Cette histoire est réelle ; Seuls les détails sont un peu romancés. J’espère être un jour moi aussi l’heureux bénéficiaire d’une telle aventure.
Il y a environ 3 ans, un de mes jeune cousin m’a annoncé sa visite, me demandant si nous pouvions l’héberger pour le week-end.
Bénédicte, ma compagne, l’avait rencontré à 2 ou 3 reprises, et avait marqué pour lui un petit faible qui m’avait semblé réciproque. Il est timide et un peu gauche, toujours solitaire, n’ayant à priori jamais rencontré la petite amie qui lui donnerait l’assurance et l’audace. Béné m’avouait en plaisantant qu’elle se dévouerait bien et craquerait sans peine avec lui.
Je souhaitais la prendre au mot et lui annonçais :
— Patrick arrive vendredi soir. Crois tu qu’il rougisse toujours en regardant ton décolleté ou tes jambes?
Peut être est il encore puceau? Si c’est le cas, tu pourrais te dévouer !
— On verra bien ! m’a t elle répondu en riant, habituée à ce genre de réflexion pas tout à fait innocente de ma part.
Béné est toujours très sexy, avec en permanence un décolleté profond et plongeant, assez exhibitionniste, et généralement court vêtue. Depuis longtemps, je rêvais de voir un autre homme la caresser devant moi.
Ce vendredi soir, elle avait préféré nous préparer elle-même un dîner au champagne. C’est une boisson à laquelle elle est très sensible…
Quelques minutes avant que je ne parte chercher mon cousin à la gare, elle m’a demandé la façon dont je préférais la voir habillée… Etait ce innocent? J’ai saisi la balle au bond :
— Puisque nous ne sortons pas, moins tu porteras de vêtements, mieux ce sera ! Court et sexy !
— Je m’en doutais ! a t elle répondu en riant, mais j’ai un peu peur de le choquer…
— J’espère bien que tu vas lui faire perdre la tète
— Ca ne m’étonne pas de toi ! Allez file maintenant !
J’étais plutôt content de la voir d’humeur si coquine, et lorsque nous sommes arrivés à la maison, Patrick et moi, Béné nous est apparue joliment coiffée et maquillée, vêtue d’un tailleur jaune, très BCBG au premier coup d’?il, mais plutôt sexy ; Jupe très courte sur des bas blancs ( elle ne porte jamais de collants ) la veste à même la peau, révélant un profond décolleté qui mettait en valeur sa superbe poitrine et la vallée qui sépare ses seins. Il m’a semblé qu’elle n’avait pas de soutient gorge. Elle était en tout cas jolie à croquer, et Patrick très ému en l’embrassant.
Après avoir dîné et un peu bu, en racontant pas mal de bêtises, nous avons regagné le salon ou nous attendait une nouvelle bouteille de champagne.
Bénédicte avait les joues roses et l’?il pétillant de ces petites bulles qui lui font tant d’effet et la rendent amoureuse et déchaînée dans nos jeux.
J’en ai profité pour lui caresser discrètement les fesses, ce qui l’a fait sourire.
Tout naturellement, elle est allée s’asseoir dans le canapé, la place la plus profonde, ce qui l’oblige à tenir serrés ses genoux pour préserver son intimité. Patrick et moi nous sommes installés en face d’elle.
Lorsqu’elle s’est penchée pour poser son verre vide, nous avons eu une vision profonde et presque complète de sa superbe poitrine, . J’ai remarqué que sa veste était déboutonnée jusqu’au-dessous de ses seins ( volontairement ou accidentellement? ) et nous savions à ce moment là qu’ils étaient nus.
C’est une coupe de champagne et quelques mouvements plus tard que sa jupe, largement remontée sur ses cuisses, nous dévoilait sans équivoque le haut de ses bas et un morceau de peau nue.
Elle continuait à parler et à rire, et sans que rien ne laisse supposer qu’elle s’en fut aperçu, ses genoux légèrement desserrés nous révélaient le fond blanc d’un slip de dentelle.
Son sourire angélique et son air serein et innocent rendaient cette exhibition terriblement excitante, et j’avais le sentiment d’être un voyeur profitant de trésors dévoilés par inadvertance.
