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La bourgeoise et le marabout – Chapitre 30




Ce matin, alors que je suis au travail devant mon ordinateur en train de rédiger un compte-rendu de réunion, un sms de mon marabout vient me sortir de ma routine. Excitée comme une jouvencelle, je relis plusieurs fois le texte tout en glissant ma main sous ma jupe pour me caresser en pensant à mon maître. Ses mots m’intriguent « Hélène, merci de passer ce jour à 16h45 à mon cabinet. Besoin impératif de vous pour traiter un cas grave ». J’ai hâte de retrouver monsieur Coulibadou à son cabinet et j’ai l’impression toute la journée que les heures ne passent pas. A 16h15, je range mes affaires et en passant devant le bureau de ma secrétaire, je lui lance

 « Sophie, j’ai rendez-vous chez ma gynéco et je suis en retard. Je fonce. A demain ! ».

  

 Je connais le chemin par cur pour aller retrouver mon marabout et je pourrais même y aller les yeux fermés. Je suis un peu comme une chienne en chaleur, c’est mon instinct de femelle qui me guide. De mon bureau, je fonce à la station Havre Caumartin où je prends la ligne 9, à Miromesnil je change pour prendre la 13 et à Place de Clichy je saute dans la 2 jusqu’à Pigalle. Une fois sortie sur le boulevard de Clichy, je peux enfin lever le pied et c’est d’un pas tranquille que je remonte le boulevard tout en regardant avec attention les vitrines des différentes boutiques de vêtements érotiques et autres sex-shop. Je sens le regard insistant de quelques hommes mais cela n’est pas pour me déplaire. J’aime être ainsi déshabillée du regard, convoitée et désirée par des inconnus. Parfois je cède à la tentation mais pas aujourd’hui, mon marabout m’attend. Et c’est l’esprit léger et le corps déjà en émoi que j’arrive à son cabinet.

  

 A peine suis-je assise dans la salle d’attente qu’il sort de son cabinet et vient près de moi. Il me colle tout contre lui, sa bouche se soude à la mienne et il me dit

 – Bonjour belle Hélène, comment allez-vous depuis votre dernière sortie au bois de Boulogne ?

 J’avance mon bas-ventre tout contre lui pour bien sentir sa queue qui palpite déjà contre mon pubis et je lui réponds

 – Très bien, mais je suis restez sage depuis cette soirée. C’est donc avec grand plaisir que j’ai reçu votre petit mot.

 Il me fait entrer dans son cabinet, asseoir dans le siège en face de son bureau et, une fois qu’il est installé dans son fauteuil, m’explique ce qu’il attend de moi.

 – D’ici dix minutes, je vais recevoir un vieux patient africain qui se croit victime d’un jeteur de sort. Cela fait environ six semaines qu’il n’arrive plus à bander et à honorer sa jeune épouse qui lui a déjà donné cinq enfants. Il pense que c’est son voisin, un autre vieil africain jaloux de le voir avec une aussi belle épouse, qui a fait appel à un sorcier pour le rendre impuissant. Je l’ai déjà reçu deux fois mais, malgré mes conseils et mes remèdes, il n’arrive pas à retrouver sa vigueur et il redoute que sa femme aille voir ailleurs. Je souhaite donc vous utiliser comme assistante pour tenter une ultime expérience.

 Après avoir détaillé la manière dont il comptait s’y prendre et bien expliqué mon rôle dans l’affaire, monsieur Coulibadou me demande d’entrer dans la pièce d’à côté que je connais bien pour m’y être bien fait prendre à plusieurs reprises et d’enfiler une tenue appropriée.

  

 Lorsque je retrouve mon marabout dans son bureau, j’ai revêtu une longue robe croisée Faïma, caché mes cheveux avec un léger hijab noir et enfilé aux pieds des sandales de cuir. J’ai vraiment changé de look et la charmante bourgeoise BCBG du XVIème arrondissement s’est transformée en une pudique femme musulmane dont on ne voit plus que le visage légèrement fardé. Maître Coulibadou m’accueille avec un grand sourire et me dit

 – C’est parfait Hélène. Vous avez la tenue parfaite d’une assistante. Si vous le voulez bien, je vous appellerai Aïcha en présence du patient.

 En m’inclinant révérencieusement devant lui, je lui réponds d’une voix suave

 – Maître, quelle que soit ma tenue, c’est comme quand je suis nue, je suis votre femelle dévouée et vous apporter du plaisir est mon unique désir.

 De sa voix grave il me répond

 – Occupons nous tout d’abord de notre patient puis vous serez toute à moi.

  

 Quelques minutes plus tard, le vieil africain arrive pour son rendez-vous. Je me tiens debout sur la droite du marabout qui est assis à son bureau. Maître Coulibadou s’adresse à lui

 – Alors monsieur N’Daye, comment allez-vous depuis votre dernière consultation ?

