ENZBAT, cest le surnom que lon nous donne pour Enzo et Batiste. Inséparable depuis lenfance, on vit ensemble, en colocation, depuis plusieurs années. Nous navons jamais eu de relations gay, ni ensemble, ni chacun de notre côté.

Certainement pas attirés par les hommes, mais pas plus que ça non plus par les femmes.

On vit une vie tranquille, on a les mêmes passions, le même boulot dans le même entreprise, on fait ce quon veut quand on veut, mais toujours ensemble. On est toujours daccord sur tout.

Un jour de juillet, en pleine coupe du monde, mon père nous invite à voir le match de léquipe de France, à la campagne, chez sa copine et ses enfants, une petite bande dado de 17 à 20 ans ; devant une bière suivie dun apéro dinatoire. Batiste et moi acceptons linvitation.

Le match était super, on a descendu quelques bières, puis quelques apéros, du rosé à table et un petit digestif, autant dire quil y avait un trop dalcool dans le sang.

La copine de mon père refuse de nous laisser partir :

-Enzbat ! Vous avez trop bu pour prendre la voiture, vous allez dormir ici, jai une chambre, le lit nest pas très grand mais vous êtes sûr de ne tuer personne sur la route !

Batiste et moi sommes daccord.

Elle nous montre la fameuse chambre, en effet le lit nest pas très grand mais il ny a aucune ambiguïté entre Batiste et moi, ça ne pose donc pas de problème.

Il est environ 3h du matin, tout le monde est couché depuis à peine ½ heure, et déjà des petits bruits de grincements se font légèrement entendre.

Je suis couché sur le côté gauche, comme dhabitude, Batiste se penche sur moi et me chuchote tout doucement à loreille :

-Enzo ? Tu dors ?

Je fais un petit de non de la tête. Il me dit :

-Je crois que le père est sur bobonne ! Ou alors, les jeunes se font plaisir !

Je sens son érection dans mon dos et lui réponds :

-Apparemment les petits bruits texcitent !!

Il me dit quil est désolé, et quil ne sait pas ce qui lui arrive pour bander comme ça.

Voilà plusieurs minutes que les ébats des chambres voisines sont finis. Batiste se penche encore une fois sur moi, et me dit :

-Ils ont fini, ya plus un bruit.

Je réponds :

-En effet, mais toi, tu es toujours dans le même état ! Mais quest-ce qui te fait bander comme ça ? Cest pas moi jespère ??

Immédiatement :

-Non !! Enfin je ne crois pas. En fait, je nen sais rien. Tu sais, je nai jamais rien fait avec un homme, je ne peux pas savoir.

Je me retourne, sur le dos, et lui dit que je nai jamais été attiré par les hommes, et que moi non plus je ne sais pas.

Il me propose alors de se mettre, en même temps, une main dans nos caleçons, juste pour « essayer », voir ce que ça fait que de se toucher. Je ne sais pas trop, je nai pas plus envie que ça, et lui demande si il veut vraiment toucher.

-si on nessaye pas, on ne saura pas !

Il a raison.

-A trois, on touche !

3 ! On se retrouve tous les deux, mon bras droit croisé à son bras gauche, allongés sur le dos, la main dans le caleçon de lautre. Ça ne fait rien, juste que chacun touche des parties qui ne nous appartiennent pas !! Mais quest-ce que les gays peuvent bien trouver de bien à ça ?

Batiste me dit alors :

-Peut-être que cest le goût qui est agréable ?

-Tu veux goûter ?

Je refuse, tout en me demandant quel effet ça peut bien faire. Batiste insiste, lalcool aidant lexcitation prenant le dessus :

-Allez, passe juste ta langue dessus, ça fera pas de nous des homos, cest juste pour essayer.

    -ok.

Je passe ma tête sous la couverture, plein dhésitations. En arrivant devant ses parties toujours en érection, je mets ma main, il fait noir, je cherche ½ seconde. Là, je me rends compte quil tient son caleçon vers le bas avec son pouce pour laisser libre son attribut. Je passe le nez au-dessus, juste pour savoir quelle odeur ça peut bien avoir. Rien de concret, ça ne sent ni bon, ni mauvais.

Je me lance, je glisse ma langue légèrement, sur son frein, Juste la pointe de ma langue, de haut en bas. En quelques secondes, je vais un peu plus vite, haut-bas-droite-gauche dans tous les sens.

