Jean-michel Desprin-lejan se félicitait d’abord d’avoir remis sur le droit chemin ce petit con de militaire, et ensuite de lui avoir ordonné de laisser sa femme se démerder avec les deux bouseux…car le résultat était au delà de ses espérances. Décidément sa petite Marie-C avait de la ressource!
Après s’être laissée débarrasser de ces hameçons, Marie-C, grisée par la gnôle et par sa nouvelle condition de femme libérée de la moralité contraignante de sa classe sociale, se laissait aller à toute les perversions. Elle avait très vite caressé l’entrejambe des deux puants, alors qu’elle était assise nue, entre eux deux debout. Évidemment les deux s’étaient laissés faire, alors qu’ils s’intéressaient de façon minutieuse au corps splendide de la jeune femme ! Tandis qu’elle se laissait peloter les seins par les mains crasseuses et calleuses, Marie-C aventurait les siennes dans les braguettes. Et comme ils ne portaient pas de slip, elle eut bientôt dans ses mains innocentes deux belles bites en turgescence. Marie-C qui jusque là ne s’était pas vraiment intéressée à l’anatomie masculine, en était étonnée. Les sexes étaient durs comme du bois et plutôt longs et épais. En tout cas plus que son cher mari, qui devait se morfondre au même moment dans sa tour de verre du quartier des affaires de la Défense à Paris, ou son équivalent au Luxembourg. Marie -C était simplement surprise de son audace. Elle commençait à caresser les deux phallus vigoureux, et elle sentait son sexe s’épanouir en une corolle de désir. Alors, se souvenant des scènes volées, alors qu’elle espionnait son frère, toujours amateur de vidéos pornographiques visionnées sur son ordi, elle décalotta les deux prépuces, et timidement approcha sa bouche de l’un deux. L’odeur en était âcre et pas très réjouissante. Néanmoins cela semblait encore augmenter la lueur lubrique que Marie-c avait dans le regard. Arnest s’en aperçut :
Hé ben dis donc ma salope, t’es pas la petite bourge mijaurée qu’on aurait pu croire. Tu aimes ça la bite ?
-Oui monsieur, je suis un peu maladroite mais j’aime ça, surtout les vôtres ,
-Alors suce les de ton mieux ma belle, après on t’honorera comme il le faut . On va t’beurrer le mille feuille et t’ramoner l’arrière train. Tu vas voir comme on va t’faire gueuler p’tite chienne !
Pour toute réponse , Marie-C emboucha le gland d’Arnest. Il y avait une odeur d’urine et de sueur, mais cela ne la gênait plus du tout. Marie-C se concentrait sur les sensations de sa bouche et de sa langue. Elle sentait le gland doux, gros, arrondi qui pulsait dans sa bouche. Cette sensation l’étonna beaucoup, et alors que sa langue s’enroulait autour pour le découvrir, elle commença un mouvement de va et vient avec sa main, sortant presque le sexe de sa cavité buccale pour le rentrer tout de suite après oui il lui semblait que c’était comme ça que les pétasses des vidéos de son frère donnaient du plaisir aux hommes. Timidement, alors que le membre effectuait son chemin entre ses lèvres, qu’elle serrait fortement autour de la tige de chair, elle leva les yeux vers son tourmenteur. Quand elle le vit fermer les yeux, serrer les lèvres et exhaler des gémissements, elle se dit qu’elle était en train de devenir une fellatrice relativement correcte. Elle ressentait un sentiment extraordinaire de pouvoir maitriser le plaisir d’un mâle somme toute assez robuste et plutôt ours, en même temps que sa position de putain, à genoux, taillant une pipe à un mec inconnu, la rabaissait et la mettait au rang des filles de joies, soumises à l’Homme. Cela lui procurait une excitation et presque une jouissance psychologique et intellectuelle sans pareil. Marie-C se sentait à la fois sale et soumise, et elle devait admettre qu’elle adorait ça, en même temps que terriblement femme…comme jamais avant .
A un moment Arnest la repoussa, en crispant le visage:
Attend pepette, je vais t’envoyer la purée dans le gosier, si tu continues ! Putain tu suces comme une pro . C’ est ton mec qui doit se régaler. Bon fais en profiter mon pote aussi !
Marie-C se jeta sur l’autre sexe et recommença son apostolat buccal avec toujours le même plaisir; quand elle sentit les prémices de la jouissance du mec, avec l’expérience elle apprenait vite, elle sortit la queue de sa bouche et leur dit:
S’il vous plait messieurs, j’ai envie d’être baisée maintenant dans toutes les positions possibles
Arnest et Paul n’en revenaient pas.on leur avait dit que la fugitive était une fille bourge, godiche et quasi pucelle . Alors l’entendre parler ainsi ne fit que déchaîner leur envie sexuelle. Pourtant alors qu’Arnest installait Marie-C, passive et consentante sur un lit de feuilles mortes, Paul arrêta son compagnon:
Dis , heu , Arnest…faudrait p’tet pas !? La Cape nous a dit qu’y fallait pas y toucher à la gourgandine. j’voudro point avoir des problèmes moi !
