Les personnages :
Le frère : 35 ans, 1m80, 95 kilos, 21 centimètres, brun.
La sur : 34 ans, 1m65, 60 kilos, 90C, blonde.
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Si je vous ai partagé cette histoire vieille de 15 ans, c’est pour aujourd’hui vous en raconter l’étonnant épilogue.
Il eut lieu le mois dernier, alors que mon fiancé et moi avions invité toute ma famille à passer le week-end entre notre compagnie. C’était l’occasion pour nous de leur annoncer nos fiançailles, qui furent accueillies avec beaucoup d’enthousiasme ! Candie n’était pas présente, s’étant définitivement installée en Angleterre. Mais mon frère lui, était bel et bien là ! Il restait bel homme, mais cela ne l’empêchait pas d’être célibataire.
Lui et moi n’avons eu que peu de contacts depuis notre séparation dix ans plus tôt. Parfois, il m’arrivait de regretter la façon dont les choses avaient pris fin. Nous aurions sans doute préféré que cela se fasse moins violemment. Malgré tout, il était pour moi, encore aujourd’hui, le meilleur amant que j’ai pu avoir. Lors de longues nuits de solitude, je me surprenais encore à me masturber en repensant à nos ébats endiablés. Je m’étais toutefois promis de ne jamais retenter la moindre chose avec lui.
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Dès le lendemain, ma promesse fut mise à rude épreuve. Mes parents étant partis saluer de vieilles connaissances et mon futur mari ayant insisté pour les accompagner (afin de gagner leur bénédiction, je présume), je me retrouvais seule à seule avec mon frère pour plusieurs heures. Afin d’éviter tout «incident », je préférais m’enfermer dans ma chambre pour lire un bon livre.
Au bout d’une demi-heure, j’entendis mon frère m’interpeller. Je me levais et me dirigeais vers la salle de bain. Je le surpris alors complètement nu, le corps encore humide de la douche qu’il venait de prendre. Je ne pus m’empêcher de jeter un coup d’il à son énorme sexe, qui fort heureusement ne bandait pas. Il le remarqua et se mit à sourire. Il me proposa alors de le toucher, ce à quoi je me refusais. Je voyais bien où il voulait en venir. C’était dans une douche que toute notre histoire avait débuté. Il voulait recréer ce moment.
J’étais totalement bouleversée. Je ne parvenais pas à croire qu’il tente quelque chose si tôt après nos retrouvailles. Y pensait-il depuis longtemps ou cherchait-il à me baiser une dernière fois avant mon mariage ? Quoi qu’il en soit, je préférais retourner dans ma chambre. Mais mon frère m’y suivit, et m’agrippa le bras, me demandant droit dans les yeux si j’en avais envie. Je voulais lui répondre "envie de quoi ?", mais cela aurait été hypocrite. Je savais de quoi il parlait.
Il s’approcha alors de moi et m’enlaça affectueusement. Son sexe vint se coller à mon bas-ventre, ce qui ne manqua pas de me mettre mal à l’aise. Tout en m’embrassant le cou, il me murmurait des mots affectueux. Il m’avoua me désirer encore, que baiser la femme mûre que j’étais devenue l’excitait. Étrangement, je ne le repoussais pas. A vrai dire, ses mots me touchaient. Il me demandait si je n’en avais pas envie moi non plus, s’il n’était pas envisageable que je veuille coucher avec lui une toute dernière fois… J’acceptais.
Je commençais par lui rendre ses baisers. Puis, je l’éloignais de moi pour me permettre de me déshabiller. J’enlevais d’abord mon haut, puis mon pantalon. Ce strip-tease improvisé lui plaisait beaucoup, vu que sa queue se dressa progressivement. Elle n’avait rien perdu de sa vigueur. Moi non plus d’ailleurs. 3 ans auparavant, je m’étais offert une opération mammaire afin que mes seins ne perdent rien de leur fermeté. Mon frère ne manqua pas de le remarquer et me complimenta.
Une fois nue moi aussi, je me jetais sur lui et le plaquais sur mon lit. Je l’embrassais langoureusement, appuyant ma poitrine contre la sienne. Je sentis son pénis frotter la peau de mes jambes épilées, et me décidais alors à me retourner. Tandis que je prenais en bouche sa grosse bite, lui me léchait la chatte avec amour. Un 69 digne de nos sensuelles retrouvailles. Je réalisais à quel point son gland m’avait manqué. Je le suçais avec tant de ferveur que j’en oubliais mon fiancé. Aucun de nos rapports n’arrivait à la cheville de celui-ci en termes de sensualité.
Mon frère, plus bavard qu’à l’ordinaire, ne manquait pas de complimenter ma chatte. Il me dit qu’elle était délicieuse, qu’il voudrait pouvoir la lécher chaque jour de son existence. L’idée me plaisait beaucoup, il savait comment s’occuper d’elle. Mais j’étais trop occupé à le pomper pour pouvoir lui répondre. Son sexe devenait de plus en plus humide, il ne tarderait pas à éjaculer. C’est alors que j’entrepris de stopper ce que nous faisions, et de me relever afin de bien me rasseoir sur sa bite. S’il devait éjaculer quelque part, ce serait dans mon trou.
J’entrepris de le chevaucher de la manière la plus bestiale possible. J’ignorais d’où je tirais toute cette énergie, mais je la lui donnais. Il n’en revenait pas, m’adressait des regards coquins pour me remercier de mon enthousiasme. Ses mains baladeuses caressèrent ma poitrine pour m’exciter. Moi, j’encaissais ses coups de queue avec courage. Mon vagin n’avait plus l’habitude d’une aussi grosse taille. Mais les spasmes qui parcouraient ma peau témoignaient bien du plaisir qu’éprouvait mon corps à retrouver le sien.
Sans même m’en rendre compte, je m’étais mise à gémir. D’abord timidement, puis de plus en plus fort. Je savais pertinemment que rien ni personne ne viendrait nous déranger donc j’en profitais. Mon frère m’avoua qu’il m’aimait, et je lui rendais ce compliment. Je l’embrassais plusieurs minutes, tandis que son sexe continuait de pilonner le mien. C’est alors que je sentis son sperme chaud se répandre en moi comme un raz-de-marée. Il m’inondait littéralement. Je criais d’approbation. J’avais l’impression qu’il déversait en moi des litres de semence.
Après ce coït, il se releva et masturba sa queue. Je lui demandais pourquoi, et il me répondit qu’il pensait ne pas avoir tout craché. J’abandonnais donc mon rhabillement et venait me placer à genoux en face de son entrejambe. Je tirais la langue et me caressais les seins pour l’exciter encore plus. Cela semblait fonctionner puisque ses va-et-vient se firent de plus en plus rapides. C’est alors qu’il déchargea sur mon visage une nouvelle vague de sperme, bien moins impressionnante que la précédente évidemment. Mais elle restait suffisamment épaisse. Il poussa un dernier rugissement de plaisir et s’éloigna de moi. J’étais couverte de sa semence, intérieurement comme extérieurement.
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Jamais personne ne sut pour ce moment. A l’heure où j’écris ces lignes, nous n’avons pas encore recouché ensemble. Mais qui dit que cela n’arriverait plus jamais ? Beaucoup de femmes trompent leurs maris, pourquoi pas moi ?
Ce matin, j’ai fait un test de grossesse et il est positif. Je vais devenir maman. Mon fiancé et moi avons fait l’amour il y a trois semaines, mais je sais au fond de moi que ce bébé… ce n’est pas le sien.