Attachée à la croix avec mon loup sur le visage, j’étais déjà dans un état d’excitation avancé.
Maelis retourna au salon afin d’accueillir Marc qui arriva ponctuellement à 21h00.
Nous avions convenu qu’elle lui sert un verre dans lequel elle aurait mélangé une petite pilule bleue pour améliorer son érection. Je l’entendis discuter avec mon homme en lui servant la boisson.
Puis ce fut le moment. Ce qui pourrait être le dernier acte pouvait commencer. Lorsqu’ils entrèrent dans la pièce, un grand silence se fit. Je voyais la sidération sur le visage de Marc.
Waouh si je m’attendais à cette vision fabuleuse. J’ai failli ne pas te reconnaître. Tes cheveux courts et blonds te vont si bien. Et ton corps est magnifique. Quelle surprise !
Maelis intervint.
Marc ta femme te demande de la soumettre à tes désirs. Je suis là pour te seconder et veiller au bon déroulement de cette soirée qui est centrée sur le plaisir de Sophie et accessoirement du tien.
Bien, bien, quel conseil me donnes-tu pour commencer ?
Je te propose de jouer avec ses seins en y suspendant des poids. Cela lui apportera des sensations prodigieuses. Puis comme elle n’a pas été sage, tu pourrais la flageller avec un des fouets qui se trouve dans l’armoire.
Marc s’approcha et prit les poids magnétiques et commença à les accrocher les uns après les autres sur la chaînette reliant mes tétons. Le soin et l’attention que prenait mon homme pour la mise en place faisaient que la douleur était très supportable. J’étais très excitée et attendais la punition avec impatience. Je vis Marc prendre une cravache et venir vers moi. Il commença par me caresser le ventre et les seins avec la badine.
Brusquement, son bras se détendit et je sentis une morsure sur mon ventre. Il venait de masséner le premier coup. Maelis intervint.
Compte le nombre de coups sans te tromper sinon on en ajoutera 5 de plus.
1, 2, 3… 10.
J’étais très surprise parce que la souffrance endurée m’échauffait les sens comme jamais. Ma chatte coulait littéralement et une grande flaque de ma mouille couvrait le plancher.
C’est bien, tu n’en as pas oublié un seul. Je vais te détacher, te placer face à la croix pour honorer ton côté pile et t’offrir une récompense.
Maelis me détacha, me fit pencher légèrement et enduisit mon anus de gel avant d’y insérer un plug que j’imaginais vibrant. Puis elle retira les poids de la chaînette à mon grand désarroi, attacha mes poignets et mes chevilles les jambes écartées à la croix.
Marc, je te conseille de prendre le fouet à fines lamelles. Elle aura plus de plaisir. Pour commencer, tu lui asseneras 10 coups sur son joli petit cul avant de passer à ses cuisses et finir par ses épaules. Sophie, tu compteras les volées. Ne te trompe pas sinon tu auras droit au fouet à une queue. Si tu veux interrompre la séance, tu n’as qu’à donner ton mot de sécurité « rouge » et nous arrêterons.
Oui Maîtresse.
Marc n’en revenait pas de mon degré de soumission. Il ignorait que ce n’était pas ma première séance avec Maelis.
Je sentis le premier coup sur ma fesse gauche, le deuxième sur la fesse droite. Je comptais les coups qu’il alternait, fesse droite, fesse gauche. Après les 10 premiers coups qui m’avaient embrasé le cul, il s’attaque à mes cuisses. Autant la douleur sur mon fessier avait été supportable, autant la volée sur les cuisses me fit crier de douleur.
C’est le moment que Maelis choisit pour mettre en marche le plug dans mon cul. La vibration me tira une onde de plaisir qui vint atténuer la douleur. Mais j’en oubliais de compter… Maelis me le rappela vivement.
Tu dois compter les frappes sous peine de devoir te punir plus sévèrement.
Je repris le décompte qui s’avéra difficile entre la douleur et le plaisir. En plein milieu de la sentence, j’eus un premier orgasme.
