Ce matin, le réveil est difficile. Je me suis couché tard la veille et mes rêves érotiques m’ont plusieurs fois réveillé en sueur.
Je m’habille tranquillement avant de descendre pour déjeuner. Autour de la table à manger, il y a déjà tout le monde sauf Léa qui doit encore être en train de dormir. J’aperçois Natasha, toujours aussi belle, même au naturel. Ses cheveux blonds descendent sur son visage d’ange. Elle me sourit et continue de manger.
Je m’assieds en face d’elle et me fais un bol de chocolat froid avec une tartine de confiture.
Une fois que tout le monde est levé et a fini de manger, mes parents, voyant le temps maussade et la pluie menaçante, proposent d’aller au cinéma. Ils choisissent un film tout public pour que la cadette de mes cousines puisse le voir aussi.
Natascha et moi voyons une occasion d’enfin avoir la maison pour nous afin de pouvoir laisser libre cours à nos ébats sexuels et nous n’hésitons pas à la saisir.
Nous prétextons que nous sommes trop grands pour ce genre de film et que nous n’avons pas envie de venir. Nous devons débattre un moment avec nos parents qui ont envie de profiter de faire des choses en famille, mais nous arrivons finalement à négocier de rester à la maison juste tous les deux.
Nous allons avoir plusieurs heures devant nous qui nous permettront de faire absolument ce que nous voulons, sans avoir à faire attention.
A peine les autres sont-ils partis que nous nous embrassons sauvagement dans l’entrée. Je déboutonne le jeans de Natascha et le fais glisser à ses pieds en même temps que sa culotte en dentelle. Elle fait pareil, puis nous enlevons mutuellement nos hauts. Elle ne porte pas de soutien-gorge, ses seins fermes à l’air libre m’excitent encore davantage et je l’embrasse de plus belle.
Elle propose de monter dans ma chambre. Je la suis, mais en arrivant vers les escaliers, son cul qui bouge au rythme de ses pas m’attire trop et je ne peux plus résister.
Je la plaque contre le mur et la prends par-derrière. J’enfonce ma bite dans sa chatte, elle y entre facilement, ma cousine est déjà bien mouillée. Elle n’a pas le temps d’ouvrir la bouche pour protester que des gémissements en sortent déjà et l’empêchent de parler.
Je la bourre à une vitesse soutenue et je sens ses jambes qui commencent à faiblir.
Quand l’excitation est bien montée, je me retire et retourne Natascha. Je soulève sa jambe droite afin d’écarter son entrejambe et la pénètre à nouveau tout en l’embrassant. Je commence moins vite, mais ne tarde pas à accélérer.
Nos gémissements s’intensifient au même rythme que notre excitation, et ceux de ma partenaire ne tardent pas à se changer en cris.
Je sens l’orgasme arriver, alors j’accélère encore un peu la cadence, ce qui la fait immédiatement réagir.
Au moment où j’atteins le point de non-retour, je la pénètre au plus loin et tape au fond de son sexe à chaque coup de pilon. J’éjacule et donne encore quelques coups de reins avant de me retirer pour de bon. Heureusement que je la plaque contre le mur sinon ses jambes n’auraient plus supporté son poids, tellement elles tremblent.
Une fois calmés, nous montons enfin dans ma chambre et nous couchons sur le lit. Nos corps nus sont collés l’un à l’autre et nous recommençons à nous embrasser. Rapidement, je descends un peu et embrasse sa poitrine. Je titille ses tétons du bout de la langue et les mordille gentiment. Elle laisse tomber sa tête en arrière et ferme les yeux. Je lèche tout le tour de ses seins avant de revenir lentement vers le centre, de lui gober les tétons et de les lécher énergiquement.
Après m’être bien occupé de sa poitrine, je continue ma descente en m’attardant sur son ventre puis sur son pubis rasé.
J’arrive enfin à mon objectif, ses autres lèvres. Je les embrasse et y enfile ma langue. Je la fais glisser de haut en bas en m’arrêtant à chaque fois sur son clitoris bien gonflé.
Je continue en m’enfonçant plus profond dans son abricot. Je darde ma langue et la fais tourner rapidement. Ma cousine pousse de puissants gémissements pendant que je lui bouffe le con.
Je sens son orgasme arriver, mais je retire ma langue de son fruit bien juteux et remonte l’embrasser. Nous partageons son jus dans un baiser endiablé qui fait monter mon excitation en flèche.
Je n’attends pas plus longtemps. Je prends mon sexe en érection et la pénètre d’un coup sec. Elle pousse un hoquet de surprise et laisse retomber sa tête en arrière. Je la baise à une vitesse soutenue, ses gémissements s’intensifient rapidement et les miens aussi. Je ne tarde pas à sentir mon éjaculation venir. Je m’applique à aller au fond de son antre, mes boules frappent ses lèvres à chaque coup de reins.
L’orgasme la foudroie et déclenche mon éjaculation en même temps. Je déverse ma semence en son sein pendant que nos corps entiers tremblent d’extase.
