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Christine III : Les brûlures de l'aube – Chapitre 3




En sueur, nous reprenons nos esprits. Christine passe par la salle de bains avant moi. A mon retour, elle est allongée dans le lit et joue avec ses sex-toys. Elle fait lentement glisser le premier dans sa vulve tout en suçant le second. Je m’assieds et prend le contrôle du premier. Christine sourit en me voyant déjà au garde à vous et me suce. Je place l’autre gode à côté de ma verge et elle suce alternativement avant de les prendre les deux dans sa bouche.

— Ça te plairait ?

Christine comprend immédiatement ma question.

— Si j’ai une entière confiance dans mes deux partenaires, pourquoi pas.

Alors qu’elle reprend une lente mais agréable fellation, je dirige le second gode à son cul. J’attire Christine sur moi, en position 69. J’excite son clitoris en guidant un gode dans son vagin tandis que je pénètre lentement le second dans son anus. Christine est encore bien dilatée de notre ébat précédent et je n’ai aucune peine à l’introduire.

Je viens derrière Christine à quatre pattes. Je sors le gode de son cul et y glisse doucement ma bite. L’autre gode est profondément planté dans son vagin. Je commence à aller et venir, je sens le gode sous ma bite. Christine commence à jouer avec et gémit bruyamment. Elle prend l’autre gode, celui qui était dans son anus, l’essuie fortuitement et le suce tout en continuant à se goder. Triplement prise, elle halète très rapidement puis crie son extase alors que son corps se raidit violemment pour se relâcher dans l’instant. Surexcité, j’arrive à bout à mon tour et jouit dans son cul.

Je me retire, enlève le gode et embrasse une Christine, écarlate, haletante et perlée de sueur. Je l’accompagne à la salle de bains et nous échangeons un profond baiser. De retour dans la chambre, nous nous allongeons nus sur le lit et nous endormons.

Il est 17h30 lorsque j’émerge. J’embrasse Christine qui se réveille à son tour. Baiser. Elle s’allonge sur mon torse. Pas de sexe, juste de la tendresse. Nous ne devons pas tarder. Elle se lève, se dirige vers la salle de bains. Je lui dis :

— Tu es très belle, j’espère que tu en as conscience.

— De la tête à la taille, peut-être. En dessous, tu rêves.

Elle ne changera jamais. Nous rangeons rapidement l’appartement et partons. Il n’est pas loin de 19h lorsque nous arrivons dans notre ville. Christine me demande si je peux faire un détour et passer chez ses parents. Je me gare devant chez eux. Elle me fait signe de venir, ils sont absents. Je monte l’escalier et entre. Presque rien n’a changé depuis dix ans. La décoration, les meubles, leur disposition. Il y a toujours le canapé sous l’escalier de bois. Christine prend un sac par terre et dit :

— Attends, il faut vraiment que j’aille aux toilettes.

Je ne me suis douté de rien. Quelques minutes plus tard, Christine sort des toilettes dans la même tenue qu’il y a dix ans : sa jupe plissée noire, son chemisier et le porte-jarretelles. Elle est toute fière de la surprise qu’elle m’a concoctée et rit devant ma mine béate. Elle m’embrasse passionnément, m’attire vers le canapé, ouvre ma braguette et me suce. La sensation de déjà-vu est incroyablement forte. Si longtemps après, c’est très impressionnant.

Christine vient à califourchon sur moi. Pas de semi-pénétration cette fois, elle glisse allègrement sur ma verge, jusqu’au bout. Volontairement, ses très courts va-et-vient se font le plus loin possible. Profondément pénétrée, elle grimace un peu.

Elle se retire, se tourne, revient s’empaler sur ma queue et s’allonge sur moi. Baisers torrides. Me souvenant de tous les gestes, je soulève ses hanches et oriente mon sexe entre ses fesses écartées. Christine fait un petit mouvement de bassin et mon gland glisse dans son cul. Je suis surpris, elle sourit et ondule lentement des hanches, me faisait pénétrer un peu plus.

Alors, comme une décennie plus tôt, je la couche sur le côté, sur le canapé. J’écarte ses fesses et place mon sexe contre son anus. Christine sourit et pousse vers l’arrière, faisant entrer mon gland. Une sodomie émouvante. Je fais durer le plaisir, Christine gémit, halète, crie. Mon orgasme est intense, violent, fort. Je me retire. Le temps presse désormais. Christine m’entraine à la salle de bains. Elle se change, nous partons. Dans la voiture, elle dit :

— Pourquoi n’ai-je pas fait ça à l’époque ? J’aurais dû rester avec Christophe et je n’aurais pratiqué que la fellation et la sodomie avec toi. Si j’avais su que c’était si bon

Nous arrivons devant chez elle. Il est presque 20h. Christine a rendez-vous à 20h45. Je lui propose de l’emmener. Elle accepte. Je monte avec elle. Elle prend une douche rapide. Elle me rejoint dans la chambre où elle tombe la serviette. Nue, elle dit :

— Voilà ton principal privilège : pouvoir me voir nue en pleine lumière, de face comme de dos.

