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La Radingue – Chapitre 5




Mona, c’est "La Radingue" la camionneuse pilote d’un semi remorque de trente deux tonnes qu’elle conduit partout, en France et à l’étranger avec des chargements divers. Elle est si costaude qu’elle peut manipuler, toute seule, l’une des roues de son mastodonte, mais aussi, dans un autre genre de spécialités, elle est gouine comme pas possible et vit avec sa chère et tendre Anne,soit dans son camion soit dans sa petite maison de banlieue quand elles ne sont pas sur la route; Un soir en dinant dans un restau-routier, elle a fait la connaissance de Tiffany une si belle adolescente de dix huit ans qu’elle en est tombée amoureuse, Mais Anne à plutôt bien pris la chose parce que Mona a tout de suite accepté que Tiffany soit intégrée à leurs ébats et leur offre à toutes les deux une chatte de rêve aussi belle que sensuelle et sachant s’écarteler pour leur offrir ses longs jaillissements de cyprine qui la mettent à la limite des femmes-fleuves!

Lors d’un tajet Paris Marseille de nuit elle avait conduit son bahut pendant de longs et interminables kilomètres pendant qu’Anne et Tiffany toutes les deux nues sur la couchette ne cessaient de se caresser, de se branler et de se boire réciproquement ce qui avait mis le feu à la cramouille de Mona dont la culotte était devenue un petit tortillon de chiffon poisseux au fond de sa raie! Mais,en les entendant se gouiner ainsi, Mona , malgré son envie n’avait pas voulu se branler en ouvrant son jean pendant qu’elle condiuisait, car elle ne supportait pas ce genre de pratique en conduisant son monstre! C’était trop dangereux! Mais elle avait les reins en feu et un boisseau de fourmis dans le chagatte, si bien qu’au bout de trois cents kilomètres, n’y tenant plus, elle avait arrêté son bahut sur une aire de repos dans un endroit retiré du parking et tiré les rideaux du pare brise et des vitres latérales pour être à l’abri des regards indiscrets. Ce qu’elle ne faisait pas souvent car, très exhibitioniste, elle adoraiit que les mecs viennent la regarder se faire manger la moule toute nue avec Anne sur leur large couchette et grimpés sur le marche pied du camion les voyeurs ouvrant leurs braguettes et sortant leurs grosses bites baveuses pour les faire dégorger leur foutre à grands coups de poignets, laiisant leur trainées blanches couler sur le métai luisant des portières!

Mais cette nuit là, elle avait envie de plus d’intimité, peut-être par prémonition de ce qui allait arriver! Une fois le camion arrêté dans un dernier chuintement d’air comprimé, elle était descendue du camion pour aller se soullager la vessie dans les toilettes "côté dames" du parking.

Le local semblait vide et elle entra dans l’une des cabines pour baisser culotte avec difficulté étant donné l’état du torchon gluant de mouille qui obstruait sa raie et le fond de sa vulve! déjà prête à l’usage qu’elle avait l’intention d’en faire! C’est pendant qu’elle pissait qu’elle entendit une sorte de gémissement venant de la cabine d’à côté qui l’intrigua! Elle se releva pour aller regarder par le trou percé dans la cloison entre les deux cabines et vit un spectacle qui retenait l’attention:

Montée à l’envers et le nez contre la chaase d’eau, les deux pieds posés sur les rebords de la cuvette en porcelaine , les cuisses écartées au maximum une énorme femme du genre paysanne du coin en panatalon de velours dont on se demandait comment elle pouvait tenir ainsi en équilibre sans faire s’effondrer la cuvette, mais elle avait l’air d’avoir l’habitude de cette gymnastique, s’était enfoncé un énorme concombtre dans la chatte d’une main et de l’autre en ayant, tant bien que mal réiussi à ecarter ses replis de graisse et les lèvres épaisses de sa cramouille, tentait de se branler le clito en même temps, et en soufflant comme un phoque, tandis que son berger allemand le museau plongé dans la raie de ses gigantesques fesses lui léchait à grands coups un trou brun et plissé que Mona ne pouvait pas voir

!

Mona, qui pourtant en avait vu beaucoup resta bouche bée devant le tableau, puis au bout d’un moment, voyant que la femme n’arrivait pas à se faire jouir, décida d’intervenir! Elle sortit de sa cabine, frappa à la porte voisine qui n’était pas fermée et proposa àu mastodante qui soufflait toujours: -"Tu sais! Si tu veux qu’on t’aide à te faire reluire, viens dans mon camion,mes copines et moi on se fera un plaisir de te "faire minette" jusqu’à ce que tu y arrives!"

Sidérée par cette intervention, la femme sans pouvoir bouger faillit tomber de son perchoir et regardant Monette comme elle le pouvait répondit:-’Ah ben Oui ! C’est pas de refus! Aujourd’hui, toute seule j’y arrive pas et Dick ne peut pas me lécher assez loin pour m’aider!" Main tendue, Mona réusit à faire descendre la femme de son perchoir, l’aida à remonter son torchon de culotte et son lourd pantalon de velours et à sortir péniblement de la cabine pour la conduire vers le camion, comme assoupi sur ses énormes pneus .

Lorsque Tiffany et Anne virent le monstre joufflu doté d’un gros nez piquté d’un pois chiche, elles eurent du mal à ne pas pouffer de rire, mais Mona souriante mit un doigts sur ses lèvres et raconta brièvement sa rencontre avec Marinette car la femme s’appelait ainsi!

Hisser cette masse de chair et de saindoux sur la couchette, lui retirer ses croquenots ses chaussettes plus que moites et son pantalon de velours ne fut pas un "mince" affaire ! Quant à sa culotte , l’extirper de là où elle était fut un exploit! Mais Marinette dont le chien, Dick était resté au pied du camion, pivé de sa maîtresse et de son festin il jappait doucement!

Marinette, elle était à la fête. Jamais personne ne s’était occupé d’elle ainsi, et elle devinait que les trois filles qui l’entouraient ne l’avaient pas hissée jusque là pour lui offrir un crêpe Suzette et déjà sa cramouille déjà sollicitée par le concombre et par Dick, commençait à entrer de nouveau en béance ce qu’elle vérifia en plongeant ses gros doigts dans son marécage qui clapota joyeusement sous cette careesse imprévue! Dans la cabine, en plus des senteurs repandues par Anne et Tiffany montaient maintenant les effluves fermière et océanes de Marinette qui se mêlaient doucement à celles de leur invitée surprise! ( à suivre)

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