la semaine suivant, je me retrouva avec mon amie. comme souvent, à regarder un film dans la chambre à l’étage. ses parents n’étaient pas là et donc comme souvent, nous nous posions tranquille.
la normalement, j’aurais laissé mon esprit vagabondé à l’idée que ce soir, oui ce soir je sortirais avec. mais je ne pensais qu’à l’idée que sa mère arrive, me voit, comprend qui je suis. je ne suis même pas concentré sur le film, ce que mon amie a bien compris.
— alors tu suis pas, tu veux qu’on change de film ?
— désolé je suis ailleurs.
— tu pense à qui ?
— personne.
— arrête, je la connais ?
— (ce que je pense) oui , même très bien.
— (ce que je dis) tu pense que je pense à une fille ?
— bah j’espère pour toi…vu la bosse que…
— hein…euh….
oh putain, je m’étais même pas aperçu…tellement plongé dans mon fantasme.
— ne t’inquiète pas, ça va. déstresse….regarde plutôt le film.
cela m’avait refroidit, honteux et voulant fuir à tout prix. je simula une fatigue. et lui dit que j’allais rencontrer, que j’étais naze et que j’avais un rendez vous le lendemain.
— bon oK. j’espère que c’est pas tout à l’heure qui t’a fait fuir. ça arrive, ya aucun soucis de mon coté
— merci.
— ah et….fais gaffe en sortant, ma mère doit dormir là…
en une seconde, je sens mon érection qui reprend. elle était là, depuis toujours. il faut que je fuis avant que mon érection me trahisse. je force donc le pas et lui dit bonne nuit rapidement.
je suis dans la couloir, je viens de fermer la porte et je l’entends déjà grimpé dans son lit. je me met à réfléchir, je pourrais , non non, ça marcherait pas une seconde fois. et puis là c’est trop risqué. je commence à descendre mais je ne peut me résoudre à partir sans la voir.
je m’approche tout doucement de la porte, elle est entre-ouverte. je la pousse tout doucement quand jentends une voix à moitié endormi.
— tu devais rentrer tôt….j’ai sommeil maintenant….on devait baiser….
je n’y voyais rien. mais elle ne semblait pas regarder vers moi. je ferme donc doucement la porte car dedans c’est le noire total.
je me rapproche du lit à tâton , et je sens la couverture se soulever.
— ça te ..(endormi)…. dérange pas , si je bouge pas. tu es ..(endormi)…….arrivé trop tard, j’ai sommeil.
elle veut que je la baise, elle pense que je suis son mari.
— allez…(endormi)….on a pas tout la….(endormi)….nuit
ni une ni deux, je baisse mon pantalon, enlève mon pull avec mon t shirt et je me glisse dans le lit. d’une main hésitante, je tâtonne et touche une paire de fesse. elle est sur le ventre, vautrée sur le lit. je me lance.
je commence par lui glisser un petit doigt, c’est déjà tout mouillé, elle a du patienter en s’excitant toute seule la maman.
je lui glisse un deuxième, et voyant que ça rentre comme dans du beurre et qu’elle saperçoit pas que c’est pas son mari.
je remplace mes doigts par ma queue, je lui enfonce bien profondément, un petit gémissement me fait comprendre qu’elle aime. qu’elle attendait que ça. elle est bien expressive ce coup ci.
me voilà lancer dans une bon mouvement de va et vient, je suis au ange, elle ne se force plus, elle ne fait pas semblant de rien sentir. elle pousse même ses fesses en arrière pour plus d’impact. je me rapproche d’elle et sens déjà une odeur d’alcool. je comprend mieux, elle a picolée, elle s’est couchée et là, n’a plus les capacités de vraiment comprendre ce qui se passe.
je suis en extase, j’en profite pour lui malaxer les seins, je lui met même une fessée. et dans l’excitation au maximum, je me vide en elle. cela a duré à peine 5 min mais qu’est ce que c’est bon.
et complètement perdu dans mon truc, je me tente même à l’embrasser, ce qui marche et elle me le renvoie bien. le genre de bisou qui veut dire: merci de m’avoir bien baisé.
je me relève, car le père pourrait débarquer à tout moment. me rhabille et sors de la chambre. mais j’entends en bas qui rentre, le père. je panique, déjà qu’il ne m’aime pas. mais s’il me grille chez lui, sa femme baisée.
ma seule idée est de rentrer dans la chambre de mon amie, elle sursaute.
