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Routiers sur une aire de perversion… – Chapitre 1




Quand on étouffe chez soi autant prendre lair Une fille de mon âge devrait savoir profiter davantage de la vie.

Cest ce que je me dis en franchissant la porte de chez moi ce jour là, mon petit ami gentiment endormi sur le canapé après un dvd vu et revu. Je manquais de tout, de force , de domination de brutalité de testostérone et dadrénaline. Mon fantasme de ces derniers temps bien trop présent pour que je naccède pas à la demande de mon corps. Je suis partie sans rien dire, jai pris ma voiture habillée dune petite robe, et uniquement dune robe la chaleur de la soirée dété me faisant monter les sensations je filais direction lautoroute, sans même connaître ma destination. Pleine didées chaudes et denvies de sexe je ne cherchais quune chose, être pour cette fois la femme objet. Mon amant bien trop doux mavait lassée, mon corps réclamait la domination dun homme, et même de plusieurs, même si mes désirs quotidiens étaient orientés différemments je voulais quon me malmène un peu Beaucoup même Au bout dune heure de route et de pensées salasses, je marrêtais faire une pause sur une aire. La station fermée abritant uniquement le veilleur de nuit. Je décidais de rouler un peu pour me mettre tranquillement en retrait, mais pas trop, je savais ce que je cherchais. Marrêtant entre deux véhicules poids-lourds je coupais mon moteur et sortis chercher un soda au veilleur. Hors les veilleuses des routiers au repos dans leur cabine la nuit étaient fort silencieuses. Le bruit de mes talons se mit à résonner , menvahissant dun frisson jespérai attirer lattention, pour le coup réussi. En arrivant au devant du veilleur, celui-ci mattendait déjà, en attendant mon soda jimaginais ses pensées la queue déjà à la main à se branler dès mon dos tourné Avec un sourire aguicheur je repartis à mon véhicule lentement, comme si mon corps appelait quelque chose. Une silhouette descendit du camion garé à côté de ma voiture et commença à se diriger vers moi. Quand sa voix résonne pour me demander où jallais et si je souhaitais de la compagnie. Je mapprochais doucement de lui comme pour lui faire comprendre que les mots étaient inutiles que je voulais jouer et que oui je voulais de la compagnie. Sans parler je me mis à quelques centimètres de sa bouche lui empoignant fermement la queue, quil avait déjà bien dure. Sa réaction fut instinctive, animale, exactement ce que jattendais il devait déjà bien soccuper. Il mempoigna les cheveux et violemment me fit mettre à genoux tu veux de la bonne queue, pas de soucis trésor, de lautre main il arracha sa braguette et laissa sortir sa queue bien plus grosse que je ne laurais pensé Sans que jai le temps de comprendre que javais enfin déclenché la bestialité, je laissais tombé mon soda forcée à avaler son énorme bite jusquau fond de la gorge, ses à-coups si violents que j ai cru m’étouffer.

Au bout de quelques minutes il me gicla tout son foutre dans la gorge. Métalant à terre pour reprendre mon souffle, je pris conscience que lon étaient observés depuis le début. Deux hommes se tenaient très près, lun se branlait frénétiquement et lautre doté dun large sourire pervers, matait la scène en caressant la bosse de son jean. Regardant celui que javais sucé je compris que le moment à venir allait être aussi douloureux que je le rêvais malgré que la situation risquait de méchapper totalement.

Souriant tant bien que mal et messuyant la bouche recouverte de foutre, je madressais alors aux autres gars, leur proposant de me mettre leur bite dans tous les trous. Ravi par ma proposition lun deux me releva puis exhibant mon corps aux autres fit glisser ma braguette et rentra vulgairement sa main jusquà ma chatte. Ils débattaient de mon sort quand il tenta darracher ma robe. La bretelle craqua laissant dégager un de mes seins quil empoigna aussi sec. Le premier gars se rapprocha soulevant ma jupe et éclata de rire en découvrant ma petite chatte épilée à nue Tu vas te faire éclater ma belle ten es consciente j’espère Le 3ème avait lair dêtre le plus trash, pervers à souhait, une queue gigantesque et humide en main consciente ou pas maintenant que tes là tu vas bouffer de la bite sale chienne.

Leur mains excitées malaxaient mon corps quand on me retourna sur le capot, les seins écrasés sur la tôle encore très chaude de ma caisse.

La douleur se mêla à mon excitation. Le plus speed susurra dans mon Oreille je vais t’enculer ma salope tu vas gueuler

Il s’exécuta, je sentis son gland sous pression forcer lentrée de mon trou il mécartait les fesses brutalement dune main en crachant sur ma raie A sec cest mieux tinquiète viens là je m’apprêtais à riposter quand sa queue me déchira lanus. Elle rentra dun coup me faisant crier de douleur et pleurer. Je nétais plus sûre de vouloir ça mais j’allais devoir assumer.