Patrick, le rose aux joues, un peu agité dans son fauteuil, semblait faire de vains et surhumains efforts pour empêcher son regard de plonger directement entre les cuisses de ma petite salope. Je me doutais bien qu’elle était plutôt ’partie’ et s’amusait à le troubler, lui laissant par moment le temps de se repaître de la vue qu’elle lui offrait, ouvrant encore un peu plus ses jambes en tournant franchement vers moi ses yeux brillants.
Je savais maintenant qu’elle était trempée et ouverte, totalement déshinibée par le champagne.
Je laissais ce moment durer, et il devenait évident pour Patrick que je ne cherchais pas à le priver des charmes de ma jolie compagne, ne faisant rien auprès d’elle pour lui faire rectifier une attitude qui devenait un appel au viol.
La tension dans la pièce était palpable. Patrick avait de plus en plus de mal à cacher son trouble, et sans oser croiser mon regard, observait Béné directement entre les jambes ; Et je sentais que ce regard qui la fouillait devait terriblement l’exciter, bien que seul son visage ait un peu rosi. Elle jouait la candeur comme une parfaite petite salope.
J’étais dans un état d’excitation proche de l’orgasme tant cette exhibition était perverse, et j’imagine que Patrick ne devait plus savoir que penser. Il devenait évident que Béné me laissait prendre toute initiative et attendait que je la guide, à priori consentante.
Alors je me suis levé pour resservir nos verres et suis venu m’asseoir auprès d’elle. Elle a aussitôt posé sa tète sur mon épaule, les jambes tournées vers Patrick, légèrement ouvertes. J’avais sous les yeux ses cuisses, et sa jupe était remontée si haut que je la devinais au ras de son slip.
Du fauteuil de mon cousin, la vue devait être superbe, et s’il était un peu congestionné, il me semblait, champagne aidant, plus détendu. Nous étions tous les trois biens partis.
Le bras autour de ses épaules, ma main a glissé sous sa veste pour empaumer un sein nu, chaud et ferme. Elle n’a eu aucun mouvement de recul. s’appuyant plus lourdement sur moi. Dans cet abandon, ses fesses glissant de quelques centimètres sur le canapé, sa jupe nous découvrait largement sa lingerie blanche, si fine et transparente qu’on voyait nettement sa fourrure brune taillée court.
Patrick ne perdait pas une once du spectacle. Béné semblait s’être endormie sur mon épaule. Seuls signes de vie, sa respiration un peu haletante et son téton qui durcissait sous ma main. Nous ne parlions plus et un fond de musique berçait une atmosphère irréelle.
Au bout de quelques instants, je me suis jeté à l’eau, et m’adressant à mon cousin :
— Elle est belle, n’est ce pas? … J’espère que je ne te choque pas?
— Oh non ! me répondit il d’une toute petite voix, sans faire aucun mouvement.
De ma main libre j’ai défais délicatement les deux boutons restants de sa veste, et écarté lentement les pans pour lui offrir ces seins superbes, continuant à titiller le téton de celui que j’avais empaumé. Patrick était complètement figé.
N’osant bouger, je me suis contenté d’attraper sa jupe sur le coté pour tenter de la remonter, et à ma stupéfaction, elle a soulevé son bassin pour faciliter mon geste.
Troussée jusqu’à la taille, nous exposant ses jambes gainées et sa jolie culotte blanche, seins nus, elle était offerte et terriblement excitante, plus encore que si elle avait été nue.
Je me suis un peu dégagé pour atteindre son ventre, et j’ai posé la main sur sa chatte. Elle a très légèrement ouvert les cuisses. A travers le tissu, je sentais ses lèvres gonflées et humides. Le fond du slip était trempé. La situation l’excitait bien autant que moi, et je la sentais prête à subir un traitement beaucoup plus énergique. Devant notre spectateur, j’ai commencé à la peloter du bout des doigts. Elle s’est mise à gémir doucement, ouvrant lentement ses cuisses , jusqu’à poser une jambe sur le canapé.
Patrick ne semblait pas vouloir bouger, malgré mon signe pour qu’il nous rejoigne. Il se contentait d’apprécier ce superbe spectacle que lui offrait Béné se laissant branler.
Sous mes doigts, je sentais son clito se tendre à travers le tissu qui s’imprimait très nettement dans sa fente. Elle ondulait dans mes bras, sa jambe posée sur le canapé était agitée de tremblements. Elle avait tourné la tète, le visage niché dans mon cou, et je sentais ses lèvres m’embrasser sous l’oreille. Ses seins que je pelotais tour à tour durcissaient dans ma main, et je sentais monter son plaisir.