Je souris, elle est vraiment très excitante et elle me fait durcir. Elle le remarque et elle sourit :

— Je te fais bander et tu ne peux pas savoir combien ça me fait plaisir.

En string rouge, Christine monte sur le lit, s’agenouille et me suce à nouveau. Je la provoque assez crument :

— Tu as toujours été une suceuse hors catégorie. Tu aimes tellement ça, sucer des bites !

Christine gémit et poursuit sa fellation. J’insiste :

— Prends toute ma bite dans ta bouche, tu le fais si bien.

Elle obéit et me gratifie d’une gorge profonde des plus réussies. Je la cherche :

— Ces derniers temps, je suis sûr que tu as parfois été une vrai petite pute, que t’as sucé des mecs que tu connaissais à peine.

Christine respire fortement, lève la tête en léchant mon sexe de bas en haut.

— Mmmh, je ne peux pas dire le contraire

— Raconte moi.

Christine continue sa fellation qu’elle entrecoupe de son récit :

— Un soir. je me suis retrouvée aux toilettes du Loro Verde avec deux gars que je ne connaissais pas Un me prenait pendant que je suçais l’autre Ils ont ensuite inversé les positions.

— Cochonne

— J’avais besoin de ça besoin de sexe cru et violent.

— Quoi d’autres ?

— J’ai baisé avec un vieux de 73 ans pété de thunes une soirée et une nuit dans un hôtel de luxe Viagra et compagnie ce con m’a filé 8’000 quand on s’est quitté j’ai tout donné à une association de défense des prostituées.

— Encore ?

— Un autre soir j’ai fini avec deux lesbiennes on a baisé à trois toute la nuit.

J’attire ses hanches, écarte son string et la doigte. Elle accélère sa fellation. Je lui dis :

— Et ton voisin, quand je t’ai vue devant le Loro Verde ?

— Il m’a ramenée et et on a baisé sa femme le dégoute alors on baise de temps en temps il m’appelle il passe on baise il se casse.

— Tu es vraiment une salope et tu m’excites incroyablement.

Christine cesse sa fellation, relève la tête et dit :

— Prends-moi

En levrette, je m’enfonce dans son sexe détrempé. Aucune délicatesse. Je la bourre le plus fort, le plus profond et le plus vite que je peux. Christine est aussi excitée que moi :

— Défonce-moi ! Défonce-moi ! Ouiiiiiiii ! Ta grosse bite !! Plus fort ! Défonce-moi encore !!

Je la pilonne très violemment, lui met deux fessées très appuyées qui la font crier. Je l’attrape par les cheveux :

— Sale pute ! Tu étais encore vierge et tu voulais déjà te faire enculer !

— Oh ! Mon Dieu ! Oui ! Je voulais que tu me prennes ! Je voulais te sentir en moi ! Peu importait l’orifice !!

— J’aurais dû insister !?

— Oui ! Ouiiii !!! Tu aurais dû m’enculer !

Nouvelle fessée, nouveau cri avant deux orgasmes du bout de l’effort. Simultanés, puissants et libérateurs. Nous nous effondrons sur le lit, à bout de souffle.

Christine retire son string. On dirait qu’il est passé sous l’eau tellement il est mouillé. Elle retourne prendre une douche et vient s’habiller à la vitesse grand V. String et soutien-gorge blancs, robe bleu pétrole, bas couleur chair, bottes à talons hauts. Elle est sublime. Elle se maquille rapidement et met son manteau. Je lui dis :

— Si tu veux te faire déposer chez moi en rentrant, ma porte t’est ouverte.

Ma proposition semble la surprendre. En bien. Elle sourit en hochant la tête :

— On avait dit qu’une nuit, mais j’y penserai.

Elle passe dans la chambre, prends un petit sac et nous partons. En chemin, elle précise :

— Tout ce que je t’ai dit est rigoureusement vrai. J’aimerais que tu gardes ça pour toi.

— Même pour la sodomie ?

— Oui, même pour ça. Je m’en suis voulue de ne pas avoir poussé en arrière mais je t’en ai également voulu de ne pas avoir insisté et de ne pas avoir poussé toi aussi.

Je la dépose chez son amie juste avant 21h.

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