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Comment ma mère a " sauvé " ma partie de poker ! – Chapitre 1




Tous les samedis soir, avec des copains on s’organise une petite partie de poker, c’est bon enfant et on se marre bien, quelques bonnes bières n’y sont pas étrangères.

Des fois on joue du vrai argent pour se donner des frissons mais on se redistribue tout après.

A 19 ans, j’habite encore chez mes parents, mais j’aimerais conquérir mon autonomie.

Mes parents sont plutôt cools, mon père souvent absent, et ma mère, 38 ans, jolie blonde, sportive très « fashion » qui joue à la « djeun », plait beaucoup à mes potes ; et ça m’énerve plutôt !

Ma mère m’adore, mais elle ne voit pas en moi l’homme que je prétends être.

Ses sempiternels : «  mon petit Antonin » ou « mon Antonin chéri » me tapent sur le système !

Sauf ce soir-là !

Frank et Alain n’ayant pu venir, Jean-Louis nous amena deux «  super potes » Rudolph et Kevin, que je ne connaissais pas.

Ils avaient plutôt l’air de racailles, avec leur regard soupçonneux, mais bon après tout il ne faut pas se fier aux apparences

Denis était le cinquième de la tablée.

D’emblée il fut décidé qu’on jouerait du vrai argent. 100 euros de mise par personne.

Au bout de 15 minutes, je me retrouvai sans rien, et à la tête des mecs, j’avais compris que je ne retrouverais pas mon fricbon tant pis.

Alors les mecs sortirent des liasses de billets de Monopoly et nous acceptâmes tous de jouer avec.

L’un d’eux avait sorti une grosse bouteille de punch antillais assez corsé.

Et c’est vrai que l’avoir en bouche piquait un peu, mais après, quel nirvana

Tout le monde était sur un petit nuage, je me disais qu’après tout, ces mecs n’étaient peut-être pas aussi escrocs que je l’avais imaginé

Sauf qu’après 2 heures de jeu, je me retrouvai sans billets de Monopoly.

« Bon les gars, c’est ok pour moi, je vais me coucher

— Hé mec tu vas ou là, tu vas nous payer comment ? Me dis Rudolph assez durement.

— Ben je n’ai pas à payer c’est du Monopoly ! »

Son ami Kevin enfonça le clou :

«  T’as pas dû comprendre ! Les billets ils sont faux ok, mais on avait décidé ensemble de leur donner leur vraie valeur après le jeu !

— Comprends pas ?!

— Ben tu as perdu 5000 crédits de Monopoly tu nous dois donc 5000 euros !

— N’importe quoi, de toute façon je ne les ai pas !

(Un clic sonore Rudolph vient de sortir un couteau à cran d’arrêt !)

— Écoute mec, on n’est pas venu pour se branler, tu payes ou alors.

— Bon ok, ok ! On se calme, on pourrait trouver un terrain d’entente ? 

— Qu’est-ce que t’en penses, toi ? Qu’est ce qu’il a à offrir le puceau (en parlant de moi), dit Kevin en regardant Jean-Louis

— Pas grand-chose malheureusement par contre il a une très jolie maman, elle pourrait peut être nous faire un bout de conduite

— Jolie comment ?

— 1,72 m, très mince, jolie silhouette, petits seins aguicheurs, blonde, joli minois, environ 38 ansfranchement, quand elle est bien fringuée, c’est un joli petit canon » déclara Jean-Louis avec un regard lubrique.

Je n’aimais pas du tout la tournure que prenait la conversation, mais vraiment pas du tout.

« Mais ça ne va pas de parler de ma mère comme ça ?!!! Et d’abord qu’est-ce que vous lui voulez !

— Écoute mon pote t’es pas en bonne position icialors si ta maman venait, on discuterait un peu avec elle et on arrêterait les conneries

Tout le monde repartirait chez lui, heureux, l’esprit libéré.

— Que ça ?

— Ben oui mon pote, on n’est pas des orduresah, si ta petite maman pouvait venir discuter avec nous, habillée un peu sexy, tu vois le genre look «  Escort girl » , après on ne t’emmerderait plus.

Bon allez vas y ! Va la chercher ! »

J’étais très embêté, mais je me disais que je n’avais pas trop le choix

Ces mecs ne rigolaient pas !

Après tout, amener sa maman dans une réunion de potes dans sa propre maison ne me paraissait pas porter à conséquences

Ma mère était dans sa chambre en train de lire un bouquin.

« Maman ?

– Oui mon chéri ? Tu as fini de jouer avec tes potes ?

— Ben pas tout à fait, j’ai un petit problème

— Oui ?

— Ben j’ai perdu un peu d’argent au poker.

— Pardon ?

— J’ai perdu un peu d’argent

— Un peu, c’est combien ?

— 5000 euros

— 5000 euros ????!!!! C’est quoi ce bordel ? Tu te fous de moi ou quoi ?

— Ben non, j’ai joué avec des mecs pas trop recommandables et ils insistent pour que je les paye

— Bon écoute Antonin, ça ne va pas du tout ton histoire, je vais venir parler avec tes copains, que ça te plaise ou non !