Patrick ne bougeait toujours pas, l’air très excité, alors sans plus me préoccuper de lui, j’ai crocheté le fond du slip de ma compagne et l’ai écarté. Ses grosses lèvres gonflées se sont ouvertes comme une fleur ; J’ai plongé un doigt dans son sillon gluant de foutre et ne suis attaqué à son clito dressé. Très vite, elle a murmuré à mon oreille :
— Mets-moi un doigt !
Cette voix rauque a agit sur moi comme une décharge électrique, et sa demande a failli me faire exploser. J’ai plongé l’index son ventre ; Elle était distendue, brûlante et trempée. Elle s’est arquebouté dans mes bras en geignant. Mon doigt entrant et sortant de son vagin produisait un clapotement obscène, et Patrick, tétanisé, crispé sur le bord de son fauteuil, les yeux rivés à l’entrejambe de ma petite salope, semblait prêt à basculer en avant.
Je branlais Bénédicte avec fougue, sentant la montée de son plaisir, jusqu’à ce qu’elle explose en feulant comme une chienne, arqueboutée , tremblante, me déchargeant son jus dans la main. La présence de ce spectateur lui avait , me semble t il ; procuré un plaisir plus fort encore qu’à l’habitude. Elle est retombée inerte dans mes bras, le visage toujours niché au creux de mon cou, cuisses grandes ouvertes.
Semblant m’interroger du regard, et encouragé par mon signe, Patrick s’est levé, agenouillé devant elle, et a avancé la main sur sa cuisse, jusqu’au-dessus du bas, puis a caressé sa chatte à travers le slip humide. Il a posé ses deux mains sur les hanches de Béné et approché son visage jusqu’à l’écraser sur la motte. J’ai senti ma compagne se tendre et avancer son bassin à la rencontre de cette nouvelle caresse, et j’ai vu les doigts de Patrick crocheter la ceinture de la culotte blanche. Il l’a déculottée lentement, découvrant enfin la totalité de sa petite chatte, et après l’avoir contemplée quelques instant, a à nouveau approché son visage pour la sucer.
Elle s’est écartelée, et à ma stupéfaction, s’est redressée à demi dans mes bras pour regarder la tète de mon cousin entre ses cuisses, elle lui a posé sa main sur la joue pour l’encourager. Il s’est mis à lui bouffer la chatte avec frénésie, les deux mains passées sous ses fesses, et je voyais son bassin avancer par accoups à la rencontre de cette langue qui la fouillait, pendant que je lui pelotais les nichons à pleines mains, à nouveau au bord de l’orgasme, tant il était excitant de la tenir dans mes bras en regardant Patrick la sucer.
Soudain, elle a décollé ses pieds du sol, remontant ses jambes, cuisses ouvertes au maximum. J’ai aussitôt abandonné ses seins pour la saisir sous le plis du genou, et l’ouvrir en grand. Je la maintenais écartelée , totalement indécente, lui décollant presque les fesses du canapé. J’avais sous les yeux sa fente béante et ruisselante.
Après s’être écarté quelques seconde pour se repaître de ce spectacle, Patrick a à nouveau plongé sur son coquillage, et j’ai vu sa langue pénétrer dans l’entrée du vagin de Béné, son nez frottant sur le clito tendu. Elle s’est mise à délirer, arqueboutée et gémissante, parcourue de tremblements, tétanisée, et elle a jouit en hurlant, alors que Patrick ,collé à son sexe, continuait à la lécher avec frénésie.
Au bout d’un moment qui m’a semblé une éternité, je l’ai sentie se détendre dans mes bras, et j’ai doucement reposé ses jambes à terre. Le visage de Patrick était barbouillé de foutre.
Toujours assise sur mes genoux, elle s’est penchée sur mon cousin, a pris son visage entre ses mains et l’a embrassé à pleine bouche. Puis sans un mot, elle s’est levée, a quitté la pièce et est montée.
Un peu dégrisés, Patrick et moi sommes restés quelques instants sans parler, avons fini nos coupes, et pour rompre le silence, je lui ai proposé :
— Viens ! Je crois qu’elle nous attend ! C’est la première fois que nous faisons cela, mais elle avait très envie de toi et je t’avoue que j’en avais aussi envie. Alors n’ai aucune inquiétude, cela restera notre secret ! Tu as envie de venir lui faire l’amour?