— que..? que fais tu là?
— j’étais en bas ….et….ton père a surgit…et j’ai paniqué, tu sais….(entend les pas de son père montée)…il m’aime déjà pas trop.
— s’il te trouve là, c’est sur.
— il va pas venir ?
— il passe toujours voir si je dors…..pas le temps cache toi.
elle me fait glisser la tête sous sa grosse couette, j’aurais cru plutôt me cacher dans ou derrière l’armoire mais ok.
je me met en position pour prendre le moins de place. je reçois un coup sur la tête
— n’en profite pas.
sans en profiter, j’ai la tête limite entre ses jambes qu’elle a un peu relevé pour faire une bosse. j’aurais du avoir une vue direct sur sa culotte sous la robe de nuit. jentends son père arrive, ouvre doucement la porte et sans bruit s’approche.
— chérie….. chérie….
aucune réponse, elle joue la fille qui dors, j’y crois pas. et moi qui est une érection pas possible devant ce que je désirais voir depuis que je la connais, mais noir absolu
j’entends son père fermer la fenêtre, alors que moi je sens comme une odeur; c’est bien ça, elle s’est surement masturbé après mon départ. son père part et après quelques minutes. la couverture s’ouvre, les jambes encore écartés, et paf…la vue sur sa culotte….et pas de doute possible, une petite tache de mouille.
elle s’en aperçoit et croise les jambes.
— HHHEYyyyyyyyyy…..chut chut….pervers!
— mais euh….je….
— chut….
elle se lève , s’approche de la porte et écoute.
— on a eu de la chance…
— bon j’y vais….
— non non…t’es malade…il va t’entendre descendre les escaliers, tu vas lui dire quoi ’ j’étais caché entre les jambes de votre fille qui dormait ?,’
— euh….non…je pense pas non.
— attend qu’il dors.
on attend quelques minutes, un silence de mort. qu’elle rompt
— tu as rien vu ok?
— ça fera un à un…
— voilà….
— tu as quelqu’un en vue ?
— arrête…
— t’as vu, c’est….dérangeant hein.
un petit pouf de rire chacun fit un peu de bruit, on se regarda comme amuser par la scène inédite.
mais cette scène est coupée par un gémissement . mon amie se mit les mains sur la tête
— oh non…..la honte.
— c’est quoi ? (sachant bien ce que c’était)….
— mes parents baisent……
s’il savait que je l’avais baisé 5 min plus tôt, si elle le savait elle aussi. les secondes paraissaient des minutes, les minutes des heures. encore une fois , le silence faisait rage….à l’opposé de la chambre à coté ou ça devenait limite bestiale. une connerie me vient
— dis donc, ton père….
— arrête….. (se mit à rire en me regardant rigoler)….c’est gênant…
— ils font ça souvent , comme ça, te réveiller.
— ils se voient pas souvent alors oui….quand ils se voient, ça donne ça.
elle prit des boules kies sur la table de chevet.
— met ça, et dors…
— comment ça dors ?
— hors de question que tu les interromps…et t’inquiète, demain personne viendra ici.
— ok….je..
— je prend le coté droit.
je me lève pour me mettre en caleçon, mais j’ai une gaule d’enfer. elle le comprend
— franchement, ce soir,on est plus à ça prêt.
je le retire, laissant apparaître ma bite, bien à la vue. elle se gène pas, le matte bien. et se retourne.
je plonge dans le lit, je sais que cette nuit, cette gaule me quittera pas!
mais cette nuit était loin d’être terminé