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Laure: apprentissage forcé – Chapitre 4




Lundi matin: 06h30, Laure sort doucement de la torpeur de sa nuit. Quasiment deux jours s’étaient passés depuis l’aventure du sexshop, deux jours d’angoisse pour la jeune fille restée seule dans la maison de ses parents. Deux jours à tressaillir à la moindre vibration de son téléphone, et pourtant toujours aucun message de son maître chanteur. 

 

Ce matin Laure se réveille assez mal à l’aise, le sommeil troublé par un cauchemar dans lequel la verge du vieux pervers crachait son liquide visqueux sans discontinuer, et elle qui le déglutissait avec gourmandise. "Mais que m’arrive-t-il? Je vais pas bien, ou quoi?". 

 

Deux jours plus tôt, à son retour à la maison familiale, elle s’était faite discrète pour ne pas se faire voir des voisins, puis elle s’était précipitée dans sa chambre pour s’effondrer en larmes sur son lit. Comment tout cela pouvait-il lui arriver? Heureusement, ses parents lui avaient laissé la maison pour deux semaines, ce qui lui laisserait le temps de trouver un moyen de gérer cette situation dramatique. 

 

Durant ce week end d’angoisses, chaque vibration de son téléphone la terrifiait, surtout après le dernier message "Joli spectacle. Tu es une bonne salope obéissante. J’en ai pas fini avec toi. A très très bientôt." La belle avait psychoté tout le week end, se demandant quelles autres épreuves l’autre taré allait bien pouvoir lui réserver. 

 

Maintenant qu’elle avait céder à son chantage, qu’est-ce qui allait empêcher son bourreau de lui en demander toujours plus? Laure passa le reste de l’après-midi à se laver pour faire disparaître toute trace des souillures qu’elle avait subi, et à se demander si ce genre de situation allait se reproduire. 

 

La jeune fille commençait à prendre conscience que si ce salaud abusait encore d’elle, les choses pourraient dégénérer. Elle gardait le souvenir des doigts de Mathieu dans sa chatte alors que lui et son copain la filmait deux doigts dans la chatte à branler le quadra. Les preuves de son dévergondage s’accumulent, et Laure panique à l’idée de perdre ses parents, sa famille, ou ses potes voire son travail. 

 

Malgré plusieurs douches et brossages de dents, elle ne pouvait se débarrasser de l’odeur et du goût âpre du sperme épais du vieux pervers. Et il y avait aussi son corbeau, cet infâme personnage sans nom, ni visage, qui la tenait sous son contrôle. Est-ce qu’il en avait fini avec elle, était-il satisfait de son acte, allait-il lui en demander plus, jusqu’où cette histoire allait-elle la mener… autant de questions auxquelles la pauvre Laure n’avait pas de réponse. 

 

Sans autres nouvelles de son tortionnaire le samedi soir, Laure avait bien eu du mal à trouver le sommeil. Le chantage et le risque de retrouver la vidéo de sa masturbation dans la boîte mail de ses proches, et la bite du vieux lascar avaient laissé des traces. A peine la jeune fille fermait-elle les yeux, qu’elle se revoyait en train de le branler, et sentait de nouveau les saccades de foutre visqueux tapisser sa langue et lui remplir la bouche. 

 

Mais les heures passant, les souvenirs de la jeune fille, de plus en plus fatiguée, se transformaient petit à petit en songes. La culpabilité et le dégoût se muaient en désirs à la limite du pornographique. Laure se surprenait à désirer cette bite crachant du bon sperme chaud au fond de sa gorge. Elle sursautait, prise de panique, et morte de honte à l’idée d’aimer subir ce genre de traitement. 

 

Ce n’est qu’au petit matin, complètement épuisée que l’adolescente finit par s’endormir. En début d’après-midi, elle se réveilla en sursaut en entendant la vibration de son téléphone sur sa table de chevet. Prise de panique, elle attrapa l’appareil, anxieuse de recevoir de nouveaux ordres de son bourreau. Ouf, elle fut soulagée de recevoir un texto de sa mère qui voulait juste la prévenir que tout allait bien. 

 

Quelques heures plus tard, une fois repue, lavée mais uniquement vêtue d’un t-shirt et d’un string, Laure tentait encore d’oublier sa mésaventure de la veille. Elle se mit devant la télé mais aucun programme ne la captivait. Dans un grand soupir, ne pouvant se soustraire à la pression de n’avoir aucune nouvelle de son maître chanteur, elle tenta de distraire son esprit en rangeant sa chambre. 