— Oh oui ! Mais tu crois qu’elle va vouloir maintenant?
— Allez viens, et tu verras bien qu’elle nous attend!
Quand nous sommes entrés dans la chambre de Bénédicte, elle était totalement nue, allongée au milieu de son lit, le regard brillant à la seule lueur de la lampe de chevet, et nous sommes venus nous installer de chaque coté d’elle…
Lorsque j’ai raccompagné mon cousin à la gare le dimanche soir, il n’était plus puceau… Mais ceci est la suite de cet extraordinaire week end que je vous raconterai plus tard…
Je vous ai raconté comment, à l’occasion d’une visite de mon cousin Patrick, ma compagne Bénédicte s’était retrouvée dans mes bras, a moitié nue, se laissant sucer son joli minou par son nouvel amant, pourtant très timide et sans doute puceau.
Lorsque nous l’avons rejointe dans sa chambre, elle nous attendait, nue sur son lit, les yeux brillants de plaisir, prête à être comblée, car je savais que ces deux petits orgasmes n’étaient pas suffisants pour la calmer, et que seule une vraie et vigoureuse pénétration pouvait apaiser ses sens, fortements enflammés par la présence de Patrick, la nouveauté de la situation et le champagne.
Nous nous sommes allongés de chaque coté d’elle, et tendrement, l’avons caressée. Je profitais du spectacle très excitant de la voir nue devant Patrick qui s’enhardissait à découvrir du bout des doigts ses seins, sa chatte, pendant qu’elle l’embrassait en lui caressant la nuque, et ouvrait gentiment les cuisses sous sa main. Excitant, mais aussi troublant, tant je me sentais un peu exclu devant cet abandon et la tendresse qu’elle témoignait à son nouvel amant. Je savais que ce jeu était dangereux, mais j’étais décidé à le jouer jusqu’au bout.
Visiblement Patrick n’osait pas prendre la direction des événements et se contentait de l’embrasser et la peloter. A mon étonnement c’est elle qui a glissé sa main jusqu’à l’entrejambe de Patrick et a entrepris de défaire son pantalon sans plus s’occuper de moi.
Réalisant qu’il devait être complètement dérouté par la situation, je me suis levé, après une courte hésitation, et les ai laissés.
J’étais dans le salon depuis une dizaine de minutes, lorsque Béné est apparue, seule, nue, les yeux chavirés et les joues roses.
— Viens! Baises moi maintenant, tout de suite!
Je me suis levé et l’aie prise par la main pour l’emmener dans notre chambre
— Non! Ici! Prend moi par terre! Maintenant!
Elle s’est allongée et a ouvert les jambes, me révélant sa cramouille béante et luisante de foutre. Je me suis dégrafé, allongé sur elle et enconné d’un seul coup de reins. Elle était brûlante et distendue comme jamais. A la pression de ses jambes nouées dans mon dos j’ai senti qu’elle voulait que je la défonce, et je l’ai ramonée sauvagement, a grands coups de pistons, tandis qu’elle grimpait littéralement le long de ma queue en gémissant. Je ne sais combien de temps a durée notre chevauchée, mais nous sommes restés anéantis longtemps, imbriqués l’un dans l’autre.
Quand nous avons regagné notre chambre, nous avons parlé, et elle m’a raconté que Patrick était certainement puceau, qu’il avait sans doute été très ému par cette aventure inhabituelle, et qu’après l’avoir caressé et s’être laissé caressé par elle, il n’avait pas pu ou pas voulu lui faire l’amour, et avait préféré se retirer dans sa chambre seule. C’est sans doute ma présence qui le troublait le plus, et elle m’a remercié de la discrétion dont j’avais fait preuve en me retirant.
Ce samedi matin, Patrick, que j’avais rejoint dans la cuisine, souhaitait partir pour ne pas ennuyer Bénédicte. J’ai pu le convaincre de rester, lui assurant que nous étions trois adultes, parfaitement éduqués, et qu’il n’y avait entre nous aucun problème à profiter des choses de la vie, et que cette aventure resterait notre secret.
Lorsque Béné nous à rejoint, Patrick m’avait assuré ne rien regretter, si ce n’est de n’avoir pas osé nous rejoindre après avoir quitté Béné, et leur gène à tous les deux m’amusait. J’étais plus détendu encore que je n’aurai pu l’imaginer.