Je me laisse tomber sur elle et nous restons ainsi pendant plusieurs minutes, sans bouger, afin que nos corps se remettent de ces sensations fortes.
Quand nous sortons du lit, nous remarquons qu’il est déjà midi et demi. Nous remettons simplement nos sous-vêtements et descendons à la cuisine pour nous préparer quelque chose à manger.
Natascha fait des pâtes pendant que je prépare des légumes.
Pendant que je lave les carottes, une idée me vient. Je prends une grosse carotte et attends d’être derrière ma cousine. Au moment où elle se baisse pour prendre les pâtes dans le placard, je lui baisse sa culotte et lui enfile la carotte dans la chatte encore inondée de cyprine et de sperme.
Elle se redresse brusquement et j’en profite pour lui attraper les seins d’une main et lui enfoncer plus profondément mon jouet improvisé de l’autre. Elle essaie de protester, mais je lui malaxe les seins et fais des va-et-vient au fond de son vagin, alors elle se laisse aller au plaisir.
Comme elle est encore excitée de nos ébats précédents, un nouvel orgasme ne tarde pas à arriver. Elle jouit en inondant le sol de la cuisine de cyprine.
Je ne savais pas qu’elle pouvait être une femme fontaine, mais j’aime ça.
Elle me traite d’idiot, mais me remercie quand même pour ce bel orgasme.
Nous nettoyons les preuves puis nous finissons de préparer le repas. Nous mangeons tranquillement nos pâtes et nos légumes, puis nous rangeons la table et la cuisine.
Après le repas, je m’assieds sur le canapé et allume la télé pendant que Natascha monte prendre une douche. Je zappe, mais ne trouve rien de bien intéressant alors je laisse une série policière qui passe à ce moment-là.
Soudain, ma cousine arrive devant moi complètement nue. Je ne l’avais même pas entendue arriver. Elle se met à califourchon sur moi et m’embrasse langoureusement. Je lui rends son baiser passionné et profite au maximum de ce moment de pur bonheur.
Après plusieurs minutes, elle s’écarte et me retire mon caleçon, ce qui fait sortir ma bite, fièrement dressée devant cette beauté. Natascha n’en demande pas plus et s’enfourche lentement sur mon sexe jusqu’à ce qu’il touche son col de l’utérus. Elle remonte lentement puis accélère progressivement sa pénétration. Elle fait des va-et-vient contrôlés qui me rendent fou, tout en frottant sa belle poitrine contre mon torse nu.
Je prends ses deux seins à pleines mains et les malaxe énergiquement. Cela a l’air de lui faire de l’effet, car ses tétons durcissent et le volume de ses gémissements augmente rapidement. Elle ne se laisse pas déconcentrer pour autant et continue de s’empaler sur mon gourdin sans ralentir.
Quand je sens que je vais bientôt lâcher la purée, je lui dis d’arrêter pour changer de position. Elle retire lentement mon engin de son antre pendant qu’un filet de cyprine s’en écoule.
Je lui dis de se coucher sur le dos au bord du canapé pendant que je me mets à genoux devant.
Son trou béant est juste devant moi et j’en profite pour lui faire un rapide cunnilingus. Je glisse ma tête entre ses jambes et lui lèche tout le minou. Je fais des mouvements de langue rapides sur son clitoris avant d’aller dans sa fente. Je fais tourner ma langue à l’intérieur de sa chatte avant de la ressortir, et de recommencer à nouveau.
Je fais durer ce jeu un moment avant de me redresser et de présenter mon sexe devant le sien, déjà très humide. Je le pénètre sans attendre et fais de rapides aller-retour. Je l’entends gémir pendant que son corps bouge incontrôlablement.
Un premier orgasme la traverse et son corps se tend, mais je n’ai pas fini et je continue de plus belle ma pénétration.
Après plusieurs minutes de labourage et de nombreux spasmes de sa part, je lâche tout et me vide complètement. Cette sensation d’euphorie pendant que j’éjacule en elle est incroyable, j’ai l’impression que nos corps sont connectés et que nous partageons notre plaisir ce qui le dédouble.
Ce doit être la même chose pour ma cousine parce qu’une nouvelle série de spasmes la transcende pendant qu’elle jouit une dernière fois.
Je me retire et viens me coucher à côté d’elle sur le canapé. Je l’embrasse avant de fermer les yeux.
Quand je me réveille, je remarque qu’il est déjà tard. Je m’habille et observe un moment le corps nu de ma cousine endormie sur le canapé, elle est vraiment magnifique. Je la réveille en douceur.
Elle se lève et m’embrasse sensuellement pour me remercier de cette partie de jambe en l’air mémorable.
Soudain, j’entends la clé tourner dans la porte ; les parents sont rentrés. Je dis à Natascha de courir en haut, elle a juste le temps de disparaître dans les escaliers avant que la porte ne s’ouvre.
Tout le monde entre et vient dans le salon pour me dire bonjour. Je leur dis que Natascha prend sa douche en haut et qu’elle devrait bientôt descendre, ce qu’elle fait quelques minutes plus tard, habillée comme si de rien n’était.