 

C’est à ce moment qu’elle tomba sur le DVD qu’elle avait acheté la veille, toujours dans le sac qu’elle avait machinalement laissé choir sur le sol en entrant dans sa chambre. Malgré le dégoût et la honte de s’être laissée manipuler de la sorte, elle n’avait pu résister à jeter un coup d’il à la jaquette du DVD. La jeune fille brune à la chatte épilée, bâillonnée et entravée de ses liens de bondage la perturbait. 

 

Laure sentait bien, l’attrait malsain qu’elle avait pour cette image de soumise. Et l’autre enfoiré qui ne la contactait toujours pas! Mais pourquoi voulait-elle tant qu’il se manifeste? A plusieurs reprises dans l’après-midi de Dimanche, elle repensait au moment où le salaud l’avait surprise: en pleine masturbation devant un porno. 

 

Et ce matin, encore confuse par son rêve et le cerveau encore un peu embrouillé, elle est déçue que le moment où il l’a surprise à se masturber se soit terminé ainsi, elle avait pris tant de plaisir. Son erreur était ce maudit pc par lequel ce taré avait accédé à son intimité. 

 

Une pulsion malsaine gonfle dans son ventre, prend forme dans sa tête, et la pousse à prendre le DVD et à s’installer à nouveau dans le canapé du salon, devant la smart tv de ses parents. La paranoïa pousse la belle à inspecter la pièce avant de s’installer; pas de pc branché, pas de portable "Pas de risque que ce connard me surprenne!" se dit Laure sûre d’elle.  

 

Elle doit être à la parfumerie dans une bonne heure, elle n’a donc pas tout son temps. A peine le DVD commencé, Laure se déshabille, s’installe, les jambes bien écartées pour exposer son minou, et commence à se caresser les lèvres déjà un peu humides. 

 

Le DVD commence bizarrement, la brune de la pochette se fait interviewer et baragouine en anglais ce qui perturbe Laure et fait vite tomber son excitation. A coups de télécommande elle avance le porno bien pourri et très vite elle hallucine. La jolie brune est attachée par des grosses cordes et se fait gifler par un malabar tatoué. 

 

Ses seins sont violets et près à exploser sous la pression des cordes, le type la fouette violemment la faisant hurler. D’abord choquée, Laure fait le lien avec sa situation et transfert les personnages. Dans sa tête elle devient la brune et son maître chanteur devient le tortionnaire. Elle sent son bas ventre la démanger, et une excitation incroyable l’envahit. 

 

Rapidement, ses caresses superficielles se transforment et elle se met à se branler en profondeur, deux doigts fourrés dans la chatte, et deux autres maltraitant son clitoris. Rarement Laure s’est sentie si excitée, elle perd le fil du film et son esprit vagabonde. Le goût, la texture du sperme dans sa bouche affluent dans sa tête, elle se remémore la branlette qu’elle a dû faire à cet inconnu. 

 

Le fantasme prend forme sur la réalité de sa situation, elle s’imagine se faire baiser par cet homme par les deux acolytes sur le capot de sa caisse, sous le regard pervers de son corbeau sans visage. Sa chatte dégouline de cyprine, la jouissance monte dans son ventre et son entrejambe, Laure gémit bruyamment. 

 

— Huum (…) aaah (..) oh oui! han! putain, baisez moi! 

 

En quelques minutes Laure explose sur le canapé, repue de plaisir les yeux dans le vague. Elle a besoin de longues minutes pour revenir à elle, l’adolescente a rarement joui aussi vite et aussi fort. De retour sur terre, la belle Laure prend conscience de l’heure tardive et se presse à la salle de bain, puis dans sa chambre pour se préparer. Ses dessous de dentelle blanche, ses jambes magnifiées dans une paire de DIM’up couleur chair. C’est vêtue d’une jupe droite noire mi-cuisse et d’un chemisier blanc, et chaussée de petits escarpins noirs aux talons de 5cm qu’elle se précipite dans sa petite C3. 

