh du calme ! Me revoir se mérite. As-tu été bien sage ? »

Le jeu commençait. Lattente lui avait semblé tellement longue que ses seins pointèrent immédiatement, sa vulve se mouilla.

« Oui, enfinjepense à toi »

« Tu ne tes pas masturbée au moins ? »

« Je suis désolée, je ne peux pas men empêcher Je suis devenue complètement folle.»

« Et tu dis avoir été sage !!? Si tu continues, tu nes pas près de me revoir. Je veux que tu mattendes pour te donner du plaisir, tu mentends !? »

« Oui Amandine. Mais je nen peux plus, jai tellement envie, tout les jours, toute la journée, je peux pas y arriver. »

« Bon, écoute, vu que tu nes pas capable de te retenir, je tautorise à te soulager avec le jardinier. Tu lui dois bien ça, le pauvre, vu comment tu las excité la dernière fois ! Mais seulement avec le jardinier, cest bien clair, hors de questions que tu le fasses toute seule. Et puis tu me raconteras tout en détails. Allez, tchao poupée vicieuse !».

Anne-Sophie fut presque soulagée que la conversation sarrête là. Elle regarda la télévision pour oublier tout ça. Au bout de quelques heures de feuilletons sans intérêt, elle éteignit, il était 2h00 du matin, et alla se coucher.

Le lendemain matin, un ciel bleu entra par la fenêtre de sa chambre. Il était 10h00, son sommeil avait été agité. Dun geste presque machinal, elle porta sa main à son sexe. Sa fente était trempée, signe de la nature de ses rêves, et pire que tout, elle avait envie, une envie irrésistible de se toucher. Mais elle ne pouvait pas, obéissant aveuglément aux ordres dAmandine, comme un membre de secte à son gourou.

Tout de suite ses pensées se tournèrent vers le jardinier.

« Non, ce nétait pas possible, elle ne pouvait pas faire ça Les risques pour sa réputation étaient trop grands »

Elle commença à shabiller, elle était devenue cette autre femme, avide de perversité. Elle ne pensait plus. Elle ne mit pas de soutien-gorge sous son chemisier pourtant un peu transparent, mis sa jupe sans culotte. Elle voulait attirer le jardinier, que ce soit lui qui fasse le premier pas, lui permettant ainsi de se dédouaner de cette envie qui la tenaillait. Les pointes de ses seins durcirent rapidement sous le frôlement du tissu. Elle prit son matériel de peinture et sinstalla dehors, à labri du manguier. Le jardinier était à une dizaine de mètres en train darroser les fleurs. Il faisait chaud, humide comme il peut le faire au mois de septembre au Sénégal. Une fois son matériel installé, elle commença à peindre. Mais sa tête ny était pas. Des gouttes de sueur ruisselaient au creux de seins, son chemisier collait à sa poitrine, augmentant son excitation.

« Jean, peux tu venir sil te plait, avec le pot de fleur qui est à côté de toi, jaimerais le peindre. » dit-elle dune voix qui trahissait son émotion.

Le jardinier sapprocha et nen cru pas ses yeux du spectacle quoffrait Mme Girardin : les aréoles apparaissaient nettement à travers le chemisier légèrement trempé de sueur. Mme Girardin était rouge comme une pivoine. Sa face cachée à ce moment là avait pris le dessus, elle était à cet instant une femme sans morale qui aimait se montrer.

« Peux-tu me tenir le pot pendant que je peins ? »

Sa main qui tenait le pinceau tremblait.

« Quest ce quil fait chaud ! »

Elle enleva les deux boutons du haut de son chemisier. La courbe de sa poitrine apparut au jardinier. Celui-ci commença à transpirer à grosses gouttes en fixant les seins de sa patronne.

Elle écarta légèrement les jambes et aperçut le jardinier fixant ses cuisses blanches légèrement dénudées. Elle aurait voulu que ça aille très vite, se faire empoigner les seins, être prise violement par cet homme noir à la musculature apparente. Surtout ne plus réfléchir, ne pas penser à limage quelle donnait.

Ses cuisses sécartèrent encore. Le jardinier put entrapercevoir une touffe blonde. A travers son short, son membre se mit à grossir, déformant le tissu. Les yeux de Mme Girardin ne purent se détourner de cette protubérance. Elle simaginait déjà ce sexe entrant en elle. La frustration lui faisait perdre toute raison.

