Apologie du plaisir
La soirée organisée par Tiphaine pour humilier et profiter du professeur de mathématiques avait eu un succès au-delà de ses attentes. Toutes les étudiantes étaient à présent parties, ne restaient que Tiphaine, son amie Souhila, ainsi que les deux complices, les soeurs Tucson qui avaient piégé Thomas, Léa et Emma.
Les quatre jeunes femmes s’étaient retrouvées au salon après le départ des convives. Elles éprouvaient le besoin de faire le point.
— J’ai vachement aimé ta soirée Tiphaine! dit Souhila.
— Moi aussi renchérit Emma, c’était cool.
— Il y avait des filles géniales, ajouta Léa. Je ne leur avais jamais parlé à la fac, c’était une bonne occasion!
— Tu es devenue la fille la plus populaire! plaisanta Tiphaine.
— Ouais c’est clair, rit Emma, demain sur FB tu vas doubler ton nombre d’amies.
— Oui, c’est possible admit Léa, songeuse. Mais pourvu que personne reconnaisse "toto" sur les photos!
— Pourquoi? Quelle importance? On s’en fout de ce mec! s’étonna Souhila
— Moi je m’en fous pas! fit Léa soudain sérieuse, songeant qu’elle risquait peut-être des ennuis….
— C’est débile ce que tu dis, insistait la jeune beur, méprisante.
— Vous ne comprenez donc pas? C’est mon soumis. Je peux absolument tout obtenir de lui, pourquoi je gâcherais tout ça? Il m’obéira tant que son secret sera en ma possession, si tout est découvert, il sera viré et on aura plus de moyen de pression sur lui!
— C’est pas faux, admit Emma, qui admirait sa sur.
— Alors maintenant on est quatre dans la confidence, et personne d’autre ne doit savoir, sinon notre bon plan, ce sera mort. C’est compris?
— Oui, firent les trois autres.
— Je veux que vous me le juriez!
— Ouais d’accord, promis juré! firent Souhila et Tiphaine de mauvaise grâce.
Le prof de maths astiquait le plan de travail consciencieusement. La musique lui vrillait les tympans. Il avait fini, il alla se placer à genoux, la droite de Léa. Il ressentait un sentiment de crainte teinté de vénération pour elle.
— Ah, tu as fini? Parfait, sourit sa Maitresse. Bien, laissez-moi faire maintenant les filles, ok?
Elle lui ôta le casque et s’adressa à lui. Il baissa les yeux, brisé par les événements de la soirée.
— Toto je suis contente de toi, tu as bien suivi mes instructions.
— Merci… Maitresse… rougit-il, se sentant brisé et sans volonté après les événements de la soirée.
— Remarque, t’avais pas trop le choix en même temps! ricana Emma.
Elles rirent toutes les quatre. Il ferma les yeux de honte.
— Tu es ma petite serpillère, mais je me suis habituée à toi et j’aime que tu me serves, continua Léa.
L’homme baissa la tête, frissonnant à ces mots.
— Tant que tu m’obéiras au doigt et à l’il, tout se passera bien.
— Merci… Maîtresse, murmura-t-il, impuissant.
— Par contre maintenant tu dois nous servir toutes les quatre, rajouta la jeune femme avec un sourire cruel, si tu veux que nous gardions ton secret toutes les quatre.
— Tu viendras ici chaque fois que je t’appellerai, et tu me serviras comme ce soir, Esclave! fit Tiphaine.
— Je comprends, Mademoiselle, répondit Thomas la peur au ventre.
— Tu es ma sous-merde à moi aussi, "chéri", ironisa Souhila. On est d’accord?
— Oui, Mademoiselle, fit-il à contrecur.
Emma venait de resservir une vodka à tout le monde. Souhila vida la sienne d’un trait.
— J’ai toujours rêvé de voir un prof de maths lécher mes pieds… tu peux faire ça pour moi?
— Je… Thomas s’empourpra et ne put finir sa phrase tant il était dégouté par la question.
— Allez… Toto? Tu n’as pas le choix, tu le sais? interrogea Léa en montant la voix.