 L’homme, qui doit bien avoir soixante-cinq ans, lui répond

 – Cela ne va pas mieux monsieur Coulibadou, je ne peux toujours pas honorer ma femme. Le sorcier m’a définitivement rendu impuissant.

 Mon marabout fait semblant de réfléchir intensément quelques instants puis, se levant, lui dit

 – Suivez moi dans la pièce d’à côté. Avec mon assistante Aïcha, nous allons tenté un désenvoûtement qui devrait vous rendre toutes vos capacités d’avant.

 Monsieur N’Daye se prosterne quasiment devant le marabout avant de s’écrier

 – Oh maître, ce serait parfait si vous pouviez chasser les mauvais esprits qui m’habitent. Avant, je pouvais prendre ma femme trois ou quatre fois dans la journée. Maintenant, je ne peux même pas bander. Elle va finir par aller voir ailleurs car elle a de grosses envies.

  

 Une fois dans la pièce d’à côté, le marabout demande à son patient de se mettre nu et de s’allonger sur le drap blanc qui recouvre le lit. L’homme s’exécute et je découvre alors qu’il n’a pas un poil de graisse et est encore relativement musclé pour son âge. Mais ce qui me surprend le plus c’est son sexe. En effet, bien qu’il soit au repos et pende entre ses jambes, il est d’une taille impressionnante ; on dirait comme un gourdin dégonflé. J’imagine déjà cette queue fièrement bandée, ce doit être quelque chose ! Mais nous n’en sommes pas encore là.

 Maître Coulibadou me demande d’allumer les quatre bougies positionnées aux quatre coins du lit puis de fermer les rideaux. La pièce est maintenant plongée dans une douce pénombre. Le marabout s’approche du patient et, tout en récitant des incantations dans une langue que je ne comprends pas, il trace des signes cabalistiques sur le torse de monsieur N’Daye avec du sang de poulet. Puis, s’adressant au vieil homme, il lui dit

 – Pendant que je reçois un autre patient dans mon bureau, mon assistante Aïcha va continuer à s’occuper de vous ici. Restez bien allongé, fermez les yeux et laissez vous faire. 

 Puis, il quitte la pièce et referme la porte derrière lui.

  

 Alors que j’étais jusqu’alors restée à distance du patient, je me rapproche du lui et je lui dix d’une voix sensuelle à l’oreille

 – Détendez-vous monsieur N’Daye, je vais chasser de mes mains les mauvais esprits qui vous habitent et les dévorer de ma bouche.

 Je pose mes mains sur son visage puis commence à lui prodiguer de lents massages en décrivant des cercles. Mes mains descendent ensuite sur son cou puis poursuivent sur son torse et son ventre en étalant le sang de poulet qui n’a pas encore séché. Je vais ensuite aux pieds du patient et mes massages se poursuivent des orteils jusqu’aux cuisses. Monsieur N’Daye ne bouge pas et garde les yeux fermés. Je le force à écarter légèrement ses jambes de manière à pouvoir maintenant accéder à ses testicules. Je m’applique en alternant caresses sensuelles et malaxations vigoureuses de ses bourses. Je devine comme un frémissement dans son bas-ventre et je remarque que son rythme cardiaque s’est accéléré. Il est maintenant temps que je me concentre sur sa tige. J’humecte mes doigts et je commence à masser délicatement son gland circoncis en veillant à bien en faire tout le tour. Ensuite, je saisis sa queue à pleine main et je la branle délicatement avec lenteur. La respiration de monsieur N’Daye continue à s’accélérer et je devine de légers mouvements de bas-ventre pour accompagner les mouvements de ma main. Je décide donc d’agir de mes deux mains pour continuer ma masturbation tout en lui caressant les bourses. C’est alors que j’entends mon patient me dire

 – Oh oui Aïcha, continuez. C’est vraiment bon !

 Je lui réponds alors à l’oreille de ma voix la plus suave

 – Attendez monsieur N’Daye, je me mets à l’aise et je continue mon désenvoûtement.

 Je note alors que l’intéressé ouvre à moitié ses yeux et me regarde très discrètement tandis que je retire le hijab et libère mes cheveux, fais glisser ma longue robe à mes pieds et me dévoile les seins nus, la chatte à l’air avec un large porte-jarretelles retenant des bas fumés.