Elle se ressaisit un instant et referma ses cuisses au désespoir de Jean. Mais lexcitation était trop grande. Elle se gratta le mamelon à travers le tissu lair de rien.

« Je dois avoir un insecte qui ma piquée, ça me gratte terriblement. »

« Madame, veut-elle que je regarde ? »

« Oui, je veux bien, Jean. Mais cela doit rester entre nous, nest ce pas ? » répondit-elle dans un soupir. Le pas était passé.

« Bien sûr Madame, vous connaissez ma discrétion, ce que je vois ou fait ici, je ne le raconte pas » dit-il en faisant allusion à la dernière fois.

Il sapprocha du fauteuil de Mme Girardin et saccroupit.

« Où est ce que cela vous gratte, Madame ? »

Elle tendit négligemment le doigt vers le sein gauche. Jean commença à gratter doucement autour du téton.

« Cest surtout au niveau de la pointe » parvint-elle à articuler entre deux soupirs.

Jean se mit à gratter avec plus dinsistance sur la pointe.

« Peut-être que ça irait mieux si je déboutonnais le chemisier de Madame ? »

« Ouioh. Fais comme tu veux. »

Il déboutonna lentement le chemisier, prenant le temps dobserver Madame dont la poitrine se soulevait par saccades. Puis, toujours très délicatement, il écarta les pans du chemisier. Les seins lui parurent encore plus énormes ainsi mis à nus. Les bouts pointaient effrontément vers lui. De lindex, doucement, il approcha le sein gauche, tourna délicatement autour de la pointe en sen approchant. Puis il prit le téton entre le pouce et lindex et tritura le mamelon.

« Je croisavec ta bouche » gémit-elle.

« Bien Madame » répondit le noir dun air moqueur.

Il prit le téton dans sa bouche et laspira tel un nourrisson. Il se permit également de triturer lautre qui nattendait que ça.

Tout dun coup, un coup de vent rabattit la jupe sur le ventre de Mme Girardin. Elle voulut la remettre mais la main de Jean len empêcha et appliqua cette main soignée à la bosse qui déformait le pantalon. Puis il caressa doucement le haut des cuisses dune blancheur si pure tout en continuant de soccuper des seins avec sa bouche et son autre main.

Comme une dépravée, Mme Girardin caressa le sexe à travers le pantalon. Puis elle sortit le membre du short. Il était déjà extrêmement dur. Sa main lastiqua.

Jean, lui, approcha ses doigts de la fente déjà baveuse, commença par souligner louverture en appuyant de plus en plus fort. La fente souvrit comme un fruit trop mûr, aspirant le doigt. Sa main remonta et trouva le clitoris érigé. Il le taquina de manière experte.

On ne sétait jamais occupé de son corps comme cela. Ses points les plus sensibles étaient sollicités : une bouche vorace tantôt aspirait le téton, tantôt mordillait comme un petit chiot, lautre pointe était pincée, tordue jusquà la douleur et son sexe maintenant trempé accueillait ces doigts qui trituraient son clitoris lamenant à lextase. Ne sappartenant plus, elle obligea le noir à se relever en le tenant par le pénis afin que celui-ci arrive à sa bouche. Ses lèvres aspirèrent goulûment le sexe. Jean enfourna ses doigts dans le vagin de sa patronne tout en continuant son action sur le clitoris grâce à son pouce. Il enfonça trois doigts, puis quatre. Il sentit le vagin se contracter autour. Il agita de plus belle son pouce sur le clitoris, lencerclant parfois doucement, parfois avec son ongle. Elle jouissait, son vagin coulait et se contractait de façon spasmodique. Il enfonça sa queue. La langue sactiva sur le prépuce. Et dun coup le pénis dégorgea tout son sperme.

Après quelques minutes, ses esprits retrouvés, elle rabattit rapidement sa jupe, reboutonna son chemisier en tremblant. Bon, Jean, cest terminé, vous pouvez partirRentrez chez vous

Un coup de fatigue laccabla tout dun coup. Elle alla sendormir dans le transat et sombra dans ses rêves pernicieux

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