A la fin de la rossée sur mes cuisses, Marc commença à fouetter mes épaules et mon dos. La douleur était très supportable. Lorsque la sentence fut accomplie, Maelis intervint.
Ma chérie, tu as oublié 2 coups sur tes cuisses. Je vais te punir de 10 coups sur ton dos et tes épaules avec le fouet à une queue. Tu compteras les frappes.
Oui Maîtresse.
Elle prit le fouet et commença à me frapper le dos. La douleur devenait de plus en plus intense à chaque coup. Cependant, je ne prononçais pas mon mot de sécurité, comptais et encaissais avec courage la punition. A la fin du châtiment, Maelis me détacha et m’allongea sur le lit et sur le ventre afin de soigner mes blessures avec un baume apaisant. La douleur disparut presque par enchantement.
Marc, tu peux être très fière de ta femme. Nous allons la récompenser pour son courage. Viens, allonge-toi sur le dos.
Maelis prit la bite en érection de mon homme dans sa main et posa un anneau pénien garni de picots sur son sexe. J’eus l’impression que cela le fit encore plus gonfler.
Sophie vient t’empaler ton mari.
Malgré l’abondance de mon jus d’amour, je sentis quand même la queue de Marc pénétrer dans mon vagin. L’effet de l’anneau pénien était impressionnant. J’avais la sensation que son membre avait grossi d’une demi-taille. Je commençais à monter et descendre sur son chibre. Après quelques va-et-vient, Maelis me demanda de me coucher sur mon homme.
Elle retira le plug et je sentis un liquide froid s’écouler entre mes fesses. Je n’avais pas vu que la belle rousse s’était équipée d’un gode ceinture XXL. Je commençais à paniquer devant l’engin.
Ne t’inquiète pas Sophie, je vais y aller en douceur.
Je te fais confiance Maîtresse.
Marc arrêta de me limer la chatte pendant que notre hôtesse me pénétrait doucement l’anus. Dès que je sentis le pubis de Maelis contre mon cul, mon époux recommença ses allées et venues dans ma vulve. C’était ma première vraie double pénétration. Marc en profitait pour tirer sur mes anneaux, excitant encore plus mes tétons érigés. Le plaisir que je ressentais était indescriptible.
Oh oui, baisez-moi tous les deux… Plus fort… Maelis, encule-moi encore plus fort… plus vite… Je vais jouir…
Tu n’es qu’une salope Sophie, mais je t’aime si fort quand tu te comportes comme cela. Je vais inonder ta cramouille avec mon sperme.
Oh oui viens, jouis en moi, donne-moi ta purée. Ouiiiiiiiiii.
Un orgasme d’une intensité exceptionnelle me balaya.
Quelques instants plus tard, je me retrouvais allongée sur le lit. Pendant que Maelis me léchait l’abricot pour récupérer le jus qui s’écoulait, Marc m’embrassait et suçait mes seins. Notre maîtresse de maison se leva et vint partager la semence de mon homme dans un délicieux baiser.
Repue, je me blottis entre mes deux amants et trouvais le sommeil rapidement.
Au lever du jour, je sentis une bouche farfouiller mon sexe. C’était Marc qui s’appliquait à me prodiguer un cunni par le va-et-vient divin de sa langue.
Maelis était assise sur le fauteuil et nous regardait. Je lui fis signe de nous rejoindre, ce qu’elle fit sans hésiter en venant m’embrasser goulûment. Elle descendit pour me sucer les tétons en tirant sur mes anneaux. Mes deux merveilleux amants mettaient tout en uvre pour mon plaisir.
Maelis, occupe-toi du chibre de Marc. Prépare-le-moi, je veux qu’il m’encule.
Avec plaisir Sophie.
