Dans mon quartier pavillonnaire, j’ai une voisine qui possède un chien qui aboie souvent: à force ça en devient lassant.
Un matin je rencontre la propriétaire que je connais de vue. Je lui fais les remarques gentiment sur les aboiements.
Elle doit y être tellement habituée qu’elle s’y est ne fait plus attention, pour bien lui démontrer la gêne, je la fais rentrer chez moi.
Elle ne peut que constater que j’ai raison. Il est près de midi, la fille jolie et sexy ; je lui offre l’apéritif.
Elle accepte. Je ne sais ce qui me prend, je vais vers elle, au moment où je suis très proche elle avance aussi.
D’un même élan nos lèvres se rejoignent, notre baisé est long, nos langues partent à la recherche dans la bouche de l’autre.
Je la prends dans mes bras, elle s’accroche à mon cou. Nous, nous serrons fortement. J’en arrive à bander.
Bien sur elle s’en aperçoit et colle son bas ventre encore plus contre ma queue durcie. Je lui mets les mains aux fesses, elle se laisse faire.
Je relève le bas de sa robe pour lui mettre la main au cul.
J’ai la surprise de ne pas trouver de sous-vêtement. Je caresse lentement les deux globes, j’y passe ma main pour arriver vers son anus.
Elle s’écarte un peu pour que je puisse lui mettre la main au cul, et aussi pour prendre ma pine dans une main et la masser.
Ayant relevé sa robe, je continue à la lever, je lui fais passer la tête dehors et là je peux admirer un corps splendide, sexy avec une très belle poitrine en poire.
Dès qu’elle le peut à son tour elle me désape.
Nous sommes nus pour une simple histoire de chien. Je l’entraîne sur le divan pour la peloter et la branler. Pour ce qui est du pelotage, elle me rend caresse pour caresse.
Je pose ma main entre ses cuisses, qu’elle ouvre largement. Je peux ainsi arriver rapidement sur son con.
Je m’arrête un instant sur son anus où je rentre d’abord un, puis deux et enfin trois doigts Elle ferme les yeux en murmurant des "oui, oui, oui, encore, plus profond. J’en fait tellement qu’elle se tend comme un arc en criant, je jouiiiiiiiiiiiiies.
Je ne m’attendais pas à la faire jouir rapidement par le cul. Pour moi ça promet pour le reste. Je vais la branler en lui caressant le clitoris.
Je n’en ai pas le temps: elle se penche et prend ma queue dans la bouche. Elle ne se sert même pas des mains. Mon prépuce est descendu avec les lèvres. Sa langue lèche mon gland avec efficacité. Je suis obligé de forcer pour ne pas jouir maintenant.
Elle prend ma pine entière dans la bouche. Là je ne peux plus retenir mon orgasme. Je l’avertis, elle me garde en bouche gardant mon sperme.
Je suis surpris quand elle vient en mettre une partie dans ma bouche quand elle vient m’embrasser.
Je commence à débander, ce n’est pas grave, elle sait comme faire lever ma queue. Elle se lève, se met devant moi, ouvre un peu ses cuisses et passe deux doigts sur son clitoris. Sa masturbation à le don de me faire bander encore plus. Elle ne s’arrête que quand elle jouit encore.
Elle vient sur mes genoux pour que la baise. Baiser assis sur un divan n’est pas commode, je la prends dans les bras et l’emmène dans la chambre. Je la pose sur le lit, jambes écartées, les pieds vers le sol et le corps allongé.
Je passe la tête entre ses jambes et je la lèche depuis les genoux en remontant au sexe. L’intérieur de ses cuisses est très doux. Arrivé vers son cul je pose ma langue sur l’anus et en rentre presque la moitié. Bien sur elle jouit encore. Je remonte encore et attrape son clitoris assez long dans ma bouche, je le mets entièrement dans ma bouche et an caresse le bout. Cette fois encore elle se manifeste en criant en jouissant.
Je n’en peux plus j’ai besoin de mettre ma bite dans son con. Elle se met sur le dos, écarte les lèvres intimes pour que je voie bien toute sa fente. Je me pose sur elle, rentre facilement dans sa moule. Elle entame une série de
"Oui, oui, oui plus loin, plus fort, plus vite: je jouiiiiiiiiiiiies.
Je veux l’enculer, elle ne peu pas: elle doit aller s’occuper du chien. Elle sort presque nue, en disant, je reviens.