Il commence à la contracter, par à-coup, ce qui me fait perdre le rythme à chaque contraction. Malgré tout, Je continue.

Plusieurs minutes que je caresse son frein avec la pointe de ma langue, son excitation est certainement plus intense et laisse sortir quelques gouttes de liquide séminal, dont le goût nest vraiment pas mauvais, un peu épais, mais vraiment pas mauvais voir même bon.

Jenglobe son gland dans ma bouche et continue à jouer avec ma langue.

Il met une main sur ma tête, appuie légèrement dessus tout en remontant son bassin et commence un va et vient pour faire coulisser sa verge dans ma bouche, cherchant à chaque coup de bassin à aller plus profondément dans ma bouche, jusqu’à ce quil plaque son bassin, me tenant fermement la tête, comme bloqué dans un étau.

Je sens son gland au fond de ma gorge, elle est entièrement entrée dans ma bouche. Il relâche et recommence plusieurs fois, la faisant coulissée lentement jusqu’à ce quelle soit bien au fond de ma gorge, appuyant fermement comme si il voulait en mettre toujours plus.

Jarrête de le sucer, je ne voudrais pas le faire éjaculer, le but est dessayer !!

Je sors ma tête de la couverture, Je lui dis :

-Ca y est, on a essayés !!!

Il me demande si cétait bon. Un peu gêné, je lui réponds : « A essayer ».

Je lui souhaite bonne nuit, puis me remets à ma place pour dormir.

Une fois de plus, il se penche sur moi et me chuchote :

-Tu ne vas pas me laisser dormir sur la béquille ? Puis on a pas tout essayé !

Je suis allongé sur le côté, il est contre moi, passe sa main sur ma cuisse puis sur ma fesse.

Il prend lélastique de mon caleçon et tire doucement dessus pour découvrir mes fesses. Je me laisse faire tout en restant passif. Il appuie son gland sur mon anus, puis force un peu pour me pénétrer, je suis crispé, il le sens et me dit de me détendre. Il pousse un peu plus fort, mais il ny a rien à faire, ça ne rentre pas.

Batiste décide alors de mettre un peu de salive entre sur ses doigts, létale sur sa bite, puis les frottes sur mon anus pour le mouiller. Il appuie à nouveau son gland contre mon cul encore vierge, écarte ma fesse, et là, je sens son gland entré en moi. Il se retire puis recommence, à chaque fois quil sort, il me la remet un plus profondément, je ressens comme des petits craquements. Ca y est, il me pénètre entièrement, je me détends de plus en plus.

Il sort pour changer de position.

Il passe mes jambes sur ses épaules, cherche mon anus en me frottant son gland, puis la rentre doucement. Il me lime, arrivant en butée à chaque coup de reins, mais en essayant de faire le moins de bruit possible. Il se retire entièrement et la remet plusieurs fois daffilé, je commence vraiment à prendre mon pied, Jai la bouche légèrement ouverte de plaisir. Jusqu’à ce quil ne la remette pas, je sens alors une première giclée de sperme atterrir sur ma lèvre, puis une deuxième directement dans ma bouche encore ouverte, les autres finissent sur mon visage et le long de mon corps.

Je passe ma langue sur ma lèvre et avale ce que jai en bouche. Ce nest pas mauvais.

Batiste est essoufflée et se couche sur le dos. Il bande encore, je monte à califourchon sur lui et mempale sur sa bite encore dure. Je la fais coulisser en moi, il fait des petits bruits de douleur et se tortille chuchotant :

-Enzo, ça fait mal !!

Je sens que je vais éjaculer, je la sort de mon petit cul puis laisse sortir mon sperme.

Après tant de plaisir, on peut dire que lessai est transformé.

Le lendemain soir, de retour à la maison, il ny a pas eu un seul mot de la journée sur nos ébats de la nuit, comme si il ne cétait rien passé ! Après tout, on voulait juste essayer, cest fait, on en parle plus.

Il nest même pas 23h, il fait encore jour, fatigué dune nuit courte et intense, je vais me coucher.

Quelques minutes que je suis au lit, Batiste ouvre la porte de ma chambre et me dit :

-Enzo ? Je peux dormir avec toi ?

Je lui réponds :

-Pourquoi faire ? Le but était dessayer pas de devenir gay !!

Il me dit alors quil jouerait bien le « match retour » et sans attendre, entre dans ma chambre, enlève son tee-shirt et se couche dans mon lit.

A suivre.

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