Leur tension s’est vite atténuée, et nous avons passé une bonne journée, ballade, resto et shopping.
Ma compagne avait une tenue plus sage que la veille, hormis son décolleté qui lui est permanent. Je surprenais des regards un peu brillants de mon cousin, mais durant la journée, aucune allusion n’a été faite à notre folle soirée.
Le soir venu, nous sommes allés voir un spectacle. Bénédicte était assise entre nous et l’envie de lui faire l’amour me tenaillait à nouveau. Au moment de l’entracte, Patrick s’est absenté pour nous offrir une boisson. Béné et moi sommes restés à notre place.
— Et bien, lui ai je dis, tu vois que mon petit cousin sait parfaitement se tenir!
— Lui oui! Mais toi j’en suis moins sure! m’a t elle répondu en souriant
— Il meurt d’envie de te faire l’amour, et il est toujours puceau!
— Tu es machiavélique! Tu ne voudrais pas que je le viole ?
— Non, seulement que tu l’encourage! Quand on a dans sa vie une aussi jolie fleur, on a le droit de souhaiter partager ce bonheur avec quelqu’un qu’on aime bien et qui saura apprécier un si beau cadeau!
— Tu es un beau salaud, mais c’est joli quand même! Et elle a serré ma main en posant la tète sur mon épaule, en ajoutant :
— Tu joues un jeu qui peut être dangereux!
Je n’ai pas répondu. Patrick est revenu, puis le spectacle a repris. Je sentais Béné un peu tendue. Par instant, sa main se crispait sur la mienne. Puis elle a posé son autre bras sur l’accoudoir, sa main frôlant celle de Patrick. Ni l’un ni l’autre n’ont fait aucun geste de plus, jusqu’à ce qu’elle pose doucement sa main sur celle de son nouvel amant. J’ai vu leurs doigts se nouer, et là j’ai réalisé que mon jeu pouvait devenir dangereux, mais je souhaitais quand même aller jusqu’au bout.
J’ai posé la main sur sa cuisse. Au bout d’un moment, en serrant fortement la mienne, elle a amené la main de Patrick sur son autre cuisse. L’atmosphère était devenue soudain très dense. Jusqu’à la fin du spectacle, lui et moi l’avons caressée, remontant progressivement au-dessus de ses bas, jusqu’à toucher le fond de son slip, nos doigts se frôlant.
Elle s’était enfoncée dans son fauteuil, les fesses au bord du siège, les jambes légèrement ouvertes et se laissait faire
Nos caresses avaient remonté sa jupe un peu au-dessus de la naissance de ses bas. Elle était superbe, abandonnée, consentante, et pour mon plus grand plaisir, il me semblait que mon voisin avait remarqué notre manège et semblait s’y intéresser.
Au bout d’un moment, j’ai senti du bout des doigts le fond de son slip s’humidifier. Elle avait ouvert un peu plus les jambes et sa respiration s’était accélérée.
Nous avons quitté la salle dès la fin de la représentation, sans un mot, et sommes rentrés. Dans la voiture le silence était lourd et l’excitation palpable.
Arrivés à la maison, j’ai pris sa main pour l’entraîner directement dans notre chambre. Elle s’est tournée vers Patrick, et lui a tendu son autre main en lui disant, d’une toute petite voix :
— Viens! –
Je l’ai allongée sur le lit ; Patrick est venu s’étendre à ses cotés. Sur le dos, entre nous elle semblait vouloir se laisser faire. J’ai déboutonné son chemisier et fais glisser son soutien gorge par-dessus ses seins, puis me suis un peu écarté. Patrick s’est penché sur elle. Elle lui a offert ses lèvres tandis qu’il empaumait ses seins et les pelotait délicatement tour à tour.
J’ai glissé au pied du lit, à ses pieds, et passant les mains sous sa jupe, j’ai crocheté la taille de son slip. Elle a soulevé les reins pour se laisser déculotter, et j’en ai profité pour retirer aussi le vêtement. J’ai écarté ses jambes et posé les lèvres sur sa chatte. Elle était déjà trempée, ouverte, et je l’ai entendue gémir dans les bras de Patrick quand j’ai passé la langue dans son sillon rose et luisant.
En lui léchant la chatte, j’apercevais mon cousin l’embrasser à pleine bouche en lui tripotant les seins: C’était très excitant.