Les deux mains liées par les deux autres, il m’enculait sévèrement. Taime quon tencule sale pute hein, c’est ce que tu voulais

Cest ce quelle veux donne lui vas-y fais lui mal elle le mérite Ses couilles giflant ma chatte mouillée retentissaient sur toute laire de repos, je pensais un instant au veilleur nous observant et un bref instant j’espérais quil nous rejoigne ce vicieux

Il se retira pour laisser celui de droite se glisser sous moi. Ce porc était pantalon baissé, il navait même pas pris le temps de virer son t-shirt, il magrippa le visage et me le lécha. Mes mains retenues dans mon dos par une main et la tignasse tirée par une autre il me mit sur sa queue et m’empala sans aucune résistance, sa bite énorme rentra profondément dans ma petite chatte en glissant. Je sentis son gland frapper au fond de mon ventre et je jouis instantanément. Sans prendre le temps de me laisser me remettre, celui placé derrière moi me pénétra par le cul, j’avais deux queues me défronçant les orifices, mêlés aux gifles et aux fessées mes hurlements suppliaient darrêter Tu vas bouffer de la bite salope je te lavais dit, tiens ! tiens ! tiens taime te faire défoncer les trous, viens là poupée bouge pas je tai dit, viens, plus tu bouges pire ce sera, tu le sens mon chibre qui téclate ? Tu sens petite putain ? Il ramasse ton petit cul je vais te le remplir de jus

Leur bestialité se répondait, à celui qui me ferait le plus mal. Le troisième monta sur le capot il mobligea à lui bouffer la queue. Il métouffait à grands coups de reins, me violant la bouche pendant que les autres pervers bourraient mon cul.

Une voix se fit entendre entre mes cris et le claquage de leur couilles qui me frappaient

Si je regarde et que je dois rien faire cest pas possible, alors à vous de voir jappelle les flics ou je participe les gars ?!

Il s’approcha de moi, toujours un gland au fond de ma gorge, lun des routiers accepta sans problème, même excité de le faire participer.

Le veilleur enchanté déboutonna son pantalon larracha et enfonça ses doigts dans ma bouche entre deux coups de rein. Il sastiqua avec et son autre mains me gifla violemment les fesses elle est chaude cette salope, je le savais que tu voulais te faire baiser

Celui qui me sodomisait grimpa sur le capot laissant de la place à une troisième queue. Je sentais son gland chercher mon petit trou du cul, il glissa sa queue en arrachant tout au passage, marrachant larmes et hurlements étouffés, il était maintenant à quatre dans mes trous.

Je sentis la queue dans ma bouche monter en pression tiens avale bien sale chienne ! Humm oui oui, bouffe la je vais tout te juter dans la gorge catin là une première giclée puissante me brûla la trachée, laissant échapper du foutre sur les bords de ma bouche qui dégoulina jusquà mes seins. attends tu vas en bouffer encore petite pute viens là

Le veilleur fit le tour pour prendre place dans ma bouche , il métalait le sperme sur les seins et me rentrait ses doigts dans la bouche, à métouffer avant de les remplacer par son gland tiens voilà suce mon dard, suce bien à fond , encore. Viens là je t’ai dit salope il forçai le passage en me giflant, je suppliais entre deux coups de bite quil me laisse respirer. Derrière moi lautre gueulait de plaisir à deux doigts de jouir, J’aime te péter le cul salope ohhhh ouais J’aime tu la sens là, hein tu la sens ma bite qui téclate le trou du cul, tu peux plus gueuler sale chienne hein haaaaa tiens je m étouffais avec le foutre, la queue du veilleur claquait tout au fond de ma gorge, il tenait ma tête à deux mains, il baisait ma bouche comme une chatte en la défonçant avec autant de brutalité.

Celui du dessous mordait les tétons et les giflait, je jouis encore, le cul en feu Je sentais leur grosse bite buriner quand soudain mon cul explosa littéralement. Le routier éjacula dans mon cul en gueulant comme un porc. Le foutre explosa tellement fort quil gicla de partout sur mes fesses.

Le veilleur suivit en me giclant au visage un quantité impressionnante de foutre. Le troisième se dégagea et vint au-dessus de ma bouche mettant de puissants coups de reins. Je pensais quil ne finirait jamais tiens garce, hummm ouais tiens tiens sale putain hummm ouaisouais oauisss, humm avale avale je te dis tiens haaahaaaaaaaaa il m’obligea à avaler la moitié et cracha le reste autour de ma bouche. Jai perdu connaissance les fesses nues et la robe déchirée sur le parking. Au réveil je me trouvais attachée dans une salle d’arrière boutique. Ne comprenant pas trop je me remémorais la scène. Les routiers, le veilleur, le viol consentant, enfin jusque là. Après un long moment je vis le veilleur arriver, un sourire de pervers sur son visage j ai une bonne proie ce soir, en plus taime ça toi bouffer de la viande ! je vais tenculer jusqu’à demain on verra si t’aime toujours ça dans quelques heures.. Tes potes ne sont plus là mais tinquiète je suis là moi et tu vas avoir bien mal au cul, crois moi ma chienne..

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