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La bourgeoise et le marabout – Chapitre 25




Depuis ma rencontre au parc avec Grégor, j’ai souvent repensé à cet orgasme intense éprouvé sous la langue de son chien doberman Stark. Depuis, j’ai régulièrement rêvé d’une nouvelle rencontre, j’ai imaginé cette langue un peu râpeuse parcourant tout mon corps et j’ai même fantasmé sur une saillie avec l’animal. J’ai donc consulté internet pour me renseigner sur les pratiques zoophiles qui consistent à avoir des relations sexuelles avec des animaux. J’y ai découvert que la mythologie grecque recèle de nombreuses histoires mettant en scène des créatures hybrides comme le Minotaure, fruit de l’accouplement de la déesse Pasiphéa et d’un taureau. Par ailleurs, Zeus lui-même n’a pas hésité à se transformer en cygne pour coucher avec Léda. Ce qui m’a rassuré c’est que, de l’avis des experts, il n’y a pas de risques de transmission de maladie. Il n’y avait donc plus qu’à attendre que l’occasion se présente…

C’est par un samedi après-midi ensoleillé, alors que François est parti jouer au tennis avec un ami, que cela est arrivé. Je suis au parc installée sur une couverture étalée sur l’herbe dans un petit coin isolé. Je bronze mes gambettes en lisant un magazine féminin lorsque Stark arrive et s’affale sur ma couverture. Quelques secondes plus tard, j’entends la voix grave de Grégor

— Bonjour Hélène, je vois que Stark ne vous a pas oublié depuis notre dernière rencontre.

Tout en posant ma main sur la tête du chien pour le gratifier de quelques caresses, je réponds à son maître

— Bonjour Grégor. Soyez certaine que ne je l’ai pas oublié non plus !! Il m’arrive même de rêver parfois de lui la nuit.

Le maître s’assoie à son tour sur la couverture et reprend

— Oh, auriez-vous des pensées lubriques ? Cela n’est du style du quartier !

Je lui rétorque

— Soyez certain que j’assume pleinement mes envies, contrairement peut-être à d’autres bourgeoises du XVIème.

Après un petit quart d’heure passé à discuter de choses diverses, Grégor me propose de prendre un verre chez lui et j’accepte volontiers.

Son appartement est tout proche du parc et il ne nous faut pas plus de 10 minutes pour arriver devant son immeuble sur l’avenue Paul Doumer. Nous prenons l’ascenseur et nous voilà au 3ème étage. Grégor me fait installer au salon et me demande de prendre mes aises pendant qu’il ouvre une bouteille de champagne. Lorsqu’il revient avec le plateau, la bouteille et deux coupes, je suis bien calée dans un canapé et Stark est gentiment couché à mes pieds, la truffe posée sur l’un de mes escarpins. Grégor me sert une coupe de champagne et s’installe dans un fauteuil en face de moi. Une fois mon verre vide, il s’empresse de m’en resservir un autre. L’alcool aidant, je décroise mes jambes et les entrouvre pour permettre à mon hôte de voir la fine dentelle de mon string blanc. Grégor ne dit rien, me regarde droit dans les yeux et émet un petit claquement de langue. Aussitôt, Stark se redresse, s’assoie sur ses pattes de derrière face à moi, pose ses deux pattes de devant sur mes cuisses et glisse sa truffe sous ma jupe. La fraîcheur de son souffle animal me fait du bien et je ferme les yeux. Le chien pousse sa truffe un peu plus haut et je ressens sa tiédeur sur ma chatte. J’écarte maintenant bien les jambes et l’animal comprend vite qu’il a mon accord pour pousser son exploration un peu plus loin. Sa langue joue avec la dentelle et effleure ma fente. Je me laisse aller sur le canapé et mon corps s’alanguit pour mieux savourer linstant présent. Stark voudrait insinuer sa langue plus profondément en moi mais mon string le gêne. Je ne fais rien pour l’aider et l’animal s’excite davantage sur le tissu ; sa langue se fait plus agile, plus active, plus vorace et plus envahissante. Enfin, Stark obtient ce qu’il veut et la dentelle se fend sous la poussé de sa langue. Aussitôt, cette dernière se glisse tout au fond de moi et le haut de sa truffe émoustille mon clitoris ; c’est divinement bon et je fonds dans sa gueule. Je me mords les lèvres pour ne pas jouir trop bruyamment et une onde de chaleur s’empare de mon bas-ventre. C’est le moment que choisit Grégor pour se rapprocher de moi. Il ouvre mon chemisier et me le retire puis il procède de même avec mon soutien-gorge. Il m’embrasse sur la bouche et me dévore les seins pendant que son chien continue à dévorer mon abricot. Puis le maître m’aide à me lever, fait glisser ma jupe et mon string à mes pieds. Je ne porte plus que mes escarpins et un collier.

