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Un nouvel été sur l'île – Chapitre 1




Chaque été, Marie et moi nous retrouvions sur l’île. Nous passions des semaines au soleil à aller à la plage, à nous balader à vélo, à passer du temps chez nos grands-parents. Avec l’âge, les garçons se retournaient à son passage, surtout à la plage où son maillot de bain ne cachait rien de ses formes délicieuses.

Petits nous n’arrêtions pas de nous faire des câlins, à chaque occasion Marie venait se coller contre moi. Aujourd’hui cette jolie brune d’un mètre quatre-vingt, avec ses yeux bleus, ressemble à un mannequin.

D’ailleurs elle aime beaucoup que je la prenne en photo, et s’amuse à poser sur la plage. Cette année nous nous rejoignons à nouveau, elle vient d’avoir son bac et vient dans l’île avec une amie.

J’accueille Marie et Camille à la sortie du bac. Les voyageurs sont nombreux à descendre du bateau. Je vois Marie me cherchant, elle semble un peu perdue au milieu de la foule.

Lorsqu’elle m’aperçoit, son visage s’illumine et elle accourt vers moi. Elle porte un minishort en jean et un débardeur bleu moulant.

Elle se jette dans mes bras, je suis heureux de l’avoir contre moi. Plus timide, Camille se rapproche de nous deux.

C’est une magnifique brune aux yeux émeraude, avec une poitrine attrayante. Elle porte elle aussi un minishort en jean, et un chemisier laissant transparaître son soutien-gorge en dentelles.

Marie me glisse un baiser sur la joue avant de se décoller de moi, puis pousse Camille vers moi en lui mettant une main aux fesses. Cette dernière rougit, mais ne rechigne pas.

— Allez, fais pas ta timide ! Fais-lui la bise ; lance ma cousine

Amusé, je pose une main sur sa hanche et lui fais la bise. Camille, troublée, reste collée à moi ainsi quelques secondes. Je vois Marie me faire un clin d’il, avant de reprendre :

— Bon, on y va ?

Un peu à contrecur, je lâche Camille et nous nous dirigeons vers la voiture. Marie, comme à son habitude, vient se coller à moi, me refourgue sa valise et nous marchons bras dessus bras dessous.

Camille nous regarde l’air un peu gênée. Je jette quelques coups d’il plongeant dans le débardeur de Marie…

Arrivés à la maison, j’aide les filles à transporter leurs valises dans leurs chambres. Marie retrouve sa chambre et se jette aussitôt sur son lit.

Je montre à Camille la chambre d’amis, un peu isolée du reste de la maison. Je lui propose mon aide pour ranger ses affaires, mais elle décline mon offre. Je la laisse à son occupation, et retourne voir ma cousine toujours allongée sur son lit.

Elle tend les bras, et je la rejoins. Allongé sur son lit, nous tenant dans les bras, je sens sa poitrine contre moi comme si quelque chose avait changé.

— Elle est belle Camille, me dit-elle

— C’est vrai qu’elle est plutôt pas mal !

— T’inquiète, elle est moins timide quand on la connaît, rigole-t-elle.

Marie me donne une petite fessée.

— Allez, va nous préparer quelque chose à boire.

Je m’exécute et commence à me relever.

— Au fait, je me suis libérée de mon soutien-gorge, c’est plus agréable… Et plus pratique pour mater, ajoute-t-elle avec petit un sourire malicieux.

Je n’arrive pas à empêcher l’érection qui me prend subitement. Marie l’a bien remarquée et la regarde fixement. La voix de Camille nous demandant où nous sommes me surprend, je finis de me lever et vais la retrouver dans la véranda. Je lui demande ce qu’elle veut boire.

Nous nous retrouvons tous les trois assis sur des fauteuils dans le jardin autour de sodas bien frais. Nous discutons de leur trajet, du bac, mais aussi de ce que nous ferons cette semaine. C’est décidé, demain nous irons faire de la bouée tractée.

Arrivés au port, nous allons sur le quai. Le bateau de mon oncle est là, je fais quelques vérifications, installe le grand drapeau orange indiquant que nous allons faire de la bouée tractée, pendant que les filles gonflent la bouée.