 

Sur la route, elle entend la vibration de son téléphone, mais ne prend pas le risque de regarder le message, "On verra bien en arrivant!" se dit-elle. Après avoir garé sa petite voiture, la jeune fille attrape ses affaires et se dirige précipitamment vers son lieu de travail. Intriguée par le message qu’elle vient de recevoir, elle attrape son téléphone dans son sac et le déverrouille pour lire le texto. Elle s’arrête nette au milieu du trottoir, estomaquée par le message qu’elle a sous les yeux. 

 

<Alors petite salope on se fait un petit plaisir avant le boulot? Je savais que tu étais une bonne petite chienne, on va vraiment bien s’amuser!> 

 

L’esprit de Laure s’envole, comme s’il se détachait de son corps, elle est sous le choc. Revenant à la réalité des passants qui l’entourent, la belle reprend la direction de son lieu de travail, partagée entre honte et colère. Elle se précipite ensuite vers son vestiaire et banche ses écouteurs pour lire le fichier mp3 lié au message. Elle y reconnait bien sa voix, et ses gémissement ponctués en rythme avec les "Floc, floc" que ses muqueuses humides émettaient lorsqu’elle se masturbait ce matin. 

 

"Mais c’est pas possible! Comment est-ce que ce salaud peut m’espionner? Y avait rien dans le salon!" se dit Laure un peu en panique é l’idée que ce pirate est absolument partout dans sa vie. C’est un peu distraite et résignée qu’elle tente de se concentrer sur son travail et ses clientes. Mais ses pensées vagabondent, la peur de se faire découvrir, la honte de s’être imaginée prise par les trois lascars du sexshop, l’inquiétude de ne pouvoir rien faire pour empêcher son corbeau de s’immiscer dans sa vie privée. 

 

Le reste de la journée se passe sans nouvelles de son tortionnaire, mais au moment de partir du magasin, son cur s’arrête lorsque son téléphone se met à vibrer. Un nouveau message de l’inconnu, mais bizarrement il la somme de dégrafer les quatre boutons du haut de son chemisier et de se rendre à la gare. "Qu’est-ce qu’il a derrière la tête, l’enfoiré?" 

 

Avec émotion, Laure se déboutonne dans la rue, en public, et observe impuissante son reflet dans la vitrine. Elle constate que tout le monde peut apercevoir le galbe de ses jeunes seins prisonniers de la dentelle blanche. Nouvelle vibration, le ton change clairement <Allez ma salope! bouge ton cul tu vas pas t’admirer des heures! Tu as 10min pour aller à la poste de clairmarais!> "Dix minutes, mais il est dingue ce con!" Laure est furieuse, elle sait qu’avec ses talons et le monde dans la gare ça va être trés trés juste. 

 

Elle prend donc la direction imposée par les instructions, pressant le pas, la poitrine oscillant dans leur carcan de dentelle. Tous les hommes se retournent sur son passage, certains la sifflent ravis de voir une telle beauté après leur longue journée de travail. Après moult bousculades et excuses en traversant la gare bondée de monde, elle aperçoit enfin l’enseigne de la poste au bout de la rue. 

 

Au moment où la belle passe un parking sauvage sur sa droite, nouvelle vibration <STOP! Entre dans le parking et dirige toi vers le fond, là tu rencontreras Julien et Mathieu, tu as intérêt à leur obéir sans poser de questions! Amuse-toi bien ma belle salope ;-)> 

 

"Mathieu? Julien? Putain, c’est quoi cette galère encore?" Laure se dirige dans le terrain vague et zigzague avec inquiétude entre les voitures. Elle aperçoit au loin les silhouettes des deux jeunes qui l’avaient filmée deux jours plus tôt. En la voyant, le visage des deux gamins s’illumine d’un sourire gourmand et vicieux.  

 

-Eh ben alors, p’tite salope, on a failli t’attendre! Moi c’est Mathieu! Lui lance celui qui lui avait violemment fouillé la chatte. 

 

-Et moi c’est Julien! Va falloir te faire pardonner pour ce retard. Mais d’abord passe ça autour du cou. 

 

Julien lui tend un petit collier ras le cou en cuir noir, réhausser d’une bande en métal frotté faisant le tour et duquel pend un petit anneau du même métal. Une fois la belle parée de son nouveau bijou, Mathieu sort une corde assez fine et équipée d’un mousqueton. Laure comprend les intentions du jeune homme elle panique et tente de se dérober, mais Mathieu est le plus rapide et il accroche le mousqueton au petit anneau, empêchant toute tentative de fuite. 

