Dimanche 2 mai 2004
Bernard étant allé en Haute-Savoie pour encadrer une formation, nous avions décidé que je le rejoindrais à la fin pour partir ensemble une semaine dans la région puis en Italie du Nord en passant par le tunnel du Mont Blanc. C’est le meilleur moment: la saison de ski se termine ce week-end ainsi que les vacances scolaires. Nous avons demandé à ma tante Marie-Lou avec qui nous avons toujours des relations très proches (voir une Famille en Or) de garder notre fille Lola pendant ces quelques jours. Elle peut sans problème la loger chez elle et l’emmener à l’école.
Après une route sans encombre jusqu’à La Cluzaz étant donné que les derniers retours de vacances sont dans l’autre sens, je rejoins Ber à l’hôtel où il a été logé et où il a conservé sa chambre pour cette nuit. Autant en profiter, c’est payé par l’organisme de formation. Arrivée à l’adresse indiquée je me suis retrouvée devant les Airelles, un hôtel bien dans le style local et à l’aspect très accueillant.
A l’accueil, une aimable dame d’un certain âge qui a l’air d’être la patronne me reçoit et m’indique la chambre où je retrouve Ber. Elle est aussi dans le même style, avec des lambris sur les murs. Je pose mes bagages et me fais une petite fraicheur car l’heure est déjà bien avancée et il serait bon d’aller manger. Le moment des câlins poussés viendra après, nous avons le temps.
Pendant que nous nous remplissons la panse avec une bonne raclette dans le restaurant au rez-de-chaussée, Ber m’apprend qu’il y a dans l’hôtel un espace détente avec jacuzzi et sauna pour quatre personnes, gratuitement à disposition des clients. Il est ouvert jusqu’à 22 heures et il faut le réserver par chambre pour une demi-heure.
Je suis agréablement surprise de trouver cette possibilité mais ça tombe bien, après ce long trajet en voiture j’ai besoin de me relaxer avant d’aller dormir. Nous décidons donc de profiter du jacuzzi et de l’espace détente de l’hôtel ce soir.
Nous passons à la réception pour savoir s’il est possible de réserver l’espace détente pour ce soir. La femme est en train de s’occuper d’un autre couple qui est au comptoir et qui justement se renseigne pour la même chose. Elle nous apprend au passage que vu la fin des vacances, nous sommes ce soir les quatre seuls clients de l’établissement, et qu’elle même est en équipe réduite, ayant mis son personnel en repos bien mérité après cette longue saison de travail. Elle nous demande donc de nous mettre d’accord pour nous répartir les créneaux d’utilisation de l’espace.
Pendant qu’elle va s’occuper d’encaisser les derniers clients du restaurant, nous faisons connaissance du couple en question. Ils sont tous les deux apparemment dans la trentaine d’années. Lui est de taille moyenne et de corpulence plutôt sportive, avec des cheveux bruns mi-longs. Elle est plutôt petite, de ma taille, assez ronde avec un peu de poitrine pour autant que son pull le laisse deviner, blonde avec les cheveux en deux couettes sur les côtés.
Comme ils ont l’air sympas, nous nous entendons très rapidement sur le fait de partager l’espace, ce qui nous permettra d’y rester plus longtemps. En effet, comme il est presque 21 heures, ça nous donnera une heure bien pleine à quatre au lieu de nous laisser une demi-heure pour chaque couple séparément.
Nous prévenons la patronne qui n’y voit aucun inconvénient. Aussi elle nous passe des peignoirs et nous dit qu’il y a déjà des serviettes dans l’espace détente. Nous remontons tous dans nos chambres pour nous mettre en tenue. Pour Ber et moi, c’est vite vu, nous nous mettons à poil et enfilons le peignoir pour redescendre au rez-de-chaussée.
De ce fait, nous sommes les premiers à investir l’espace, qui est très cosy, tout en bois avec un grand miroir pour donner l’impression que la pièce est deux fois plus spacieuse. Au milieu de la pièce trône le jacuzzi, avec le mini-sauna dans un coin avec sa porte vitrée et un vélo elliptique sur la place restante dans l’autre coin près de la porte. Un faux bananier près du miroir et la porte bordeaux donnent des touches de couleur sur le fond de bois blond et le blanc des appareils.