-Allez fais pas ta mouillette le Paul ! Un p’tit coup comme ça , ni vu ni connu ! T’as vu c’te petite chatte qu’elle s’paye la "pucelle" ? Putain j’pourrais y foutre ma bite toute la journée. Et son p’tit cul, tu l’as vu ? Nom d’une pipe, tu t’ rends compte qu’elle a jamais été enculée, qu’ elle est vierge du cul ? Mon pote j’te l’dis ça va être le coup de l’année c’te donzelle là. Si qu’t’as des remords t’y touches pas et tu r’gardes !
Et Arnest installa Marie-C…en levrette, sous les yeux gourmands de son acolyte. Il lui rentra deux doigts dans le vagin, et commença à la limer. D’abord surprise, Marie-C se laissa aller au plaisir. Elle gémissait. Puis Arnest la pénétra d’un seul coup puissant. Marie-C, les yeux exorbités manqua d’air. Mais quand elle eut recouvré ses esprits, elle exprima de façon claire et sonore sa jouissance. Elle était tellement en attente, que son orgasme ne prit que 2 minutes. Arnest devant la réaction enthousiaste de sa partenaire se laissa aller lui aussi.
Alors Paul se décida et se dit qu’il voulait sa part. Mais lui voulait la sodomiser.
Marie-C après son premier orgasme en voulait encore. Alors quand Paul lui caressa les fesses, le petit illet en allant jusqu’à la vulve, elle n’en pouvait plus de se trémousser. Les parties génitales étaient à vif sous l’effet de l’excitation sexuelle, et chaque effleurement de doigts ou petite caresse la mettaient en transe !
Paul avait un petit pot de suif dans sa besace, pour graisser sommairement le fusil de chasse, qu’il ouvrit, s’en mit sur les doigts et passant sous le ventre de Marie-C en tartina généreusement chatte et cul. Puis se positionnant derrière elle, il la pénétra par le vagin, s’intéressa au petit illet, qu’il assouplit avec ses doigts. Enfin forçant un peu avec son sexe, il entrouvrit le passage sacré et commença à limer par le cul une Marie-C qui découvrait avec une joie féroce les délices de la sodomie. La pauvre ne cessait de crier à gorge déployé son plaisir. Tandis qu’à 74 mètres, un sniper du 13° RDP se masturbait généreusement devant le spectacle érotique d’une petite bourge, canon , blonde et bien foutue, qui s’abandonnait dans la souillure la plus totale au plaisir de mâles bas de plafond et abrutis
Et à 5 km de là, à vol d’oiseau, Jean-michel Desprin-lejan imitait le sniper, en découvrant le nouveau langage du corps de sa femme adorée !
Ainsi Marie-C se faisait enculer par un bouseux complètement inconnu et elle y prenait un plaisir intense. Arnest devant ce spectacle excitant recouvra une érection triomphante et voulut lui aussi reprofiter de la donzelle. Alors il se plaça devant la tête de Marie-C, lui prit le menton qu’il dirigea vers son sexe. Celle-ci éperdue de jouissance, que lui donnait la vigoureuse sodomie de Paul, n’en comprit pas moins le message et ouvrant la bouche, engloutit la verge pour la seconde fois
Toujours en levrette, et maintenant son équilibre sur sa main gauche , elle masturbait en même temps qu’elle le suçait Arnest. Celui-ci, un grand sourire aux lèvres regardait goguenard Paul, qui se lâchait dans la cul de la petite bourge :
"Alors mon gros, j’te l’avions point dit qu’la p’tite c’était de la dynamite ! C’aurait été trop con de pas en profiter, non ? On est pas bien comme ça tous les trois ? T’inquiète après on va la ramener au village !
-Cela aurait été beaucoup mieux pour tout le monde, de l’avoir fait directement !
Arnest et Paul, surpris par cette voix féminine, regardèrent autour d’eux et ils virent une silhouette vêtue d’une cape noire à large capuche, qui lui dissimulait le visage.
Autour d’eux, une dizaine d’hommes en armes, fusils de chasse et armes de la seconde guerre mondiale, avaient le visage grave et les braquaient
Ah ! Pensa Jean-marie Desprin-Lejan, qui visionnait la scène en direct, là ça va devenir diaboliquement intéressant !