— (Saisissant la perche) Non maman,tu ne peux pas me faire ça, je vais encore passer pour un con ! Et puis ils sont dangereux ces mecs ; ils sont armés

— Ils sont armés de mieux en mieux, bon écoute moi aussi j’ai des arguments à présenter, je vais te les désarmer tes bonshommes !

— Tu es sûre maman ? Et puis des « arguments » ça veut dire quoi, tu ne vas pas te fringuer en pétasse quand même ?

— T’inquiète pas mon chéri, ta maman sait encore manipuler les hommes !

Et puis je te signale, que un, c’est toi qui t’es mis dans la merde tout seul, que deux, je suis assez grande pour savoir ce que je fais et que si j’ai envie de venir voir tes amis en tenue de pute, je suis libre de le faire !

Bon maintenant tu me laisses, il faut que je me prépare »

Mais je restai derrière la porte.

« Bon maman t’es prête ou quoi ??

— Un instant mon chéri, ta jolie petite maman a encore besoin de se maquiller »

Elle sortit de la chambre et j’écarquillai les yeux : je ne reconnaissais pas ma mère.

Oh, je savais que c’était une jolie femme, mais la..pssssiiiiiiii !!!!

Elle portait une robe noire très moulante avec un joli décolleté, des collants noirs avec une couture derrière, et des petites bottines noires très sexy.

Je ne devrais pas dire ça de ma mère, mais elle était réellement bandante, en tenue de femme fatale ; d’ailleurs la bosse dans mon pantalon me permit de le vérifier «  in vivo ».

Je surjouai l’indignation, je connaissais ma mère et je savais qu’elle fonctionnait toujours à rebrousse-poil

Les potes de Jean-Louis allaient se rincer l’il, la brancher une heure et puis ils iraient se branler chez eux et me foutraient la paix

Oubliée la dette de 5000 euros, enfin j’espérais que cela se passe comme ça

« Maman tu ne peux pas y aller comme ça, on dirait une pute !

(Je me pris une gifle, direct dans la figure)

— Espèce de petit merdeux, je viens pour te tirer d’affaire et tu me traites de pute ? T’es aussi con que ton père, toid’ailleurs il n’est jamais là, quand on a besoin de lui, ce connard !

Ah je suis une pute !!

Écoute je te promets que s’il y a un de tes potes qui me plait je lui roule un palot, et plus si affinités

— Mais maman, ça ne va pas du tout ta robe, regarde on voit l’élastique de la culotte et du soutien-gorge, va en changer !

— S’il n’y a que ça qui te gène, pas de problème ! »

Fouillant au niveau de sa poitrine elle sortit le soutien-gorge en se tortillant, puis se baissant elle enleva le string qui alla rejoindre le pauvre soutien-gorge par terre.

Puis elle se cambra devant moi bien fièrement, les mains sur les hanches en signe de défi :

« Alors mon petit garçon est content ? Maman n’a plus de marques de sous-vêtements sous sa robe ! Normal, elle n’a plus de sous -vêtements non plus !

-Huurgh, (je toussai) et les collants ? Tu aurais pu mettre quelque chose de plus discret !

(Relevant sa robe juste 5 centimètres en dessous de son entrejambes)

— Tu vois mon chéri, ce ne sont pas des collants, mais des bas coutures !

Maman a sorti le porte- jarretelles ce soir !  »

Dit-elle un grand sourire aux lèvres, en m’ébouriffant les cheveux.

J’étais sidéré, ma mère ne portait pas de culotte, avait mis des bas et un porte-jarretelles et elle me le montrait en relevant sa robe !

Encore un peu et je voyais la chatte maternelle ! Elle avait fumé un truc ou quoi ?

Mais non, comme Stéphane Édouard, le sociologue à lunettes, l’avait maintes fois expliqué, elle était en plein dévoiement.

C’est-à-dire qu’elle avait décidé de s’autoriser des choses peu convenables, elle ordinairement si prude, et c’est moi qui étais involontairement le catalyseur de cette réaction chimique, très très « hot » et explosive !

Les nombreuses infidélités de mon père, plus ou moins tolérées par ma génitrice, n’y étaient aussi sans doute pas pour rien !

Puis elle disparut dans la salle de bain et en ressortit 5 minutes après, avec du noir autour des yeux, du mascara sur les cils et un rouge à lèvres carmin.

Je la regardais comme si je ne l’avais jamais vue !

« Eh bien ! Mon petit garçon ne savait pas que sa gentille maman pouvait jouer à la salope de temps en temps je suis sûre que ça t’excite de voir ta maman attifée comme ça.

En plus à cause de toi, ta maman est nue sous sa robe à part ses bas et ses jarretelles !

J’espère que tes amis n’ont pas les mains baladeuses, sinon, je vais encore mouiller ma chaise ! hi hi hi !

Hummmm ! Il peut s’en passer des choses ce soir je suis particulièrement en forme ! »

C’est ce que je commençais à craindre aussi je regrettais déjà la partie de poker, d’avoir invité les potes de Jean-Louis, d’avoir allumé ma mère pour qu’elle se fringue sexy

Je poussai la porte du cellier, faisant entrer ma mère « dans la fosse aux lions », c’est-à-dire la pièce où se trouvaient mes potes et.

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