  

-Hep hep hep, pas si vite ma salope! Tu comptes aller où comme ça? 

  

Mathieu tire d’un coup sec sur la laisse alors que la belle recule, la bloquant dans son élan. 

  

-On comptait être un peu cool avec toi, mais là tu ne nous laisse pas le choix! T’en penses quoi vieux? 

  

-Ouais si tu veux pas coopérer, on a obligation de te punir! (…) Pour la peine tu ouvres complètement ton chemisier et tu déballes la marchandise. 

  

Devant l’hésitation de la jeune fille, Mathieu tire d’un coup sec sur la laisse, et lui aboie un second ordre. 

  

-Et soulève-moi ta jupe qu’on mate un peu la marchandise. 

  

Les larmes commencent à humidifier les yeux de Laure, qui se bat pour ne pas leur faire le plaisir de pleurer devant eux. A contre-cur, elle s’exécute et leur expose son joli 95D et son string blanc. 

  

-Vas-y, balance le string aussi, les chiennes comme toi ça s’expose. 

  

La belle fait descendre machinalement la petite étoffe couvrant son joli triangle blond. Le string à ses pieds, Mathieu tire un coup sur la corde, la forçant à s’approcher de lui. De sa main libre, il lui plante deux doigts entre les lèvres de sa petite chatte encore toute serrée et en profite pour lui rouler une grosse galoche baveuse, lui fouillant la bouche avec sa langue. 

  

Laure tente de se réfugier dans un souvenir plaisant pour supporter les assauts des deux gamins, mais c’est le souvenir de sa masturbation matinale et l’idée de se faire prendre par les trois inconnus sur un capot de voiture qui la submerge. 

  

Mathieu sent ses doigts glisser dans les muqueuses maintenant bien humides de la belle. Il libère les lèvres pulpeuses de Laure, qui commence à gémir en se pinçant la lèvre inférieure. Son premier anulingus lui fait de l’effet! 

  

-Putin elle commence à mouiller s’te pute! 

  

Soudain un bruit de pas sur les graviers les fait paniquer tous les trois. Ils se figent dans leur position, mais ne voient rien de particulier. Julien abandonne le petit cul pour ramasser le string et tendant au maximum l’élastique, il le projette au loin" Laure n’a pas le temps de protester que Mathieu tire sur la laisse pour entrainer la belle au fond du parking derrière deux monticules de graviers blancs. 

  

Laure court maladroitement sur ces talons, suivant tant bien que mal le jeune homme tout en tentant de rester debout. Les seins à l’air, ballottés dans tous les sens et la jupe remontée sur les hanches, elle espère de tout son cur ne rencontrer personne. Ils sont suivis de près par Julien qui s’est mis à tout filmer pour immortaliser ce moment. 

  

Mathieu entraine la jeune chienne tenue en laisse vers le fond du parking, ils se dirigent tous les trois vers deux monticules de graviers blancs. Laure panique, elle ne peut détourner le regard des immeubles récents entourant l’espace grand ouvert dans lequel elle évolue, trainée en laisse soumise malgré elle à ces gamins. Heureusement, le jeune homme a la présence d’esprit de se planquer à l’abri d’un fourgon utilitaire. 

  

Un dernier coup de laisse et il tire l’adolescente dos aux tas de graviers et leur faisant face. Laure se sent piégée, dos au mur, elle fait face à ses deux tourmenteurs. Julien, caméra toujours en main, fait le tour de la belle et lui retire son chemisier qu’il lance à son collègue. De sa main libre, il tire sur les deux seins, les pinçant par les mamelons, pour bien les extraire de leur bonnet. La caméra en mode "selfie", il roule le téton entre ses doigts et embrasse la belle dans le cou, pour ensuite lui lécher la nuque en remontant jusqu’à son oreille. 

  

-T’es vraiment une bonne petite salope! Lui dit-il en continuant de maltraiter ses seins. 

  

-Allez p’tite pute, accroupie toi, les jambes bien écartées qu’on voit bien la marchandise! 

  

Mathieu tire la laisse vers le bas d’un coup sec, pour forcer la pauvre Laure à s’accroupir devant eux. Il se baisse à son niveau pour bien lui écarter les cuisses et lui attrape les deux poignets pour les lui croiser derrière le dos. Laisse dans la main droite, il se redresse pour dominer la jeune fille de son mètre quatre-vingt. 

