Il 13h30, le temps d’aller promerner ma chienne. Je m’en vais donc à mon endroit favori. Un petit bassin assez profond pour que ma chienne puisse s’y baigner alimenté par une petite cascade qui sillonne à travers les rochers qui descendent en pente douce. L’endroit est ombragé et il fait bon s’y arrêter et laisser son esprit vagabonder. Tout en pensant au moment agréable de flânerie que je vais passer, j’arrive bon port.Quelle ne fut pas ma surprise de renconter ma voisine avec son chien dans ce lieu normalement assez désert. Elle est blonde aux yeux bleus, à de longs cheveux qui lui descendent sur les reins. Elle est putôt grande, 1m75, l’idéal pour moi qui atteint les 1m94. Comme il fait très chaud, elle a revêtu une petite tenue qui laisse deviner ses seins. Ses pointes dardent au travers de son petit t-shirt serré. Ses deux belles fesses sont enserrées dans un mini short blanc qui laisse deviner son string. Elle n’est pas un prix de beauté mais est très attirante et mon esprit imagine un tas de choses qui resteront certainement des fantasmes vu que je suis marié et qu’elle a un ami.Nous discutons de banalités au sujet du week-end passé, de la politique ou encore du temps qui s’annonce encore plus chaud. Mais mon esprit est ailleurs et je vous laisse deviner où. J’ai envie de la baiser là sur la pierre. Elle m’invite à s’assoir à côté d’elle qui est couchée sur la cascade presqu’à sec et mon esprit vagabonde sur ses seins, sa bouche, ses jambes quand tout à coup son chien se met à sentir ma chienne et à lui sauter dessus totalement excité. Mais ma chienne qui est stérilisée ne se laisse pas faire. Je lui dit :
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Les chiens ont l’air de bien s’amuser, la chaleur ça les excite !
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Oui mais moi tu ne m’as pas senti alors on ne peut pas jouer ! Et avec la bosse que tu as, mon cochon, tu ne vas pas te faire prier…
Je suis déstabilisé par sa réponse mais l’a prenant au mot, je me fais fort de lui enlever son petit short et son string pour plonger entre ses jambes. Moi qui bandais déjà, là ma bite est prête à exploser. Sa chatte était trempe de son jus que je m’empresse de lécher. Je glisse un doigt dans son vagin. Sa respiration s’accélère. Elle en redemande. Pendant que ma langue s’active sur son clitoris, un deuxième puis un troisième doigt rejoignent le premier. J’imprime un va-et-vient. Elle se tort et je sens qu’elle va jouir. Maintenant toute ma main jusqu’au phalanges est insérée dans sa fente et je force encore pour la faire passer. Son bassin vient à la rencontre de ce god géant, elle en redemande la salope. Alors sans avertir, j’enfonce ma main jusqu’au poignet et je me mets à la branler. Maintenant ses cris couvrent ceux des oiseaux. Elle hurle sa jouissance. Je n’ai jamais vu ne femme jouir comme cela. Je retire alors ma main et lui enlève son t-shirt pour m’occuper de ses seins. Ils sont durs et je les suce, les mordille pendant que mes doigts repartent en direction de sa chatte et de son anus que je dilate. Elle me demande d’arrêter. A bout de souffle, elle déboutonne alors bon bermuda et sors ma bite. Je l’enfonce alors profondément dans sa gorge comme si j’épinglais un papillon sur la pierre. Sa langue commence alors son merveilleux travail. Elle lèche, suce, s’arrête à la base du gland pour mieux exciter mon pieu. Elle masse mes couilles qui sont pleines. Je suis au bord d’exploser et je lui fais savoir mais elle continue à me sucer profond jusqu’aux couilles. De puissants jets inondent sa belle gueule, elle en redemande et n’arrête pas sa pipe. En jets puissants je me déverse en elle et elle avale tout, la gourmande.Je sors sa bite de sa bouche :
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C’était bon mais ton membre ne sers pas seulement à remplir ma gueule.
Elle se met à me redonner de la vigueur et je n’ai pas besoin de longtemps pour durcir. Nous sommes complètement nus et la peur de nous faire surprendre attise notre excitation. Dans un 69 torride, je lui suce ses lèvres, lèche son clitoris pendant qu’elle a repris mon pénis en bouche et m’enfonce deux doigts dans le cul qu’elle active. Quelle sensation ! Ma bite double de volume sous cette caresse. Mais elle en a marre et ouvre ses cuisses grand en guise d’invitation.
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Vas-y maintenant ! Enfile-la moi mon cochon; je te veux en moi, te sentir bouger dans mon ventre !
Je me fais pas prier pour la pénétrer d’un coup de hanche. Ses jambes sur mes épaules, je me mets à la limer profond. Tout en la pénétrant brutalement, je triture ses ses mamelons gros et durs. Sa respiration s’accélère, elle hurle de m’arrêter et de me coucher sur le dos. Je m’exécute et elle s’empale sur moi et imprime des mouvements qui l’a font hurler. Ma bite cogne au fond de son vagin a chaque fois qu’elle redescend. N’y tenant plus, je la mets à quatre pattes. Elle crie
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Ouiiiiii encule-moi, prends-moi comme une chienne, mets-la moi bien profond mon salaud depuis que t’en meure d’envie, plante-la dans mon cul !
Je m’exécute. Je n’ai jamais enculé une fille et cette nouvelle sensation me fait monter la sève. Je ressors, laisse la vapeur redescendre et la remet dans son étroit tunnel.
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Oh oui, ma pute ! Tu sens mes couilles frapper tes fesses ? Tu sens bien ma bite te remplir ? T’en veux encore, salope !
Et je me remets à la tringler bien profond pendant qu’elle s’occupe de mes couilles. La sensation est extraordinaire. Jamais ma femme ne me laisserait prendre son trou du cul.
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Je vais te déverser mon foutre dans tes intestins, je tiens plus !
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Non, je veux que tu me donnes ta semence dans ma chatte. Donne ta bite, je vais la sucer, la nettoyer.
Un fois fait, enlacé en missionnaire, je la pénètre jusqu’à la garde.
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Oh ouiii ! Je la sens, je la veux, je te veux, vas-y, plus vite. Oh que c’est bon ! Je jouis, je sens venir. Viens mon amour, donne-moi tout !
Nous avons joui les deux en même temps enlacés. Jamais je n’avais connu ça.
Naturellement nos conjoints respectifs ne se doutent de rien et les promenades de chien sont devenues plus intéressantes. Les jours de chaleur nous nous rencontrons et nous baisons.
Ronald B?hler