J’enlève le peignoir et me glisse directement dans le jacuzzi, suivie de près par Ber. L’eau est chaude, les bulles roulent sur ma peau. Je ferme les yeux, c’est bon.
Alors que je suis bercée par la chaleur de l’eau, j’entend du bruit dans la pièce. J’ouvre les yeux, et comme je suis face à la porte, je vois entrer l’autre couple, en peignoir eux aussi.
Ils sont arrêtés un instant en découvrant que ma poitrine n’est apparemment masquée par aucun soutif de maillot. Je me dépêche de les décontracter en la jouant cool:
— Je n’ai pas pensé à prendre un maillot dans mes bagages en cette saison, et je ne savais pas qu’il y avait ce jacuzzi dans l’hôtel. J’espère que ça ne vous dérange pas?
Ils se regardent et c’est elle qui me répond:
— Non, c’est bon. Je vais même enlever le mien, comme ça on sera à égalité
— Merci.
Elle ôte son peignoir, nous dévoilant son deux pièces avec bas brésilien et haut bandeau, hésite un instant puis fait sauter le soutif qui contrairement à ce que j’avais estimé à la réception à cause du pull large libère deux seins assez volumineux et bien lourds avec des cabochons tout petits. Son mari se retrouve caleçon de bain de type boxer, pas un grand bermuda. Elle se glisse le long du bord pour entrer dans l’eau face à moi en faisant en sorte de garder ses seins sous l’eau. Lui se trouve entre elle et moi, face à Ber.
Je me glisse en arrière pour faire apparaitre ma poitrine hors de l’eau et j’étire les bras sur le rebord. Dans le mouvement, mes doigts viennent effleurer l’épaule du gars mais je les rétracte immédiatement. Je me retourne vers le gars et m’adresse principalement à lui:
— D’habitude, ça n’est pas dans ce genre d’endroit où je peux profiter d’un jacuzzi ou d’un sauna. C’est vraiment une bonne surprise. Et vous?
— Nous on a pu en profiter déjà deux fois cette semaine, et c’est vraiment agréable après le ski. On est resté cette nuit pour skier encore un dernier jour et on remonte dans le Nord demain tranquillement, on avait posé un jour de plus pour être à l’aise.
Ber s’adresse pour sa part à la nana:
— Il me semblait bien vous avoir croisés dans la semaine. J’y étais aussi, mais pour le travail. Il faut dire que l’hôtel était plein à craquer. Ça change bien ce calme.
— Oui, moi aussi je me rappelle vous avoir déjà vu.
— Je crois qu’on peut se tutoyer, non? Commençons par les prénoms? Moi c’est Bernard.
— Nous c’est Michel et Michèle.
— Tiens, c’est rigolo, le même prénom pour tous les deux. Moi c’est Anna. On est de la région de Marseille.
— Et nous d’Amiens.
Nous laissons passer un moment à profiter des remous qui nous massent partout, puis je décide de pousser un peu les choses. On verra bien:
— En fait, quand j’ai dit que je n’avais pas de maillot, c’était pas du tout.
Ils restent interloqués, surtout que Ber rajoute:
— Et moi non plus. De toute façon, un jacuzzi et un sauna, c’est mieux tout nu, non?
C’est Michèle qui sort la première de son mutisme et dit en me regardant:
— Euh, c’est vrai. Et d’ailleurs, si on avait été tous seuls, c’est ce qu’on aurait fait.
— Et je parie que vous ne vous en êtes pas privés cette semaine.
— Oui, j’avoue qu’on a bien apprécié ce moment de relâchement.
— Eh bien, lancez-vous, faites comme nous!
Ils se regardent, puis comme s’ils étaient synchronisés, ils enlèvent lui son boxer, elle son petit brésilien et le posent sur le plat derrière le rebord du jacuzzi. Michèle fait bien attention à garder ses seins en-dessous de la surface. Nous ne faisons pas de remarques pour ne pas les effaroucher et continuons à profiter des bienfaits de l’eau.