— O.. Oui Maîtresse…
— Tu dois TOUT faire pour nous faire plaisir… moins tu réfléchis et mieux c’est, susurra doucement Léa…
— Bah oui!!!… rappelle-toi la poupée, t’as pas fait ta chochotte!??? s’esclaffa Emma.
A cette évocation elle hurlèrent de rire. Son cur se noua tandis que son érection renaquit. Il vint se placer aux pieds de Souhila et se pencha pour embrasser ses baskets. Cette dernière le scrutait avec mépris.
— Lèche-les!
Il sortit sa langue et lapa le dessus qui n’était pas très propre.
— Enlève mes shoes, crétin!
Les quatre jeunes femmes sentaient des papillons bourdonner dans leurs bas-ventre. Le prof était vraiment à leur merci. Leur pouvoir était no-limit, elles se sentaient pour la première fois des surfemmes. Il délaça puis retira ses chaussures de sport et constata qu’elle ne mettait pas de chaussettes. Une odeur forte lui sauta au visage.
— Masse-moi les pieds, j’en rêve depuis de début l’année que je t’ai en maths!
Le visage de Thomas s’empourpra, il s’humiliait devant son élève la plus odieuse et en présence de témoins, s’enfonçant dans un gouffre de servitude.
— T’es un bon clébard! J’adore. Merci Léa! … Tu peux pas savoir comme je me sens bien, ronronnait son élève…
Il prit son pied gauche de ses deux mains et le massa doucement, incommodé mais aussi excité par l’odeur de pieds, de cuir et de sueur mêlés. Elle posa son pied droit sur la queue dressée du mâle soumis et pressa son gland tout chaud. Il se pinça les lèvres pour ne pas gémir. Elle frottait lentement sa plante en appuyant fort sur son membre coincé sur sa cuisse velue. Puis cessa soudain. Il avait failli jouir à nouveau. Il prit le pied droit offert et le massa à son tour.
— T’es bon masseur de pieds! Avec de la crème ce serai carrément le rêve! Voyons si tu lèches bien?
Elle croisa les jambes et offrit sa plante pâle. Tiphaine prenait des photos, tandis que Léa filmait. Le quatuor infernal le tenait bel et bien, il n’avait plus le choix, il était réduit à l’état de lopette servile. Il sortit sa langue et parcourut du talon aux orteils le pied de son élève. Un gout salé emplit sa bouche, il introduisit sa langue entre ses orteils et nettoya de son mieux. Souhila venait de décroiser et recroiser ses jambes pour offrir son autre plante lorsqu’il sentit Tiphaine derrière lui. Elle posa sa main sur ses fesses puis lui appliqua un liquide droit sur l’anus. Il tressaillit. Des doigts massaient son illet délicat qui palpitait sensuellement, elle sourit.
— Petite bite mais joli cul! fit-elle en pointant sur sa rosette brillante de gel le concombre qu’elle venait de sortir du frigo.
— Voyons si ça rentre? s’amusa Léa.
Thomas gémit lorsque le légume froid força son petit trou et ouvrit ses sphincters! D’une main ferme, Tiphaine l’investit rapidement. Ça glissait plutôt bien, son dépucelage par les sdf avait été efficace. Il avait maintenant du mal à se concentrer à sucer les orteils de Souhila. Sa violeuse faisait tourner le concombre sur lui même pour lui élargir la rondelle, puis se mit à exécuter des va et vient rapides. Léa ouvrir son sac et pris deux grosses pinces à linge qu’elle plaça sur ses tétons qui étaient tendus de désir. Il gémissait de douleur et de plaisir, suçant le talon rugueux de son élève. S’étant rassise, elle ne perdait pas une miette du spectacle!
— Tu m’excites, ma grosse chienne, souffla-t-elle… elle descendit son jeans et retira sa culotte. Léa fit un clin d’oeil aux autres.
— Vas lécher ta Maitresse, Salope! Ordonna Souhila en le repoussant du pied, et se leva pour aller à cuisine.
Le prof se déplaça docilement à quatre pattes pour se placer face à Léa qui sirotait sa vodka en le regarda d’un regard brillant. Il savait ce qu’il devait faire. Il plongea entre ses cuisses et frotta son nez contre le sexe de sa tourmenteuse. Souhila était revenue avec une longue spatule de cuisine en plastique noir.