  

 Ainsi apprêtée, je reviens vers mon patient et je me penche au dessus de son bas-ventre. Ma bouche n’est qu’à quelques centimètres de son gland mais je reprends tout d’abord caresses et masturbation. Sans ouvrir les yeux, une des mains de monsieur N’Daye se tend vers moi et il la glisse entre mes jambes. Lentement il me caresse la chatte puis introduit deux ou trois doits dans mon intimité. Il me branle un peu, porte sa main à ses narines et se met à humer ses doigts. Un léger sourire se dessine sur ses lèvres et j’en déduis qu’il est satisfait du parfum. Il est donc temps que je me penche un peu plus vers mon patient et prenne enfin sa queue en bouche. Bien qu’il soit au repos, ce tuyau de chair remplit presque entièrement ma bouche. Doucement, tout en poursuivant mes caresses sur ses bourses, je commence ma fellation en veillant à prendre entièrement en bouche cette queue et en faisant bien coulisser mes lèvres serrées sur la hampe. Au bout de quelques minutes, la bite d’ébène commence à durcir et j’en profite pour pincer légèrement les tétons de monsieur N’Daye tout en lui tétant goulûment le gland. Enfin, je sens le tuyau de chair qui commence à se dilater dans ma bouche. J’accentue les pincements des tétons tout en avalant entièrement en fond de gorge cette queue qui reprend enfin vie. Elle est maintenant si grosse et si envahissante dans ma bouche que je dois respirer par le nez pour éviter de m’asphyxier. Monsieur N’Daye donne maintenant de grands coups de bas-ventre pour accompagner mes mouvements de succion. Je comprends qu’il est temps d’entamer la dernière phase du désenvoûtement. Je me penche vers le visage du vieil africain et je lui dis d’une voix toujours aussi suave

 – Monsieur N’Daye, j’ai maintenant bien excité les mauvais esprits qui vous habitent et ils sont près à partir. Je vais venir sur vous pour vous libérer définitivement de leur emprise.

  

 Il ne répond rien mais sa queue est maintenant fièrement dressée. Il est vraiment bien monté, autant que mon marabout qui est doté d’un sexe exceptionnel. Lentement, je grimpe sur le lit et je viens me positionner au-dessus du patient. Je m’allonge tout contre lui, ma bouche sur la sienne, mes seins sur sa poitrine et nos pubis bien collés. Bien vite sa langue joue avec la mienne et ses mains puissantes et calleuses se posent sur mes fesses. J’ondule sur son corps de manière à ce que son gland se positionne entre mes jambes et vienne cogner contre ma chatte. Lentement, compte tenu de la taille de sa queue, je fais en sorte qu’il s’introduise en moi. J’ai l’impression d’être fendue en peu, empalée sur un pieu comme devaient l’être les sorcières et les putains au temps de l’inquisition. Mais bien vite, mon supplice se transforme en un véritable délice. Son gland cogne maintenant au fond de ma matrice, son glaive coulisse dans mon fourreau bien dilaté et je suis entièrement remplie par cette énorme queue qui a retrouvé comme une seconde jeunesse. Je dis à mon patient

 – Allez-y monsieur N’Daye, défoncez moi bien, baisez moi comme une salope. Videz vous en moi pour chasser tous ces mauvais esprits.

 L’intéressé a parfaitement compris le message et il accélère la cadence, me donne de grands coups de bas-ventre tout en continuant à m’embrasser à pleine bouche et à me caresser les fesses et les seins. J’ai l’impression que sa queue a encore augmenté de volume mais cela n’est pas pour me déplaire. Soudain, monsieur N’Daye se crispe, respire de plus en plus fort et il me plaque tout contre lui de ses mains puissantes. Et voilà que j’ai l’impression qu’un torrent coule en moi, il se vide de tout son foutre en longs et puissants jets ininterrompus. 

 Lorsque je me retire de lui, il bande encore comme un âne et je décide d’en profiter avec une nouvelle fellation.

  

 Lorsque mon marabout revient dans la pièce, monsieur N’Daye en est à sa troisième ou quatrième jouissance ; quant à moi, je ne compte plus les orgasmes qu’il m’a donnés.

 Monsieur Coulibadou lui dit

 – Alors monsieur N’Daye, Aïcha semble avoir chassé les mauvais esprits et vous semblez avoir retrouvé toute votre vitalité.

 L’intéressé lui répond

 – Oui, votre assistante a réalisé des merveilles et c’est parfait. Je vais maintenant pouvoir m’occuper de ma jeune femme comme je le faisais avant.

 Une fois monsieur N’Daye parti, mon marabout me remercie à sa manière pour ma précieuse collaboration dans le traitement de ce patient.

 Après avoir quitté le cabinet de monsieur Coulibadou, je remonte le boulevard de Clichy pour aller reprendre mon métro et rentrer à la maison. J’ai l’impression que des filets de sperme continuent à couler de ma chatte, encore grande ouverte avec la désenvoûtement de monsieur N’Daye, et de mon cul dont mon marabout s’est ensuite si bien occupé.

  

 Il va falloir que je reste sage quelques jours pour récupérer. J’espère que François saura se satisfaire de mes fellations quotidiennes..

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