  

-Voilà ma belle, garde bien cette pose! Sort-il en direction de l’adolescente. 

  

-On dirait que ça l’excite de se donner en spectacle! Prononçant ces mots, Julien déballe une bite bien dure, qu’il pointe en direction du visage de la jeune fille. 

  

Laure a bien du mal à tenir sa position, ses cuisses commencent déjà à lui faire mal. Elle est tout de même surprise de mouiller dans une pareille situation, et se surprend à avoir envie de cette belle bite qui lui fait maintenant de l’il. Par reflexe, elle ouvre la bouche, le regard fixé sur le barreau de chair d’un bon 18cm de long. 

  

-Regarde-moi ça! Une vrai putain en manque de bite! Vas-y fourre lui bien la bouche mec! 

  

-Tiens ma belle régale-toi! Julien avance une verge bien dure et bien droite en prononçant ces mots. 

  

La plante des pieds douloureuse, les cuisses en feu, Laure avance son visage et tend sa langue pour aspirer la belle queue. Julien passe sa main droite dans la belle masse de cheveux blonds et filme la jeune fille qui lui aspire la queue. 

  

-Aaaaaaah putin! Mec, elle a une vraie bouche à pipe s’te chienne. 

  

Laure aspire le vit de chair et s’applique à le sucer goulument, elle veut que tout ça aille au plus vite, elle est mortifiée à l’idée que quelqu’un la découvre dans cette position. Elle l’aspire et le pompe avec ardeur perdue dans les bruits de succion humides de sa fellation. 

  

-Ah! Oh! Oui, vas-y ma chienne, aspire bien! Quelle suceuse! 

  

-Vas-y bouge mec! Prends ça, vas-y, suce moi bien! Mathieu lui colle une bite plus courte que celle de Julien, mais bien plus large. 

  

-Hummmph! Laure a bien du mal à avaler ce nouveau morceau de chair, il lui distend les lèvres, étirant leur commissure au maximum. 

  

Alors que Julien les filme, Mathieu attrape les cheveux d’anges de ses deux mains, et d’un coup de reins engouffre sa grosse bite entre les lèvres charnues de l’adolescente. De nouveau Laure aspire de son mieux la grosse queue pour le faire venir le plus vite possible, elle souhaite que tout ça se termine au plus vite.  

  

-Oh ouiiiii, vas-y ma belle suce moi bien! Aspire moi cette queue! 

  

Il bloque la tête de la belle dans l’étau de ses mains et se met à lui baiser la bouche, cherchant à la pénétrer plus profondément à chaque coup de reins. Entravée, Laure ne peut que subir le rythme imposé par le jeune homme et sa large bite lui emplit la bouche. Elle sent la pression des mains sur sa tête, mais ne pense même pas à se dérober, les mains toujours sagement croisées dans le dos. Le gland vient taper contre sa luette et lui provoque les premières sensations d’étouffement et de nausée. 

 

Laure sait que de toute façon elle n’a pas le choix, donc autant être la plus docile et appliquée pour que ces salauds puissent se vider rapidement. Elle essaie de se contenir et accepte les assauts féroces du jeune homme. 

 

-Humpf, humpf! 

 

-Vas-y bouffe salope! HAN! HAN! 

 

C’est difficile mais laure accepte son sort, elle sent la queue coulisser entre ses lèvres et progresser contre sa langue et son palais jusqu’à buter à l’entrée de sa gorge. Inexpérimentée, Laure s’étouffe et les premières nausées lui remontent l’obligeant à recracher la bite. Les yeux révulsés, elle tousse et crache la bave en excès qui l’empêche de respirer. Mathieu n’en a pas fini avec la belle et ne lui laisse qu’un petit répit et la tire brusquement par les cheveux. 

 

-Allez bouffe, grosse pute. Me dis pas que t’arrives pas à avaler toute ma bite! 

 

Le gland tapant déjà contre ses lèvres, Laure ouvre la bouche et Mathieu s’engouffre immédiatement au plus profond. Laure essaye d’accepter cette grosse bite, mais elle n’arrive pas à l’avaler, sa bouche est trop petite, il faudrait qu’elle ouvre sa gorge, mais les nausées son trop fortes. 