Puis je décide de les brusquer un peu, surtout que j’ai noté que la position de Michel le met en face de l’entrée du sauna. J’annonce que je vais un peu me faire rôtir et me lève, leur dévoilant ma nudité totale et surtout mon épilation radicale. Je vais vers le sauna et m’assois face à lui, cuisses écartées, sans prendre la peine de fermer la porte.
Il a l’air un peu tétanisé, essayant de ne pas trop lorgner sur mon entre-jambes mais sans y parvenir. Je prends le seau d’eau, y plonge la cuillère et en verse tout le contenu sur les pierres chaudes. Un énorme nuage de vapeur se forme et remplit le sauna, me masquant un moment à sa vue avant que l’atmosphère s’éclaircisse.
Ber se lève aussi, leur faisant la deuxième surprise de la soirée. En effet, bien qu’il ne bande pas sa queue est suffisamment au-dessus de la moyenne pour impressionner le commun des mortels, et son épilation presque totale à part son petit plumeau sur le pubis ne cache rien du volume généreux de ses couilles. Il vient me rejoindre après leur avoir proposé de le suivre. Mais ils déclinent l’offre et restent bien tapis dans le bain.
Nous restons un moment à nous faire suer sans esquisser le moindre geste de nature directement sexuelle, puis nous retournons dans le jacuzzi. Ber a maintenant un début d’érection qui n’échappe certainement pas à nos partenaires de bain et il s’installe plus près de moi pour attaquer dans le vif du sujet. J’envoie donc discrètement ma main la plus proche sur sa bite qui ne tarde pas à réagir à mes sollicitations et se développe progressivement jusqu’à une érection plus qu’acceptable.
Et donc, je commence tout naturellement à le branler en douceur. Au début, les mouvements de mon poignet son si faibles qu’ils se confondent aisément avec ceux des remous du jacuzzi. Mais je donne volontairement de plus en plus d’ampleur à mon mouvement et nos voisins commencent à le remarquer, donnant l’impression de se dire que ce n’est pas ce qu’ils croient que je suis en train de faire.
Je continue doucement, mais comme ils n’ont pas l’air de bouger, je leur lance:
— Allez, profitez, ne vous gênez pas pour nous, faites-vous un peu plaisir, il n’y a personne!
Je m’étais laisser descendre pour être bien à l’aise mais je me redresse pour laisser ma poitrine émerger au dessus des bulles et lâche la bite de Ber pour me rapprocher sensiblement de Michel. je regarde bien Michèle en lui disant:
— Mais si tu préfères que je m’en occupe
En disant cela, je me rapproche encore un peu de Michel et ma main glisse sous les bulles vers ses cuisses en regardant sa femme dans les yeux. Elle soutient mon regard quand je continue à faire progresser ma main sous laquelle je sens une bonne érection. Je prends ce sexe à pleine main, décalotte le gland et commence à faire des va-et-vient lents et réguliers. Comme ni elle ni lui ne s’insurge, je continue en amplifiant le mouvement.
Ber se rapproche de Michèle et lui demande carrément:
— Branle-moi toi aussi. Et redresse-toi, qu’on voie tes seins, c’est dommage de les cacher.
Elle ne résiste pas et s’exécute, ses doudounes flottant avec leurs petits bout tout durcis par l’excitation. Personne ne parle pendant un moment, Michèle me regardant toujours droit dans les yeux comme en signe de défi, Michel regardant apparemment le mouvement de la main de sa femme sur la bite de Ber qui a fermé les yeux pour mieux savourer.
Je propose à Michel de changer un peu de position:
— D’habitude, arrivée à ce stade je suce Ber. Tu devrais sortir et t’assoir sur le rebord, comme ça je pourrai le faire sur toi à sa place, si ça te dit.
Il jette un il vers sa femme qui a un imperceptible hochement de tête qu’on peut prendre pour un acquiescement. Il se lève pour monter d’un cran et s’assoit au bord du jacuzzi, sa queue toujours serrée dans ma main. Son gland gonflé apparait et disparait pendant que je le masturbe. Puis je me penche et tends ma langue pour lui lécher le gland. Enfin j’ouvre mes lèvres et le gobe, descendant de plus en plus sur sa queue tendue à l’extrême.
A suivre