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L'histoire de Marie Christine – Chapitre 4




A la ville, je suis cadre intermédiaire dans une entreprise de santé, mais dans le privé je suis soumise. Je suis même  officiellement soumise certifiée de deuxième catégorie. Je porte le matricule S 666, tatoué sur mon pubis et mon sein gauche.

Je suis brune,  cheveux courts au carré. Je viens d’avoir 58 ans. Mes mensurations sont 110, 60, 85. Je faisais un bon 95 avant que mon maître m’offre mes nouveaux seins Je mesure 1,65m et je pèse tout juste 50 kilos. J’entretiens mon physique plus que jamais car  mon maître souhaite que j’accède au Graal des soumises, la certification de troisième catégorie.

Très peu de soumises ont eu cette joie et cet honneur, en fait seulement quatre à aujourd’hui. De plus, le règlement vient de changer.  Le jury vient de le communiquer à mon maître qui le compulse nerveusement. Il ne faut plus simplement satisfaire à quelques épreuves, il s’agit quasiment d’un concours où seules les deux ou trois premières seront  éventuellement primées.

En amont, il faut déjà présenter un dossier libre, libre au sens où c’est au maître de définir une épreuve spéciale pour sa soumise, çà choisir dans une des thématiques générales du concours. Il faut être inventif, novateur. Ce sont les termes du jury. Ce dossier sera retenu ou non par le jury. S’il l’est, la soumise et son maître seront convoqués pour le jugement final qui aura lieu dans quelques mois.

 Il s’agira d’un concours collectif, sur trois jours, au cours duquel toutes les soumises sélectionnées seront rassemblées. Elles devront  passer différentes  épreuves d’abord de beauté, puis de travail. Il  y aura une première élimination à l’issue du concours de beauté.

Mon maître a fini sa lecture. Il me regarde, me jauge et déclare :

 – Pour le concours de beauté, ça devrait passer, même si le jury reste assez flou sur les critères qu’il a retenus. Après nous verrons bien. Mais nous n’en sommes pas là. Auparavant, il faut que ton dossier soit accepté. Il n’y a donc pas de temps à perdre.

 Il ne restait plus que l’épreuve libre à réaliser.

Parmi les thématiques générales du concours, mon maître choisit la catégorie «Exhibition ». Il trouve que c’est là que je me débrouille le mieux. C’est vrai que j’adore me montrer et il trouve toujours quelque chose d’inédit ou de savoureux à me faire exécuter.

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Mon maître m’annonce que nous allons passer la semaine de Noël au Sénégal. Je suis ravie car j’ai besoin de me ressourcer et le soleil me fera le plus grand bien. Mon maître me précise que c’est également au cours de ce voyage que je devrais accomplir l’épreuve décisive pour ma qualification au concours final.

Nous débarquons à Dakar le 20 décembre. Le temps est fort clément. Mon maître ne perd pas de temps. A peine installés à l’hôtel,  il se met en quête d’un guide connaissant le nord du pays et d’une voiture.

Le lendemain à la première heure, notre guide, Abdou, vient nous chercher pour nous conduire à Kamel, petit village du nord, proche de la frontière mauritanienne. Il était grand et costaud, environ une trentaine d’année. Mon maître lui avait proposé d’être payé en euros ou en nature. Après m’avoir jaugé, Abdou opta pour la deuxième option. Je devins ainsi sa soumise tout au long de notre périple.

La première série de photo du défi se déroule dans un marché populaire de la banlieue de Dakar. On m’y voit déambuler la main dans la main avec notre guide. Petit à petit, il me dénude et je me retrouve finalement dans la tenue d’Eve au milieu des étals et des ménagères.

Le pays avait connu la guerre civile et, même si la situation s’était stabilisée, on croisait le long de notre route de nombreux soldats en armes. Nous fûmes stoppés par un barrage militaire au bout d’une centaine de kilomètres. Deuxième prise de vue. Je pose au milieu des types armés de kalachnikovs, qui me tripotent d’abord, puis qui m’entraînent derrière leur guérite. Là, ils arrachent mes vêtements et quatre d’entre eux me prennent successivement avec vigueur. Abdou profita bien entendu de moi.

Le paysage devenait plus désertique au fur et à mesure que nous remontions vers le nord. Nous croisâmes les premiers nomades, cheminant avec leurs chameaux. Nous fîmes étapes dans un de leurs campements. Les clichés de cette soirée me montrent en train de danser sous la tente coutumière des hommes. Mon show vire au strip-tease  et de nouveau, une fois dénudée, je reçois l’hommage de la tribu.

Le lendemain dans l’après midi nous atteignîmes le but de notre voyage. Kamel est un  village pauvre du Sahel, avec des cases en torchis et un petit dispensaire. Les habitants pratiquent la religion musulmane et sont très austères. Toute la population féminine est voilée. Mon maître dut débourser une somme fort rondelette pour obtenir l’autorisation de prendre ses dernières séries de photos, mais finalement le chef du village accepta

On m’y voit bien entendu nue, tour à tour déambulant dans le village, puis au milieu des hommes et finalement réalisant une fellation à  Abdou, sous les yeux de la tribu rassemblée. Mon maître trouva que cette collection était la plus intéressante.

Une fois rentrés chez nous, il se dépêcha d’envoyer le dossier réputé complet au jury du concours. Un mail lui parvint disant que, vu l’afflux de candidatures, ce serait finalement les membres du site qui , par leur vote, départageraient les candidates. Seul hic, cette fois-ci les photos ne devaient pas être floutées. C’est donc à visage découvert que j’apparus le lendemain dans la rubrique concours du site. Je croisai les doigts pour qu’aucun de mes collègues ou connaissances ne soit adepte d’images de ce type.

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