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Mes premiers congés payés – Chapitre 19




Marianne mattendait sur la terrasse, elle membrassa et me dit « jai préparé 2 bassines deau tiède, une pour que tu me rases et lautre pour rincer, hier jai demandé à Fernand dacheter ces nouveaux rasoirs jetables quon fait maintenant, il ma même demandé pourquoi, je lui ai dit que cétait pour mes jambes, comment veux-tu que je me mette ? »

Moi : « ben déjà, ouvres ta blouse et allonges toi sur la table, mais au bord comme ça je vais masseoir juste en face et il faut aussi que tu écartes les cuisses le plus possible pour que je fasse bien lintérieur entre ton minou et tes cuisses ».

Marianne fit ce que je lui demandais, jallais chercher un coussin dans le salon pour lui mettre sous la tête, puis je mettais un des fauteuil de jardin juste en face de ses cuisses grandes ouvertes, je pris les ciseaux quelle avait préparé et commençais à couper les longs poils qui couvraient et cachaient sa fente, quand ce fut fait, je pris de leau dans ma main et la passait sur sa motte, Marianne me dit « oh, ça fait du bien, ta main est douce, ça me fait plein de frissons mon ptit poulet », sans rien dire, je continuais, je repris de leau et mouillais bien sa motte, jen profitais pour passer un doigt sur toute sa fente, et en appuyant un peu mon doigt, jouvris ses grandes lèvres lorsque jarrivais en haut de sa fente, son clito était déjà dressé, je leffleurais doucement, Marianne gémit, je revins dessus et lui dis « tu aimes que je le caresse » elle me répondit « jadore, mais arrêtes et rase-moi, tu me feras du bien après » fort de cette promesse, je mis de la mousse dans ma main et commençais à létaler sur tout son sexe, elle marrêta « attends, jaimerais que tu me laisses une petite touffe juste au-dessus, sil te plaît », je lui dis quil ny avait pas de problème et faisant très attention de faire ce quelle me demandait, je la rasait complètement, en jouant avec sa fente en même temps, en tirant sur ses grandes lèvres pour les écarter, et à chaque fois que je le pouvais je lui caressais son clito qui était dressé denvie, Marianne gémissait de plus en plus et je réussis à la faire jouir tout en la rasant, rien quen caresses et effleurements, je sentis quelle jouissait, je levais la tête et la vis yeux clos et lèvres crispées, jen profitais pour attraper son bouton et le pincer doucement, elle ouvrit la bouche en grand dans un long gémissement étouffé, puis je lui dis alors que son plaisir sécoulait doucement de son sexe « jai fini, je vais te rincer et vérifier si jai bien travaillé »

Marianne levant la tête et me fixant : « tu as bien travaillé, je tassure ça a été très fort, jai adoré, comment vas-tu vérifier ? »

Moi : « avec ma langue bien sur » et prenant de leau dans mes mains jen aspergeais sa fente, pour faire partir la mousse, puis je me penchais en avant et donnait un grand coup de langue sur toute la longueur de sa fente, ramassant en même temps la cyprine qui sen écoulait encore, Marianne gémit « tu es un démon, vas-y vérifies bien partout mon poulet, partout, partout » et quelques minutes plus tard elle jouissait à nouveau sur ma langue, quand jeus tout essuyé, je lui dis « bon, ben cest pas le tout, mais il faut finir correctement », Marianne me demanda ce que je voulais dire, je lui demandais de se mettre à genoux sur la table, et lui dis que jallais lui raser les poils de son cul, elle me dit « je navais pas pensé à ça » je lui répondis que soit on le faisait et bien, soit on ne faisait rien, si on laissait ces poils là, ce serait gâcher ce quon venait de faire, elle se mit à genoux et tendit son fessier vers moi, « baisses toi sur tes cuisses comme ça tu vas touvrir les fesses et ce sera plus facile », elle fit ce que je lui demandais, javais sous les yeux toute sa raie, sa pastille froncée quelle offrait sans pudeur à mon regard, je passais doucement un doigt sur toute sa raie, elle frissonna et gémit, puis je lenduisis de mousse et rasais les poils grisonnants.