Il est temps de larguer les amarres, nous sortons du port. Les filles finissent par enlever leur t-shirt et leur short, me montrant enfin leurs maillots de bain.

Un maillot très coloré pour Marie, bleu cyan avec des palmiers, et un maillot plus simple pour Camille mais mettant tout de même bien en valeur ses formes.

Je barre le bateau jusqu’à une zone où peu de bateaux passent. Le navire est stoppé sans erre, les filles se mettent de la crème solaire. Camille aide Marie à lui en mettre dans le dos, puis elles inversent les rôles.

Je reste là à les regarder derrière mes lunettes de soleil. Marie en fait toujours trop, elle se colle derrière Camille face à moi, et tartine le dessus de ses seins de crème, m’offrant un beau spectacle. Je bande déjà, Marie me lance le tube de crème solaire :

— Reste pas planté comme ça, tu vas attraper des coups de soleil !

Elle rigole, puis attache la bouée au taquet.

— On y va ? Lance-t-elle

— Tu veux passer en première Camille ?

Marie s’installe sur le siège à l’avant du bateau. Camille se place sur la bouée. Pendant que Marie bronze, je fais tourner le bateau et j’entends Camille crier d’amusement sur la bouée.

Au bout d’un petit moment, j’arrête le bateau et fais remonter Camille. Marie monte à son tour sur la bouée, Camille se place sur le siège. Après de quelques minutes, Camille me demande si elle peut barrer.

Elle revient au poste de pilotage, je la mets à côté de moi, lui explique rapidement la manette des gaz et la barre.

— Tu sais, normalement je n’ai pas le droit de te laisser barrer, pour ça le permis bateau c’est comme le permis voiture…

Je place mes mains par-dessus celles de Camille pour la guider. Pendant ce temps Marie continue de s’amuser bien accrochée à la bouée.

Je vois la gendarmerie maritime au loin, une idée me traverse l’esprit.

— Mince, les gendarmes ! Écoute, je veux bien te laisser la barre, mais on va devoir se mettre autrement.

— Pas de soucis, me répond-elle innocemment

Je la prends par les hanches et l’avance. Je me place derrière elle, puis la colle contre moi. Elle a toujours ses mains sur la barre et la manette des gaz.

Je remets les miennes par-dessus. Le bateau repart. Puis les remonte et caresse ses bras. Je passe une main sur son ventre, l’autre sur ses cuisses. Camille frissonne sous mes caresses, mais tient toujours aussi bon la barre.

Mes mains viennent se positionner sur ses seins, les caresser par-dessus son maillot. Je défais le nud de son haut de maillot pour pouvoir glisser mes mains directement sur ses seins, je les caresse, joue avec ses tétons.

Ma main gauche continue de s’amuser ainsi, ma main droite descend vers son bas, s’attarde à la caresser par-dessus. Étrangement le bateau s’est arrêté de tourner dans tous les sens depuis quelques minutes.

La respiration de Camille se fait entendre malgré les vrombissements du moteur. Je glisse quelques baisers dans son cou. Ma main s’aventure sous son maillot, je découvre la sensation de son sexe totalement épilé sous mes doigts.

Camille est complètement trempée, et moi je bande serré contre ses petites fesses.

— Vous faites quoi là ? Ça tourne pas assez ! Crie Marie

Ma main gauche abandonne malheureusement les seins de Camille pour reprendre la barre et faire zigzaguer le bateau, pendant que les doigts de ma main droite titillent le sexe la jolie brune. Les mains de Camille ont, elles, complètement abandonné le poste de commande.

Malheureusement mon petit manège ne peut pas durer plus longtemps, nous devons rentrer avant de nous retrouver coincés par la marée. Je retire ma main et arrête le bateau, Camille me lance un regard suppliant.

Marie remonte sur le bateau, je tente bien que mal de cacher mon érection qui ne veut pas passer. Nous rentrons au port, Camille est troublée tout au long du retour et ne lâche pas un mot assise à l’avant.

Marie par contre, à côté de moi, n’arrête pas de parler, hurlant combien elle s’était amusée. Elle caresse furtivement la bosse de mon maillot de bain, et me chuchote à l’oreille :

— Camille te plaît bien à ce que je sens…

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