— A ta place je la ferais jouir très vite! conseilla-t-elle en lui assénant un coup sec sur le derrière qui fit tomber le concombre.
Il abandonna son nez comme instrument de caresse et plongea vivement sa langue dans son vagin. Léa se mordit les lèvres. Tiphaine décida d’améliorer son idée. Elle incisa le concombre à mi-longueur sur le pourtour pour créer une échancrure et le remit à sa place, l’anus de Thomas se verrouilla ainsi sur la partie creusée tandis que l’extrémité appuyait sur sa prostate parcourue d’ondes de plaisir .
Un nouveau coup plus fort lui rougit le cul. Cette fois légume resta en place. Les pinces lui vrillaient les seins, la douleur l’emporta sur l’excitation. Malgré ses coups de langues rapides sur le clitoris de Léa, celle-ci résistait toujours. Souhila se mit à le frapper avec force et régularité.
Tiphaine, fascinée par la scène se masturbait en silence, tandis qu’Emma filmait avec le portable de Thomas. Il paniquait, perdant le rythme, Léa contractait ses muscles pelviens pour endiguer l’énorme orgasme qui se préparait. Après avoir léché tant de chattes ce soir les crampes assaillaient sa langue fatiguée. Son élève redoubla l’intensité des coups, le couvrant d’injures. ll poussa sa bouche fortement pour presser plus fort et sa Maîtresse partit enfin dans un long spasme qui la décolla du canapé. Tiphaine jouit aussi en même temps.
— Oh Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
— Omg… so cool…
Elle se détendit et desserra ses cuisses de sa face épuisée. Les coups de spatule avaient cessé.
— A moi maintenant, gros porc! fit Tiphaine.
Ivre de douleur et de plaisir, il se déplaça servilement vers la Canadienne. Puis ferma les yeux et se positionna entre ses jambes. Il embrassa ses longues lèvres toutes ruisselantes, s’imprégnant de l’odeur excitante de sa nouvelle maitresse, mais son élève s’était replacée derrière lui et un nouveau coup sur ses fesses vint interrompre ses rêveries bucoliques. Il la butinerait une autre fois! Il abrégea la découverte et se mit à lécher le clitoris bien gonflé de Tiphaine. Emma était surexitée et ne pouvait attendre… elle vint se placer à genoux derrière lui et glissa ses cuisses de part et d’autre du légume qui dépassait de son cul. Elle se frotta la chatte dessus quelques minutes, ondulant lentement des hanches.
— Oh c’est bon ça! gémit elle.
— Oui, oui… très bon ajouta Tiphaine, les yeux mi-clos… Thomas léchait divinement bien. C’était nouveau et très plaisant pour elle.
Puis Emma tint l’autre extrémité du concombre de ses doigts pour se l’introduire dans le vagin. Se serrant plus avant, elle se pénétra elle-même en gémissant. Le prof émit un petit cri surpris sous cette pression. Il appréciait que les coups aient cessé, et le mandrin souple recommençait à lui envoyer des ondes voluptueuses.
Emma passa ses bras autour de lui pour bien se caler. Puis elle se mit à l’enculer avec vigueur pour faire pénétrer le concombre en elle aussi profond que possible. L’énorme chose la remplissait mieux que la nouille de son ancien petit ami! La langue de Thomas s’activa plus encore sur la chatte de Tiphaine qui gémissait.
Léa se masturbait pour jouir à nouveau, tandis que Souhila avait repris le téléphone pour immortaliser la scène.
Léa fut de nouveau secouée de spasmes.
— Ahhh Seurette… trop génial… mmmhhhh!!
Au bout de quelques minutes, n’y tenant plus, Tiphaine émit un chant rauque et jouit, Emma la suivit de peu, convulsant sur le légume… ce qui fit éjaculer Thomas dans un râle qui fut étouffé par une chatte en feu!
Ils restèrent tous les cinq dans un silence apaisé. Personne n’osant rompre l’harmonie de doux moment de plaisir collectif.