Une fois le rasage fini, je la rinçais à leau tiède, puis tout comme je lavais fait avec son sexe, je posais ma langue entre ses fesses et commençais à lui dévorer la raie avec gourmandise, je descendis sur son ptit trou qui palpitait dimpatience et je le forçais doucement avec ma langue alors quune de mes mains glissait entre ses cuisses, que deux doigts investissaient sa chatte, je commençais à lui branler le minou tout en lui dévorant le cul, Marianne gémissait de plus en plus, elle me dit « fais moi du bien, dévores mon ptit trou, branles moi, fais moi jouir comme ça je ten supplie », ce que je fis bien sur, son plaisir coula sur mes doigts et ma main, puis je laidais à se retourner et à sallonger sur la table, et je recommençais à lui faire du bien avec ma langue pour profiter de tout le plaisir qui sécoulait doucement de son sexe, en quelques minutes elle jouit à nouveau, alors me levant de mon fauteuil, je posais mon gland sur ses grandes lèvres et poussais doucement pour la pénétrer, Marianne gémit en me disant « ouiii, vas-y prends moi, baises moi mon poulet, fais moi du bien avec ta bite, je la veux toute entière au fond de moi », je donnais de grands coups de reins, comme elle me le demandait, puis quand elle jouit, je sortis ma queue dégoulinante de cyprine de sa chatte, lui soulevais les jambes pour les poser sur mes épaules, et je lenculais dun grand coup de reins, pour la première fois jentendis Marianne crier son plaisir « oh putain de ptit salaud, encules moi, démontes moi le cul, fais moi jouir en rentrant ta grosse queue toute entière dans mon cul ». Jen avais très envie moi aussi, je donnais de grands coups de boutoirs et ressortais presque entièrement de son anus à chaque fois, et nous finîmes par jouir tous les deux en même temps.

Nous étions avachis tous les deux, Marianne sur la table, ses jambes avaient glissé de mes épaules et étaient grandes ouvertes et moi entre ses jambes, affalé sur son ventre, nous reprîmes notre respiration et nous levâmes, Marianne membrassa avec beaucoup de fougue, fouillant ma bouche avec sa langue puis elle me dit « merci, mon chéri, ça a été super, dommage que tu ne restes pas dans le coin, je crois que jy aurais très vite pris goût, va prendre une douche et files, ta cousine doit tattendre ».

Jallais prendre une douche et revint pour lui dire au revoir, après mavoir rendu mon baiser Marianne me demanda « si jarrive à convaincre Fernand, tu accepterais de venir le raser, lui aussi ? », je lui répondis quil ny avait pas de problème pour moi, mais que je devais partir lundi ou mardi et quil fallait quelle se dépêche de le convaincre si elle voulait que je le fasse, puis je partis pour rejoindre Jeanine qui devait mattendre avec impatience.

Jeanine était au téléphone quand je rentrais « oui tata, je lui dirais, ben tiens justement le voilà qui rentre de chez les voisins, je vais te le passer », je pris le téléphone quelle me tendait et massis dans le canapé, et alors que je prenais des nouvelles de ma mère, puisque cétait bien elle qui appelait, Jeanine vint se mettre à genoux sur le canapé et commença par vouloir baisser mon short, je lui jetais un regard courroucé, elle passa sa main sur ma poitrine, en quelques caresses fit dresser mes tétons et en saisissant un entre ses doigts le pinça et le tordit jusquà ce que je pousse un ptit cri de douleur, ma mère me demanda ce quil se passait, je lui répondis que je venais de me cogner, pendant ce temps, Jeanine me fit signe de me lever et en même temps maintenait la torsion quelle appliquait à mon téton, je fis ce quelle me demandait, elle baissa mon short et me repoussa en arrière pour que je me rasseye, puis se penchant, elle pris ma bite dans sa bouche et commença à me sucer alors que je continuais, difficilement à parler avec ma mère, en fin de compte je lécoutais plus que je ne parlais et alors que je me sentais grossir dans la bouche de ma cousine, ma mère me parla de lobjet de son appel, « jai eu un appel pour toi, un certain Albert, il ma dit quil était le mari de ta collègue Germaine et que vous vous étiez rencontrés récemment lors dune bringue bien arrosée, il voulait te joindre justement pour te donner les photos quil avait pris, très gentil ce monsieur et poli en tout cas », de repenser à Germaine et à ce gros porc de Gaston et surtout sa grosse queue, fit que mon sexe grossit encore dans la bouche de Jeanine qui me lança un regard émerveillé et gourmand, elle nen continua pas moins à aspirer ma queue et à me peloter les couilles, alors que je continuais la conversation avec ma mère,

Moi : « qua-t-il dit dautre ? »

Ma mère : « ben que si tu ne pouvais pas lappeler aujourdhui ou demain il enverrait les photos, et très gentiment, il ma même dit quil en enverrait un jeu à mon attention, jai trouvé ça très gentil de sa part, donc je lui ai demandé son numéro et il ma dit quil fallait que tu lappel soit dans laprès-midi, soit demain au plus tard, et que sil navait pas de nouvelle, demain il nous enverrait les photos, ce serait bête de lui faire dépenser de largent »

Moi : « oui maman, je reconnais, je vais lappeler, donnes moi son numéro », entendant cela Jeanine se leva, pris un stylo et lapprochant de mon ventre le leva en signe dattente, je répétais le numéro quelle nota à même ma peau, puis ma mère changea de ton, « Martine a appelé aussi, je lui ai donné le numéro de Jeanine, elle veut te parler, elle va tappeler dans laprès-midi, je ne peux rien te dire de plus » et après quelques banalités, nous terminâmes la communication, alors que Jeanine me branlait doucement.

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