 

Complétement ignorant des difficultés de Laure, Mathieu prend son pied et accélère encore le va et vient de sa queue entre ses lèvres. Sentant le plaisir approcher, il libère Laure de son étreinte. Les yeux emplis de larmes, la tête rougies par le manque d’air, Laure essaye de reprendre son souffle. Elle tousse de nouveau laissant échapper de longs filets de bave gluante. Trop sonnée, elle reste dans sa position, les mains dans le dos, accroupie dans la douleur, le cul et les seins à l’air devant ses tortionnaires. 

 

-A mon tour salope! Suce! Allez ouvre bien ta gorge que je te la baise. 

 

Suite aux invectives de Julien, Laure comprend mieux ce qu’elle doit faire pour avaler ces bites au fond de la gorge. Il lui enfourne sa queue encore plus longue et bute à son tour à l’orée de la gorge étroite. L’adolescente essaie de se calmer, et d’avaler au plus profond ce nouveau sexe. Julien sent que la petite ne peut pas avaler toute la longueur de sa bite et décide de stopper se va et vient, la queue profondément ancrée dans la bouche étroite. 

 

-Regarde-moi, calme-toi et essaie de m’avaler! 

 

Laure lève ses beaux yeux bleus souillés de mascara, le suppliant du regard. Insensible, Julien lui pince le nez pour l’obliger à ouvrir sa gorge et la magie opère, par reflexe, la gorge de l’adolescente s’ouvre légèrement laissant juste la place pour y faire entrer le gland, il parvient ainsi à s’empaler jusqu’à la garde. 

 

Laure veut essayer de s’habituer à la présence de ce sexe dans sa gorge et reste collée d’elle-même le nez dans les poils pubiens de Julien.  Confortablement installé au fond de la gorge chaude de la belle, Julien passe ses mains derrière la nuque de la petite et entreprends de lui baiser la gorge en profondeur. 

 

Laure découvre cette sensation nouvelle, légèrement désagréable mais supportable de sentir un sexe lui déformer l’sophage pour y coulisser à sa guise. 

 

-Floc, floc, humpf, humpf… 

 

Laure s’applique et accepte entièrement la bite de Julien qui sent la jouissance approcher. Il se retire, un long filet de bave le liant toujours à la belle. Devant cet exploit, Mathieu prend le relais et s’installe à son tour bien confortablement au fond de la jeune gorge encore ouverte. Il la besogne avec vigueur vivant enfin un de ses fantasmes de baiser la gorge d’une belle blonde comme dans les nombreux pornos qu’il mate sur le net. 

 

Les deux compères alternent et possède la belle bouche chacun leur tour, ressortant leur bite à la limite de l’explosion. Laure astique les deux bites bien lubrifiées par sa bave, elle sent qu’ils sont tous deux sur le point d’exploser. Comme pour le pervers, ils veulent se finir dans sa bouche. 

 

-Allez ouvre-moi ta bouche en grand, qu’on te remplisse bien tous les deux! 

 

-Oui vas-y, branle moi bien et lèche moi les couilles, ça vient! 

 

Laure lèche les boules poilues de Mathieu et continue de lui astiquer son morceau de chair. La bite dans sa main se met alors à pulser, le jeune homme est presque à point. 

 

-Ouf oui prépare toi je viens, ouvre bien grand (…) Ah ah oui prends ça petite pute (…) 

 

Laure ouvre grand la bouche et tire la langue, la creusant comme une gouttière de chair afin de guider le flux séminal. Mathieu sent la sève monter et éclate dans la bouche de la belle de quatre belles rasades de foutre gluant. Comme avec le vieux pervers, elle conserve le sperme en bouche et se tourne vers la longue bite de Julien, qui à son tour déverse sa dose de jute dans la bouche engluée de la belle. 

 

Ce dernier reprend ses esprits et filme Laure, la bouche grande ouverte et la langue couverte de foutre blanc. L’adolescente sent les effluves de foutre se propager dans sa bouche, ses papilles sont submergées par le goût âcre de la substance visqueuse lui remplissant la bouche. Humiliée, bafouée, les cuisses et la plante des pieds ankylosés par la position inconfortable, elle se surprend à sentir une excitation malsaine naître en elle. 