Elle prit le vit de mon homme entre ses lèvres sensuelles et démarra une fellation qui le fit durcir très vite. Maelis lui demanda de se coucher sur le dos. Elle me demanda de continuer de le sucer pendant qu’elle m’assouplissait la rondelle avec 1 puis 2 doigts. Dès qu’il fut prêt, elle me demanda de venir m’empaler sur son sexe. Je descendis avec précaution sur son mandrin jusqu’à l’enfiler jusqu’aux couilles. Il commença à me limer le fondement pendant que la belle rousse se présenta entre mes jambes pour me lécher la chatte.
Ne crains rien Sophie, je vais te faire jouir avec mes doigts.
J’ai confiance en toi, mais vas-y doucement.
Tout en me suçant le clitoris, Maelis fit pénétrer 2 puis 3 doigts dans mon vagin.
Je vais ajouter un 4ème doigt. Si tu as mal, tu m’arrêtes.
Vas-y, je suis prête.
Pendant que Marc continuait à m’enculer, elle joignit un 4ème doigt. Je sentais que la belle voulait me fister la vulve alors que mon cul était occupé par la grosse bite de mon mari.
Je sentis sa main ressortir et son pouce venir rejoindre les 4 autres doigts. Elle fit progresser sa main avec délicatesse dans ma chatte. Je sentis le passage dans ma matrice et perçus le contact entre cette menotte et le phallus de Marc. J’étais aux anges. Je n’avais encore jamais connu une telle plénitude.
Maelis commençait un lent mouvement sans ressortir de ma vulve.
Je suis au bord de la jouissance. Allez-y doucement, mais n’arrêtez pas. Vous allez me faire mourir de plaisir.
Je sens la main de Maelis sur ma queue. J’adore cette sensation inédite. Je ne vais pas tarder à tapisser ton trou du cul de ma semence.
Oui mon amour, envoie la sauce.
Marc éjacula dans mon fondement, m’entraînant dans une déferlante de sensations et dans un orgasme dévastateur. Maelis retira doucement sa main et vint récupérer le sperme qui s’écoulait de mon anus avant de venir me le faire partager.
Mes amants venaient de m’offrir une expérience démentielle.
Après ce moment qui restera gravé à jamais dans ma mémoire, j’embrassais tour à tour Marc puis Maelis.
Marc, je t’aime comme je n’ai jamais aimé auparavant. Quant à toi ma belle rousse, tu es une amante extraordinaire. Jamais je n’oublierais ces moments.
Mon cur, moi aussi je t’aime très fort. J’ai eu si peur de te perdre. Pardonne-moi de t’avoir fait souffrir.
Tu es tout pardonné. Allons prendre la douche avant le petit-déjeuner, jai si faim.
Après une bonne douche réparatrice, nous avons pris un brunch qu’avait préparé notre hôtesse.
En début d’après-midi nous avons quitté Maelis en nous promettant de nous revoir rapidement. Je passais à mon appartement récupérer mes affaires et rejoignis mon mari à notre domicile.
Marc m’attendait sur le palier pour m’aider à décharger le coffre de la voiture. Ce soir-là nous avons refait l’amour tout en douceur.
Une semaine passa. Nous étions encore plus amoureux qu’avant cette expérience. Marc était à l’écoute et aux petits soins avec moi. Nous étions surpris que les châtiments n’aient laissé aucune trace sur ma peau.
Dans les mois qui suivirent, nous avons eu d’autres très bons moments avec Maelis.
Puis un jour, elle se présenta à la maison pour nous annoncer qu’elle venait d’avoir une promotion avec une mutation dans les Landes.
Ce fut la dernière fois que nous avons fait l’amour tous les trois.
Après son départ, nous avons beaucoup discuté avec Marc. Nous ne voulions pas d’expérience avec une autre personne que Maelis avec qui une vraie complicité était née.
Pendant l’année qui suivit, nous avons continué à échanger par Skype avec la belle rousse, avant qu’une mutation au Canada ne l’éloigne définitivement.
Quelques mois après son départ, une nouvelle aventure se présenta à nous. Mais cela fera l’objet d’une autre histoire…
Bonne lecture et à bientôt.