Grégor pose un grand coussin par terre et me fait mettre à genoux dessus. Il prend ensuite une paire de mitaines qu’il enfile aux pattes de devant de Stark. Puis, une fois qu’il s’est assis de nouveau dans son fauteuil, il se débraguette et m’oblige à prendre en bouche sa queue qui se dresse fièrement devant moi. Je suis à quatre pattes devant lui et je le suce avec application. Il émet un nouveau claquement de langue et voilà Stark qui se colle à moi, pose ses pattes de devant sur mon dos, se rapproche encore plus près de moi et je sens sa queue qui cherche ma fente. D’une main virile, Grégor me maintient la tête bien penchée sur son bas-ventre et il m’est impossible de m’opposer à la pénétration du chien. Son membre prend possession de ma chatte, bien plus loin qu’aucun homme n’a pu le faire. Son sexe gonfle en moi et, avant même qu’il commence à bouger, sa semence commence à m’inonder les entrailles. Je me souviens alors avoir lu qu’un chien produit du sperme en continu dès qu’il pénètre sa femelle. Bien caler contre ma croupe, Stark commence de rapides mouvements de va-et-vient tout en continuant à me remplir de son jus épais et chaud. Les mouvements saccadés du chien me font osciller le corps d’avant en arrière pour le plus grand plaisir de Grégor qui va-et-vient dans ma bouche. Le maître est bien moins endurant que son chien et Grégor se vide rapidement dans ma bouche. J’avale avec délectation son foutre, bien moins fourni que celui de l’animal. Ce dernier continue à me pilonner et je ne compte plus les orgasmes qui me font perdre la notion du temps.

Grégor se lève et me demande de bien rester en position. Il vient derrière moi et aide son chien à se désengager de ma chatte. Puis, il fait comprendre à l’animal qu’il doit maintenant me lécher les fesses. Stark comprend vite et voilà maintenant sa langue râpeuse qui s’occupe de mon petit cul. Cela n’est pas désagréable du tout et, lentement, il réussit à s’introduire dans ce nouvel orifice qui semble également l’attirer. Une fois que Grégor devine que je suis prête à être chienne jusqu’au bout, il invite son chien à me prendre. Son gland rouge cogne quelques secondes contre mes fesses cherchant l’orifice mais, bien vite, il réussit à y entrer. De nouveau, c’est comme si un glaive en feu prenait possession de moi. L’animal me défonce littéralement et j’ai l’impression que son sexe va me transpercer de part et d’autre. Grégor encourage son chien de la voix

— Vas-y mon chien, prends la bien !

— Allez Stark, baise cette belle chienne !

— Oui, c’est bien, plus fort !

— Continue Stark, elle jouit et en redemande !

Soudain, le chien me donne une violente secousse et se colle à moi sans bouger. Il se vide en moi pendant de longues secondes et se retire enfin.

J’ai du foutre animal qui s’échappe de ma chatte et de mon cul, s’écoulant le long de mes jambes. Stark revient près de moi et me nettoie de sa langue brûlante. Je suis exténuée !

Une fois de retour à la maison, je jette mon string déchiré à la poubelle et je prends vite une douche pour tenter d’effacer l’odeur de l’animal que je porte sur moi. Je me savonne avec application puis j’abuse du parfum plus que d’habitude. Lorsqu’il rentre, François m’embrasse mais il remarque tout de même une drôle d’odeur sur moi.

— Chérie, c’est drôle mais tu sens un peu le chien.

Je lui réponds

— Je suis allé me promener au parc en ton absence pour prendre le soleil et un sale chien n’a pas arrêté de me coller. Il a dû me laisser un peu de son odeur !

François sourit, m’attire à lui, plaque ses mains sur mes fesses et me dit

— Cet animal aurait-il compris que tu peux parfois être très chienne ??

Pour éviter qu’il aie envie de me baiser et se rende compte que je suis déjà bien ouverte de partout, je me mets à genoux, ouvre sa braguette et lui dit avant de prendre son sexe en bouche

— Ta chienne va te sucer comme tu aimes.

Quelques instants plus tard, j’avale son foutre et je pars préparer le dîner. Mais dans mon ventre, je ressens encore les assauts de Stark qui m’a fait découvrir ce qu’est vraiment le plaisir animal…

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