 

Honteuse, Laure garde la position et la bouche grande ouverte, pour le plus grand plaisir de ses bourreaux. Mais un mouvement derrière les deux jeunes gens la fait paniquer. Un homme vient d’apparaître derrière Mathieu. La jeune fille déglutit le sperme rance en un "GLUP" bruyant, et tente de se redresser, en dépliant ses jointures douloureuses tout en cachant son intimité de ses mains, honteuse d’être surprise dans cette position par un nouvel inconnu. "Mais c’est vrai! La honte!!!!" 

 

-Ha Ha Ha Ha, ne vous inquiétez pas jeune fille, je ne vous veux aucun mal, j’ai juste trouvé ça là-bas et je pensais que vous auriez souhaiter le récupérer. L’inconnu s’approche des trois gamins, le string blanc en boule dans sa main tendue. 

 

-Allez ma belle, Monsieur est assez gentil pour te rendre tes fringues, tu pourrais au moins le remercier pour son geste. Lui sort Mathieu en la tirant d’un coup brusque sur la laisse. 

 

Laure, tétanisée par la peur et la honte s’approche de l’homme qui ne la quitte pas des yeux. Elle n’ose pas soutenir son regard et tend la main gauche pour récupérer son string, lui exposant sa belle poitrine. Elle attrape le morceau d’étoffe dans l’espoir de pouvoir enfin se couvrir un peu, mais constate, en l’attrapant, que ce dernier est englué d’un liquide visqueux. La jeune fille grimace "Le salaud! Il s’est branlé dans mon string ou quoi?" 

 

-Bon, tu branles quoi? T’as aucune pudeur ou quoi, rhabille-toi devant Monsieur. Lui lance Mathieu d’un ton autoritaire. Il a bien remarqué lui aussi que le string est rempli de foutre. 

 

L’adolescente obtempère à contre cur et enfile le string humide, gluant et froid exposant sa petite toison au nouveau venu. La sensation est très désagréable et le sperme englue ses poils lorsqu’elle plaque le bout de tissu sur son pubis. 

 

-Et resape toi bordel! C’est encore Mathieu qui lui aboie de nouveaux ordres en lui jetant son chemisier. 

 

Laure est perdue, les relents de sperme la submergent, ses jolis yeux bleus s’embrument, mais elle ne leur fera pas le plaisir de pleurer devant eux. Elle se rhabille, encore soumise et attachée à sa laisse, et tente de reprendre une apparence digne en lissant sa jupe et en réajustant son chemisier et son soutien-gorge. L’homme l’embrasse délicatement sur la joue avant de prendre congé, et les deux acolytes lui claquent chacun leur tour les fesses en guise d’adieu. 

 

-Moi, je reprends ça, et voilà tes nouvelles instructions. Mathieu la détache enfin, mais lui laisse le collier, et lui tend un morceau de papier. 

 

La jeune fille, perdue, le regard dans le vide et le papier à la main, les observe s’éloigner et se marrer de la situation. Il lui faut quelques instants pour reprendre ses esprits et c’est le foutre froid sur sa chatte qui la sort de sa torpeur. Elle n’a qu’une idée en tête, se débarrasser de ce string gluant et collant de sperme. Elle le retire au plus vite et sort un mouchoir de son sac à main afin d’essuyer ces poils couverts de foutre. Puis elle enveloppe son string dans deux autres mouchoirs en papier et le fourre au fond de son sac. 

 

Une fois les trois hommes hors de son champ de vision, le contre coup de ce qu’elle vient de subir est trop fort, la jeune fille craque et verse de grosses larmes en repensant à l’humiliation qu’elle vient de subir. Mais ce qui la blesse le plus, c’est d’avoir réussi à y trouver du plaisir alors que ces deux salauds lui baisaient la bouche. Et tout ce sperme, jeune, chaud, visqueux et goûteux à souhait (…) "Mais je vais pas bien moi? Ils viennent de se vider les bourses dans ma bouche, en suis-je réduite à un simple rôle de vide couilles?" 

 

Une petite brise, le bruissement de la feuille dans sa main, Laure prend conscience que son bourreau n’en a pas fini avec elle. Qu’est-ce qui l’attend cette fois? A quelle autre épreuve ce salaud allait-il la contraindre? Ah si seulement elle pouvait juste jeter ce bout de papier et ne plus penser à ce pervers qui l’humiliait tant. Mais quelque chose l’en empêche, elle veut se débarrasser de tout ça, mais mécaniquement ses mains déplient la feuille et son cerveau commence à enregistrer les nouvelles instructions. 

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