Je me suis levé et déshabillé, faisant signe à Patrick de faire de même, tandis qu’elle se débarrassait de son chemisier. Nue avec ses seuls bas, elle était superbe. Je me suis allongé sur elle, mais sans la pénétrer. Je voulais laisser la primeur à notre complice.
Dès qu’il a été nu, -j’ai vu qu’il bandait comme un âne- j’ai roulé à coté d’elle, et timidement, il s’est rallongé à ses cotés avant de ramper sur son corps offert. Elle le guidait de ses bras et à même du saisir la queue raide de son cavalier pour l’introduire très lentement dans son ventre.
J’étais complètement tétanisé par la vision de ma petite pute écartelée sous un autre homme. Ils sont restés longtemps soudés, sans bouger. Puis les jambes nouées dans le dos de son amant, elle lui a imprimé de légers mouvements de va et viens. Elle le guidait complètement. Ils ont jouis ensemble, sans un mot, et elle l’a gardé longtemps en elle, très tendrement pour cette première fois, et je suis resté silencieux et un peu ému.
Puis c’est lui qui a amorcé un nouveau va et viens ; plus profond, saccadé et rapide. A nouveau ils ont jouis après une très longue chevauchée.
Quand il s’est dégagé, j’étais dans un tel état que je me suis abattu sur elle et l’ai prise d’une seule poussée, jusqu’au fond de son vagin. Je la baisais comme un forcené et elle criait en grimpant le long de ma queue, les cuisses autour de ma taille. Elle a hurlé quand j’ai déchargé dans son vagin en lui disant des obscénités comme elle les aime dans ces moments là:
— C’est bon hein ma salope! Deux bittes pour toi toute seule! tu vas pouvoir te faire ramoner ta petite chatte de pute toute la nuit!
— Oh oui! Salaud! J’aime ça et tu le sais! Baisez-moi tous les deux!
Quand je me suis retiré, Patrick avait retrouvé sa pleine forme et s’est à nouveau allongé sur elle. Lui aussi s’est déchaîné et leur chevauchée a durée longtemps. Elle délirait et avait abandonné toute retenue:
— Oh oui! Vas-y, fort, très fort! Je te sens bien! Tu baises bien! tu vas encore me faire jouir!
Oh c’est bon! Je vais jouir! …
Je crois qu’elle a jouit avant lui, mais a continué à l’encourager jusqu’à ce qu’il explose en elle.
Nous nous sommes calmés, avons pris une douche, et au moment ou Patrick voulait regagner sa chambre, elle lui a demandé:
— Reste, si tu veux !
Nous avons continué à la caresser longtemps avant de nous endormir chacun d’un coté d’elle.
Plus tard dans la nuit, j’ai été réveillé ; Patrick, couché sur elle était à nouveau entrain de la baiser.
Elle a jouit en silence, puis est venue s’allonger sur moi, s’empaler sur ma queue. Je me suis laissé guider.
Une autre fois encore, j’ai été réveillé par sa bouche qui cherchait la mienne, puis descendait le long de mon torse pour atteindre et emboucher ma queue. Le temps de reprendre mes esprits, j’ai réalisé qu’elle était à quatre pattes et que Patrick la prenait en levrette…
Au petit matin, j’ai à nouveau été réveillé par leurs mouvements, et je les ai découverts tète bêche, elle dessus, se suçant copieusement. Et elle nous a sucés, tour à tour, durant un moment, avant de se relever, de s’allonger en s’empalant sur Patrick, et de me demander :
— Prend moi en même temps par derrière! …
Inutile de dire que nous nous sommes réveillés très tard le lendemain, sans plus aucune gène entre nous, et quand Patrick nous a quitté, le dimanche soir, il avait l’air transformé, et nous savons qu’il a maintenant une petite amie.
Bénédicte m’a avoué qu’il avait passé la nuit à la peloter et à la sucer, et que plusieurs fois, ils avaient fait l’amour sans même me réveiller. Elle m’a même raconté qu’a un moment elle s’était levée et l’avait sucé jusqu’à ce qu’il lui décharge dans la bouche, et que peu de temps après que nous l’ayons prise en sandwich, il l’avait enculée.
Je crois que cette nuit là, il avait découvert beaucoup de choses.
Lorsque nous nous sommes revus, quelques temps plus tard, nous l’avons véritablement trouvé transformé.